Charlotte Se Fait Prendre Le Cul Par Une Fucking Machine

Charlotte se fait punir par ses deux cousins

Charlotte est consentante à chaque histoire. Ces situations l’excitent et tous les protagonistes savent qu’elle a la possibilité de dire stop à tout moment.
Le principal c’est ça. C’est elle qui choisit comment s’éclater et jamais elle n’est obligée à quoi que ce soit.

Mes deux cousins me tiennent par les bras en me soulevant du sol.
Nous avançons vers la grange. Je porte un débardeur blanc et un short très court en jean bleu délavé.
Mes longues jambes s’agitent, je ne veux pas aller avec eux.
Je bouge dans tous les sens. Ma longue tresse blonde fouette l’air.

_ Arrête de t’agiter. Ton frère nous a dit qu’il t’avait retrouvé en train de te toucher dans ton lit. Ton père te l’avait pourtant défendu.
Une petite correction et tu n’y penseras plus.

Je me débattais de plus belle, mais ça ne les ralentissait même pas.
Mes cousins sont deux rustres, pas bavards. Des gars de la campagne, avec un physique et une force extraordinaire.
Ils mesurent plus de deux mètres chacun, et ont des mains habituées aux travaux extérieurs.

_ Regarde comme elle est habillée et maquillée comme une pute.
Pas de ça dans la famille.

Une fois devant, un des deux garçon ouvre la porte de la grange, nous laisse passer et la referme aussitôt.

Il fait sombre à l’intérieur et une chaleur écrasante me donne une bouffée de chaleur instantanément.
Ils me jettent sur la paille devant nous.
Je me redresse aussitôt et essaie de me relever, un des deux se pose sur mon dos, m’oblige à me baisser sur le ventre au sol, en m’appuyant sur le haut du dos.

_ Prépare la machine, je vais l’attacher.

Il passe son bras sous mon bassin, me le relève assez haut et me repose sur un petit chevalet recouvert d’un tissu impeccable blanc. J’essai de lui pousser le bras, il ne me sens pas.



Il se relève et me prend par ma queue de cheval, et m’oblige à relever la tête et redresser ma poitrine.
_ Laisse toi faire, les petites chaudasses dans ton genre n’ont pas leur place dans notre famille. On va te calmer.

Il me passe un collier autour du cou, le referme. Il est relié à une chaîne attachée à un barreau devant moi. Je ne peux pratiquement pas bouger la tête.
J’ai les fesses relevées par le chevalet, je suis cambrée, puis le torse relevé et mon cou attaché à un barreau.

_ Mets lui le gros bâillon, qu’elle bave bien cette petite garce.
J’essaie de bouger mais c’est peine perdu.
Mon cousin rigole.

_ Tu fais moins la belle que dans ton lit à te frotter seule.

Il se penche au dessus de moi, me présente devant la bouche une grosse boule, qui va défoncer mes lèvres et mes dents si je n’ouvre pas toute suite la bouche en grand.
Il me la place bien au fond de la bouche.
Un réflexe de déglutissement m’envahît et j’essai de bouger la tête.
Mon cousin me la tient des deux mains, je ne peux pas échapper à ce qui a envahi ma cavité buccale.

Il me lache la tête et viens attacher la sangle à l’arrière.

_ Allez tu peux la remplir, met lui de la graisse à traire quand même avant, sur ses mamelles aussi.

Le cousin qui avait réglé la machine viens vers moi, approche ses mains de ma poitrine et d’un coup sec, baisse mon débardeur qui craque, libérant mes deux grosses pêches à l air libre et à leurs vues.

_ Regarde, ça a poussé depuis la dernière punition. Tu as presque de vraies mamelles de femme maintenant.
On va te les traire afin de te calmer le feu que tu as au cul.

_ Un suppositoire bien au fond et dans deux minutes tu pourras produire un peu de lait.
Bien sûr ça sera douloureux comme tes canaux ne sont pas encore fait.
Ça te fera passer l’envie de devenir une salope.

Je sens les mains de mon autre cousin se poser sur mon bassin et baisser mon short.


_ Cette petite saloppe porte des culottes en dentelles en plus, je vais te montrer ce que j’en fais de ces conneries d’allumeuse.
Avec ses mains, il tire brusquement sur le bout de tissu, qui m’appuie sur le clitoris et mes lèvres. Il se déchire presque immédiatement.
Il le tire complètement de moi, et je l’entend renifler.

_ Et en plus elle aime sentir bon de la chatte.

Je suis nue devant ces deux gaillards, j’ai peur de ce qu’ils vont me faire. Je sais que je n’aurai pas le choix quoi qu’ils décident.

Un de mes cousin m’écarte les fesses. Je suis gênée et je gémis.
Leurs doigts sont énormes et le dernier que j ai pris il y a un petit moment m’a fait terriblement mal.
Je me contracte et pousse des gémissements.

_ Elle couine comme une petite truie.
Ouvre lui les lèvres de la chatte qu’on regarde si elle a toujours son hymen.

Je sens ses doigts qui descendent. Je m’agite et mes cris étouffés raisonnent dans la grange.
Je ne veux pas être totalement ouverte devant ces porcs.

Ils rient et m’écartent les grandes lèvres puis les petites.

_ Mets la lampe bien dessus.

Je suis rouge de colère et d’agitation.
Je sens leurs regards posés sur moi.

_ Le voilà. Il est presque entièrement fermé et tu as plutôt l’impression qu’il le reste.
_ C’est tout petit là-dedans. On a envie d’y glisser quelque chose pour voir comment elle réagit.
_ Touche pas, c’est la cousine. On la place sur la machine c’est tout.
On va passer par ton cul pour te corriger.
Arrête de t’épiler la chatte aussi, ça fait pute.

Ils relâchent les lèvres et je sens mon cousin m’étaler avec deux doigts de la graisse sur mon anus. Un suppositoire me pénètre le derrière et je sens mon anus se contracter à la douleur de la pénétration digitale de ce colosse.
Son doigt est énorme. Il me le rentre assez doucement mais sûrement.
Il ne s’arrête pas. J’arrete de bouger.
Je lache des petits cris, je me crispe.

_ La rebelle de la famille. On va te dresser tu vas voir.
Une fois son énorme doigt rentré, je suis au plus mal et j’ai honte d’être ainsi exposée devant eux. Il laisse son doigt dans mon cul quelques instants.

_ Cette saloppe me donne la trique.
_ Arrête je t’ai dit, on ne la touche pas.
Moi c’est pour le suppo, comme lorsque je fou mon bras au fond du cul d’une vache, la c’est en mini format. C’est tout.

Il retire son doigt et m’arrache un cri au passage. Mon trou du cul palpite.
Je voudrais leur demander pardon et d’arrêter de me malmener ainsi. Je ne peux pas.

_ Passe moi cette taille de gode, on ne va pas l’abîmer trop fort.

Je sens à nouveau sur mon cul de la graisse froide.

Mon cousin m’écarte bien les fesses et l’autre pose un gode sur l’entrée de mon cul. Je suis encore ravagée par la pénétration du doigt de mon cousin et je n’ai pas la force de bouger.

_ Je crois que tu l’as fait plier plus tôt que prévu, elle ne se débat plus. Petite allumeuse qui se prend un doigt au cul et vient pleurer après.

Je sens le bout du gode m’écarter l’entrée de mon anus, puis avancer dans mon petit conduit, en m’écartant les bords sur son passage. Mon cousin est brusque mais habile. Il m’enfile comme il enfile les vaches de son troupeau quand il les insémine.

Après la moitié du gode ça devient plus difficile, je souffle, je bave, j’ai la tête qui tourne avec la douleur et l’écartement anal. Je me remet à essayer de me débattre mais trois mains me tiennent et un gode s’enfonce dans mon cul.

_ Ça y est, je t’encule à fond avec le gode de salope, on va pouvoir activer la machine à punition.
Je l’entends appuyer sur un bouton et je commence à sentir le gode sortir de mon cul doucement. La sensation est étrange mais la douleur est présente également.
Une fois totalement sorti de mon cul. Mon sphincter se referme.
Mais je sens qu’il est à nouveau , afin que le gode aille jusqu au fond de mon cul.

_ Je mets la petite vitesse, pour ne pas qu’elle bouge trop pour sa première traite. Après , j’augmenterai la vitesse.

Un de mes cousin s’approche face à moi.
_ Baisse le regard traînée.
Je baisse immédiatement les yeux, j’ai peur. J’adore ce sentiment déconcertant.

Il tient dans ses mains un petit spray, et deux petits tubes reliés à des tuyaux qui vont jusqu à un récipient gris.
Il pose son matériel sous mes yeux et il passe sa main sur ma tête. Il me caresse la tête.
_ Bonne vache, tu vas bien te laisser faire.
C’est pour ton bien. Je vais t’aider à ce que ça se fasse au plus vite. Il me touche les seins et me tâte littéralement comme si j’avais des mamelles.

Je me sens humiliée et rabaissée devant eux. J’ai mal aux fesses et je redoute la montée de lait.
_ Tu vas avoir tes règles ils sont tous durs. Tu vas avoir mal.
Il att un téton dans chacune de ses mains et commence à les pincer. On va devoir les faire sortir pour les travailler.
Mes tétons durcirent sous les pincements des gros doigts.

Le gode continue d’aller et venir entre mes fesses en feu.
Mon cousin me passe du spray sur les seins et prépare un tube à portée de main. Je frémis du contact ressenti du froid sur mon téton en feu.
Je panique et essai de bouger. Mon autre cousin me dit :

_ Laisse toi faire bonne vache, sinon j’augmente la vitesse entre tes fesses.
Reste tranquille. Un petit coup d’aiguille bien placé aidera tes canaux à se faire.
Pas le temps d’attendre avec le troupeau.

Il saisit un de mes tétons d’une main, et rapproche le tube en verre de l’autre.
Je pousse des cris et fais non avec la tête bâillonnée.
Ils rient.
Mon cousin me pince le téton et je sens le tube se poser sur mon auréole.
Mon autre téton est à son tour attrapé et pincé. Je gémis assez fort pour le supplier de ne pas recommencer.

J’ai chaud, mon débardeur est trempé. J’ai la peau moite. Mes cheveux sont collés sur mon visage.
_ Le deuxième ne va pas y échapper.

Je sens une morsure qui s’abat sur mon deuxième téton qui est tout dur.
Une vague de douleur se répand autour de mon auréole. Puis le deuxième tube qui vient se placer au dessus.

_ Elle est prête lance la traite.

J’entends un bruit, puis une aspiration se crée au niveaux de la pointe de mes seins.
Une aspiration à droite puis une à gauche. Assez forte pour commencer.
Je me fige totalement, je ne peux plus bouger, paralysée par la douleur qui monte en moi. Mes jambes ne répondent plus. Mon petit cul est en train de se faire ouvrir progressivement et douloureusement.

_ Tu vas être soulagée dans pas longtemps.
Je sens que la douleur se rapproche du bout de mes tétons progressivement. Je respire de plus en plus fort.
Les deux garçons me regardent debout devant moi, au sol sur la paille, comme une petite chienne qu’on humilie et qu’on oblige à se soumettre.
La douleur se fait plus grande dans mes tétons, je pousse de petits miaulement de chatte.

_ Quand elles crient comme ça, c’est que ça arrive. Son lait va sortir.
Elle a bien mal à ce moment là je te le dis. Ils se baissent à mon niveau.

Soudainement la douleur grandit, je remis plus fort.
_ C’est le moment.

Les tubent sont retirés. Je sens leurs doigts m’attr les tétons endoloris et les presser comme les pies d’une vache.

J’hurle sur la grosse boule qui est dans ma bouche. J’ai terriblement mal.
_ On est des fermiers, il nous appartient de te traire pour la première montée.
Ne bouge pas. Voila je sens qu’il va bientôt sortir. Détend toi petite garce.
Je baisse les yeux et au sommet de la douleur je vois un liquide transparent sortir de mes tétons.

Je n’ai jamais éprouvé cette sensation.
Ma poitrine est ultra sensible et je ne supporte pas leurs doigts rugueux sur mes tétons fragiles. C’est du supplice.
Des éclairs passent dans mes tétons.

Du liquide plus blanc commence à sortir de mes tétines. Ils attnt les tubes qui, au contact de mes tétons dressés, les aspirent aussitôt et me fait atrocement mal.
Du lait est aspirée et coule dans les tuyaux. Je ressens un grand soulagement dans mes seins. Les deux tubent sucent mes seins et les maltraitent à la fois.

_ Voilà bonne bête, le liquide s’épaissit, c’est bien. La douleur ne va pas se calmer de suite, tu vas avoir le temps de réfléchir à tes actes de vilaine fille.
Augmente la vitesse.

Je sens l’entrée de mon cul me faire beaucoup plus mal lorsque la vitesse entre mes fesses augmente. Mon sphincter a du mal à suivre le rythme.

_ Ça travaillera ton entrée. Ce sera mieux pour ton futur mari à qui tu devras offrir en permanence ton cul lorsqu’il voudra te sodomiser.

Je gémis et gigote sur le chevalet, j’ai mal partout. Des larmes coulent sur mes joues.
Mes cousins se posent en face de moi sur un tas de paille.
_ On va s’en fumer un, afin de bien profiter du spectacle. Quand on aura fini, je te retirerai le bâillon de la bouche et tu nous diras ce que tu penses de ton comportement.
Tu goûteras à ton petit lait aussi.
Ne bouge pas petite traînée.

Ils commencent à rouler leur pet en me regardant. Je baisse les yeux et attend que la punition s’arrête. Mon cul et les seins palpitent sous la douleur et je me sens honteuse sous leurs regards.

_ Elle me donne vraiment envie de lui mettre un petit coup quand je lui retirerai le gode quand même...

Insta#Cococharlotte5
Dites moi si vous voulez que le cousin passe derrière la cousine ou non pour la suite ...

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