La Pseudo Bite De L'Annamite

Je suis à table à un repas de fin d'année donné par mon employeur. A l'autre bout de la table, une jolie asiatique rit et parle avec ses voisins. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite, quand une collègue de travail se penche vers moi :
- Je crois que t'as un ticket, me dit-elle.
Devant mon air interrogateur, elle me dit:
- La jolie vietnamienne, là-bas...
Je regarde à la dérobée, et je remarque que, tout en parlant avec ses voisins ou amis, elle jette des regards dans ma direction. Je fais semblant de ne pas l'avoir vue. Elle essaye de croiser mon regard et ses yeux et son sourire s'allument. Je me rends aux toilettes pour voir. Je pose la main sur la poignée de la porte des WC. La voilà.
Elle me pousse à l'intérieur et referme la porte. Sans un mot, elle me prend par la main et m'entraîne vers un cabinet. Elle me pousse dedans et rentre avec moi. Elle se met à genoux, ouvre la braguette de mon pantalon, sort ma bite, et la fourre dans sa si petite bouche. Ses lèvres semblent démesurément écartées par la taille de ma pine. Elles montent et descendent le long de mon membre, l'enduisant de salive. Ma queue se tend un maximum, remplissant ainsi la bouche de la jolie asiatique. J'ai failli gémir sous la caresse. C'est sa main minuscule qui a étouffé l'expression de mon plaisir. Quand j'ai joui, elle s'est relevée et m'a poussé à m'asseoir sur la cuvette.
Un doigt en travers de sa bouche, elle se penche vers moi.
- Déshabilles-moi, souffla-t-elle.
J'ai déboutonné son chemisier. Elle ne portait pas de sous-tif. Ses petits seins ronds et durs étaient dressés comme des obus. J'ai ouvert la braguette de son jean. Il avait l'air de manquer une taille, tellement son cul était moulé. La première chose que j'ai constatée, c'était qu'elle ne portait pas de culotte, non plus. Sa chatte était imberbe. Sur son pubis, on voyait le ticket de métro.

Elle écarta les jambes, et vint s'asseoir sur ma pine. Sa chatte était tellement étroite, que j'ai cru ne pas pouvoir y entrer. Ma queue y était si serrée, que je pensais ne pas pouvoir lui faire le cul. Avec sa moule étroite, elle m'a branlé la bite, me faisant durcir un max. Au bord de l'éjaculation, elle s'est relevée, a empoigné ma pine, a posé mon gland sur son petit trou, et m'a glissé à l'oreille :
- Vas-y, pousses fort !
J'ai poussé de toutes mes forces. Son cul était si serré, que, quand le gland eut dépassé l'anus, ma pine s'enfonça toute entière dans son fourreau.
Elle s'est mise à coulisser le long de ma queue. L'étroitesse de son trou, faisait que son anus s'enfonçait à l'intérieur quand ma queue plongeait en elle ou restait collé à ma bite, quand j'en sortait. Il ne fallut pas longtemps pour que je lâche la purée. Du coup, la lubrification par mon sperme, l'aida à accélérer ses mouvements. Soudain, elle se releva, juste assez pour garder ma pine dans son cul. Par une acrobatie de ses jambes, toujours empalée sur mon dard, elle me tourna le dos.
Elle murmura :
- Je sais que vous les mecs, ça vous excite de voir vos queues glisser dans mon cul !
Elle se pencha en avant pour que je puisse mieux voir. Effectivement, elle continua à monter et descendre le long de mon manche. Dans cette position, je voyais ma bite disparaître entre ses fesses quand elle s'asseyait sur mes cuisses, et réapparaître quand elle relevait son cul. J'ai joui une nouvelle fois dans son cul, puis, nous nous sommes relevés. On s'est rajustés et nous sommes retournés à la table. Ma voisine m'adressa un sourire entendu, en voyant un petit rictus de satisfaction sur mon visage.
Le lendemain, on sonne à ma porte. Je vais ouvrir, elle était là. Je suppose que c'est au boulot qu'on lui aura donné mon adresse. Elle avait, je le sais, de solides arguments, pour arriver à ses fins. Elle était devant ma porte, avec pour vêtements, un polo qui s'arrêtait sur la pointe de ses seins, et une jupe, ou plutôt une ceinture, vu la largeur(pas plus de 20 cm) du ruban de cuir.
Elle ne portait toujours ni soustif, ni culotte.
- T'as pas peur de te faire violer ? Demandais-je.
- Le viol, dit-elle, c'est quand on veut pas ! Moi......
Quand j'ai ouvert la porte en grand, elle était déjà à poil. Elle s'est plantée au milieu de la pièce, complètement nue. Quand je me suis retourné, elle m'a fait un grand sourire et m'a dit :
- Lèches-moi partout !
J'ai commencé par les pieds. A mesure que je remontais vers sa tête, elle m'ôtais les vêtements à sa portée. Quand je suis arrivé sur ses lèvres, je l'ai embrassé et elle tenait mon slip dans sa main. Elle a plaqué ses mains sur mes fesses, et s'est collée à mon ventre. Elle a attrapé ma bite, et a frotté sa vulve avec.
- On refait la même chose qu'au restaurant, ou j'improvise ?
- Improvise, tu m'étonnes toujours !
- Et si c'est moi qui te prend le cul ?
- Tu plaisantes ?
- Jamais avec la baise ! Tu as le matériel !
- Comment tu sais ça, toi !
- C'est grâce à lui, dit-elle, en me montrant son cul.
Je lui donnai le godemiché. Elle alla dans la cuisine, et revint avec une bouteille d'huile. Elle a trempé le gode dans la bouteille, et le laissa s'égoutter. Elle me renversa sur le lit, à plat dos. Elle se mit au dessus de moi et s'assit sur mon visage. Ma langue s'insinua dans sa vulve, et recherchèrent le bouton du clitoris. Je le mordis légèrement, ce qui lui arracha un petit cri de souris.
Voyant que le gode ne coulait plus, elle le saisit, et l'insera dans ma raie, lubrifiant comme il faut le passage. Sans rien demander, elle revêtit l'ustensile, et, me saisissant par les pieds, elle me retourna sur le ventre. Puis elle me tira vers elle, jusqu'à ce que mes hanches soient au bord du lit.
Je me suis retrouvé à genoux, les fesses relevées et offertes. Elle posa le gland en plastique sur ma rondelle, et marqua un temps d'arrêt.
- Tu sais ce qu'on dit au bureau ? Homme ou femme, tout le monde dit que tu as un beau cul. Les hommes disent que tu les rendrais pédé, et les femmes, que tu fais de nous, des amazones. Je vais t'enculer, mais j'aime encore mieux quand c'est toi qui me le fais.
Elle me prit par les hanches, et d'un seul coup, elle m'enfonça la pseudo-bite au fond du cul.

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