Le Mois D'Aout , Mois Propice Aux Rencontres

J’adore ma ville au mois d’aout, elle se vide de ses habitants, je peux traverser la rue sans risquer de me faire écraser ! seuls les touristes arpentent les trottoirs
Tous les soirs vers dix huit heures je descends au bar en bas de chez moi boire un demi bien frais profitant de la fraicheur relative, je sirote ma bière lorsque je vois arriver deux merveilleuses apparitions bien moulées dans un mini short d’où jaillissent de magnifiques cuisses bronzées, je rend hommage aux coutures qui contiennent solidement ces deux p’tits culs rebondis a souhait, deux petites blondinettes, rougies par le soleil et la chaleur, en sueur, portant un sac a dos aussi imposants qu’elles, l’air épuisées elles s’installent quasiment face a moi a la table voisine de la mienne et commandent une grande menthe a l’eau et deux pailles ! ce qui veux dire que les fonds sont en baisse, ça sent la fin des vacances
Malgré leur français impeccable je distingue un fort accent soit Allemand soit Hollandais , l’une d’elle plus rousse que blonde arbore de jolies taches de rousseurs sur les pommettes et plus bas dans le sillon que forme ses seins dont le débardeur trempé de sueur n’abrite pas de soutien-gorge lui donnent un air mutin, l’autre pas moins jolie a l’air plus mûre, d’ailleurs c’est elle qui s’inquiète sur la suite a donner pour la soirée, étant donné la proximité je suis obligé de suivre la conversation

- Tous les hôtels pas chers sont complets nous n’avons pas de quoi s’en payer un autre sinon nous ne pouvons plus acheter notre billet de train pour rentrer chez nous
- Vivement que nous soyons rentrées tonton Koen me manque
- Ooooh Erna ! ça peut attendre un ou deux jours non ?
- Ouiiii….alors dormons dans un parc ou autre ?
- Hélas je ne vois que cette solution

Là, je me vois dans l’obligation de réagir, quitte à passer pour un mufle je me mêle à la conversation

- Excusez moi mesdemoiselles j’ai malgré moi entendus vos propos, je vous déconseille vivement de dormir dans les parcs ou dans n’importes quels autres endroits peu sûr, en plus de cela de violents orages sont annoncés, si vous tendez l’oreille on perçoit déjà les grondements
- Mon dieu qu’allons nous faire ?
- Je peux peut être vous héberger pour la nuit mes petites, j’ai une chambre d’amis qui ne sert plus
- Vous vivez seul ?
- Hélas oui, je suis veuf, mais rassurez vous a cinquante ans je pourrais être votre papa
- Qu’en penses-tu Erna ?
- Je crois qu’ont peut lui faire confiance Gerda
- De toutes façons nous n’avons pas le choix … si nous acceptons de vous suivre monsieur pourrions nous prendre une douche et laver quelques vêtements ? nous n’avons plus rien de propre, y compris nos petites culottes sur nous
- Bien sûr, je vous laisserais le soin de remplir la machine à laver, par contre je ne peux vous proposer de vêtements de rechange a part des chemises à moi
- Chez nous nous baladons nues mais par pudeur pour vous nous acceptons les chemises !
- Alors suivez moi j’habite a cent mètres, je suppose que vous n’avez rien à manger ?
- Plus rien !
- Une omelette fera l’affaire ?
- Nous adorons les œufs
- Au fait, quels âges avez-vous ? je ne voudrais pas d’ennui avec des mineurs
- Moi j’ai vingt ans et ma copine Erna dix neuf
- Bien allons-y

A peine la porte refermée que la pluie accompagnée d’éclairs tombe a torrent, la petite Erna n’en même pas large et ne quitte pas son amie d’une semelle, lorsqu’elles ressortent de la douche seulement vêtues de grandes chemises je ne peux m’empêcher de les imaginer nues …je fais un effort pour ne pas laisser se développer une érection soudaine, une fois la machine en route les filles me racontent leurs péripéties qu’elles ont vécues en Espagne, je devine très vite que ce ne sont pas des oies blanches, assises sur le canapé et moi dans un fauteuil elles sont conscientes de l’effet qu’elles me font lorsque les pans de chemise qui s’arrêtent juste au dessous des fesses s’écartent ‘malencontreusement’ … ou pas …si j’étais vicieux je pourrais sans me tordre le cou voir les toisons pubiennes que je devine claires et les seins que je devine bien ronds

- Ce n’est pas trop dur de vivre seul ? monsieur ?
- René, hélas parfois si.

..
- Vous n’avez pas d’amis ou d’amies René ?
- Quelques uns, mais depuis la terrible et soudaine disparition de ma femme j’ai fais vœux d’abstinence
- Ça se peut ? j’ai du mal à vous imaginer en ‘moine reclus’ !
- Il existe des palliatifs
- Excusez-moi, je ne voulais pas être indiscrète
- Ce n’est pas de l’indiscrétion et vous ? des copains vous attendent au pays ?
- Moi oui, j’ai un petit ami, mais pas Erna …
- Ah ? tu es pourtant ravissante ? personne ne t’attend ?
- Si … mon tonton Koen…
- Un tonton ?
- Oui, par commodité pour aller à la fac je vis chez mon oncle, il me manque terriblement …
- Tu ne trouve pas que monsieur René lui ressemble ?
- Je l’ai tout de suite remarqué …ça ajoute a mon impatience !
- Qu’a-t-il donc de spécial cet oncle ?
- C’est un secret...
- Pardon pour mon indiscrétion, et si je vous servais un apéro ? un pastis par exemple ?
- Je crois que c’est l’apéritif national ? ! nous adorons !
- Je vous sers et je vais préparer l’omelette
- Nous allons vous aider

Ces deux petits corps qui m’entourent et ces seins qui me frôlent constamment ne me laissent pas indifférent, j’ai une demi-érection dans ce vieux jogging qui me sert de tenue de soirée sous lequel comme a mes habitudes je ne porte pas de slip,, il y a longtemps que je n’ai pas passé un diner aussi animé, dés la table débarrassée les filles vont au salon allumer la télé

- Je vous croyais fatiguées ?
- Nous avons pris un petit bonbon miracle
- Rassurez vous c’est légal chez nous
- Ici peut-être pas
- Vous devriez essayer c’est sans risque, je reconnais qu’avec deux pastis ça décuple l’efficacité !
- Aller René prenez ça …
- Si vous ne vous sentez pas bien votre lit n’est pas loin
- Si vous insistez … ça fait effet combien de temps après ?
- Quinze minutes ?
- La machine a finit de tourner vous devriez faire sécher votre petit linge
- Vous avez raison René, je peux étendre ça dans la cuisine ?

Cinq minutes plus tard j’ai toute la panoplie de slips plus minis les uns que les autres, les effets de cette pilule miracle commence à faire effet car je ‘bade’ et je bande littéralement devant cet étalage érotique et me demande ce que peuvent bien dissimuler ces étroites bandes de dentelles

- Ça va René ? nos sous-vêtements vous perturbent ?
- Heuuu oui, enfin non mais j’avoue qu’ils sont très coquins
- Voulez vous que nous en passions un sous nos chemises ?
- Je ne dis pas non …
- Erna ?
- Oui Gerda ?
- Vient ici mettre une petite culotte
- Ha bon ?
- René veut voir ce que ça donne sur nos minettes
- Regardez René
- Hooooouuuuuu je vais m’assoir, ça tourne dans ma tête

Affalé sur une chaise de cuisine je mate les chemises ouvertes les deux nanas affublées de strings bleus et noirs en dentelle balancent des hanches d’une façon provocatrice, je vois le duvet rose et frisoté d’Erna dépasser du slip, mes yeux ne sont pas assez écarquillés pour détailler la forme des vulves, soudain Erna se met à pleurer, elle parle en Néerlandais avec sa copine

- Que dit-elle ? que lui arrive-t-il ?
- C’est son tonton qui lui manque
- Encore ?
- Elle aimerait vous faire un câlin assise sur vos genoux
- Qu’a cela ne tienne, vient ma petite vient voir tonton René
- Merccccciiiii….


Presque nue elle s’assied a califourchon face a moi, jusqu’à venir mettre sa chatte en contact avec la bosse que fait l’érection dans mon jogging, ses seins arrogants écrasés sur mon torse velu les deux bras en colliers elle se love comme une chatte affolant davantage ma gaule, sa respiration est saccadée, si elle frotte encore son mont de vénus sur ma queue je vais décharger a coup sûr, je ne peux me retenir de poser mes mains sur ses lobes charnus et de l’attirer davantage sur moi ,je sens nettement ses lèvres fines collées a ma queue toujours prisonnière, de nouveau elle s’adresse a Gerda dans leur langue maternelle

- Que dit-elle ?
- Elle dit que vous êtes plus gros que son oncle !
- Moi gros ? je surveille régulièrement mon poids !
- Elle ne parle pas de votre corps, elle parle de votre sexe
- Mon sexe ? oh pardon mais vous m’affolez avec vos morphologies de minettes
- Elle ne vous en veut pas de bander, elle est habituée avec son oncle … il y a autre chose
- Quoi encore ?
- Son oncle a l’habitude de la corriger
- Il la bat ?
- Simplement la fessée, c’est ce qu’elle attend
- Tu veux que je te mette la fessée Erna ?
- Ouiiiiiii … sans culotte, couchée en travers de vos genoux
- Alors ôte ton string, je vais te corriger comme tu le mérite petite peste !
- Hooooouuuuuiiiiiii !

En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire la jeune fille entièrement nue se positionne sur mes genoux, déconcerté je ne sais où poser les mains ! l’effet de cette pilule me fait oublier mon statut d’hôte responsable

- Allez y je suis prête !
- C’est parti …tien-tien-tien-tien
- Plus fort, il faut que le sang afflue pour qu’il soit plus grandiose
- Qu’est-ce qui doit être plus grandiose ?
- L’orgasme que vous allez me procurer en me baisant
- Tu veux que ?????
- Ouuuuiii je veux être baisée !!!! tapez ! tapez !!comme çaaaaaaaaaaooooouuuuuuuuuiiiiiii ! c’est boooooooonnnnnnnnn

Plus je frappe plus elle gigote sur mes genoux, massant au passage mon membre totalement déployé, son cul est rouge vif, ses cuisses s’écartent, tout en frappant je me penche pour découvrir sa raie humide et des gouttelettes de mouille dans sa toison ambrée

- Stop ! ça va, je me sens très chaude, baisez moi de suite
- Où ça ? dans la chambre ?
- Là, portez-là sur la table je l’ai débarrassée
- Et toi ma pauvre Gerda ?
- J’attends patiemment mon tour !
- Quelle jeunesse !
- Pose ton cul sur le coin le temps que je me déshabille et met tes jambes sur mes épaules, je n’ai jamais vu de fentine aussi petite, ma bite va élargir ta choupinette
- C’est bien ce que je veux ! elle est belle, n’ayez pas peur de pousser pour tout m’enfiler
- Je vais frotter mon bout sans le décalotter sur ta chatte afin de le lubrifier
- Pourquoi sans le décalotter ?
- Mon membre va coulisser dans sa peau pour passer ton col, ainsi ça va rentrer plus facilement
- Vous êtes doué pour baiser René !
- Il y a des mois que je n’ai pas vue de chatte, mais ça ne s’oublie pas
- Tenez-lui les cuisses, je vais vous guider dans sa vulve
- C’est bien de participer Gerda !
- Enfilez-là René c’est bien en face
- Hhhoooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii
- Je n’ai jamais senti ma queue autant serrée, même ma femme que j’ai connu pucelle était plus large, je sens nettement ma bite repousser tes chairs
- Moi aussi je le sens, c’est super ! accélérez je vais bientôt partir, mes muqueuses sont gorgées a fond par la fessée ! je vais exploser

Ma queue baigne dans un magma aussi brulant que délicat, a chaque poussée la fille se tortille de joie, Gerda ne reste pas inactive ses doigts menus palpent mes couilles allant jusqu'à titiller mon anus, elle sait qu’elle aussi va passer sous le rouleau compresseur de la jouissance alors elle veux provoquer mon propre plaisir qui s’annonce, la première contraction de mon membre ne passe pas inaperçue chez ma jeune maitresse, sa respiration se coupe, les veines de son cou gonflent, elle rougie, sa bouche s’ouvre longtemps avant que le premier hurlement ne fuse de sa gorge, complètement arquée et désarticulée j’ai du mal a tenir mon sexe emboité dans le sien, son vagin regorge de ma semence et expulse le trop plein sur mes testicules mêlé a son jus abondant, puissant, comme mû par une pompe haute pression, nos clameurs de jouissance emplissent la pièce pendant un temps interminable alors que sa copine se met les doigts dans le con pour nous accompagner, puis, rien que le bruit de nos respirations qui s’apaisent lentement , ses cuisses tremblent encore de plaisir lorsque Gerda se manifeste

- René ? ne vous retirez pas d’un coup, je vais mettre ma paume sur sa chatte afin qu’elle garde en elle le plus possible de ce précieux nectar que je vais déguster
- Tu vas lui bouffer la chatte ?
- Évidement ! une fois que je serais bien placée entre ses cuisses rien ne vous interdit de me prendre …
- Rassure-moi, ça se passe comme ça chez l’oncle ?
- Je participe souvent à leurs ébats, mais moi je n’ai pas besoin de fessée pour jouir, touchez ma chatte, elle est prête à vous accueillir
- Effectivement, tes cuisses sont tapissées de mouille, prend ma place et montre moi ton cul
- Ne bouge pas Erna, je vais te nettoyez la cramouille
- N’oublie pas mon p’tit trou il est complètement englué !
- Tu veux que René t’encule après ?
- Pourquoi pas, il est vachement endurant le papy !

La seule vue de ses reins étroits et sa motte saillante entre ses fesses rendent ma queue à nouveau opérationnelle, je me paie même le luxe de l’enfiler sans mettre les mains qui sont déjà sur ses hanches pour l’attirer à moi, Gerda souffle fort ce qui produit un gargouillis obscène dans la moule baveuse de son amie qui recommence a se tordre sous la langue agile ventousée a son clito encore enflammé de jouissance
Je préfère nettement ce vagin plus adulte, elle sait contracter sa gaine vaginale autour de mon chibre, sa cible défripée se crispe au rythme des resserrements ce qui me donne envie de lui fourrer mon pouce dans l’anus, la fille se cabre sous la surprise avant de se relâcher en ronronnant comme une chatte en chaleur
Ma bite est a la fête, pour les sodomiser j’ai dût reprendre une petite pilule miracle….
le lendemain soir lorsque je me suis réveillé avec un mal au crane abominable elles étaient parties, un petit mot de remerciement et une promesse d’une prochaine visite trônait sur la table

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