Un Garçon À L'École De Sage-Femme

Un homme à l’école de sage-femme.


Je m’appelle Elodie, j’ai une passion depuis des années, les bébés.
Je viens d’avoir mon bac et cette année, je vais commencer mes études de sage-femme, 5 longues années à l’école de sages-femmes Pierre-Morlanne à Metz.

Dès le lycée, j’ai eu envie d’exercer ce métier. La naissance, ce moment à la fois magique et mystérieux, m’a toujours fascinée.
Nous sommes 18 filles à suivre la 1ère année. 18… Non… Le 1er jour de cours, je me suis aperçue de mon erreur, un prénom m’a induit en erreur. Claude F. n’est pas une fille mais un garçon… C’est un jeune homme sympa.
Il m’a raconté qu’il est l’aîné de 6 s et a dû seconder assez tôt sa mère qui a des problèmes de santé pour élever cette grande famille.
De la lui est venu cette envie d’aider à mettre au monde des bébés. Le plus beau métier du monde.

Un trimestre est passé et je commence à entendre de drôles de bruits qui courent sur lui.
Ce n’est pas un garçon qui profite du fait d’être le seul mâle du troupeau pour essayer de nous draguer à tout va, il est même plutôt réservé. Mais j’ai surpris des conversations bizarres.

Cloé et Brigitte en pleine conversation parlaient d’un (cas rare), je croyais qu’elles discutaient d’un sujet de cours et j’ai tendu l’oreille.
Je vous rapporte ce que j’ai entendu :
-Comment te dire ! Je ne suis encore jamais tombée sur un gars avec autant de choses qui sortent de l’ordinaire. On ne peut pas dire que ça soit un apollon mais comme je l’avais sous la main, pourquoi chercher plus loin pour une baise vite fait.
Il a fallut que j’insiste lourdement pour qu’il me laisse l’approcher. Certains auraient dit oui tout de suite mais il m’a fallut 15 jours de drague pour qu’il accepte enfin de m’emmener dans sa chambre.
Je crois bien que j’ai été la première fille qui l’ait embrassée, j’ai du prendre ses mains et les poser sur ma poitrine sinon il n’aurait jamais osé me toucher.


Je me suis attaqué à son pantalon et j’ai découvert son premier secret….. Il a une queue de bonne taille ce qui est une bonne chose mais ce qui m’a frappé quand j’ai commencé à le branler, c’est la grosseur de son gland.
Quand il s’est mis à bander, il est devenu énorme comme le chapeau d’un champignon !
Un truc de dingue ! J’ai voulu le sucer mais il était si gros que je ne pouvais pratiquement rien mettre de plus dans ma bouche.
Je l’ai poussé sur son lit pour le chevaucher mais quand j’ai essayé de m’empaler sur ce gourdin, la douleur que j’ai ressentie quand son gland a distendu mes lèvres intimes était si violente que j’ai renoncé à aller plus loin.
Pour me faire pardonner, je lui ai fait une fellation de feu. Comme je n’ai pu goûter que la tête dans ma bouche, je l’ai travaillé tout le long de la hampe avec la langue et ai gobé ses œufs l’un après l’autre. Mais il est vachement résistant le bougre pour un puceau. J’ai cru que je n’arriverais jamais à le faire cracher.
Et là j’ai découvert son deuxième secret…. C’est un vrai diesel !!!
-Qu’est ce que tu veux dire par là ?
-Eh bien tu vois, en général quand un homme éjacule, ça ne dure que quelques secondes, 10 tout au plus, c’est très rapide.
Mais avec Claude, on dirait qu’il éjacule au ralentit. Il a balancé un premier jet bien copieux qui m’a bien éclaboussé puis plus rien, j’ai continué à le branler croyant que c’était déjà fini quand un deuxième jet tout aussi puissant m’a pris par surprise. Et à cinq reprises encore, sous ma main qui continuait son travail, il m’a balancé des doses de foutres de plus en plus espacées. Ca a bien durer une bonne minute, j’en avais partout.
J’ai arrêté de la branler mais sa queue n’a pas voulu baisser la tête, toujours aussi dure avec cette énorme prune violette au bout.
Il m’a supplié :
-Continue encore, n’ai pas peur d’insister, ne me laisses pas comme ça !
Je n’ai pas bien compris ce qu’il voulait me dire par là mais comme j’aime bien sucer et branler les mecs, j’ai repris du service.

Il ne s’est pas passé 5 minutes quand il m’a prévenu :
-Excuse-moi mais je vais encore jouir !
Et j’ai découvert son troisième secret. Il a de nouveau éjaculé, toujours aussi copieux, toujours aussi lentement.
Et il y a eu une 3ème fournée encore un peu plus tard. Beaucoup moins copieuse mais encore plus longue.
Brigitte rigole et rétorque à Cloé :
-Tu me racontes des bobards, ça n’existe pas un amant comme ça !
- Si tu ne me crois pas, tu n’a qu’à essayé toi-même !
-Chiche !

Je les ai espionnées et une semaine après j’ai réussi à connaître la suite de l’histoire.
Cette fois, en plus des Cloé et Brigitte, il y avait Agnès, Sandrine et Stéphanie.
L’histoire avait commencé à passer de bouche à oreille et les filles voulaient savoir le verdict de Brigitte :
-Bon les filles, je vais vous raconter ! L’aventure avec Cloé a un peu dessalé Claude, il ne m’a fallu que 3 jours pour le prendre dans mes filets. Il ne voulait pas au départ arguant qu’il avait une aventure avec Cloé et ne voulait pas la tromper mais j’ai si bien su y faire que je suis arrivé à mes fins. On s’est donc retrouvé dans sa chambre et je peux vous dire qu’il a été beaucoup plus entreprenant qu’avec toi, Cloé. Dès le premier baiser, il me déshabillait pendant que je faisais de même avec lui.

Effectivement, j’ai été impressionnée moi aussi quand j’ai dégagé sa queue déjà en pleine érection de son slip. On apprécie quand on tombe sur un beau morceau mais malgré ce que m’avais dit Cloé, je n’en revenais pas de son gland, comment peut-on avoir un si gros bout ?

Quand je le branlais, ma main venait en butée sous son chapeau, du jamais vu !
Je l’ai pris en bouche mais je n’ai pu comme toi avaler que quelques centimètres supplémentaires tellement son gland déformait ma joue.
Je lui ai fais voir comment faire pour donner du plaisir à une femme avec ses mains et sa bouche, c’est un bon élève qui apprend vite, il m’a fait jouir sous sa langue.

Mais quand il a voulu me prendre malgré mes muqueuses copieusement trempées, je me suis mise à crier sous sa pénétration tout en douceur. J’ai abdiqué après 2 ou trois allers-retours et lui ai dit que c’était trop douloureux, qu’il me faisait trop mal. Il n’a pas insisté et s’est retiré, déçu.
Je n’ai pas voulu le laisser comme ça et comme Cloé, je j’ai amené à la jouissance avec mes mains et ma bouche.
Et la, le miracle s’est reproduit. Quand il a atteint l’orgasme, un formidable jet m’a copieusement crépit le visage. Comme je connaissais le loustic par les dire de Cloé, je l’ai astiqué de plus belle pour connaître la plus longue éjaculation de ma vie de femme.

Quel phénomène ! Je n’ai pas arrêté ma branlette malgré qu’il se soit tari après de nombreuses explosions de sperme pour voir si ce que m’avait affirmé Cloé était vrai.
Et quelques minutes plus tard, sa lance s’est réamorcée. Je l’ai chronométré, il lui a fallu 80 secondes pour se tarir.
J’ai continué pour avoir mon 3ème tribu. Il lui fallait plus de 20 secondes entre chaque crache. Du jamais vu !

Je vous dis pas comment (radio sage-femme) a répandu l’info sur les ondes.
Dans les mois qui ont suivis, un grand nombre de mes futures collègues ont expérimenté la tête chercheuse au bout de ce jonc vigoureux.
Un tableau des records s’est créé, de celle qui arrivait à absorber le plus de cette formidable flamberge ou de celle qui arrivait à tirer le plus de jus de ce colosse ou encore celle qui avait obtenu le plus de rappel avant que le braquemard ne rende les armes.

Et les commentaires et informations qui en ont suivis.
Diesel, (c’est le surnom dont on l’avait affublé entre nous) a connu un nombre non défini de chattes et de bouches qui ont toutes voulu (expérimenter) ce gros dard.
Ventiane, qui est d’origine asiatique nous a même avoué qu’elle n’avait pas pu prendre son gland en bouche, ne pouvant en goûter que le museau mais que ses mains avaient quand même réussi à déclencher le feu d’artifice qui fait la réputation de Claude.


Pierrette, une martiniquaise, est pratiquement la seule qui soit arrivé à le supporter en elle. Elle nous a raconté son exploit :
-Vous savez, nous dans les îles, on est habituées aux gros gabarits. Je dois quand même dire que Claude dépasse de loin tout ce que j’ai connu. J’ai bien réussi à gober une quinzaine de centimètres dans ma bouche mais quand son gland a obstrué ma trachée, il a bien fallu que je m’avoue vaincue. Quel pal !

Mais quel pied j’ai pris quand son rostre s’est tracé un chemin dans ma fente, m’a écarté les muqueuses pour prendre possession de ma grotte, mon vagin épousait au plus près son bélier à la tête formidable qui a exploré des zones jamais défrichées par la gente masculine.
Je n’ai jamais été limée aussi longtemps et n’ai pas voulu qu’il se retire quand il a éjaculé, il m’a rempli à 3 reprises en moins d’un quart d’heure.
Et je peux vous dire que ça fait drôle de sentir un homme se vider en vous pendant un temps qui n’en fini pas.
Je n’ai pas voulu en rester là et j’ai repris en bouche son chibre pour en extraire encore du jus pendant que ma chatte se vidait sur mes cuisses en de longues trainées blanchâtres.
Il m’a de nouveau donné son tribut après un long moment, exténué, mais je n’ai pas accepté de voir son engin baisser la tête.
Je me suis escrimée un bon bout de temps avant qu’il ne reprenne de la vigueur et encore plus avant, pour la 5ème fois, vider ses couilles. Je n’ai obtenu que 3 malheureuses craches par rapport à ce qu’il nous a habitué mais qui feraient pourtant le bonheur de pas mal de mâles, espacées de pratiquement 2 minutes entre elles.


Je crois que je suis la seule qui n’ait pas cédée à mes plus bas instincts.
Il faut dire qu’il se comporte différemment avec moi, il est attentionné, plein de prévenance.
Je suis pour lui une soupape de lucidité et d’amitié dans ce troupeau de femmes en rut.

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Nous avons finis nos études et par les hasards de la vie, nous sommes retrouvés dans le même hôpital 7 ans plus tard. Nous nous sommes fréquentés, nous nous sommes mariés et il est le père de nos deux s.

Et j’ai à ma disposition tous les jours que Dieu fait, cette belle queue de champignon avec son gros chapeau.

Notre premier rendez-vous était plein d’appréhension après les souvenirs des histoires qui le concernaient.
En plus avec les années, le frêle jeune homme est devenu un homme robuste.
La première fois que nous nous sommes retrouvés dans le plus simple appareil, j’ai enfin pu mettre une image sur les fantasmes que je me suis inventés.

J’avais enfin sous les yeux l’objet de tant de convoitises de mes anciennes voisines d’étude.
Je ne sais pas s’il s’est aussi développé de ce coté là mais j’ai pris peur.
Avec beaucoup de gentillesse et de douceur, il m’a rassuré et s’est montré plein de bienveillance pour que je laisse tomber mes appréhensions.
Je n’étais plus, moi aussi une oie blanche et me suis saisis de cette colonne de chair terminée par ce chapiteau si célèbre. Mes lèvres en ont gouté le suc et la consistance de granit sous une peau de velours, je n’ai pu comme les autres n’en apprécier que quelques centimètres.
Il m’a pendant de longues minutes amené au nirvana sous ses caresses et ses coups de langues avant que l’on passe à l’acte.
Il m’a rassuré, se couchant sur le lit en me disant :
-Je te laisse faire, fais comme tu le désire, je respecterai ton choix, je sais que certaines femmes ne veulent pas aller plus loin.

Je me suis mise à genoux, une jambe de chaque coté de son corps, j’ai pris sa verge couchée sur son ventre pour la frotter plusieurs fois sur ma vulve. Doucement, très doucement, j’ai plié les genoux faisant peser mon corps sur ce gland disproportionné.
L’intromission de cet intrus entre mes grandes lèvres puis les premiers centimètres dans mon vagin m’ont rappelé mon dépucelage en encore plus douloureux.
Pendant de longues secondes, je ne bouge plus, indécise, mais me coinçant la lèvre inférieure entre les dents, je reprends l’intromission.
Centimètre après centimètre, le gland trigonocéphale remonte ma gaine de velours, repoussant devant lui mes chairs intimes, se frayant un chemin jusqu’au col de l’utérus ou il finit sa course en butée.
Je suis assise sur son ventre, je ne bouge plus, croyant m’être déchiré la matrice.
Claude se met à donner de petits coups de reins, je sens coulisser en moi ce gland disproportionné qui tel un goupillon, récure mes parois intimes.
Je me suis lentement habituée à son épieu et commence à éprouver du plaisir qui inhibe la douleur.
J’arrive plusieurs fois à l’orgasme avant qu’il ne me dise qu’il va jouir.
Je ne veux pas rater le spectacle tant de fois commenté devant moi et m’extrais de son vit.
Il se caresse doucement et je vois une goutte de pré-sperme briller au méat.
Son formidable piston lâche enfin sa semence sous pression qui monte devant mes yeux avant de maculer son corps d’une traînée blanchâtre de la pointe du menton jusqu’à son nombril.
Nonchalamment, il continu à se branler obtenant toutes les 10 à 15 secondes une nouvelle éruption de son « piton de la fournaise ».
Des lignes de foutres viennent de nouveau maculer son torse à coté des précédentes.
Quand il est enfin tari, ma bouche remonte ces longues traces blanches pour ne rien laisser en perdre comme une junkie sniffe des lignes de coke.

Claude me murmure :
Viens, j’ai encore envie de toi !
Et en l’espace de 10 minutes, ma chatte et ma bouche goûtent chacune à leur tour à la divine liqueur.



Quand nous revoyons d’anciennes collègues de classe, je vois leurs regards envieux.
Mais je sais que malgré qu’elles aient eu en main son sexe et en aient abusé, il ne leur accorde plus aucun intérêt.
Ce qu’il cherchait c’est l’amour et il l’a trouvé avec moi !

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