Un Simple Stage

Ma femme a quarante cinq ans est bloquée par des rhumatismes articulaires déformants elle est a la limite du fauteuil roulant, aussi elle ne peut plus me seconder a la quincaillerie artisanale que nous tenons de mon père
J’ai moi-même atteint la cinquantaine, j’emploie de temps à autre des chômeurs pour me libérer de certaines tâches urgentes, ce matin une maman m’a demandé par téléphone si je voulais accueillir son de dix huit ans en apprentissage, je lui ai répondu que je voulais voir ‘son ’, il doit venir ce matin pour me démontrer sa motivation car j’ai déjà été déçu par le manque de concentration de certains ados au boulot lors de stages
Quelle a été ma surprise lorsque j’ai vu débarquer une brunette aux yeux pétillant, un sourire avenant sans parler de sa paire d’obus prêts a crever le débardeur et de son p’tit cul rebondi serré dans un jean si moulant que je me demande comment une petite chatte a l’aspect si fragile peut survivre ainsi serrée et séparée et bousculée par une ourlet de toile rêche
Remontée comme une pendule elle m’a exposé en long et en large ses connaissances en visserie qui m’ont bluffés !

- Prenez moi a l'essai monsieur je n’ai pas trouvé d’autres employeurs et vous êtes mon sauveur, vous ne le regretterez pas, mon père m’as enseignée l’art du bricolage, je ne demande pas a être payée
- Toutes peines mérites salaire petite, c’est bon, tu m’as l’air délurée je te prends à l’essai
- Ça veut dire que si je fais l’affaire vous me prendrez en apprentissage ?
- Quelle ardeur ! nous verrons par la suite, tu commence lundi a huit heure pétante
- Je suis ponctuelle monsieur, je m’appelle Gabrielle
- Joli prénom, tu m’appelleras monsieur Vincent
- A lundi monsieur Vincent

Je vais voir cette beauté huit heures par jour se déhancher sous mes yeux de mâle privé de sexe car ma femme souffre même en position du missionnaire, a tel point qu’elle m’a dit de chercher une maitresse a condition que je sois discret et qu’elle ne s’aperçoive pas de mon changement de comportement
Gabrielle pourrait être ma fille et je n’ai aucune convoitise sur elle, mais ceci dit rien ne m’empêche d’imaginer les formes cachées sous ces vêtements serrés lorsque je me masturbe journellement car je suis encore bien vert coté sexe
Après un ou deux jours d’adaptations Gabrielle se débrouille bien, je lui ai déjà fais remarqué qu’avec son jeans et la bouse que je lui demande de porter elle doit crever de chaud, elle a beau affirmer que non, je le vois aux gouttes de sueur qui perlent sur son visage a la peau de pêche, j’imagine que le reste du corps doit être bien moite ….


Cet après midi nous devons faire l’inventaire en réserve, chose que je repousse depuis des mois

- Tu va souffrir Gabrielle car il y fait chaud et aucuns moyens d’aérations
- Je suis dure au mal monsieur Vincent !
- Bien …tu ne crains pas le vertige ? car le plafond est haut et pour accéder à certaines étagères il faut monter à l’échelle
- J’ai fais du saut a l’élastique, je suis blindée !
- Alors c’est bon, nous irons après déjeuner

J’ai prévu la chaleur et je me suis mis en short et marcel sous ma blouse, Gabrielle s’est marrée en découvrant mes mollets poilus

- Et toi ? prends-tu la peine de t’épiler les jambes pour les cacher ensuite sous un pantalon ?
- Bien sûr, je suis une femme coquette !
- En parlant de ça tu as un petit ami ?
- Oui …

Comme elle ne s’est pas étendue sur le sujet nous avons commencés notre inventaire, après une demi-heure, l’eau que nous buvons aidant, la sueur commence à perler sur son front et sous son cou, des gouttes qui ne manquent pas de déferler entre ses seins, je préfère ne pas imaginer cette rivière artificielle sinon je vais avoir une érection difficile à dissimuler, cela s’empire lorsqu’elle monte à l’échelle je crains qu’elle ne fasse un malaise a cause de la chaleur….

- Gabrielle ? il fait trop chaud, tu vas arrêter j’ai peur pour toi
- C’est vrai qu’il fait chaud, je peux descendre un instant ? j’ai une grosse envie de pipi
- Va-y bon sang tu ne va pas faire dans ton jeans !
- Surtout qu’il est déjà bien humide …
- Je te l’avais dit, pourquoi mettre un pantalon aussi serré !
- Vous aviez raison monsieur Vincent …je reviens

Quelle ne fût pas ma surprise en voyant la fille revenir les jambes nues …ça veut dire que ??? qu’elle est en slip dessous ?

- Aaah ! ça va mieux ainsi !
- Tu as ôté ton jeans ?
- Et aussi mon débardeur, vous n’allez pas me sauter dessus ?
- Que non voyons ! mais ton copain n’est pas jaloux de te savoir toute la journée en tête à tête avec un homme ?
- Il m’a dit qu’a partir de cinquante ans un homme ne peut plus avoir de rapports sexuels
- QUOI ?
- C’est vrai ? vous n’avez plus d’érections ?
- Il vaut mieux être sourd que d’entendre ça ! aller au boulot
- Oui monsieur Vincent, je remonte à l’échelle

Je n’ai réalisé que lorsqu’elle m’a demandé un renseignement et que j’ai été obligé de lever la tète … et oui, pleine vue sur l’entrejambe et le fond de culotte si étroit qu’il disparait entre les fesses, j’ai bégayé n’importe quoi frôlant l’apoplexie !

- Que dites-vous ? Ah c’est ma tenue légère qui vous préoccupe ?
- Je ne suis pas de bois contrairement à ce qu’affirme ton petit ami
- Vous avez encore des envies, vrai ? vous pouvez encore les assumer ?
- Hélas avec ma femme quasi infirme je suis sevré depuis des mois
- A vous voir vous deviez être un bon amant
- Pour ça oui, j’assurais et je suis toujours capable d’assurer, rien qu’en léchant ma femme je la faisais jouir en moins de cinq minutes
- Non ! ?
- Excuse-moi pour ces propos salaces
- Continuez ça me parle, je pensais que mon copain était compétent en matière de sexe mais je m’aperçois qu’il me ment
- Ah ?
- Oui il me lape comme un jeune chiot pendant dix minutes sans me procurer aucun plaisir et aussitôt il me grimpe dessus pour décharger en hâte dans ma chatte avant de s’endormir, qu’en pensez vous ?
- Eh bien c’est un bel égoïste doublé d’un ignorant ce garçon
- Racontez-moi comment vous faites …
- C’est hard pour une jeune fille…
- Osez ! je m’en remettrais
- Hé bien l’homme doit être constamment a l’écoute de la femme une fois qu’il a posé sa bouche sur le vagin de sa partenaire, inutile de faire des va-et-vient sur la hauteur de la chatte, c’est la langue qui fait tout le travail entre les lèvres, a l’occasion il peut ajouter un doigt pour stimuler le point G
- Le point G ?
- C’est la partie fripée qui se situe en haute de l’entrée du vagin
- Je n’ai jamais remarqué ?? je peux vérifier ?
- Si ça te chante, mais pas devant moi
- Pourquoi pas ? vous êtes mon prof au travail et de sexe aussi ! j’écarte juste mon slip ….
. ah ooouuuuiiiii ! c’est donc ça le point G ? effectivement si j’insiste ça a l’air de correspondre avec le clitoris …
- Bon, ça suffit, ôte tes doigts de là !
- Ils sont tous mouillés !
- Ton slip aussi a l’air très humide
- Ce n’est pas de la sueur cette fois ….
- Huuuummm … je disais donc ?…. ha oui, l’homme doit accompagner la femme vers la jouissance sans se préoccuper de la sienne avec la seule action de sa langue, elle le guidera en ondulant du bassin, il s’apercevra de l’imminence de l’orgasme lorsqu’elle bloquera sa respiration et raidira ses muscles pour se relâcher totalement en hurlant son bonheur et tout lâcher dans la bouche de son amant dix secondes après
- C’est merveilleusement raconté … j’aimerais beaucoup tester …
- Parle-en à ton copain
- Non ! c’est avec vous que je veux avoir cet orgasme
- N’y pense même pas … mais que fais-tu ?
- Je me déshabille … cet établit feras l’affaire, ce n’est certes pas confortable mais vous allez me faire oublier la dureté du bois

Que faire devant une paire de jambes relevées et ouvertes a tel point que sa chatounette parsemée de duvet d’ébène s’ouvre d’elle-même, un fil de mouille relie les deux lèvres, Gabrielle se masse les seins en me suppliant d’approcher, la vue de ce jeune connin en chaleur m’enlève tous remords je quitte tous mes vêtements a la hâte et me penche sur ce calice qui hume bon la femme
La bouche ventousée à cette chatounette ma langue entre aussitôt en action, surprise Gabrielle fait un bond en l’air et retombe complètement abandonnée à mon cuni, tandis qu’elle fait rouler un téton entre ses doigts, les yeux fermés, le visage serein, elle me tend son bas ventre, j’aspire son clito de la grosseur d’un grain de maïs en le mordillant délicatement, le coté de mon pouce frotte fermement son point G , elle feule sans discontinuer, de temps a autre sa moule déverse un liquide iodé que j’absorbe avec gourmandise, soudain elle est secouée de spasmes, cette jeune fille va jouir en moins de trois minutes, un record pour moi
Ses doigts s’accrochent à mes oreilles pour me plaquer davantage à sa moule liquéfiée, son dos est arqué, ses genoux s’ouvrent, ses pieds battent l’air, un gémissement croissant qui se transforme en hurlement libérateur, je reçois un jet brulant en plein visage
Inutile de continuer ce serait douloureux pour le clitoris devenu très sensible, tout comme le devient notre gland aussitôt l’éjaculation, je la laisse reprendre ses esprits en constatant que mon érection est a son comble …afin de me soulager je commence à me masturber lorsque Gabrielle se redresse sur ses coudes

- Ne fait pas ça Vincent, c’est contre nature, baise moi en remerciement a l’incroyable plaisir que tu viens de m’offrir, jamais je n’ai jouis avec une telle force
- Je l’ai fait avec la satisfaction du devoir accompli envers une femme en quête de l’extase
- Que c’est bien dit ! mais je ne serais satisfaite qu’après avoir reçu ton sperme en moi, regarde ma chatte, elle souffre et t’implore d’introduire ta queue dans sa tanière
- Je ne peux cacher ça a mon épouse … c’est bon, je lui avouerais, pose tes jambes sur mes épaules … je vais mettre mes mains sous tes fesses ce sera plus confortable
- OOOOOOUUUUUUUUIIIIIIII ! Merciiiiiiiiiiii !

Sans l’aide de mes mains, je suis raide que je guide mon gland vers cette cavité luisante de sécrétions, la fille garde les yeux grands ouverts pour assister a la pénétration que je veux très lente, par petites touches , je pousse ma bitte puis la ressort de quelques millimètres pour mieux réinvestir la grotte accueillante, je manœuvre mon index qui traine prés de son anus pour aller le titiller, cette caresse inattendue fait l’effet d’un excitant qui la fait réagir en tortillant du bas ventre, ma queue littéralement avalée disparait jusqu’aux testicules, toison contre toison, ses muscles vaginaux enserrent au maximum mon membre

- Comme je te sens bien ! tu élargis et allonge mon petit conin, je n’ai jamais ressenti ça avec mon ex mec
- Ton ex ?
- Oui je viens de décider que je ne voulais plus le voir, dorénavant ce sera toi mon unique amant, je suis certaine que ta femme le comprendra
- Qui sait ? ce serait bien de faire ça devant elle …
- En attendant lime moi je suis impatiente de sentir jaillir ton sperme
- Accroche-toi à mon cou, je vais te défoncer la chagatte

Les jambes enroulées comme deux lianes autour de ma taille je soulève Gabriele sans effort, elle se laisse glisser sur mon bit, on ne peut être plus emmanchés, mon doigt revient taquiner son trou de balle très ouvert par la position, elle se soulève pour retomber enfouie au maximum sur mon sexe, nous recommençons cette tactique jusqu'à l’explosion d’un orgasme foudroyant et simultané, son jus mélangé au mien dégouline pour former une flaque sur le sol, je me suis assis, Gabrielle toujours sur mes genoux exerce des pressions qui font repartir , mon érection de plus belle…

- Encule-moi Vincent ….

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