Collection Folle Du Cul. La Femme Du Consul. Début De La Saison Ii (4/6)

Je suis une salope.
J’allais dire une grosse salope.
Grosse, oui, dans un certain sens.
Mais réellement une grande salope.
Passe encore d’avoir regardé et laissé Saïd, mon mari baiser la bonne espagnole à Tunis et la gouiner moi-même alors que je suis la femme du consul de Tanzanie.
Passe encore pendant nos vacances à Dodoma capitale de cette même Tanzanie de retourner voir le docteur Musa gynécologue qui m’a dépucelé par-devant et par-derrière avant et après mes noces.
Passe avoir laissé mon mari dès le début de notre arrivée à Paris dans l’ambassade sauter Jeanette, sa nouvelle secrétaire parisienne sur son bureau.
Mais en plein jour se laisser enfiler un gode dans la chatte par ce vendeur d’objets érotique dans ce sex-shop près de Pigalle s'est peut-être trop.
J’oublie au passage la bite que j’ai masturbée dans le métro au lieu de la tordre quand elle s’est collée à mes fesses.
Ça fait beaucoup, mais quand je regarde les gens passer sur cette place Pigalle, c’est bon de continuer de ressentir les vibrations de ce gode planté dans ma chatte tenue fermement par cet homme dont j’ignore tout.
Et dire qu’il est dans le paquet, du moins son frère jumeau, au bout de mes doigts.
Je parle de mon gode bien sûr.
Ce matin je me contentais de mes mains.
Demain matin, je me vois déjà les jambes écartées, mon godemichet mis sur « On » et me massant le clito.

• Entrez, mademoiselle, même les femmes aiment voir les femmes se dénuder devant elles.
Spectacle permanent, elles sont là pour vous.

Hier, lorsque j’étais dans mon taxi, ces hommes qui ventent les charmes des femmes se trouvant nues devant des hommes, je les voyais sans entendre ce qu’ils disaient
Je passe mon chemin, jusqu’au club d’effeuillage suivant ou un autre homme me fait l’article.
La différence du précédent, il me montre une photo dont je tombe amoureuse.

• Madame, la belle américaine Cassy va entrer en scène dès que vous serez installée.



Une photo, je viens d’avoir le coup de foudre pour cette jolie rousse Américaine.
Alors, je franchis la porte composée d’un rideau rouge.
En même temps que, je fais, ce mouvement je m’en veux et je veux fuir.
Hélas, un autre homme est près de moi et me fait payer.
Je m’exécute, en liquide, le ticket pourrait me compromettre.
C’est vrai pour se foutre à poil les filles touchent des euros.
J’entre dans la salle, une jeune femme fort dénudée me guide vers une des dix tables dans cette petite salle où se trouve l’estrade ou ma belle américaine va se mettre nue.
Deux tables pleines, l’une avec un homme, un instant j’ai cru que c’était l’homme du sex-shop.
L’autre, deux hommes bien mis, certainement des hommes venus à Paris pour un quelconque congrès et venues s’encanailler à Pigalle.
Ils doivent s'étonner de me voir là.

• Que buvez-vous, une consommation est comprise dans le prix du billet ?
Je vous propose une coupe de champagne.
• C’est très bien.

Un projecteur s’allume sur scène, une chaise, une seule chaise semble être le décor.
Une voix de mâle dans les basses annonce.

« Venue spécialement pour vous des USA, la belle Cassy va vous montrer tous ses charmes, applaudissez Cassy. »

J’ai mon verre en main qui vient de m’être apporté, ça m’évite d’applaudir.
La femme de mon coup de foudre entre sur la musique de « Grease ».
Elle vient s’assoir sur la chaise et semble me remarquer.
Elle a un costume de cow-boy comme dans les vieux films.
Un projecteur est dirigé vers elle.
Elle empoigne le dossier de la chaise et tourne autour jusqu’à avoir le cul tourné vers nous.
Quel cul.
Elle le fait rouler devant moi.
J’ai envie de passer ma main sous ma jupe.
Mieux, si je sortais mon code pour me le mettre là où ça coule.
Mais je suis respectueuse du travail de l’artiste, car se dénuder devant ces hommes libidineux, c’est du travail d’orfèvre.

Elle roule du cul avant de se retourner et d’arracher sa chemise à carreaux vue dans de nombreux films de western avec cow-boys et Indiens.
Sans soutien, cette grande fille aussi grande que moi à simplement deux étoiles sur les seins.
Je suis un peu déçu, il était marquée « nue intégrale. »
Je ferais avec sans crier à l’arnaque, cette fille a un corps de rêve.
Surtout qu’elle se relève et que dansant de nouveau autour de sa chaise, elle arrache son pantalon comme elle l’a fait avec la chemise.
Un simple cache-sexe recouvre sa chatte qui doit être épilée vu la surface du carré.
Encore déçu, j’aurais aimé voir sa fente et la forme de ses lèvres vaginales bien qu’elles doivent être rondes, car de grande dépasserait du carré.
Quand elle se rassoit, il lui reste son chapeau et ses bottes.
Des vrais, les mêmes que celles que portent les danseurs de country que j’ai vu à Dodoma lors d’une soirée caritative où Saïd m’avait entraîné.
Puis dans la continuité, elle prend son chapeau en main, laissant tomber sa magnifique crinière rouge.
Ses cheveux étaient retenus par le chapeau de cow-boy.
Elle secoue sa tête et ils tombent en cascade sur ses épaules dénudées, me donnant envie d’y perdre mes doigts.
Là le mouvement qu’elle fait, me met en joie, elle aussi semble être sous le charme.
Elle prend son chapeau et le jette vers moi au grand dam des hommes.
Ce chapeau jeté, ce doit être le clou du spectacle.
L’homme seul doit le savoir et espérer que l’artiste ait ce geste vers lui.
Dommage, c’est moi qui l’att et le pose sur ma tête.
Le contact du feutre avec le haut de ma tête me permet d’être en contact avec la belle qui continue à croiser ses jambes bien serrées de droite et de gauche au rythme de la musique.
Nue intégrale, elle arrache les étoiles certainement pincées sur ses mamelons de forme plus que satisfaisant pour une bouche comme la mienne si j’avais la chance de les approcher.

Hélas, tout cela est un vœu pieux.
La musique arrive à sa fin, la belle fait ce que j’espérais quand ils affichaient « nue intégrale. »
Je la vois me regarder fixement me faisant comprendre que ce qu’elle va faire, c’est pour moi la femme qui porte son chapeau.
D’un mouvement brusque, elle écarte ses cuisses les montants à 180° me faisant voir sa souplesse en arrachant le carré me laissant voir cette fente qui je le pensais me serais refusée.
La lumière s’éteint, mais j’ai le temps de voir le rose de son vagin, ses lèvres s’étant ouvertes surement au moment où elle a arraché ce qui le protégeait qui devait être fiché en elle.
Une fraction de seconde, j’espère que c’est ma vision qui l’a fait couler de plaisir.
J’ai son chapeau, j’attends que quelqu’un le récupère pour partir à mon tour.
Une veilleuse « Issue de secours » me permet de voir quelqu’un ramasser les affaires de l’effeuilleuse.
Cette personne passe dans les coulisses avant de s’approcher.
Je reconnais la jeune femme légèrement vêtue qui m’a donné ma coupe de champagne après m’avoir installé.
La lumière revient.
Sur la scène seule la barre de Pole danse.

• Je peux récupérer le chapeau de Cassy.
Elle a fini son travail aujourd’hui et souhaite vous rencontrer.
Si vous le désirez, elle vous attend dans dix minutes à la porte à l’extérieur sur la droite de cette salle.

Je rends le chapeau et je salue la jeune femme.
Je passe le rideau rouge me retrouvant à l’extérieur.
La porte est là, j’attends, j’ai vu des films sur la belle époque qui me faisait fantasmer quand je les voyais.
J’ai l’impression d’être une de ces putes attendant le client dans ces années-là.
Les deux hommes bien mis sortent de la salle de strip-tease me voyant, s’approchent.

• Peut-on vous offrir un verre mademoiselle ?

Ouf, j’ai eu peur qu’ils me prennent pour une pute et veulent me proposent de faire une passe.

Ils restent à la hauteur d’homme draguant une femme même avec ma couleur de peau.
Cassy sort, une fraction de seconde, j’ai l’impression d’avoir devant moi une autre personne.
Ses cheveux sont tenus par une queue-de-cheval.

• Merci de m’avoir attendu, tu as du temps, j’aimerais mieux te connaître.
• Oui, sans problème, je suis au chômage en attente un boulot dans une ambassade.

Au moment où nous sommes à notre présentation même si j’en connais beaucoup sur elle surtout sur sa plastique, je me souviens des réserves émises par Saïd à cause des risques dans Paris des gens ayant une vie de privilégiée.
Inutile de lui dire que je suis la femme d’un consul.

• Je t’emmène boire un verre.
• Si tu es sans ressource, je t’emmène chez moi, j’habite près du Père-Lachaise.
• Merci de prendre soin de mes finances.
Le Père la Chaise, ça se trouve où ?
• Quelques minutes en métro nous allons prendre la ligne 2.

Je sais qu’en France, il y a des boutiques où on peut jouer à tout moment.
Si j’en trouve une, je vais prendre tous les jeux avec un numéro 2, je suis certaine de gagner le gros lot !

Nous descendons dans la bouche de métro à Anvers.
Vers quelles nouvelles aventures va-t-il m’emmener ?
Cassy me prend le bras, une grande rousse et une grande noire gainée de blanc, le tableau doit faire bander bien des hommes…

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