De Retour À La Maison

C’est vendredi soir, je viens de rentrer à la maison.
J’ai passé une bonne semaine au travail mais je suis terriblement en manque de toi. C’est très difficile la semaine de ne pas avoir sa petite femme soumise à disposition qu’on peut câliner au lever, embrasser au retour du travail mais aussi doigter ou lécher sur le canapé à l'envie, et sur qui, après le sexe, je peux pisser sur les seins, le ventre et le visage avec tant d’affection et de tendresse que c’est notre complicité qui s’en trouve flattée.
Il se trouve que cette semaine tu ne m’as écris aucun récit sexuel pour assouvir mes fantasmes et me montrer comme tu es une femme parfaite qui continue d’être soumise et dominée en pensée à son homme tant aimée, même en son absence.
Nous avons posé nos manteaux et dans la cuisine je t’ai pris dans mes bras pour t’embrasser très langoureusement tellement je t’aime et que tu m’as manqué. Je caresse tes fesses avec envie, ton corps accueille mes caresses dans des frissons qui te parcourt le corps et rende absolument joyeuse.
Puis je me détache de toi et je te demande de nous apporter un apéritif pour nous rafraichir avant que je ne mette mon sexe en bouche pour te la baiser sans le moindre complexe. Et je te dis d’ailleurs que cette fois ci je te baiserai la bouche comme je te baise en levrette, je tiendrais ton visage comme je tiens tes hanches et tu feras en sorte que ta bouche me soit aussi agréable que ton vagin ou ton cul quand j’y enfonce mon sexe. Tu m’as répondu un « oui chérie » complètement ravi, ce qui m’a beaucoup plus parce que dès ce moment là je pouvais enfin me sentir chez moi, totalement maitre incontesté de notre maison et de ma femme.
Pendant que tu préparais l’apéro il me venait à l’esprit l’envie de te fouetter quelque peu le corps pour pouvoir te punir d’avoir manqué de m’envoyer des scénarii nouveaux de moi qui te soumet, te baise et te fait te sentir si libre de ne plus avoir à être que l’être le plus dévoué qui puisse exister au plaisir de ton homme.

Mais comme j’avais encore envie d’être tendre avec toi et profiter de nos douceurs pour te répéter avec les yeux les plus épris qui soient comme je suis heureux d’être rentré, comme tu m’as manqué, comme je suis fou de toi et comme je t’aime plus que tout au monde, je suis resté assis sur mon fauteuil et j’ai reluqué ton cul dans la robe longue que tu avais mise pour venir me chercher.
Nous avons bu l’apéro, tu étais dans mes bras et j’ai passé tout ce temps à te flatter et te dire comme tu étais la femme de ma vie et de mes rêves.
Puis je me suis levé, j’ai ouvert mon pantalon et sorti mon sexe en cours d’érection. Il était assez bandé pour être gros et assez souple pour que je puisse le poser tout entier sur ton visage, mes couilles étalées sur sur ta bouche et ma verge frottant ton nez tandis que mon gland caressait ton front. J’ai reculé d’un bas et j’ai enfoncé ma bite dans ta bouche pour que tu commences à la sucer.
tu t’y es mis avec dévotion, tes succions étaient magnifiques à voir. elles étaient entières, descendaient jusqu’à la garde de mon sexe et tu remontais lentement en aspirant bien fort pour simuler dans ta bouche l’étroitesse de ton vagin depuis si longtemps dévoué à mes érections et mes éjaculations de sperme. L’ivresse de la fellation s’empare alors de nous et je m’empare de ton visage pour commencer à te baiser la bouche et t’insulter d’être une petite pute d’aimer être ainsi baisée. Mes insultes ne te laissent pas indifférentes, tu les aimes venant de moi et tu ne bouges pas, toute concentrée que tu es à être la meilleure bouche à baiser qu’un maitre en sa maison puisse avoir.

Après dix bonnes minutes à te dominer aussi vigoureusement de mon sexe éructant, mon envie de fouetter ton corps m’a rappelé. Je suis sorti de ta bouche et t’ai ordonné de m’attendre là, j’ai saisi notre fouet dans la chambre ainsi que le bandeau de soie pour tes yeux. Je suis revenu dans le salon et tu m’as regardé avec admiration, mon sexe bandant à l’air, mes muscles du torse éveillé de toute cette testostérone de dominant et notre fouet en ma main.
Tu es toute excitée et tu te sens fier qu’après une si bonne fellation j’ai maintenant envie de te bander les yeux et de te fouetter le corps. J’ai posé le bandeau pour libérer ma main droite mais j’ai gardé le fouet dans ma main gauche. Puis j’ai étreins ton cou et je me suis à ton oreille pour te susurrer comme j’étais fier de tes pipes. J’ai alors repris de t’embrasser suavement et tendrement. Nos langues qui se touchent c’est comme si d’une caresse nous nous caressions instantanément tout le corps. C’est complètement magique. Et toi tu sens mon étreinte dominatrice sur ton cou et cela te procure une sensation de bien être absolue. Tu vis ce pour quoi tu aimes tant notre relation : la liberté d’être aimé et toute entière offerte au male dominateur de tes fantasmes les plus interdits. Je me suis retiré de notre dernier baisé et je t’ai alors saisi les cheveux avec fermeté pour redresser ton visage et l’étirer le plus possible en arrière et là d’une voix qui t’es chère je t’ai annoncé que j’allais te fouetter pour te punir de m’avoir fait souffrir de manquer de toi pendant la semaine. Je t’ai montré le grand canapé pour que tu quittes le fauteuil et aille t’y installer. Tu t’es installée dessus à 4 pattes comme je te l’ai ordonné. Je me suis placé à hauteur de ton visage, puis j’ai saisi à nouveau fermement tes beaux cheveux et j’ai frappé sur tes fesses mon premier coup de fouet. Tu as bougé sous le coup de la douleur et je t’ai demandé de te contrôler pour rester sous mon fouet et recevoir docilement ta punition. Je caressais le fouet sur ton dos du bout des lanières et sans que personne ne puisse le savoir, je refaisais claquer ses lanières sur tes fesses et sur le côté de tes jambes. J’ai alors placé mon sexe dans ta bouche et j’ai continué d’alterner les caresses et les coups de fouet sur ton corps tout en faisant moi même le va et vient dans ta bouche, je te tenais toujours tes cheveux en main tellement mon désir de te posséder était ardent. Après quelques châtiments comme cela, j’ai lâché tes beaux cheveux et j’ai caressé ton dos pendant que tu faisais buter toi même mon gland contre le fond de ta bouche, puis j’ai repris les coups de fouet et je t’ai ordonné de te toucher d’une main le clitoris pour pouvoir jouir en même temps que moi et sous les coups vigoureux et si rapides de notre fouet.
Au vingtième coup de fouet environ j’ai fini par jouir dans un râle grave et étiré et toi aussi, ton orgasme est montée pendant qu’en ta bouche le gout de mon sperme se répandait. J’ai retiré mon sexe en t’ordonnant de tout garder dans ta bouche pour me le montrer. Tu es restée à 4 pattes et le spectacle que tu m’offrais me ravissait. J’ai mis mes doigts dans ta bouche pour prendre un peu de sperme et te l’étaler sur la pointe de tes tétons et sur la raie de ton cul. Puis j’en ai pris encore un peu pour l’étaler autour de ta bouche avant d’aller chercher ta robe longue pour que tu puisses recracher tout ce qu’il te restait de mon sperme dessus.
Je t’ai alors félicité et offert un baiser léger sur tes lèvres. Puis je t’ai demandé de t’allonger sur le dos afin que je puisse me repaitre du plaisir de lécher ton sexe jusqu’à ton deuxième orgasme, encore plus long cette fois ci.


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