J'Ai Fait L'Amour Avec Mon Nounours !

-Salut, pourquoi tu viens ?
- Je cherche un gros nounours câlin. Je voudrais me sentir tout petit, en sécurité, me blottir dans bras. Il devra aimer me déshabiller, comme un bébé a qui on va donner le bain. Après ça, je serais tout à lui. Il pourra faire ce qu'il veut de mon corps, sauf me faire du mal...
- Tu cherches un mec comme moi, quoi !
Je me retourne, je reste sans voix. Vous voyez la série télévisée où une équipe tente de résoudre des affaires non classées. L'acteur noir, toujours affable, doux, la voix posée. Une stature de colosse avec des mains immenses. Le sourire presque triste. Sa copie conforme était devant mes yeux. Je suis resté de longues minutes, la bouche ouverte, incapable de prononcer une parole. Je suis sûr qu'il mesurait plus de 2 m, et pas loin de 150 kg. Il s'est approché, et m'a pris dans ses bras. Il s'est penché, a passé son bras sous mes fesses, et m'a soulevé. Puis, il a tourné les talons et m'a emporté.
J'étais dans un sauna. Le grand noir m'emportait, je ne sais où. Il aurait pu m'emmener dans l'antre du Diable, je n'aurais pas réagi. Il était massif. Le torse puissant. Ses bras étaient musculeux et plus longs que la moyenne. Je ressemblais à l'héroïne de King Kong, dans les bras du monstre. Il prit ma tête dans sa main et la colla contre son torse. J'étais bien.
Sa main descendit sous mes fesses pour les caresser. Son gros doigt suivait la ligne qui sépare les deux globes. En fermant les yeux, j'aurais pu croire qu'on tournait le film. J'aurais été Jessica Lange.
Il m'amena dans une loge, et entreprit de me dévêtir. Avec une douceur incroyable, il retira mon t-shirt, puis, il saisit mon slip, entre mes cuisses, sous le périnée. Il tira vers le bas. Comment, a-t-il deviné ? Mes fesses sont petites et très cambrées. Les sous-vêtements de ma taille, peinent à les contenir.

Le glissement du cordon sur le galbe de mes fesses, puis, le long de mes cuisses, provoque chez moi, une formidable érection. Il colla un doigt énorme au bas de mes fesses, et lentement, il remonta en suivant le sillon de ma raie, jusqu'à la naissance de mes fesses, en appuyant juste assez pour les écarter, mais pas assez, toutefois, pour y glisser une phalange. Je frissonnais de tout mon être.
Il prit ma pine dans sa main. On aurait dit une flûte, dans sa grosse paluche. Le clou, ce fut quand il passa ses bras, sous mon torse, et sous mes cuisses. Il me souleva, et posa ses lèvres sur mon cul, comme un papa embrasse les fesses de son nouveau-né.
J'ai ouvert sa braguette, et j'ai dégagé son gros engin. J'avais du mal à refermer mes doigts autour du salami sombre que je venais de libérer. Ma langue visita les endroits invisibles de sa bite quand elle est au repos. Je me suis attardé sur la fente de son énorme gland. Comme je ne pouvais pas le prendre dans ma bouche, je l'ai léché à grands coups de langue. J'ai pris ses couilles entre mes dents et les ai gobées comme des bouchées chocolatées. Là, il a réagi. Il a glissé un doigt dans ma raie, et a cherché mon petit trou. Quand il l'a trouvé, il a glissé son doigt dans sa bouche, puis me l'a enfoncé dans le cul.
Me doutant qu'il lui faudrait qu'il ait une compensation, j'ai déposé force salive, sur le mat qui lui servait de bite. Lui, tentait de lubrifier et détendre mon anus, avec son doigt. Je relevai la tête, et croisai son regard. Il décela un assentiment dans le mien. Il passa ses mains sous mon cul, et me souleva. Avec les miennes, j'écartais mes fesses. Le gland monstrueux se posa sur mon petit trou, et, avec une tendresse infinie, et beaucoup de précautions, il me laissa descendre sur son membre. Le gland commença à pénétrer, mais le gros manche, me distendait l'anus. Le géant crachait dans ses mains, et tentait de lubrifier ce qui refusait d'entrer. Je ne fus pas peu fier, quand enfin mes fesses reposèrent sur ses cuisses.
Ce qui ne tenait pas dans ma main était rentré dans mon cul.
Sa grosse main s'est emparée de ma si petite bite, et m'a branlé. J'ai joui dans sa main, mais ça a été anecdotique, comparé à ce que j'ai ressenti, quand il a envoyé la purée dans mon cul.
Tous les weekends, je suis retourné au sauna, et puis un jour, il a disparu. Je ne connais pas son nom, ni lui, le mien. Il voulait absosulument que je l'appelle Nounours.

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