Ma, Ou Mon Futur

Sur la plage, une meuf promène son cul, serré dans un maillot, ultra moulant. Elle sait qu'elle a un beau cul, et elle le montre plutôt bien. Elle a surpris mon regard. Depuis que je suis arrivé, elle n'arrête pas de passer et repasser devant moi, en frétillant du popotin. Au bout de quelques minutes, elle tourne la tête vers moi, me fait un clin d'oeil et m'envoie un bisou dans l'air.
A son passage suivant, je me lève et je la suis. Elle a vraiment un cul fabuleux. Au milieu des tentes, elle accélère. Elle tourne la tête et me voit. Encore le clin d'oeil, et elle entre dans une tente. J'entre derrière elle, elle est là, de dos. Quand elle me voit, elle commence à baisser son maillot, millimètre par millimètre. Quand je vois le cordon d'un slip, d'une culotte ou d'un maillot glisser sur les fesses super cambrées d'un cul magnifique, ça me met dans tous mes états. C'est pour ça que je hais les strings. Avec eux, tout est servi, l'érotisme est mort. Elle doit le savoir, vu la façon dont elle se tortille pour mettre son cul en valeur.
Elle a vu le changement qui s'est opéré dans mon slip. Elle me sourit, passe sa langue sur ses lèvres. Gourmande ! Le maillot est si serré, que même en bas des fesses, il épouse la forme de son corps. D'un signe de tête, elle me fait signe d'approcher.
Je pose mes mains sur ses fesses. Quelle fermeté, quel galbe. Je me baisse pour les embrasser. Quand je me relève, elle lance ses bras en arrière et saisit mon maillot sur les hanches, elle le baisse, et saisit ma pine. Elle m'attire vers elle et la colle sur la raie de ses fesses. Puis elle me prend par les hanches, et me colle à son dos. Je l'embrasse dans le cou, et passe mes mains sous ses seins. Ils sont juste à ma taille. Elle frotte son cul magnifique contre ma queue. Son maillot est baissé, mais est resté au ras de ses fesses. J'essaie de le descendre un peu plus, mais elle le retient. Dans sa main, ma pine s'impatiente. Elle est tendue comme la corde d'un arc.

Il faut que je la possède. Son cul d'abord, la moule, on verra après.
Je suis bisexuel, le cul est mon accessoire préféré. Autant j'aime le posséder, le transpercer, le forcer, autant, j'aime donner le mien. Pour l'instant, j'en ai un sublime devant moi. Je retarde au maximum le moment où je le prendrai. Je ne me lasse pas de le regarder. Mes mains l'ont caressé, inspecté, fouillé. goûté même. J'y ai enfoncé un doigt, que j'ai glissé ensuite dans ma bouche. Je me recule un peu, et saisit ma pine. Je la pose à la naissance de ses fesses, et, à l'aide de mon gland, je les écarte pour y glisser ma queue. Je frôle son petit trou. Une goutte de liquide séminal s'échappe du méat et vient humecter son anus. Et là, je décide de glisser mes doigts entre ses cuisses. Oh ! Surprise.
Un gros mandrin, accompagné d'une superbe paire de couilles. Pas de poils, entièrement rasé. C'est un mec ! Je le retourne, une femme, et belle en plus, sauf que la femme en question, est un mec. Le côté pile, vaut l'envers. Des seins en forme de poire, juste à la taille de mes mains, une taille de guèpe dont je pourrais faire le tour, des cuisses fuselées et musclées. une vraie femme quoi ! Sauf que, à la place de la moule, une superbe belle queue, que j'ai hâte de bouffer et de prendre dans mon cul. Si seulement, il ou elle, était libre, je me marierais bien avec. Nous ferions l'amour tous les jours, en inversant les rôles, en fonction de nos humeurs.
Quand je la-le vois de face, j'ai envie de pétrir ses seins, de les sucer. J'ai envie de sucer sa pine, de la branler, de la-le chevaucher, pour qu'il-elle m'enfonce sa grosse queue dans le cul. De dos, j'ai envie de pourfendre son cul, de l'embrasser, le lécher.
Putain, faites qu'elle-il soit libre !

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