La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 737)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode N°710) -

L’épuisement et le sentiment de bien-être qu'on ressent après avoir l’impression d’avoir bien fait quelque chose de difficile m’ont permis de passer une nuit de sommeil lourd profond et réparateur… Au petit matin, je me dirige instinctivement dès mon réveil vers la porte du chenil près de laquelle a été déposé un seau d’eau chaude avec un gant de toilette et un savon de Marseille. Je suis un peu étonné de trouver de l’eau "chaude" mais je considère ce fait comme une récompense de mon obéissance d’hier alors je remercie intérieurement le Maître pour Sa grande bonté envers moi et le simple fait de penser à Lui me fait durcir la queue car j’en ressens une forte excitation qui monte en moi. Cela fait immédiatement divaguer mon esprit au programme qui m’est destiné aujourd'hui et le fait est que je n’en sais rien à ce qui m’est réservé. Je n’ai aucune idée de ce qui m’attend aujourd’hui mais je sais que quoi qu’il arrive je serai un bon petit chien soumis et obéissant. Et que je ferai tout ce qu'on me demande car j’aime cela et je suis là pour ça. Rien ne me rendra plus heureux que Sa satisfaction. Savoir le Maître satisfait à ce qu’Il exigera de moi me procure et me procurera un immense bonheur, rien ne m’importera plus au monde que cette suave réalité… Après ma toilette, je m’assois dans un coin du chenil et attend patiemment qu'il se passe quelque chose. Le Maître m’avais appris cela avant mon arrivée au Château : Etre patient et se tenir toujours à disposition quand bon Lui semblera et toujours prêt à l’obéissance la plus absolue lorsque Il (le Maître) me sollicite. Le temps commence cependant à se faire long d’autant plus que je n’ai aucun moyen de savoir l’heure qu'il est…

Ma patience commence à faiblir lorsque j’entends enfin des pas s’approcher du chenil. C’est le Majordome Walter qui ouvre le chenil et exige que je le suive à 4 pattes. Il marche très vite et cela me demande beaucoup d’efforts pour réussir à suivre la cadence sur mes genoux.

Tout d’un coup, Water s’arrête au détour d’un luxueux couloir, il me relève énergiquement en me tirant par le bras et sans un mot, il me plaque le ventre contre un long meuble-commode situé sur un pan d’un mur d’ange d’un autre couloir partant sur la droite.

Ensuite, le Majordome se déplace derrière moi, pèse sur mon corps... je comprends qu'Il défait son propre pantalon, écarte mes cuisses ainsi offertes à son regard, crache sur ma raie et écarte mes fesses, pousse un premier doigt, puis un autre dans mon anus. Je me raidis... je me cambre, ça fait mal ! Je gémis, mais sans oser faire plus malgré la douleur que je ressens dans mon cul si étroit ... Mais Il pousse... les doigts m'écartent, m'ouvrent... Il les retire, je sens autre chose... son gland ! Il pousse... pousse... et me pénètre ! Je crie ! Mais ça y est, Water est en moi et me possède... Il va et vient entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me font comprendre qu'il ne me "baise" pas seulement, mais qu'il prend réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être. Le Majordome s'est saisi de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il a saisi ma queue et l'étire sèchement. Tandis qu'il se joue ainsi de moi, je comprends, au-delà de la douleur de mon cul sodomisé, que je subis un véritable acte initiatique...

Je suis comme marqué par cette pénétration qui fait de moi plus du tout un homme, mais un esclave, un chien... et je pleure doucement, je pleure sur ce nouveau destin qui débute et lequel je suis si heureux d’incorporer, je pleure d’un bonheur intérieur plus que de douleur... Tout en m'enculant, le Majordome me donne une forte fessée de sa main libre. Les claques viennent s'ajouter à l’enculade profonde et sans préambules ... J'imagine que mon cul va en porter les traces rougies pendant un bon moment... et les gémissements se mêlent. Gémissements sous les coups qui s'abattent, gémissements à chaque coup de reins qui enfonce dans mon anus la queue épaisse et dure de celui qui me baise comme une chienne en chaleur que je suis devenu ! Gémissements aussi, et j'en pleure encore plus, du plaisir qui me gagne au-delà de la douleur, plaisir d'être ainsi traité et plaisir de sentir sa main possessive sur ma queue soumise.
.. Soudain Walter se retire et je sens un épais flot de semence qui se répand sur ma croupe et le bas de mon dos. Ensuite je l’entends réajuster son pantalon tandis qu’il me dit sur un ton Dominant :

- "AAaahh ! Tu es encore un peu étroit, mais je te formaterai bien vite. Tu feras une bonne petite pute, une petite chienne bonne à baiser à souhait … " dit-il d'une voix décontractée, détachée.

Puis dans un dédale des couloirs et escaliers Walter m’amène jusqu'à un des bureaux du Maître. Monsieur Walter exige que j’attende à genoux devant la porte. En partant, il me saisit la tête et la frotte contre son entrejambe en me traitant de bonne chienne. Le Maître en personne vient ouvrir la porte et m’ordonne d'entrer. Il s'installe derrière un grand bureau en bois et m’indique de rester à genoux immobile en face du bureau. Il marque un moment de silence en me scrutant lentement de la tête aux pieds de son regard Dominateur, ce qui a pour conséquence de me faire baisser les yeux ainsi que la tête. Et c’est avec plein de charisme dont il a le secret, de cette force tranquille qui émerge en Lui, qu’Il prend la parole d’un ton solennel mais avec un timbre de voix calme et paradoxalement autoritaire :

- Je suis satisfait, chien, de ton évolution depuis ton arrivée au Château. Tu pensais être un bon chien en arrivant mais ce n’était pas du tout le cas au début. Sache que sans Moi tu ne serais rien, tu ne saurais rien de tout ce que je t’ai appris. J'ai immédiatement senti en toi du potentiel lors de nos premiers échanges sur internet et j'ai décidé de te donner ta chance en venant ici. Tu commences à Me donner raison en te comportant comme je l’attends mais il faut que tu saches une chose. A partir de maintenant je ne tolérerai aucun écart de ta part, je n’accepterai pas d’être déçu. Tu as bien compris, chien ?
- Oui Maitre

Ensuite, il appuie sur un interphone et demande à ce qu'on lui amène soumise Lais MDE. Deux minutes plus tard, elle est placée à côté de moi dans la même position.
Encore ce silence puis la prise de parole :

- J’ai envie de baiser mes deux chiennes. Vous ne prenez aucune initiative, vous obéissez à la seconde aux ordres que je vous donne. "

Il se déshabille très doucement en posant ces habits délicatement dans un petit placard près de la porte du bureau. Il exige à l'interphone que personne ne le dérange. Il s’avance doucement entre nous deux :

- Avec vos langues uniquement léchez ma bite et mes couilles…

(A suivre…)

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