Cocu Avant Mariage . 6 : Une Remplaçante De Bonne Volonté


Josiane cultive son idée fixe. Elle s’offre à moi, sous condition : on n’achète pas un chien dans un sac, on ne choisit pas un mari sans l’avoir testé. Elle me connaît, elle ne sait pas ce que je vaux au lit et le dit crûment.
- D’abord je voudrais savoir si tu es un coup aussi mauvais que Léa le prétend. Tu connais ma façon de procéder : essayer avant d’adopter. On pourrait commencer par mieux se connaître. Gagnons mon lit. Tu n’as pas fait l’amour depuis dimanche, si tu veux nous pourrions mesurer notre compatibilité.
Là elle utilise ma pauvreté sexuelle pour me tenter, c’est habile. Ma seule relation sexuelle date d’une semaine, je dois bouillir d’envie de remettre le couvert. Elle a l’œil et sait évaluer rapidement l’intensité du désir qui m’a fait revenir un jour plus tôt que d’habitude. D’un doigt elle montre mon pantalon et déclare sans détours:
- Mais cette bosse m’annonce un excellent résultat. Léa n’a pas su ni pu apprécier dans sa fièvre de jeune vierge sur le point d’être prise pour la première fois. Elle aura paniqué La queue de Thomas par sa puissance et sa présence quotidienne a faussé le souvenir de sa première fois avec toi. Alors on commence ?
- Oui, mais pas ici, pas sur ce banc, en plein jour. Des passants pourraient nous surprendre
- Viens chez moi, je suis seule, mes parents sont en vacances. As-tu mieux à proposer ? Embrasse-moi, ce n’est pas interdit ici et merde aux passants voyeurs.
- Allons donc chez toi..
Si le prix à payer pour faire de cette fille mon alliée est de coucher avec elle, pourquoi pas.? Il doit exister des travaux plus désagréable. Moi aussi je ressens des pulsions sexuelles. Léa a déclenché un mécanisme, j’ai mis ma verge dans l’engrenage et elle réclame plus de contacts, plus de jouissance. Josiane a la cuisse légère, tant mieux, elle sera ma maîtresse doublement et me perfectionnera. . Il est temps de devenir un amant connaisseur, formé par l’exercice pratique et des copulations à répétition avec une connaisseuse.

Alors si elle se porte volontaire, je serais idiot de faire la fine bouche C’est en forgeant qu’on devient forgeron, c’est en baisant ….Elle mendie un baiser, en route, Jean, attaque.
Fort heureusement Josiane s’est lavé les dents ce matin. Son baiser est très différent de celui de l’autre fois, allégé des effluves de notre premier baiser à la porte du cinéma.. Elle n’embrasse pas avec l’innocence de Léa avant notre premier rapport dans le square, Josiane est une championne du baiser en apnée. Cette leçon à lèvres gourmandes avec sa langue fouilleuse me laissera un souvenir inoubliable. Léa ne lui arrivait pas à la cheville… Quelle artiste cette délurée Josiane ! J’apprécie la leçon, j’y prends un plaisir extrême ; c’est délicieux instructif et gratuit ! J’aspire, j’échange ma salive, ma langue s’oppose à la sienne en un interminable duel qui me remplit de frissons incroyables
Avant d’arriver dans sa chambre Josiane acquiert la preuve que je suis un homme tant elle a l’art d’éveiller mes sens ou de faire bouillir mon sang. Il me faut du courage pour cesser la séance de baisers et pour remettre à plus tard le rapport sexuel proposé par elle. Je mets la situation à plat, progressivement :

- Avant tout, ma chérie, (oui, je fais des efforts pour la conquérir, ou plutôt pour l‘attirer à moi comme auxiliaire ), je vais t’étonner, chère amie. J’ai une première révélation à te faire. C’est bien toi et Mado qui êtes venues sur le banc de pierre du square dimanche soir avec un homme ? En fait Thomas n’a baisé que Mado, tu tenais la chandelle. Tu dois lui en vouloir de vous avoir plantées là après son éjaculation.
Pour la surprendre j’ai surpris Josiane. Il faut voir ses yeux pour s’en persuader:
- Comment sais-tu cela ? Mais tu ne sais pas tout, gros fouineur. J’avais eu mon tour à l’hôtel et je dois reconnaître que l’animal possède l’instrument et l’art de s’en servir. Léa ne se trompe pas quand elle loue ses qualités d’amant, chante la fermeté de son gros membre ou parle de l’effet de marteau-piqueur qui fait trembler et transpirer quand il bombarde un vagin de coups rapides et profonds.
Pour l’usage du sexe c’est une bête, une machine à faire jouir les femmes, c‘est indéniable et impressionnant. Pour moi, c’est le meilleur baiseur de la région. A l’hôtel il m’a fait crier .

- Je sais, pour t’avoir entendu raconter l’intervention du portier, que tu jouis bruyamment.
- La nana la plus frigide ne résisterait pas à l’assaut de cet étalon
- Mais n’as-tu pas volontairement poussé la chansonnette pour exciter ton cavalier, après l’échec de ton plan ? Léa ne t’a pas raconté que nous nous étions cachés derrière la haie disposée en arc de cercle autour du banc et que nous entendions votre dialogue et tout le reste ? Ta copine Mado a une voix chaude avec une grande richesse de variations !
- Non. Où veux-tu en venir ? Oh ! Pas vrai ! Vous nous avez vus et entendus. Léa ne s’est pas vantée de nous avoir espionnés. La cachottière. Je reconnais avoir des orgasmes peu discrets lorsqu’on sait me défoncer. Tu sauras immédiatement si tu me conviens au son de ma voix. Or ce Thomas lime vite et fort pendant de longues minutes et finit par faire sauter la retenue normale des femmes.
- Léa ne te dis donc pas tout. J’ai alors appris que tu pensais à moi que je serais ton mari idéal Tes paroles restent gravées dans ma tête, c’était si inattendu. Un bémol a modéré mon plaisir de l’entendre : tu prévoyais déjà de me cocufier systématiquement car tu comptais profiter de mes absences pour organiser des rendez-vous galants. Léa, ta disciple, ne fait qu’imiter ta conduite ou tes rêves érotiques. Tu projetais de m’appliquer ce que tu avais inculqué plus tôt à Léa afin de la voir céder aux pressions de Thomas. Tu as dû lui chanter les louanges du changement.
- Oh ! Ce sont des paroles en l’air, entre filles il nous arrive de blaguer; Alors tu te décides à me faire l’amour maintenant? On se dépiaute? On sera mieux à poil. Veux-tu que je t’aide ?
- Excuse-moi. Tout d’abord j’ai besoin d’obtenir de toi des garanties solides, car je ne veux pas commettre une deuxième erreur, notre alliance sera hyper solide ou ne sera pas.

- Quelle meilleure garantie qu’une bonne baise.? Hein ! Je me donne à toi, par amour. Prends déjà ma culotte, ce sera un cadeau aussi important que celle de Léa. Tu commences une collection, mais gare à toi si elle dépasse les deux unités. J’ai connu d’autres hommes, j’ai goûté à tout, désormais je sais à quoi m’en tenir . Le sexe je connais, ce qui me manque c’est l’amour. Toi tu sauras me le donner.
- Tu vas bien vite en besogne. Faire l’amour sans sentiment me répugne.
- Tu me fais rire. Ton érection repose sur des sentiments que tu n’oses pas t’avouer. De mon côté les sentiments me submergent et je commence à mouiller sérieusement. Regarde mon bijou fendu, tu aimes les pubis rasés ? Suis-je bête, Léa avait encore sa touffe poilue quand tu l’as dépucelée. Hier as-tu remarqué son ventre nu , son abricot glabre? Thomas a obtenu un récipient en cristal rempli de la toison pubienne de Léa en cadeau, en lieu et place de la virginité à toi sacrifiée. Léa tenait à ces poils, redoutait que tu lui poses des questions sur la disparition de son ornement velu. Elle a pleuré mais a utilisé ses ciseaux pour tailler dans la masse avant de venir me supplier de raser les grandes lèvres et les recoins difficiles à nettoyer pour plaire à Thomas. Il demande et il obtient, elle lui est soumise. La prochaine fois elle cherchera une autre andouille. pour cet exercice risqué quand les chairs ne sont pas irriguées de sang par des attouchements. Pour ne pas couper il faut titiller ou sucer
- Hier soir tu ne t’es pas fait prier pour lui faire minette devant Thomas. Tu es soumise comme Léa.
- Je l’ai été. A partir de maintenant tu seras mon seul maître*

Josiane paraît sincère. Est-ce suffisant pour me convaincre après ma déception amoureuse de la veille ? Je joue franc jeu :
- Une deuxième révélation va peut-être refroidir ton enthousiasme. Ne réponds pas trop vite. Ne te sens-tu pas responsable du gouffre qui existe entre Léa et moi ?
- Comment aurais-je creusé ce gouffre ? Un jour ou l’autre elle t’aurait roulé.

- Tu as reconnu avoir poussé Léa vers Thomas. Tu la détournais de moi intentionnellement ?
- N’ai-je pas agi dans ton intérêt ? Tu devrais me remercier.
- Enfin tu as déployé beaucoup de zèle pour arriver à nous séparer. Je t’ai vue en train d’embrasser Léa hier, sur la couverture où elle se préparait à recevoir Thomas entre les cuisses. Tes doigts et ta langue synchronisés l’ont fait mouiller abondamment. Si bien que le pilon mâle y a coulissé facilement à la première poussée

- Hier, dans le bois ? Tu y étais ? Tu es un démon ! Tu nous as vus ? Ah ! Où étais-tu, comment savais-tu que nous y allions ? Non, que j’ai honte. Mais en donnant Léa à Thomas, je me taillais une place près de toi. Qu’est-ce que tu as vu en réalité?
- Tout ou presque, du début à la fin. Mais c’est moi qui pose les questions. Es-tu amoureuse de Léa ? Étés-vous lesbiennes ? L’offrir à Thomas et l’éloigner de moi, c’était peut-être pour la garder à toi , puisque Thomas n‘est pas célibataire ? Votre façon de frotter l’un contre l’autre vos sexes relevait d’une acrobatie bien huilée. Vos jambes disposées tantôt dessus et tantôt dessous, cela ne s’invente pas, il faut une certaine habitude pour réussir à mettre en contact étroit deux vulves et pour réussir à les mettre en mouvement et à tirer des cris joie dus à l’écrasement et au frottement des peaux de vos abricots.
- Depuis le début de la semaine, c’était une entrée en matière voulue par Thomas, pendant qu’il se mettait en tenue. Depuis lundi chaque séance a commencé de cette façon. Mais jamais auparavant nous ne nous étions brouté la chatte ou écrasé les pubis l’un contre l’autre. C’est Thomas qui nous a fait découvrir comment se mettre en biais pour obtenir la meilleure approche et opposer clitoris à clitoris.
- Vous aviez pourtant l’air d’y prendre votre pied avec une adresse rare, innée.
-C’était la cinquième fois qu’on se gougnotait en une semaine. On apprend vite dans ce domaine. Rassure-toi, pour arriver à mes fins je peux faire bien des choses.
- Voilà ce qui me fait peur justement. Autant de connaissances acquises voudront trouver des applications Tu pourras te tordre dans tous les sens avec moi, tu n’obtiendras jamais ces sensations.

- Ce n’est pas ce que je recherche. Pour toi, que ne serai-je pas capable de faire. Tu as vu, tout vu et tout entendu, je suppose. Tu m’as vue toute nue, tu m’as vue sucer les garçons, guider et introduire le vit de Thomas ou celui de Guy dans les orifices de ton ex fiancée. Mon Dieu ! Tu me hais et tu t’amuses à dévoiler tes informations au goutte à goutte. Pourquoi me r ainsi ?
- Tu es une fille étrange ! Tu es coupable mais je te crois sincère quand tu déclares que je serais ton mari idéal, mise à part la restriction qui me révolte sur tes activités pendant mes déplacements.
- J’y renonce solennellement. Aime-moi et tu te féliciteras de m’avoir fait confiance aujourd’hui. Puisque tu as assisté à la conclusion de la semaine de relations entre Léa et Thomas, qu’as-tu encore besoin de preuves pour la chasser de ta vie?
- J’aurais dû me montrer au moment de la double pénétration pour les confondre sur place. Prise en sandwich et surprise par moi, elle n’aurait plus osé me rappeler mon engagement. Hélas sous l’effet de ma surprise, je n’ai pas su réagir à chaud. Je voulais voir jusqu’où vous étiez capables de pousser le vice. Léa a des prédispositions incroyables pour participer à des orgies et je conclus que sa perte ne sera pas une catastrophe pour moi. De plus elle ne souffrira pas de me perdre, elle saura me remplacer.
- Donc, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Que veux-tu de plus ? Envoie-la au diable, ne pense plus qu’à moi. Je lui clouerai le bec si elle l’ouvre.
- Je veux donner quelques regrets à Léa. Elle m’a fait un cadeau magnifique en se donnant, un don unique dans une vie de femme. Derrière ça, il y a eu une trahison lamentable avec un type qui l’a désirée plus qu’aimée, déjà engagé avec une autre femme : Léa sait ça. Je lui mettrai le nez dans sa merde, pour qu’elle en garde l’odeur jusqu’à la fin de sa vie. Elle doit attribuer mon retrait non à ma lâcheté mais à sa conduite scandaleuse..
- Pour ça, tu as besoin de moi ? Eh ! Bien, je suis à ta disposition. Ce sera ma manière de me racheter. Si tu me méprises, à la fin, chasse-moi. Mais je souhaite te fournir tous les gages qui me feront apprécier. A tout moment tu pourras disposer de moi, comme tu l’ entendras. Mon cœur et mon corps t’appartiennent. Alors quel est ton plan ?



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