Eva Et La Mascotte De L'Équipe De Rugby.4
EVA fait la connaissance de la mascotte de léquipe de rugby. 4
Limage est saisissante. On dirait un basset qui essaie de sauter un doberman ! Le contraste entre le corps assez fluet de Patrice et celui, massif de Vivien est bizarre, anormal. Je vois Vivien serrer les dents quand Patrice, les mains sur les hanches de Vivien, donne un coup de reins, faisant disparaître son gland massif et quelques centimètres de son gourdin dans le fondement de son comparse.
On dirait un père qui porte son jeune fils sur son dos, mais le fils en question a planté son chibre au plus profond du paternel. Maintenant Patrice sactive sans plus aucune précaution entre les fesses de Vivien qui grogne comme un Chartier :
-Putain de salaud, tu pourrais y aller plus doucement ! Comment peux-tu aimer ça Eva ? Cest atroce !
On voit que Vivien na pas ma longue expérience
Mais comme pour moi, Patrice ne tient pas compte des récriminations de sa « victime » et continue de le troncher avec vigueur, saccrochant comme un morpion aux couilles et résistant aux ruades de Vivien pour ne pas choir de ce cheval fougueux et musclé presque deux fois plus lourd que lui, tel un cow-boy dans un rodéo.
Suite :
Pour calmer Vivien, je me rapproche et saisis sa queue pour la branler pendant que mon autre main pétrit les couilles de Patrice. Après ses deux premières éjaculations, il tient la distance le salaud ! Je me positionne à coté de Vivien comme dans une invite muette, il comprend aussitôt où je veux en venir et il décule du « doberman » pour venir couvrir la chienne que je suis. Vivien est si sonné de ce quil vient de subir quil reste amorphe. Régulièrement, notre tortionnaire change de monture comme un cavalier dans un western qui saute dun cheval exténué à un autre plus fringant. Nos trous sont si alésés quils acceptent maintenant sans aucun problèmes les intromissions répétées de cette poutre infatigable.
Patrice, sentant enfin quil va venir, après mavoir menée dorgasme en orgasme, se retire.
- Ne bougez-pas, mes deux salopes ! Je vais vous bénir Urbi et Orbi ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !
Il éjacule enfin, couvrant nos dos des reins aux cheveux dune troisième éjaculation monstrueuse comme il en a coutume. Je prends son sperme comme une offrande, mais comment peut-il encore produire une telle quantité de semence ? Le basset vient encore de lâcher une dose quun propriétaire détalon reproducteur ne renierait pas.
Après un tel carnage, Vivien et moi prenons une douche pour nous débarrasser de cette crème épaisse à lodeur entêtante avant de regagner le salon. Je ne peux mempêcher de me rapprocher de ce cas décole et caresse doucement son sexe qui malgré la période de repos est toujours dune taille impressionnante supérieure à celle de Vivien en grande forme. Il est étendu sur le sol, les yeux fermés en train de récupérer de la débauche dénergie formidable quil vient de fournir. Je métends à coté de lui, ma tête à la hauteur de son bassin, son sexe posé en travers de sa cuisse gauche arrive presque à mon visage. Instinctivement, mes mains explorent son ventre et ses cuisses. Je soigne son membre flasque aussi dévotement quune infirmière sur les champs de bataille de notre dépravation, en train dessayer de relever un soldat tombé. Je le couvre de petits lapements de chatte avec ma bouche, je souffle gentiment là où la peau est irritée de nos copulations effrénées. Je mempare de son extrémité et essaie de lui réinsuffler de la vie mais quand enfin son corps et son organe réagissent enfin, je lentends me dire comme dans un souffle :
-Non Eva ! Il faut me laisser un peu de temps pour recharger mes batteries, surtout que ce soir il y a rugby et puis sauna.
Il se rhabille et sen va, comme sil venait de finir de réviser ses devoirs avec sa petite copine.
Je ne sais pas sil réalise que dans quelques années, il aura à ses pieds toutes les filles quil veut, et même les mecs sil préfère.
Comme toutes les mascottes, tout le monde voudra caresser « lanimal ». A quel endroit ? Je vous laisse choisir
..
Nous nous revoyons une semaine plus tard, même lieu, même heure. Cette fois, tout est plus rapide mais Vivien ne veut plus passer à la casserole. Il a plutôt dans lidée que ce soit moi qui prenne le rôle de la saucisse prise en sandwiche entre deux tranches de pain. Mais en fait, ce sera plutôt deux saucisses qui fourrent le petit pain. Après un échauffement où Patrice sest encore montré très généreux de vous savez quoi, arrive le moment fatidique. Vu la morphologie de Patrice, cest Vivien qui me prend par devant, je suis suspendu à son cou, mes jambes enserrant son corps. Il a les jambes un peu pliées ce qui fait que Patrice, bien que plus petit que lui mais compensant par la taille exceptionnelle de son vit est juste à la bonne hauteur.
Il a beurré de lubrifiant son pieu et plaque ses doigts sur le cul de la sacrifiée. Patrice pousse de plus en plus fort sur mon anus qui cède enfin. Je ressens la dureté de la verge qui frotte sur le chibre de Vivien pour faire sa place. Cest gênant au début, il ne manque plus quun centimètre avant que mon cul ne finisse par souvrir et nabsorbe la partie cylindrique de cette hampe si épaisse. Je me plains doucement, je souffre un peu mais jai trop envie de la mentule de Patrice qui écrase le sexe de Vivien pour senfouir dans mon fondement. Je le sens pousser pour mieux dilater mon petit cul et dun coup, sa verge senfonce lentement dans mon fondement le plus loin possible.
Vivien qui me supporte, ne bouge pratiquement pas dans mon vagin pendant que Patrice me pistonne avec des mouvements de va et vient très lents et prolongés avec son chibre.
Je le supplie de continuer à me porter car Patrice ne maccorde pas une seconde de répit, cest une vraie machine à baiser ce gamin ! Vivien comprend que cest pour mon petit trou et tient la position.
Jai le temps de vivre encore quelques orgasmes avant que ce reproducteur exceptionnel qui ferait le bonheur des centres de fécondités nouvre une nouvelle fois les vannes et noie mon fondement pire quun lavement.
Quand enfin il se retire et que Vivien me repose au sol, je tiens à peine sur mes jambes légèrement écartées et des contractions impossibles à maitriser de mon sphincter laissent échapper un flot de sperme qui coule en abondance sur mes jambes et finissent sur le plastique que Vivien avait précautionneusement étendu sur le sol.
La mascotte vient de prouver une fois encore que sa réputation nétai pas usurpée.
Mais comme disait une actrice dans une pub célèbre : JE NE FERAIS PAS CA TOUS LES JOURS !!!
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