Montrer Son Cul Pour Un Job

L'annonce disait : Cherche homme efféminé pour poser nu.
Je me suis pointé à l'adresse indiquée. Le receptionniste me demande mes papiers, et me dit de rentrer dans une pièce adjacente, toute blanche. Un haut-parleur grésilla.
- Déshabillez-vous ! Fit la voix. Complètement !
J'ai obéi. En moins d'une minute, j'étais à poil.
- Vous, le rouquin, (c'était moi) vous restez. Les autres, vous pouvez partir.
Toujours à poil, on me fit passer dans une autre pièce. Un homme élégant et beau, vint me prendre par la main.
- C'est extraordinaire, me dit-il. Tu es exactement ce que je cherchais. Putain, du premier coup !
Il me regarde à nouveau, et dit :
- Tu es majeur, au moins ?
- Il me semble que la pornographie, c'est interdit pour les mineurs !
- Pardon ! Vous faites fausse route. C'est de la publicité !
- De la pub ?
- Oui, je vends des dessous à la LGBT. Vous allez être mannequin ! Je suis moi-même bi-sexuel et, vu ce que je vois, et si vous n'êtes pas contre, je veux bien m'amuser avec vous....
- Dans un premier temps, si on revenait au job. Je vous dis d'entrée que je n'accepte pas de paiement en nature !
Mon employeur potentiel éclata de rire.
- Il est hors de question de mélanger le bussiness et le plaisir !
Il me lança une boule de sous-vêtements et enchaîna :
- D'ailleurs, on va commencer tout de suite !
Dans le paquet de linge, il y avait une culotte blance, et une minijuppe rouge.
- Allez les mettre, et revenez vous montrer !
La culotte était en soie, et la minijuppe, tenait plutôt du tutu.

Je me regardais dans la glace, et m'aperçut qu'on voyait la petite culotte blanche, à chacun de mes pas. La minijuppe était conçue de manière à se soulever pendant la marche. Je reparus devant mon nouveau patron.
- C'est pas mal, dit-il. Cest sexy, mais je préfère qu'on voit ton cul. Je peux te tutoyer non. Il me lança un autre linge. C'était un string.
Quand je revins, il s'exclama :
- J'avais bien vu ! J'ai rarement vu un si beau cul, chez un homme ! Je te le prendrai, sans aucun doute. C'est toi qui choisira, avec douceur, ou avec vigueur. Viens te mettre contre moi.
Je m'approchai et me plantai devant lui. Il se leva, colla ses mains sur mes fesses, et me plaqua contre son ventre. Un doigt se glissa dans ma raie et chatouilla mon petit trou. Je reculai, en disant :
- C'est trop tôt ! Peut-être, après la première paye...
- Je ne paye pas pour baiser ! Eructa-t-il.
- Moi non plus, rétorquais-je. Moi aussi, je veux vous voir à poil. Si vous êtes à mon goût, vous pourrez tout avoir. Ma bouche, mon cul, ma bite, tout ! Et tout le temps ! J'ai vu la maison. Si je me donne à vous, j'habiterai ici. Je pourrai rester nu en permanence, mais je préfèrerais que vous me déshabilliez. Je suis incapable de résister au glissement très lent du slip sur mes fesses. Vous pourrez, alors, faire de moi ce que vous voudrez.
Partout dans la maison, il y avait des téléphones. Johnny, c'était son nom, voulait que je me ballade à poil dans la maison. Mais, pour respecter mes goûts, il appelait juste avant son arrivée, pour que j'enfile un slip, un string ou autre chose, et, que ce soit lui qui me l'enlève.
Il visite ma bouche et mon cul, tous les jours. Cela fait presque dix ans que ça dure.
- Tu sais ce qui me rend fou, me dit-il, un jour. Tu ne vieillis pas.
Je regarde souvent les premières photos que j'ai prises de toi, à ton arrivée. Tu n'as pas une ride, pas un pli. Ton cul est aussi beau et ferme qu'au début. Parfois, je suis jaloux.
Je nous regarde pendant qu'il m'enlève mon slip, et je me prend à rêver, que je serais toujours beau !


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