Vrai Ou Faux, Nuit Ou Jour, C'Est Cul Qui Décide ?

J'habite dans une tour de 13 étages. Il ne faut pas être superstitieux. Pourtant, la chance en fait partie. Etait-ce de la chance, ou était-ce délibéré ?
Depuis près d'un mois, une voisine, au même étage que moi, mais dans un autre immeuble, se déshabille devant sa fenêtre. Elle le fait de nuit, avec une lumière vive qui l'illumine. La première fois que je l'ai vue, j'ai pensé à une histoire banale de la vie. La femme retirait un manteau, puis éteignait la lumière.
J'ai failli ne pas rester à cette fenêtre, quand la lumière se ralluma. La femme retira son chandail, et éteignit la lumière à nouveau. Là, j'étais intrigué. Pourquoi venir retirer un vêtement devant une fenêtre, en pleine lumière, puis s'en aller. J'étais plongé dans mes pensées, quand la lumière se ralluma. La femme retira son chemisier et retourna à l'obscurité.
J'avais eu le temps de voir son soutien-gorge. Il était magnifiquement rempli. J'ai attendu la suite, mais rien n'est venu. Je suis allé me coucher, l'imagination en feu. Etait-ce un appel, une invitation, ou un besoin impérieux de se montrer. Ce soir-là, comme tous les soirs, j'avais ma queue dans la main, mais, sans me branler, juste par la puissance de l'imagination, j'avis une de ces triques. Je la voyais en train d'enlever sa culotte, de glisser un doigt dans sa bouche, de le ressortir, mouillé de salive. Elle promenait le doigt humide sur ses lèvres d'en bas, gonflées par le désir. Elle écartait ses cuisses, imprimant de plus en plus, sa caresse. Le doigt s'insinua dans la fente, et entra dans sa moule. Elle poussa un soupir, et sa langue lécha ses lèvres entrouvertes. Sa moule trempée, elle y enfonça le doigt et commença à se masturber. Elle se tourna alors, offrant à mes yeux, le spectacle magnifique du plus beau cul que j'avais jamais vu. Elle avais toujours le doigt dans sa fente. Elle tourna la tête vers moi. Son regard malicieux sembla s'éclairer quand son doigt se retira, et plongea dans son cul.

Ma main et mon slip, étaient tout collants, à mon réveil.
Avais-je seulement rêvé, ou était-ce vraiment arrivé ?
La nuit suivante, j'étais à mon poste. J'attendais, tous les sens en éveil. J'allai me coucher, pensant à un fruit de mon imagination, dû à ma solitude sexuelle du moment. Soudain, la lumière s'alluma. La femme était dans le même apparat que la veille. La poitrine dressée, elle dégrafa son soutien-gorge, libérant deux obus magnifiques. Ses seins volumineux étaient somptueux. De larges aréoles s'étalaient dans ses mains, qui les soupesaient. Il me semblait les reconnaître. Encore ce rêve ?
Je revivais le tableau onirique de la veille. Comme j'avais déjà vécu cette scène, je m'apprêtais à aller me coucher, pour inventer la suite. C'est alors, qu'elle se retourna, m'offrant la vue de son cul magnifique. Elle se baissa pour ramasser quelque chose. Ce mouvement écarta ses fesses, et je pus voir la petite pastille de son trou du cul. Quand elle se releva, elle avait un flacon et un objet que je reconnu immédiatement. Elle ouvrit le flacon, en renversa un peu dans sa main, et s'en étala partout sur la poitrine. Elle souleva le godemiché qu'elle venait de ramasser, et l'enduit lui aussi, du liquide. Elle glissa le gros sexe en plastique, entre ses seins, simulant une branlette espagnole. Puis elle pencha sa tête en avant et donna des coups de langue, sur l'ersatz de sexe. Elle écarta les lèvres, et le plastique commença de s'enfoncer dans sa bouche. Millimètre par millimètre, l'engin progressait entre les mâchoires de l'exhibitionniste. Une fois le gland avalé, elle glissa ses doigts dans sa chatte, et, se branla, pendant qu'elle suçait le membre factice. La lumière s'éteignit, et je partis me coucher.
Cette nuit-là, ma queue était épaisse et noire. Une femme avec des gros seins me taillait une bouffarde de première. Elle m'encouragea à faire une sieste, juste après l'amour. Le lendemain soir, je retournai vers la fenêtre. Je voyais la femme de dos, elle était tournée vers la porte, et semblait parler à quelqu'un.
Elle revint vers la fenêtre, et convia son interlocuteur à s'approcher du lit. Je ne pouvais pas distinguer l'individu. Je vis la femme s'agenouiller entre ses genoux, et celui-ci, lui donner sa bite à sucer. La mienne était humide. La femme se releva et alla s'agenouiller contre le lit, le cul relevé, les fesses offertes. L'individu se leva et se retourna vers moi. C'est alors que je le reconnus : C'était moi !
Depuis une semaine, une jolie poupée, venait se faire lutiner, tard dans la nuit. La fenêtre d'en face, était en fin de compte une glace dans laquelle je me voyais en train de baiser ma nouvelle conquête, sur le point, de m'endormir.

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