La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°730)

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°724) -

Le Docteur, me fit monter à sa suite jusqu'au deuxième étage du Château. Nous avions monté un grand et élégant escalier au tapis rouge moquetté sur les marches et celles-ci bordées de chaque côté d’un liseré doré. Puis nous tournions sur la gauche pour nous retrouver devant deux grandes et hautes portes. Le toubib ouvrit les portes et me fit pénétrer dans celle-ci à sa suite. Je pus observer que la chambre était vraiment spacieuse et qu'elle avait une salle de bain attenante. Je fus emmenée sur un petit tapis.

- Tu ne bouges pas et tu attends ! Répond-moi, la chienne.
- Je suivrais vos ordres, Monsieur ! Dis-je les yeux rivés au sol.
- Parfait, je n'en ai pas pour longtemps : s'exclama le Docteur avant de se rendre dans la salle de bain. J'entendis la chasse d'eau que l'on tirait et l'eau qui coulait.

J'attendais calmement sur le tapis. Rien que de repenser à cette soirée, ma chatte fut de nouveau humide en quelques minutes de cyprine. Mais un bruit de pas me fit revenir à moi-même. Le Docteur se trouvait devant moi, je pouvais voir ses pieds alors que mon regard était toujours cloué au sol. Le Dominant caressa ma joue et glissa sa main sous mon menton. Il me fit redresser mon visage jusqu'à ce que mon regard croise le sien. Un sourire bienveillant apparu sur ses lèvres et je ne pus m'empêcher de lui sourire à mon tour.

- Je vais te poser des questions et je veux que tu y répondes franchement !
- Oui, Monsieur !
- As-tu déjà été attachée ? Enfin je veux dire, as-tu déjà participé à un bondage ?
- Non Monsieur !
- Cela te fait-il peur ?
- Non Monsieur, je dois dire que cela m'excite même.
- Bien, je vais pratiquer sur toi alors ! Je ne vais pas te bâillonner car si tu ne te sens pas à l'aise à un moment, je veux que tu me le dises ! Je veux que tu te places debout à côté de la table basse derrière toi avec les jambes écartées ! J'exige aussi que tu me suives des yeux, dès que je bouge, tu me suis du regard ! Ta permission de jouir ne t'est pas enlevée mais maintenant je veux t'entendre dans ta jouissance.


- Bien Monsieur ! dis-je en me rendant vers l'endroit désigné en quadrupédie et avec un sourire immense sur les lèvres.

La suite de cette soirée s'annonçait donc grandiose par le fait d’une nouvelle découverte dans ce monde merveilleux de la Domination/soumission. J’ai toujours rêvé, je l’avoue, d’être bondagée mais pour cela il me faut être dans la confiance la plus absolue et comme le toubib m’a bien spécifié que je pouvais lui dire si je ne suis pas à l’aise durant la séance, c’est en toute sérénité que je vais aborder cette nouvelle expérience si excitante dans mon esprit… Je me relevais donc doucement à côté de la table et je me mis dans la position demandée. Je vis le Docteur venir dans ma direction avec différentes cordes qui semblaient de tailles différentes. Il s'approcha de moi et passa ses doigts sur ma chatte.

- Je vois que tu es excitée ! dit-il, emmenant ses doigts à sa bouche qu'il suça doucement en me regardant dans les yeux. Je gémis de plaisir. - Patience, je vais bientôt m'occuper de toi, ne t'inquiète pas !

Il remit sa main sur ma chatte mais cette fois-ci, c'est à moi qu'il tendit ses doigts. Je l'ai léché en regardant toujours le Docteur dans les yeux. Goûter ma cyprine m'excita encore plus. Le toubib attacha la corde autour de mon cou à la manière d'un nœud de cravate. En laissant les deux extrémités tomber entre mes jambes. Il les fit remonter dans la raie de mes fesses, en me procurant un court mais fulgurant orgasme alors qu'il ajustait simplement la corde de chaque côté de mes grandes lèvres en touchant mon clitoris avec son pouce. Cela suffit donc à me faire jouir tellement mon esprit et mon corps étaient excités. La tension dans la corde était assez forte mais pas désagréable. Ensuite, il ramena les deux bouts de la corde et les fit passer sur chacune de mes épaules ou avec un nœud complexe, il les fit passer de façons à enserrer mes seins à les relever vers le haut tout en les comprimant en repassant la corde derrière ma nuque.


- Tes seins ressemblent à des diamants ainsi ! dit-il en prenant un de mes tétons en bouche.

Il aurait pu m'arracher un nouvel orgasme juste en jouant ainsi à mordiller mes tétons de chienne, à tirer et lécher mes seins. Ceux-ci se transformèrent ainsi en diamant chacun leur tour. Le Docteur reprit une nouvelle corde et fit un nœud cette fois au niveau de mon abdomen. Je fléchis un peu les jambes afin d’éliminer les fourmis qui commençaient à apparaître dans mes muscles. Alors qu'il attachait la corde sur l'autre au niveau de mon entrejambes, il refit un nouveau diamant sous ma poitrine, au niveau de mon nombril et attacha d'une façon complexe la corde dans mon dos. Il faisait croiser et décroiser les cordes comme un lacet pour obtenir une espèce de rosace encordée sur mon ventre. Le toubib tira un peu sur la corde alors qu'il se situait dans mon dos. Elle frotta mes grandes lèvres et mon anus, ce qui me fit gémir de plaisirs excitants. A constater cette belle rosace de corde, son savoir-faire pour réaliser les nœuds et son savant encordage fort bien étudié, je compris aisément qu’il était un expert avéré à la technique du bondage et cela me confortait encore plus dans ma sérénité et confiance d’être entre de bonnes mains. Je me sentais en pleine sécurité.

Alors qu'il continuait ainsi à jouer avec mon corps en tirant et relâchant la corde, ce qui jouait sur la pression exercée sur ma chatte, sur mon clitoris, un grand orgasme m'envahit cette fois ! C’est à dire beaucoup plus long et intense car il tendit et détendit la corde à cadence régulière et sans aucune interruption. Je ne pus m'empêcher de hurler ma jouissance tellement les sensations étaient immenses, tout mon corps était empli de spasmes qui me secouaient l’échine de la tête aux pieds telle une décharge électrique jouissive. Je finis même par perdre un peu l'équilibre et je dus m'appuyer sur le Docteur pour éviter de tomber tellement cette orgasme m'avait submergé par son intensité.
Je me redressais doucement et je pris de grande bouffée d'air pour me remettre alors que je tremblais encore de plaisirs. Je pouvais sentir le corps du Dominant dans mon dos ainsi que son souffle sur ma nuque alors qu'il passait ses doigts sous les cordes pour vérifier qu'elles ne me meurtrissaient pas. Mes bras étaient le long de mon corps sans bouger pour le moment.

- Bien, tu es vraiment splendide comme cela ! Maintenant je veux que tu te diriges vers le lit et que tu t'y allonges sur le dos.
- Bien Monsieur ! dis-je en exécutant les ordres.

A chaque pas que je faisais, je sentais la corde tirer et ouvrir ma chatte comme un fruit mûr. En allant m'installer sur le lit, je gardais largement mes jambes bien écartées car je sentais un nouvel orgasme près à m'envahir par le simple fait que mon déplacement provoquait, de nouveau, une forte excitation à chaque fois que j’avançais par le contact de la corde sur mes parties génitales… Je m’installais donc sur le lit avec une chatte plus que trempée d’excitation, ce qui n’échappa pas au toubib :

Le docteur se mit entre mes jambes et annonça :

- Ta chatte est tellement juteuse, qu’on dirait un petit fruit rouge ! Elle me donne envie de la lécher ! ajouta-t-il en venant coller son visage entre mes cuisses.

Je criai de plaisirs alors qu'il pinçait mon clitoris entre ses dents pour ensuite passer sa langue sur toute la longueur de mes lèvres intimes sans en occulter le moindre centimètre carré. Il fit pénétrer sa langue entre elles pour fouiller mon vagin et venir lécher les parois trempées de celui-ci. Je serrai les draps du lit tellement fort que je m'en fis mal. Je ne pouvais m'empêcher de me cambrer d’excitation alors le docteur mit sa main sur mon ventre pour me maintenir immobile. Il finit par ramper le long de mon corps tout en me le léchant et arriva jusqu’au nœud le plus haut sous ma gorge. Il en profita aussi pour me mordiller chaque téton comprimé par le bondage…

- Tu ne bouges plus, je vais bientôt t'enlever les cordes car ce n'est pas bon de les garder trop longtemps, pour ta circulation sanguine quand on n’est pas habituée.
(je reconnus que c’était bien un Docteur qui s’exprimait) - Mais avant, je veux pilonner ta chatte en sentant la corde frotter sur ma bite à chaque va et viens que je vais effec en toi ! … Tu penses tenir encore ainsi bondagée ?
- Oui, Monsieur. Mon corps est un peu engourdi mais cela reste très agréable !
- Bien alors, ressens cela aussi ! Ajouta-t-il en rentrant d'un coup de reins en moi sa grosse verge épaisse et raidie.

Il buta profondément en moi. Ses coups de butoir se firent de plus en plus rapidement, cadencés et profonds. Alors que je hurlais encore mon plaisir, le Docteur continua pendant un petit moment à me besogner ainsi. Il me pilonnait avec une régularité de métronome quand une de ses mains viens titiller mon mamelon avec un de ses ongles. Un gémissement de bien-être m'échappa. Il éjacula en moi en laissant échapper des râles de mâle en chaleur et il resta un long moment en coït profond bien planté en moi sans bouger. Quant à moi, je n'arrivais même plus à récupérer de mon dernier orgasme. Le toubib se retira, se redressa et détacha les différentes cordes attachées sur ma personne. Je sentis l'engourdissement m'envahir alors que le sang se remettait à circuler librement. J'avais complètement récupérer ma respiration alors que le Dominant finissait de retirer les cordes. Il se retrouva de nouveau allongé sur moi. Je pouvais de nouveau sentir son membre viril pousser contre ma chatte par une nouvelle pénétration. Sa queue était de nouveau incroyablement dure en moi. Il sortit et m'ordonna de me positionner en levrette. Il recommença par prendre possession de ma chatte tout en jouant avec mes mamelons puis au bout d'un moment je sentis mes parois vaginales se serrer autour de sa verge. Mon orgasme passé, il se retira et frotta son gros gland violacé contre ma raie anale et enfonça sa grosse queue dans mon fondement. Il tapait vraiment profondément par ses vas et viens sans préambule dans mon cul, ce qui me fit hurler de douleur puis au bout d’un moment la douleur se transforma en un incroyable plaisir jouissif. Je sentais ses testicules contre mon clitoris à chaque poussée. Alors que je pensais ne pas pouvoir ressentir d'autre sensation, le Docteur se mit à me fesser. Je pouvais sentir mes fesses prendre une belle couleur rosé car une « brûlure » bienfaitrice m'envahissait. J'avais la sensation que mon corps était soudé à celui du toubib.

- Tu es tellement bonne, salope ! Je pourrais te baiser toute la nuit tellement tu es serrée autour de ma verge ! Je vais jouir dans ton cul et je reprendrais possession de ton corps pendant la nuit autant de fois que j’en aurai envie. A n'importe qu'elle heure et dans n'importe quelle position !
- Oui Monsieur. Faites de moi ce que vous voulez : répondis-je.

Nous étions venus en même temps dans des orgasmes forts. Il sortit de mon cul et quitta le lit. Il attrapa ma laisse et me conduisit à la salle de bain.

- Je vais te doucher ! Comme cela tu ne seras pas trop courbaturée !
- Merci Monsieur !
- Ne me remercie pas, je veux encore faire de toi Ma chose !

Je n'ajoutais rien. Le Docteur me nettoya doucement. Il fit glisser le gant sur la totalité de mon corps mais pour ma partie intime, il enleva le gant et massa mon clitoris jusqu'à ce qu'il arriva à m'arracher un nouvel orgasme. Il me fit sortir par la suite et il essuya mon corps tout doucement avec une serviette douce. Je fus autorisée par la suite à utiliser les sanitaires. Une fois que tout fut effectué comme le voulais le Dominant, il me fit me coucher à Ses côtés dans le lit. Je ne perdis pas une seconde avant de m'endormir dans un sublime bien-être...

(A suivre ...)

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