La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°732)

Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode précédent N°731) -

Monsieur le Marquis d’Evans prend une grande respiration et souffle lentement pour se décontracter après cette incroyable expérience paranormale laquelle il a du mal à assimiler comme une réalité dans son esprit si cartésien. Mais de toute évidence, force est de constater la présence effective en son Château des deux fantômes, celui de la comtesse du Dranier et de sa fille Clara. Ce qu’il est même persuadé, c’est la non agressivité de ces deux fantômes, au contraire même, il devine aisément qu’ils sont encore fort imprégné de leur vécu de femmes soumises au Château avant de passer dans l’au-delà il y a un siècle et que ces fantômes voient en lui, un digne Héritier de leur Maître le Marquis Louis-Alexandre d’Evans et que ces fantômes ressentent de la Dévotion, voire plus, auprès de lui. Et ainsi, une idée folle lui traverse même l’esprit ! Incroyablement folle, complètement inimaginable cette idée de soumettre un jour ces deux fantômes ! ‘’Non là, je suis en plein délire !’’ se pense-t-il … ‘’Et pourtant ?…’’ Quoi qu’il en soit, le Noble décide de ne parler à personne de son expérience vécue depuis la nuit dernière, car tout Maître qu’il est, il passerait certainement pour un fou ! Il a bien vu l’inquiétude de son Majordome Walter dans sa chambre quand il a apporté le courrier matinal, et celui-ci s’inquiéterai encore plus de l’état mental du Châtelain. Donc le Marquis d’Evans conforte sa décision de ne parler strictement à personne de ces aventures paranormales.

Avant de lire la suite du croustillant et si instructif journal intime, le Noble se lève, il a besoin de boire un grand verre d’eau pour se remettre de toutes ses émotions… Il se dirige donc dans sa salle de bain. Au moment de toucher la poignée de la porte, il ne peut s’empêcher de repenser à celle-ci qui s’est ouverte et refermée sous ses yeux, tantôt, sans aucune intervention humaine… Une fois dans la salle de bain, il prend un grand verre dans le meuble sous les deux vasques à la robinetterie en or.

Il utilise celle-ci pour faire couler l’eau fraiche et boit d’un seul trait le verre qu’il vient de remplir. Ensuite, il asperge sa figure de ses deux mains afin de se rafraichir les idées ! Soudain, au moment où il se regarde dans la grande glace pour s’essuyer le visage, il voit apparaitre le visage de la comtesse et de Clara dans le reflet de ladite glace, une de chaque côté de son propre visage. Il se retourne instinctivement mais constate qu’il n’y a personne derrière lui. Regardant de nouveau la glace, les deux fantômes sont bien là, visibles. La comtesse, d’une pâleur extrême, lui sourit avec un air de tendresse, un air d’une évidente dévotion, quand à Clara, elle est plutôt admirative dans son regard, un regard d’envie évident de soumission, regard que connait bien le Maître envers les membres de son Cheptel… Tout d’un coup, les deux visages s’estompent pour laisser place à une formation de trois mots sur la glace, comme si quelqu’un d’invisible était en train d’écrire sur la vitre mais sans crayon apparent. Cette écriture coulante est de couleur rouge comme le sang, elle se forme littéralement sous les yeux du Noble, laissant quelques bavures sanguines sous chaque mot. Une écriture que le Châtelain reconnait d’emblée, c’est celle sans conteste de la comtesse, exactement la même écriture que dans son journal intime. Voici les trois mots que le fantôme de la comtesse est en train d’écrire sur la glace :

- Grenier… malle … colliers …

Alors que le Marquis est une nouvelle fois surpris (mais pas du tout apeuré, vu le comportement des deux fantômes) de ce nouvel évènement paranormal, les mots s’effacent subitement laissant une glace parfaitement nette et propre… Le Noble sort de sa salle de bain, en se répétant plusieurs fois ces trois mots venus d’outre-tombe en se disant qu’il se doit d’agir par méthode pour comprendre le sens du message que la comtesse a voulu lui faire passer. D’abord le premier mot ‘’grenier’’ ça doit très certainement être un des nombreux greniers du Château, mais lequel ? Il ne lui faut pas deux secondes pour trouver la réponse, ce qui l’amène au deuxième mot ‘’malle’’ car il sait que le rangement parfait des combles du Château est une règle ancestrale, chez les Evans.
Et donc il se rappelle qu’il y a des malles remisées uniquement dans le grand grenier celui qui se situe au-dessus du deuxième étage, au-dessus de la Grande Bibliothèque. Quant au troisième mot ‘’colliers’’, le Châtelain suppose qu’il devrait trouver des colliers dans une des malles ? Enfin, c’est ce qui lui parait logique !... Fort de ces évidentes déductions, il sort d’un bon de son bureau, traverse rapidement quelques couloirs, croise dans ceux-ci quelques esclaves qui s’empressent de s’agenouiller à son passage, trouve une petite porte discrète en bout d’un couloir, porte qu’il ouvre pour emprunter un escalier étroit aux marches en bois. Il le grimpe sur deux étages pour ensuite monter au dernier où se situe le fameux grenier des malles. Quand il y accède par une vieille porte également en bois, le grincement de ses gonds lui rappelle tant de souvenirs d’ quand il jouait à la cache-cache en ce lieu. Il se trouve ainsi sous les voliges soutenant les longues plaques-tuiles d’ardoise noire et face à lui d’énormes poutres de chênes plusieurs fois centenaires, faisant partie de la charpente originelle vieille de plusieurs siècles, le Noble ne peut s’empêcher de se rappeler le pharaonique et très solide travail des charpentiers de l’époque à la construction du Château en 1625.

Une vingtaine de malles sont effectivement entreposées sous ses yeux, étalées les unes à côté des autres à même le plancher, très bien rangées en lignes et elles sont toutes parfaitement étiquetées.

-Voyons, se dit-il, procédons par logique ! Si ma mémoire est bonne, ces malles sont classées par période, et donc logiquement, je dois chercher celle des années de la Grande Guerre !

Après avoir suivi, une dizaine de malles, le Châtelain tombe sur celle qu’il cherche ! : ‘’1900-1925’’ ces deux dates sont inscrites sur l’étiquette. Il ne tarde pas à ouvrir ce coffre de bois où sont remisés divers objets hétéroclites de cette époque des 25 premières années du XX ème siècle.
Ces objets feraient le bonheur de plus d’un antiquaire ! Entre anciens uniformes militaires bien protégés contre les mites dans des housses, en passant par lampes à pétrole, armes de 14-18, casque, vielle perruque, cannes, chaussures, chandeliers, encriers, lot de plumes d’oie, bibelots en ivoire, etc … il ne trouve pas ce qu’il pensait trouver, c’est-à-dire des colliers. Au moment où le Noble, déçu, allait fermer la malle, il aperçoit dans celle-ci une épaisseur rectangulaire sur le côté droit intérieur de la paroi du coffre en bois, comme s’il y avait un compartiment caché. C’est bel et bien de cela qu’il s’agit car quand il appuie sur le bois de ce tabernacle incorporé, celui-ci s’ouvre par une ouverture basculante pour laisser apparaitre deux vieux colliers en vieux cuir noircis par le temps. Une laisse en vieux cuir également est accrochée à chaque collier. Le Marquis d’Evans les prend avec précaution et respect dans ses mains se doutant qu’ils ont plus d’un siècle et que derrière ces colliers, il y a du vécu D/s. Il les regarde de près et arrive à lire sur chacun d’eux une inscription encore bien apparente gravée dans le cuir. Sur le premier collier est inscrit ‘’chienne sophie’’ et sur le deuxième ‘’chienne Clara’’. Il réalise, alors, qu’il n’a jamais su le prénom de la comtesse du Dranier et en déduit très vite qu’il s’agit de ‘’Sophie du Dranier’’ et pour l’autre collier de ‘’Clara du Dranier’’

Tandis que le Châtelain est dans cette déduction pleine de logique identifiant l’appartenance de ces deux colliers, soudain, et sans aucun doute, il a la sensation d'une présence derrière lui, ou plutôt de plusieurs présences... A peine s’est-il retourné que face à lui, sont apparues les deux femmes fantômes. Toujours aussi belles avec leur chevelure descendant jusqu’à leurs épaules. Cette fois elles sont venues se présenter, devant le Noble Héritier de leur Feu Maître, entièrement dénudées et … agenouillées ! Elles ont toujours de sublimes formes avec des magnifiques seins aux tétons dressés et hélas, toujours les mêmes et profondes traces de strangulation à leur cou.
Un halo de lumière bleuâtre entour leur silhouette. Toutes les deux ont la tête baissée, silencieuses, soumises, dociles, immobiles, elles semblent attendre quelque chose. Ce qui n’échappe pas au Marquis d’Evans qui comprend très vite désormais pourquoi ces trois mots, tantôt, sur la glace de la salle de bain, et pourquoi elles l’ont, en quelque sorte, dirigé ici, dans ce grenier : Les deux femmes fantômes souhaitent à l’évidence et plus que tout que le descendant de leur divin Maître Louis-Alexandre d’Evans, que lui Edouard le Marquis d’Evans actuel, remette lui-même leur propre collier autour de leur cou… ‘‘Comment pourrais-je refuser’’ se pense-t-il ! Il ne peut pas refuser ce geste en respect profond à ces deux personnes décédées si tragiquement à cause de leur engagement envers son aïeul, ce qui a eu, comme triste conséquence qu’elles le payent de leur vie terrestre.

Alors, c’est avec une émotion emplie de dignité, et en mémoire très respectueuse aussi à son aïeul, qu’il s’avance d’un pas, ajuste entre ses doigts, le premier collier, se penche légèrement vers le spectre de la comtesse du Dranier et lui ajuste l’objet de cuir à son cou, cachant en partie, ainsi les traces de strangulation. Il ne peut s’empêcher de dire quelques mots, presque malgré lui, comme s’il était naturel, normal, plus qu’évident et avec une conviction certaine, pour dire ceci :

- chienne Sophie, c’est un privilège qui s’offre à Moi de te remettre ton véritable collier. Tu es revenue d’outre-tombe pour cela, maintenant j’en ai la certitude. Alors que ton souhait soit exhaussé et devient Ma soumise en mémoire de mon aïeul, Louis-Alexandre, qui je sais, tu as tant aimé … Je suis si honoré, vis-à-vis de Lui, d’être ton nouveau Maître…

On ne sait, si c’est parce que ses mots prononcés si puissants de sincérité ont un certain effet, mais au moment même où il les prononce, le halo de lumière bleuâtre s’estompe pour laisser apparaitre un corps de femme normal, humaine, sauf la différence de la pâleur de la peau, mais en tout état de cause, elle ressemble désormais à un être vivant, comme dans sa toute première apparition au vieux manoir abandonné. On aurait donc cru magique ce geste par ce fait incroyable, quand avec les mêmes mots, cela se reproduit à l’identique avec chienne Clara, à la pose de son collier.

Le Noble a donc devant lui deux soumises, qui, il faut bien avouer, sont peu communes ! Car pour Lui, le Marquis si cartésien d’habitude, avoir une relation paranormale de Domination/soumission n’est pas banale ! Mais le Châtelain en bon Maître qu’il est, décide de prendre les choses en main, en claquant des doigts puis en montrant ses chaussures. Les deux soumises obtempèrent sans dire un seul mot, d’ailleurs tous les trois, ils se comprennent fort bien et chacun sait ce qu’il a à faire sans paroles, le Marquis doit Dominer et les deux femelles doivent se soumettre ! C’est donc docilement et avec une Dévotion évidente, que chacune se positionne en prosternation en levrette, chacune sort sa langue et lèche longuement le cuir épais d’une chaussure du Marquis qui, peu à peu, se remet à briller, du dessus de la boucle au-dessous de la semelle... Le Châtelain est même admiratif de la très belle vue qui s’offre à lui, il a sous ses yeux deux culs parfaitement arrondis et deux courbes parfaites et deux chutes de reins absolument bien dessinées. Elles sont effectivement très belles, la mère comme la fille …

L'observation de ces deux magnifiques corps fait peu à peu monter le désir en lui. Ses pulsions de Dominant prenant le dessus, il sent son sexe qui gonfle et durcit, palpitant par une excitation qui ne cesse de s’accroitre ! Il fixe les deux paires de seins quand il claque de nouveau les doigts afin qu’elles se relèvent agenouillées. Il apprécie ces tétons roses foncé et l'une et nettement bruns de l'autre, ce qui tranche avec leur pâleur de peau ... Le Noble se recule un peu, pour venir s’asseoir sur une solide et haute malle en bois dur. Puis, il n’hésite pas une seule seconde et fait claquer encore une fois les doigts de sa main gauche. C'est Clara qui réagit la plus vite. Sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, elle vient s'agenouiller entre Ses jambes. Le Marquis d’Evans, d'une main assurée, défait sa ceinture de pantalon, baisse celui-ci et son caleçon puis libère son épais sexe dressé de désirs. Celui-ci demeure droit, tendu au zénith et la belle Clara doit se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres. Elle y parvient et malgré son apparente jeunesse, le Noble comprend vite qu’elle a été formée à l’art de la fellation par son divin aïeul. En effet, elle est experte à l’évidence, et sa bouche se referme sur le sexe telle une gaine parfaitement proportionnée. Elle l'avale et le suce avidement.

L'érection est telle que la fine bouche parvient à peine à l'engloutir, Clara devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laisse le mouvement des reins du Noble imposer son rythme et ainsi elle offre à son nouveau Maître la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer son plaisir, jusqu'à ce que celui-ci jaillisse brusquement, violemment, inondant la bouche de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'applique à avaler jusqu'à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer avec le plus grand des dévouements le gland rougi du Maître avant que de reprendre sa place agenouillée, humble et silencieuse. La comtesse redevenue chienne Sophie n’est pas restée à ne rien faire pendant que sa fille procurait du plaisir au Maître, positionnée toujours en levrette sur le côté, elle n’a pas cessé de continuer à lécher les chaussures du Maître, et Celui-ci durant toute la fellation de Clara n’a pas cessé de caresser avec tendresse la belle chevelure de Sophie …

(A suivre …)

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