La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°711)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°709) - Le chemin de transparence et de vérité -

A quatre pattes maintenant, tête basse, tenu en laisse fermement, le Maître me fait déambuler lentement, très docilement, juste devant les Dominantes et Dominants toujours assis sur leur banc. Parfois je suis ralenti sinon stoppé pour laisser des mains me caresser l’échine ou plus intimement. Quelquefois, je passe devant Celles et Ceux ici Régnants, en essuyant seulement leur regard hautain. Parfois encore, je me contente de poser mes lèvres, servilement sur des chaussures entravant cette bien perverse promenade, puis je suis de nouveau entraîné par cette laisse tendue et avance encore. Cette fois-ci, c’est un doigt qui me fouille le cul, qui me pénètre généreusement et vigoureusement ! Je me laisse posséder en relevant et cabrant mon fessier.

- Ah ce cul, je puis vous assurer Mesdames et Messieurs, qu’il est savoureux !

Je reconnais cette voix masculine, les « R » sont roulés… J’ai envie de relever la tête pour voir de qui s’agit-il mais le Maître ne m’en donne pas le loisir, la laisse se tend encore, je marche et me plie aux exigences rencontrées sur ce chemin de transparence et de vérité. Oui ! Je ne suis qu’une salope, une vraie chienne, ai-je envie de le crier sinon de hurler ! Inutile de chercher derrière le voile, voilà la vérité ! Point de sous-entendu, ni de secret gardé, point de choses dissimulées, je m’affiche et me laisse tripoter sans écœurement ni dégoût, au contraire même, j’en tire un désir fou. Au diable le vieil adage de la sagesse populaire « Pour vivre heureux, vivons cachés » Épicure semble s’être bien trompé en ce qui me concerne, j’ai envie de crier « Pour vivre heureux, vivons exhibés » !

Me voilà rattaché à mon pilier et regarde défiler les quarante-neuf autres chiennes et chiens. Tous semblent exprimés le même désir, la même volonté d’appartenir, quelle que soit leur couleur de peau, leur origine continentale.

Ils paradent d’un pas chaloupé, se laissent tripoter et humilier en gardant toujours un port altier, exprimant leur fierté. Dieu que la compétition sera rude ! Me dis-je, tous semblent tellement expérimentés ! Que dire aussi de la satisfaction et de la supériorité des Maîtresses et Maîtres, les entraînants, les exhibant, ils semblent tellement satisfaits de présenter celles et ceux qu’ils possèdent…

Entretien à huit clos :

Une heure après la présentation-exhibition des esclaves devant l’assemblée des Dominants venus du monde entier, des entretiens bilatéraux à huis clos sont organisées. Et c’est lors d’une de ces rencontres que je ne peux m’empêcher de penser comme elle est belle cette femme, la trentaine, rayonnante, digne, mince, racée, élancée, brune de peau, les cheveux longs noirs soigneusement nattés, les yeux de braise. Son sari vert émeraude élégamment drapé laissant son nombril nu, met en évidence un superbe collier de diamants, de belles pierres précieuses finement ciselées et posées sur sa petite mais ferme poitrine. Elle arbore également ce symbole traditionnel, le « sindoor », un simple trait rouge partant de la racine de ces cheveux et descendant jusqu’au début de son front. Elle est simplement et naturellement magnifique ! Monsieur le Marquis d’Evans semble lui aussi subjugué par cette beauté, il discute avec elle avec élégance et éloquence et évoque des souvenirs lointains mais communs à eux deux, lors d’un de ses périples et voyage en Inde. Visiblement le Maître a retrouvé une vieille connaissance qu’il apprécie grandement. Elle aussi s’exprime en français remarquablement, avec un vocabulaire choisi, des termes précis, d’une voix claire et limpide. Tous les deux sont installés dans un petit boudoir avec à leurs pieds, leurs deux esclaves. Maîtresse Parashurâma, c’est ainsi qu’elle se nomme, dispose de Nara, une jeune chienne, une petite femelle docile et annelée aux tétons et lèvres intimes.

Couché aux Pieds du Maître, en position fœtale, j’entends leurs échanges courtois et respectueux sans vraiment écouter ce qu’ils se disent.
Je reste simplement attentif, seulement vigilant. La jeune soumise Nara, elle aussi allongée sur le côté, ferme parfois les yeux. Sa respiration soulève sa frêle et tendre poitrine. Elle semble sereine, tranquille, paisible. Ses courbes sont parfaites, ses hanches fines, son fessier rebondi, son sexe glabre. Si j’avais à lui donner un âge, je dirai vingt vingt-cinq ans maximum. Mais la question n’est pas là pour l’heure. Le Maître vient de me donner un ordre, j’y réponds dans l’instant.

- Sur le dos, chien ! Ecarte tes jambes et montre à Maîtresse Parashurâma ce que tu as entre les cuisses.

Pour changer… mon sexe est raide et tendu, je l’affiche et l’exhibe sans complexe. La Dominante alors se penche, se saisit de mes couilles les att et les tire sans ménagement comme si elle voulait les amener au plus près d’elle, sous ses yeux ! L’assaut est tel, qu’il m’est impossible de retenir un gémissement, je bascule en arrière, jambes relevées, et me retrouve en deux temps, trois mouvements, cul par-dessus tête.

- Ces mâles vaniteux et présomptueux se croient toujours obligés de nous montrer leur nouille érigée ! annonce Maîtresse Parashurâma à l’attention de Monsieur le Marquis

Le Maître sourit. Il prend un plaisir immense à me voir malmené et tenu renversé, par cette belle Domina Indienne. Celle-ci maintenant s’adresse directement à moi.

- Je sais que tu es un mâle et que tu as une queue, ce n’est pas cette partie de ton anatomie qui m’intéresse chien mâle, mais seulement ton cul de lope soumise. Ton trou de putain, n’est-il pas placé entre tes cuisses ? N’est-ce pas ce qu’a exigé le Maître, de me montrer ce que tu avais entre les jambes ? réponds salope !

Le ton est ferme, sévère, mais sans agressivité, la Domina me presse toujours autant les burnes et cette pression douloureuse me coupe littéralement le souffle.

- Oh… aïe… Oui, oui Madame !

Maîtresse Parashurâma ne s’inquiète ni de ma réponse ni de mes plaintes, elle exige que Nara vienne me lécher le cul.
A quatre pattes, la jeune soumise s’y emploie avec douceur et attention. Je sens sa langue glisser sur mon anneau fripé, le pénétrer, s’immiscer en moi. Je bande de plus belle, impossible de contrôler mon excitation. Au côté de cette langue avide, je sens un doigt, celui de la Dominante, maintenant me pénétrer. Elle teste l’élasticité de mon orifice en tirant sur les parois de mon anus, et à chaque fois, la langue de la jeune soumise me pénètre un peu plus profondément. Je geins, et en écho à mes gémissements, j’entends ceux de Nara. Le Maître s’est agenouillé derrière sa croupe cambrée et s’amuse avec les petits anneaux métalliques rivés aux lèvres de sa chatte…

- Pensez-vous que nous avons un peu de temps devant nous, Cher Ami Monsieur le Marquis ? Interroge Maitresse Parashurâma avec dans le ton de sa voix, une admiration évidente envers le Maître
- Nous sommes attendus seulement à dix-neuf heures pour le cocktail mondain, ce qui nous laisse deux heures ! Lui répond le Maître.
- Parfait ! Je vais donc pouvoir jouer avec votre esclave, Monsieur le Marquis ! Voulez-vous bien me le prêter ?
- Mais très Chère Amie, il est à vous ! Je suis ravi de savoir que ma petite putain de mâle peut vous apporter une quelconque distraction !
- Je vous remercie amplement Monsieur le Marquis ! Je garde un si beau souvenir lors de mon passage en Europe, en France, il y a 5 ans déjà où vous m’aviez accueilli avec les plus grands honneurs dans Votre magnifique Château et où vous m’aviez prêté quelques esclaves mâles et femelles afin de me divertir ! J’en ai gardé depuis des souvenirs inoubliables ! … Alors pour l’heure, échange de bon procédé, je vous cède ma petite chienne ! Et si elle ne vous apporte pas entière satisfaction, elle sera sévèrement punie…

Le Kamasutra Indien :

Sur ses propres paroles et sans perdre une seule seconde, Maîtresse Parashurâma se dévêt. Impudique, elle ôte sans hésiter son sari, le dépose soigneusement sur un des fauteuils.
Elle est nue ou presque, elle n’a gardé que sa rivière de diamants autour du cou ! Préalablement, elle a exigé que je me tienne dans une posture d’offrande… Je suis à genoux, cul posé sur mes talons, cuisses écartées, paumes de mains retournées vers le plafond et posées sur mes cuisses, tête basse.

- Regarde-moi, petite salope.

Elle se tient devant moi, mains posées sur ses hanches, face à moi. Je relève la tête et les yeux doucement, docilement. J’ai l’impression d’avoir devant moi, une de ces divinités antiques, tellement elle est belle … belle mais autoritaire ! Elle est encore plus belle nue. En effet, elle est d’une beauté plastique absolue, une silhouette de rêve, les courbes parfaites de son corps somptueux et si magnifiquement sculpté lui confère une féminité hors norme…

- J’espère pour toi que tu es souple et agile ?

Mes yeux bleus ne lâchent pas son regard de braise. Elle est là devant moi, naturellement Dominante. Sans le moindre artifice, Elle affiche sa sublime Suprématie. Une de ses mains vient de se poser sur sa brune toison, ses doigts au contact avec son sexe. Elle se caresse !

- Je vais te faire goûter mes sucs épicés, petite salope… mais pour cela, il va falloir les mériter !

Elle m’att par ma chevelure et m’entraîne à quatre pattes près d’un mur. Elle m’ordonne de faire le poirier en appuyant mon dos contre la cloison. Pas simple tout ça… Il me faut un certain temps pour y parvenir. Elle me regarde, patiente tranquillement, sans me presser ni me stresser et lorsque je parviens enfin à tenir en équilibre, la tête en bas Elle s’agenouille face à moi en écartant les cuisses. Elle ajuste sa position afin que son sexe déjà humide vienne se plaquer contre ma bouche.

- Allez petit chien, montre-moi comme une langue occidentale peut être agile.

Tant bien que mal, compte tenu de la posture, sans me précipiter, je décide de poser ma bouche sur ce sexe délicat, légèrement écarté et le couvre de simples petits baisers. Puis au bout de deux minutes seulement ma langue glisse entre ces lèvres, à la recherche de ce fruit défendu. Maîtresse Parashurâma est alors prise de délicieux tremblements dont j’entends la répercussion dans son souffle haletant. Au même moment, je m’enivre de l’odeur de sa peau et de son parfum se mêlant à la senteur musquée de son sexe. Sous l’impact de ma langue, son clitoris vient de se tendre, de se redresser et de s’offrir. Je le titille délicatement, j’entends gémir ! Les premiers sucs me parviennent et m’inondent la bouche ! Dans un incessant déhanché, lent, très lent au départ puis s’accélérant ensuite, je ne parviens plus à canaliser ma langue, elle aussi devient soumise à ces mouvements à ces amplitudes et cadences imposées. Je m’étouffe et m’étrangle, cette chatte se dilate et mouille de plus belle. Mais la Domina exige encore, s’agite toujours, jusqu’au moment où une violente douleur me terrasse. Mes couilles à portée de bouche viennent d’être happées et mordues violemment. Sous l’impact de ces dents, je reste figé et ouvre la bouche en grand. Mais j’ai rarement eu une telle érection, suite à cette forte douleur m’ayant coupé le souffle quelques instants ! Mon excitation est à l’extrême et il me faut faire mille efforts pour ne pas éjaculer même sans me branler. Juste à ce moment-là, un flot de cyprine gicle, telle une éjaculation, et coule dans mon orifice et m’inonde le visage… L’étau sur mes couilles se desserre, Maîtresse Parashurâma se retire, me retient pour que je ne tombe pas, puis me fait installer couché à plat dos sur le sol.

Le visage défait, couvert de mouille, j’entrouvre les yeux et m’aperçois que Monsieur le Marquis s’adonne lui aussi au plaisir de la chair. La jeune soumise Nara se donne dans l’étreinte dite du « panda ». Elle et le Maître sont allongés tête bêche. Elle enlace Monsieur le Marquis, une jambe au-dessus, l’autre au-dessous, et ondule en rapprochant son bassin pour une profonde pénétration. Le Maître la caresse et se laisse ainsi branler ! Parfois même, il lui claque les fesses gaillardement, lorsqu’elle ne s’active plus suffisamment à son goût…

Mais je n’ai pas le temps de voir la suite. Maîtresse Parashurâma, avec un gode-ceinture posé sur son pubis, vient de m’attr les jambes, me retourne comme une crêpe en me disant :

- Tu connais le ‘poirier indien’, salope !

Elle exige que je me tienne en appui sur les mains, les bras tendus, alors qu’elle se tient derrière moi. Elle me soulève le bassin me glisse mes jambes sous ses bras pour s’agripper à moi, puis me pénètre d’un coup, d’un seul et profondément…

(A suivre…)

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