L'Équipe Vi

Je ne puis le nier, la journée de cours fut difficile tellement ce qui s'était passé de la nuit revenait à mon esprit. Je dus même supporter une belle érection pendant un long, interminable moment néanmoins je me jurais à moi même que plus jamais je ne serais en retard. Vint finalement le soir quand je rentrais à l'appartement, à peine le temps d'attr mes affaires et me voilà sur la KTM, serrant de prés David, m'appuyant contre son dos plus fort que jamais alors qu'il nous conduisait jusqu'au complexe sportif. Deux longues heures et demie d'entrainement et nous voilà dans les douches. Je ne peux m'empêcher de regarder autour de moi, tant de mecs à poils pour quelqu'un dont le trip c'est ... les mecs... et bien c'est le pied enfin c'est un petit paradis. Bien sur j'essaie de me concentrer sur moi même, j'évite déjà de regarder les hétéros par respect bien que cela ne les dérange pas après tout nous sommes une sorte de seconde famille et il n'y a la que franche camaraderie et des jeunes adultes qui se rincent de l'eau chlorée du bassin. Je peux tout de même voir David qui se savonne, son corps est vraiment divin, ses années de natation, de musculation ont sculpté son corps avec l'aide de dame nature, des muscles saillant qui me font craquer au pas possible; il se rince là sans se soucier de sa demi gaule déjà plus qu'impressionnante. J'aurais bien envie de tomber à ses genoux et de m'en occuper mais le voilà qui quitte la pièce.
Finalement je sors de ma rêverie et je réalise qu'il ne reste que Julien, Steves, Emilien, Rick et moi. Emilien est le premier de nous cinq à partir, je peux voir que sous prétexte de sa laver le sexe Julien se masturbe lentement. Je secoue ma tête et fini de me rincer, tournant le dos à tous, la tête vers la pomme de douche. Je me retourne finalement et il ne reste que Steves et moi. Je me dirige vers la sortie mais il pose une main sur mon épaule, me retenant. En un instant, je me sens glisser sur mes pieds, me retourner vers lui et nos lèvres se pressent les unes aux autres alors qu'il calque ses mains sur mes joues, le long de ma mâchoire.

Nous échangeons un long et passionné baiser, nos langues jouent ensemble mais clairement c'est lui, ce grand roux qui dicte la fougue de ce baiser, jouant de ma langue alors que ses doigts glissent à présent le long de mes flancs, allant de mes épaules à mes hanches.

Qu'est-ce que je suis en train de faire? Avec du recul j'aurais du réalisé la situation, ce n'était pas bien... je m'étais offert à David et voilà qu'a peine un jour après j'embrassais avec passion son meilleur ami, nos corps nus se frottant l'un à l'autre dans la salle de douche... Mais sur l'instant il n'y avait rien de toute cette réflexion, il n'y avait que les pulsions, la passion et la fougue de jeunes adultes. En un instant encore, j'étais à genoux, mes lèves se posèrent, glissèrent le long de sa hampe, mes doigts se perdirent dans la forêt de poils pubiens roux. Ma langue s'attaqua à ses bourses, léchant, tournant autour de ses sacs bien remplis, stimulant ses testicules à l'intérieur de ses bourses, au travers de la fine membrane de peau. Il grogna avec force lorsqu'enfin ma bouche se referma sur sa verge, ses doigts envahirent et jouèrent avec mes cheveux alors que les bruits de succion résonnèrent dans le silence des douches, se répercutant contre la céramique du carrelage mural. Un grognement plus fort, guttural et profond fini par briser cette mélodie alors que son corps se cabrait et que sa semence chaude jaillissait dans ma bouche, dans ma gorge. Je dégluti et avalai ce nectar avec délectation avant de laisser son sexe glisser entre mes lèvres, y posant un dernier baiser.
Steves me sourit et m'aida à me relever, il posa un baiser sur mes lèvres et me dit merci avant de quitter la pièce. Je le suivi de peu et rejoignis les vestiaires.

Quelle ne fut pas ma surprise d'y trouver Rick et Julien en train de faire l'amour. Le blond prenant le noiraud avec force dans une position de levrette, leurs corps claquaient bruyamment l'un contre l'autre et de leurs poumons sortaient des grognements et gémissements de plaisir.
Aucun des deux ne prêta la moindre attention à notre présence et Steves fit comme si de rien finissant de se sécher et de se rhabiller. J'en fit de même et mon attention ne se tourna vers les deux autres que lorsqu'un cri et un gémissement s'élevèrent au dessus de la mélodie de leurs ébats. Je pu voir Julien, la tête en arrière, le corps cabré, ses mains agrippant et tirant vers lui Rick, nul doute qu'il avait atteint sa jouissance, son foutre, son sperme chaud se déversant dans les entrailles de notre gardien. Je pu admirer chaque spasme de son corps alors que les jets de sa semence s'écrasaient en Rick. Il fini par se retirer et donna une petite claque sur les fesses de son partenaire. Je dois avouer que sur l'instant j'enviais mon ami. Je fus tiré de mon songe par la vue du blond s'essuyant le sexe luisant avec sa serviette et je fini de ranger mes affaires dans mon sac et casier. Alors que je me dirigeais vers la sortie Julien me sourit, ce genre de sourire prédateur qui disait 'bientôt ce sera toi qui gémiras sous mes coups de queue.' et je dois avouer que cette idée ne me dérangeait pas.

Lorsque j'arrivais sur le parking, David et Steves discutaient ensemble... David, merde, je l'avais encore fait attendre et je m'en voulais horriblement. Mon Apollon blond me sourit et me tendit mon casque, en un instant j'étais sur la moto et après un dernier au revoir à Steves nous filions droit vers l'appartement. J'aimais David pour son côté bosseur, comme moi il prenait ses études très au sérieux et c'est avec zèle que nous nous mîmes à bosser. Bon ok il s'était quand même mis à l'aise en boxer et un large t-shirt, m'invitant à faire de même mais néanmoins nous bossâmes pendant une bonne heure et minuit était passée quand nous refermèrent nos notes de cours. De nouveau il me surpris, j'étais prêt à lui parler de lui et moi, de la nuit passée... mais il ne m'en laissa pas le temps. Sans hésitation David retira son t-shirt et poussa ses boxers à ses pieds J'étais encore en train de refermer mes syllabi quand il se déplaça juste à côté de moi assis et lui debout.
Il se tourna de telle manière que son entrejambe soit juste sur mon côté et sans la moindre gêne pressa son sexe encore flaccide contre ma joue. surpris je poussai un petit cri, et me tournai inconsciemment vers lui, regardant vers le haut. A ma protestation tout ce que ce géant blond fit fut de répondre par une autre provocation, me défiant de lui dire que je n'aimais pas son sexe... Merde, bien sur que j'aimais son sexe et comme pour en rajouter avec deux doigts à la base de sa verge il tira en arrière son prépuce et décalotta son gland qu'il frotta sur mes lèvres...

Il ne m'en fallut pas plus et j'étais là à téter avec passion et voracité sa verge, sa queue qui se gorgeait de sang et gonflait entre mes les lèvres, sous mes coups de langue. le blond roulait lentement de ses hanches, faisant glisser ce mandrin de plaisir dans ma cavité buccale, en poussant le bulbe turgescent dans ma gorge. De longues minutes passèrent ainsi avant qu'il ne fasse un pas en arrière et ne m'invite à me relever, Nos bras enlacèrent le corps de l'autre et nos lèvres s'unirent en un furieux baiser. En quelques instants, je senti mon T-shirt se faire soulever, mon caleçon tomber à mes pieds et je fus guidé dans sa chambre, poussé à quatre pattes sur le lit et là je gémis de pur bonheur alors qu'il s'attaquait à ma rondelle, poussa sa langue au travers de mes sphincters, envahissant mon anus. Quelques instants de bonheur, de plaisir, mon Adonis blond me préparait à le recevoir, je le regardais faire et lorsqu'il s'éloigna je ne pus que murmurer comme il était beau. Il fallait dire qu'il se jouait de moi, se tenant juste au bord du lit, se masturbant ouvertement devant moi; le corps cambré, une main glissant sur son sexe turgescent, pompant ouvertement ce phallus imposant, tirant et repoussant son prépuce sur son gros gland d'une rouge carmin, presque burgonde, enduisant toute sa longueur de gel lubrifiant.

David se jouait de moi, il savait à quel point je le désirais, tout en jouant de son sexe sous mes yeux ses paroles devinrent salaces.
Il me fit dire à quel point je voulais sa verge, je voulais sa queue en moi, à quel point je désirais être le fourreau de l'épée du chevalier de notre équipe. Oui, je le voulais du plus profond de moi, je voulais sa queue, son sexe en moi, sa bite me défonçant, labourant mes entrailles pour y planter sa semence. Je voulais qu'il me prenne comme un étalon saillirait sa jument. Et c'est ce qu'il fit, il me pris ainsi en levrette, succombant à ses instincts les plus primaires, guidé par cette simple envie de prendre son plaisirs, de satisfaire ses besoins sexuels et en cela m'offrant à lui je satisfaisais les miens. Et c'est ainsi, comme des animaux sauvages que nous atteignirent nos pics, moi poussant sur mes mains et genoux pour m'empaler encore plus sur son chibre alors qu'il arquait son corps tout entier, donnant de violent coups de reins, tirant sur mes hanches, sur mes épaules de ses mains pour plonger sa verge en moi, faisant claquer ses couilles pleines contre mon pelvis, contre les miennes. Par ses mots, par ses gestes il montrait qui était le male alpha, le dominant de notre relation. Et une fois de plus je ne puis qu'avouait avec le recul que j'aimais cela, que je succombais pleinement à cette démonstration de force.

C'est dans un profond et puissant râle guttural qu'il atteint son extase, inondant mes entrailles de sa semence mais cela ne lui suffisait pas, il n'était pas du genre à se satisfaire d'une jouissance, il lui en fallait plus, sa soif de mon corps était insatiable et je devais avouer que moi même j'en voulais encore, je voulais le sentir en moi de nouveau, le sentir me dominer, être l'instrument de son plaisir, de sa jouissance. D'un geste sec de ses mains il me fit tomber sur le torse et le ventre, plat sur le lit il s'allongea au dessus de moi, recouvrant de son imposante stature mon propre corps. Tout en me mordant l'épaule, tout en m'embrassant dans le cou il me sodomisa de toute ses forces, me poussant à ma propre extase, me faisant jouir sans même me toucher avant qu'il n'atteigne son second orgasme avec toute la bestialité d'un animal en rut. Il nous fit alors rouler sur le côté, donnant de petit coups de rein, arquant son corps et par là même le mien alors que les derniers jets de sa semence se répandaient en moi. David m'enlaça de ses bras et resta muet, moi j'étais au nirvana, mon Apollon blond m'avait pris avec fougue, j'avais offert mon corps à son désir, à sa jouissance. "Je t'aime..." voilà ce que je venais de murmurer sans réellement m'en rendre compte, sans réellement prendre conscience de la portée de ces mots, de la sincérité qui les animait. Avec le recul j'aurais pu en rire après tout nous n'étions que de jeunes adultes répondant aux pulsions de leurs corps, satisfaisant un besoin charnel et il aurait pu s'en moquer ou ne rien dire mais tout ce qu'il fit fut de susurrer à mon oreille "Je sais.". J'aurais du saisir la portée de ses paroles, était-ce juste une réponse machinale ou il venait de m'ouvrir son coeur... Sur le coup rien de tout cela n'effleura mon esprit, nos esprits, nous étions trop épuisés tant par cette séance corporelle que par notre entrainement de water polo et par l'heure avancée. C'est haletant et respirant profondément que nous trouvèrent tout deux le sommeil, que nos corps et esprits s'abandonnèrent au royaume de Morphée.



PS: Désolé à mes lecteurs de vous avoir fait attendre, mais les deux semaines ont été bien chargées... Je vous préviens, je n'abandonne pas le récit de mon passé. Je posterai à notre retour la suite de l'équipe et moment de bonheur de ma vie au collège dans "cet été là". Oui il n'y aura pas de post avant octobre. Je, enfin nous, partons un mois entier en congé.

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