Visite Du Centre Historique

Dans la Gazette de Montpellier, ils annonçaient cette sortie. Nocturne, qu'ils disaient.
Vingt heures. C'est pas bon, ça, vingt heures. C'est pile l'heure du souper. Alors nombreux sont ceux qui renoncent à cette visite du centre historique vu qu'à cette heure-là, ils ont prévu de dîner.
Normal, non ?

Moi, les visites organisées par le syndicat d'initiative de Montpellier, je raffole...

Tout est bien.
D'abord les trois gonzesses qui sévissent au dit syndicat d'initiative sont, chacune dans leur style, pinox.
Pinox, en occitan, l'occitan c'est la langue qu'on cause ici à Mounpellier, ça signifie pine au cul mettable.

La brune, grande sportive déguingandée, toujours en jupe courte pour exhiber ses cuisses de reinette, sourire avenant et cul cambré.
La blonde, petit 85B mignon, menton haut levé dessus ses petits nibars de compète, yeux bleus des mers du sud et sourire chaleureux de hamac et de soleil.
La rousse, vous doutiez bien qu'il y aurait une rousse, non ? La rousse avait un fessier calypige inouï. Un cul du tonnerre. On l'imaginait le nez dans l'oreiller, les deux fesses ouvertes sur des profondeurs de canyon américain, Grand Colorado ou pire. Descente du fleuve en gonflable chahutés par les rapides. Bite haute. Semi-rigides, rigides, sévèrement rigides. Enfin durs de durs, quoi...

J'étais inscrit et me suis pointé, mine de rien, au lieu du rendez-vous, la cour Jacques Cœur, près de la place de la Comédie.

Mon idée était simple, repérer un fille, exotique si possible, la lever, la mener à ma tannière, l'y baiser à fond de possibilités et lui chanter Occitanie mi Amor en françouse dans le texte. Histoire de graver dans sa vie sur le granit de ses souvenirs son passage à Montpellier.

Les histoires vraies parfois collent aux idées inventées et ce jour-là c'est ce qui s'est produit... La petite Chinoise, cheveux noirs en casque, fine, souriante est venue se coller contre moi.

Elle ne comprenait rien aux discours de la rousse qui menait le groupe de cour en cour d'hôtels particuliers. Juste elle se collait contre moi à chaque fois. Et moi je lui souriais
À chaque fois.
Et ma bite saillante saillait et elle se frottait.
On était bien.

Elle n'était pas seule mais partie d'un groupe d'entreprise et ne pouvait s'échapper. Leur chef était un petit asiate aux yeux camouflés de paupières fermées. Je suis allé à lui et j'ai dit, ami je connais Yéti, elle est mon amie, alors tar ta gueule à la récré.

J'ai pris ma mie par la main et nous avons subrepticement quitté le groupe. À ma chambre, en haut des escaliers tournants elle a tombé ses atours. Culotte soutif chinois. Pas très bandants ma fois. Ses seins étaient assez étonnants, pas gros mais pointus sur le devant avec comme un désir de remonter la pente. Sympas néanmoins, quoi. Des seins sympas qu'on prendrait volontiers entre ses lèvres pour les faire monter.

Son cul était bien plus marqué sinoin.
Fesses lourdes larges solides, glabres et douces au toucher avec un entre-deux profond velu mouillé.
Mes deux mains étaient en exploration et manifestement la fille aimait ça, cambrée pire qu'une Africaine à ouvrir ses entrailles à la caresse.

Mes doigts tous ensemble chahutaient sa fente longue large profonde trempée de ses émois qui exhalait les parfums exotiques de son ethnie.
Les uns glissaient sur la rondelle velue saillante de son soleil serré, d'autres parcouraient le court chemin périnéen et son arête fine mais le gros du groupe s'était aventuré dans le marais poitevin de ses villosités agitées exsudant bien-être en moiteurs visqueuses fluides.

La fille a plongé du nez dans l'oreiller, genoux largement écartés, ses deux mains les tenant serrés et le cul cambré comme offrande au Dieu Soleil des Incas.

Auriez-vous pu résister ?

Ma bite était lourde, pleine, épaisse. Sans état d'âme je l'ai enfilée et je cherchais même à y entrer plus encore que je n'avais.
Je pensais, allez, hardi, mets-y les couilles aussi, et je poussais du bassin violemment pour garnir au max du possible le creux qui m'était offert.

La Chinoise était bonne.

Ses entrailles velues et visqueuses s'agitaient de compulsions violentes qui serraient ma queue comme mouvements incontrôlés partant du pubis pour finir au gland, comme désir exprimé de me vider de ma substantifique moelle.

J'ai eu du mal à me retenir de tout lâcher.

J'ai voulu donner de la France une image inoubliable et, modestement, je crois que j'y suis parvenu. Mon gland écrasait le clito de la Chinoise et je sentais parfaitement le petit dur s'inserrer dans mon méat. Je trempais le bitos dans le vagin gluant pour bien l'imbiber de mucus glissant et j'y revenais, badigeonnant le haut de fente, mou et avide de caresse glandulaire.
La fille chantait des poèmes de son pays, onomatopées en teneur. Moi je pensais que la vie est belle qui permet de connaître un pays sans y avoir été, rien que par les restos chinois et leurs filles à baiser.

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