Service Aux Refugies

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ce matin, je me suis levé avec cette boule d’angoisse au creux de l’estomac. Elle me m’a pas quitté de la nuit. Pourvu qu’il soit discret, et qu’il ne mette pas sa menace à exécution. Surtout, qu’il n’aille pas cafter à ma mère. C’est à cause d’elle que tout est arrivé. Et cette putain de vidéo ...

Je suis descendu prendre mon déjeuner, ma mère m’a demandé comment ça s'était passé avec Sacha. J’ai pris mon air le plus innocent pour lui dire que tout s'était bien passé, et que si j’avais tardé, c’est parce qu’on avait discuté un peu. Elle m’a félicité, m’a dit que mes bonnes actions m’ouvriraient les portes du paradis … Si elle savait ... ce sera plutôt l’enfer de la luxure.

Même à la fac, toute la journée, impossible de penser à autre chose. Pourquoi je m'étais laissé faire ? En plus, j’avais pris du plaisir, et maintenant il avait cette vidéo de moi en train de gueuler mon bonheur ! Cela ne doit pas se savoir, quelle honte, faire ça avec un homme.

J’ai traîné à la bibliothèque de la fac, pas question de rentrer tôt, ou ma mère va encore m’emmener au Service aux Réfugiés. Notre commune a été choisie pour accueillir un groupe de réfugiés venu de l’Est. Pour la plupart, ils logent dans un bâtiment municipal désaffecté. Sasha lui, a choisi de construire une cabane avec des matériaux de récupérations, dans une clairière, près du village. Ma mère, comme beaucoup de Dames de la Paroisse, et sous la direction de Monsieur l’Abbé, va leur servir la soupe tous les soirs dans l’ancien gymnase.

Elle s’est prise d’affection pour ce grand type dégingandé, maigre à faire peur, mais qui a, selon elle, un regard si doux. Souvent, je vais l’aider à la cantine, éplucher les légumes, préparer les gamelles, et même servir les repas. Mais cette fois, elle m’avait demandé d’aider Sacha pour ses papiers. Il parle à peu près le français, mais ne peut pas se dépatouiller avec l’administration.

Grâce à mon action, il a pu bénéficier d’une aide supplémentaire.

Hier soir, après le repas, je l’ai raccompagné jusqu’à sa cabane. Il voulait me remercier. Il m’a fait visiter, c’est pas mal foutu, tout d’un coup il me propose :

- Ça te dirait qu’on se branle tous les deux ? Dans mon pays, on fait ça entre amis, ça soude les liens.
- Euh… non merci Sacha. Mais ici on ne fait pas ça.
- Tu es sûr ? Regarde, tu vas aimer.

Il n’attend pas ma réponse, il baisse son pantalon et écarte les jambes pour me la mettre bien en évidence. Elle pend, énorme comme un bras d’, je suis rouge de honte, je ne sais plus où me mettre. Catholique pratiquant, je n’ai que peu d’activité sexuelle, juste une petite branlette, je préfère me préserver en attendant de trouver l’âme sœur

Je n’arrive pas à détourner mon regard de sa queue et je sens une excitation me gagner, je suis à l’étroit dans mon boxer. Il le voit, att mon poignet et tire ma main sur sa queue. Je ne résiste pas, il a une poigne phénoménale, je suis complètement troublé, c’est la première fois que je touche une bite, c’est torride.

Elle est épaisse, lourde, et elle palpite dans ma main. Sans lâcher ma main, il lui imprime un mouvement de va-et-vient, je me laisse faire car je sens qu’il y prend du plaisir. Il lâche ma main et commence à me déshabiller, je continue mon mouvement, mécaniquement, je n’ose pas arrêter, je ne sais pas pourquoi.

J’ai un frisson quand il pose sa main sur ma queue. Il caresse ma bite qui s’érige, palpe mes bourses, je copie mes mouvements sur les siens, incapable de penser, comme si j’étais téléguidé.

- Tu me branles bien ! Ne t'arrête pas, c’est bon !

Il pose ses mains sur mes épaules et me repousse. Je recule, mes mollets heurtent le lit. Il continue de pousser, je m’assois au bord du lit. Il approche sa queue de mon visage, m’ordonne de continuer. Sa voix a changé, son ton est devenu autoritaire, j’ai peur de lui déplaire.
Sa queue se balance sous mon nez, son odeur envahi mes narines, le musc capiteux du mâle en rut m’enivre.

- Ouvre la bouche, tu verras, tu vas aimer.
- Non pas ça, s’il te plaît, Sacha.
- Juste tu goûtes, tu ne pourras plus t’en passer, tu verras, ouvre ta bouche, mon poussin.

Je n’arrive pas à lui résister, je frotte le gland contre mes lèvres, j’entrouvre mes lèvres pour lui lécher le gland, la grosse bite frémit dans ma main. Impatient, Sacha empoigne ma tignasse et pousse. J’ouvre ma bouche et le gland s’engouffre.

- Voilà, suce bien, petit, tu vas aimer ça, je te promets.

Ses hanches ont un mouvement de balancier, il cherche à pénétrer plus profond, jusque dans ma gorge, mais je peux pas, j’ai la nausée. Alors, il se calme, finit de se déshabiller, me repousse plus loin sur le lit et s’allonge tout contre moi.

Ses mains caressantes explorent mon corps, jusqu’entre mes fesses. Je crains le pire, je serre les fesses, alors il me parle tout bas, dans sa langue, et je me calme. Il continue son exploration, un doigt dans mon rectum.

- Détends-toi, laisse-toi faire et continue de me branler.
- Pas dans mon cul Sacha. Pas ça. S’il te plaît, Sacha.
- T’inquiète pas, détends-toi, laisse-toi faire, tu vas aimer.

Nous sommes sur son lit, nus tous les deux, couchés sur le flanc, face à face, il m’enveloppe dans ses bras musclés, une main sous mon menton retient ma tête, sa langue explore ma bouche, son autre main, eh bien, son doigt s’agite dans mon rectum. Il lance sa jambe sur moi pour me presser contre lui. J’ai mes deux mains sur sa bite, l’une le masturbe, l’autre malaxe ses couilles.

J’agis dans un état second, en pensant que plus vite il aura fini, plus vite je serai débarrassé, et je pourrai rentrer chez moi. Son doigt est plus gênant que douloureux, je le sens pénétrer en moi une deuxième phalange, ma queue est dure comme de la pierre, je me frotte contre lui, il est velu de partout, un poil gris et rêche.


Je commence à gémir malgré sa langue qui remplit ma bouche, mes soupirs l’excitent et je le sens accélérer dans mon cul, il devient plus fougueux, il me baise le cul avec son doigt.

- Délicieux, ton petit cul joufflu, un vrai cul de fille.

Il reprend son souffle et rentre un 2° doigt, je gémis encore plus fort, ce qui a le don de l’exciter, il accélère et me baise comme un malade, agite ses doigts à toute vitesse, je couine comme une fille, il n‘en a rien à foutre, il me mordille le cou, l’épaule, me raconte des trucs dans sa langue, je découvre une personne complètement différente, un vrai pervers.

- Putain, tu m’excites trop, bébé, faut que je te baise là ...
- Non ! C’est déjà trop pour moi, s’il te plaît ! On arrête maintenant ! S’il te plaît ?
- On n’arrête rien, bébé, regarde comment tu bandes ! T’en as envie autant que moi ! Tourne-toi de l’autre côté, tu vas aimer. Fais-moi confiance, je vais te faire prendre ton pied.

Je n’ose pas résister, je me tourne en chien de fusil, les mains sur mes fesses que j’écarte, je bande à mort sans comprendre ce qui m’arrive. Il fait glisser sa queue gigantesque entre mes fesses, il va me déchirer, ou m’estropier, c’est sûr. Il crache sur ses doigts, me mouille le trou, puis sa bite, et se présente devant mon sphincter.

Je sens son gland brûlant de désir pousser contre mon trou, il force un peu, mon sphincter résiste, il me grogne de bien m’écarter, pour avoir moins mal, et pousse plus fort. Je gueule comme un malade, le gland passe l’anneau rectal, il s’arrête pour que je reprenne mon souffle.

Il m'écarte au maximum, c’est beaucoup plus large que ses doigts, je souffre et je halète comme un jeune chiot. J’étais venu pour l’aider, pour le secourir, un pauvre malheureux, et je suis tombé sur un commando, un type qui a fait la guerre, qui a vu des horreurs, qui a survécu, et qui se fout de ma souffrance, pour lui c’est que dalle.

- Tu es serré, mais c’est passé.
Ta première bite, mon chéri, tu vas en avoir plein d’autres !
- Fais doucement, tu me défonces !
- T’inquiètes, le meilleur est à venir !

Son attitude change complètement, il me choppe la cou et me tire en arrière contre lui. Il m’enlace, se colle contre moi, ses jambes et ses bras m’emprisonnent, et il commence ses va-et-vient, sa queue rentre plus profondément à chaque coup. Il me ramone le fondement en poussant des grognements sauvages, on dirait un animal, il se déchaîne, je suis pris dans une tempête, ses coups augmentent encore de puissance, mon cul est rempli, distendu, bourré, je couine comme une fille.

- Tu prends ton pied, salope ? T’aimes comme je te baise ?
- Aaaah !

Il me claque le cul. Une putain de claque !

- Dis-le, salope.
- Oui … Oh, oui ! Baise-moi ! Baise-moi fort !
- Une petite salope comme toi. Il faut que j’immortalise ça.

Il prend son téléphone et commence à me filmer.

- Non, s’il te plaît, pitié, ne me filme pas, s’il te plaît...
- Ta gueule. C'est moi qui décide, chéri ! Tiens, prends ça !

Il accélère encore, comme un dément, je bave dans mon vertige, je couine, les chairs claques, mon cul est détruit par la puissance de ses coups. Il cale son téléphone sur le côté pour continuer à filmer, me paralyse entre ses bras costauds et me pilonne le trou, Je jouis pour la première fois, ma queue crache du foutre, j’exulte et je crie mon bonheur.

Il ressort sa queue, me chevauche, me coince entre ses cuisses musclées, se branle sur moi, et jouis. Une quantité impressionnante de sperme jaillit sur moi, principalement sur mon visage, mon cou et le haut de mon torse. Il me recouvre de foutre chaud et visqueux. Il y en a énormément, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas joui pour en produire autant. J’en ai partout, dans les yeux, dans le nez, dans la bouche. J’ouvre la bouche pour respirer, il en profite pour faire entrer sa queue.

- Tiens, suce-moi, petite pute, tu m’as bien fais jouir !

Je le laisse se finir sur moi, je suis épuisé, vidé, brisé. Il s’allonge contre moi pour reprendre son souffle, m’enlace et me caresse tendrement.

- Ça faisait un bail que j’avais pas baisé, t’as pris ton pied, hein ?
- Non, enfin je ne sais pas ...
- Comment ça, tu sais pas ? T’as gueulé comme une salope en chaleur. Vas-y, casse-toi maintenant, je t’appellerai.
- M’appeler ? Pourquoi ?
- Quand j’aurais envie de te baiser ! Ton cul m’appartient, maintenant.

Je flippe grave. Je file direct, la nuit est tombée, je me faufile, discret, la douche, j’empeste le foutre, et je me couche, épuisé. Impossible de trouver le sommeil. Je suis crevé, mais les images de la soirée, comme un mauvais film, défilent dans ma tête.

Les cours à la fac finissent à 17H, mais je traîne à la bibliothèque avant de rentrer chez moi, et je m’enferme dans ma chambre pour ne pas être dérangé. Depuis plusieurs jours j’évite tout contact avec ma mère, de peur qu’elle ne me traîne au Service aux Réfugiés. Pourtant, elle me parle de Sacha tous les jours.

- Il a demandé de tes nouvelles, il s’inquiète pour toi, il si gentil, si serviable, ça lui ferait plaisir si tu passais le voir. Il est si seul, tu es son seul ami.

Le pire, ce que je craignais est arrivé, mon téléphone sonne, c’est le numéro de Sacha qui s’affiche, j’ai un bloc de glace qui grossit dans mon ventre quand je décroche :

- Comment va mon petit chéri depuis l’autre soir ? Je dois te remercier, tu m’as fais passer une excellente soirée.
- Je vais bien. Mieux. S’il te plaît, sois discret, ne dis rien, à personne, et arrête de baratiner ma mère. Je t’en supplie, pitié, c’est trop la honte !
- Ne t’inquiète pas, mon chéri, c’est notre petit secret à tous les deux.

Je pousse un soupir de soulagement, mais il reprend.

- Et ça restera notre petit secret … si tu viens me faire une petite visite ...
- Euh non, pas possible, j’ai trop de boulot et je suis crevé, une autre fois, merci.
- Viens me voir maintenant, mon chéri, j’ai envie de te … voir !
- Non merci, pas ce soir, c’est bon.
- Viens tout de suite, sans discuter, ferme ta gueule et rapplique (le ton a brusquement changé)
- Mais pourquoi ?
- Parce que je t’ordonne de venir, sinon je peux montrer une vidéo à ta mère … ou à Monsieur l’Abbé ...
- OK ! J’arrive !

Je suis en panique, je me demande quel plan a germé dans sa tête de malade, c’est sûr qu’il a une idée derrière la tête, mais cette fois pas question de me laisser faire. Je préviens ma mère que Sacha a besoin de moi, elle me répond qu’il est si gentil, et reconnaissant, pour tout ce que je fais pour lui. La pauvre, si elle savait.

J’arrive devant la cabane de Sacha, il est avec un copain à lui, Marcus, un réfugié que je connais aussi. On se salue, je suis un peu rassuré, je me dis que tant qu’il y a du monde, il ne pourra rien tenter. Mais Sacha me saisit par la taille, m’enlace, et m’embrasse à pleine bouche. Un baiser long, profond, dominateur, il me renverse la tête en arrière, pour bien montrer ma docilité.

- Tu vois, Marcus, c’est comme je t’ai dit, il est très soumis !

Il m’entraîne à l’intérieur, m’assoit sur le lit, je suis en panique, qu’est-ce qu’il m’a préparé ? Marcus nous a suivi, il ne dit rien et me regarde en souriant.

Sacha me caresse doucement la tête, l’air pensif, sa main descend lentement, caresse ma joue tendrement, son pouce caresse mes lèvres, insiste un peu.

- Ouvre !
- Hein ? Quoi ? Mais pourquoi ? Ça ne va pas la tête ou quoi ?

Bing, la gifle a claqué, sonore.

- Écoute moi, petite merde, tu fais ce que je te dis, sinon je mets mes menaces à exécution !

Je deviens blanc, j’ai un iceberg dans le ventre, et je me mets à flipper total.

- Pitié, s’il te plaît, pas ça, laisse-moi partir, s’il te plaît !
- Ne t’inquiète pas, tu repartiras tranquillement, tout à l’heure, quand on en aura fini avec toi !

Vu le ton qu’il prend, je ne résiste pas et fais ce qu’il dit. J’ouvre la bouche et je tire la langue en direction de Marcus, pour lui montrer que sa bite rentrera là-dedans sans problème. Marcus est dubitatif.

- Ouais, bof, et son cul ?
- Ouais, tu as raison, regarde.

Là, il me fait lever, les deux mains en appui contre la cloison, me baisse le pantalon d’un coup avec le boxer, je me retrouve le cul à l’air devant eux, je suis en panique, humilié, j’ai les larmes aux yeux, je suis apeuré et je ne bouge pas.

Il me prend les fesses et commence à les malaxer, les serrant puis les écartant, il joue avec pendant un moment et puis m’oblige à me pencher plus, à me cambrer, en écartant mes fesses au maximum, j’ai l’anus bien en évidence, il le montre à Marcus en insistant sur le fait que je suis à la fois serré et souple, une vraie chatte de gamine, et il termine en me claquant joyeusement les fesses.

- T’as vu son trou, on est bien serré là-dedans, une vraie petite chatte de gamine, fais-moi confiance, tu seras très bien là-dedans, d’ailleurs t’as bien vu sur la vidéo ...

Le salaud ! J’en étais sûr, il a montré la vidéo à ses potes, j’aurais dû le prévoir. Je tourne la tête pour voir Marcus s’approcher de moi.

- Ouais, ça à l’air pas mal, je vais voir ça, vas-y, écarte-là au max, ta pute.

Sacha écarte mes fesses au maximum, mon trou est bien exposé là, il palpite un peu, j’ai honte comme jamais, Marcus se penche, il se racle la gorge, et crache sur mon trou.

- Je vais voir comment elle prend la bite, ta pute.
- Je ne suis pas une pute, rétorquais-je.
- Ouais, c’est ça, et les 50 euros que j’ai payé pour te baiser, c’est quoi ?

Putain, mais quel salaud ! 50 euros, ce bâtard m’a vendu !

Sacha me maintient et m'écarte les fesses. Marcus me mets un doigt. Il se fraye un chemin dans mes chairs, il a des doigts hyper longs, il prend son temps, je respire fort, je n’ai pas vraiment mal, plutôt une gêne, Sacha l’encourage.

- Vas-y mon pote, tu peux y aller plus fort, il est là pour ça.
- Allez, d’accord, c’est parti, dit Marcus.

Il retire son doigt et m’en rentre deux d’un coup, puis il me ramone fort. Je gueule, ce salaud me martyrise, sans pitié, il se défoule sur mon cul. Tous les deux, ils rigolent, plaisantent, Sacha l’encourage, il me claque le cul pendant que Marcus me pistonne.

Je me plains, je les supplie, ça les excite encore plus, ils sont sans pitié, et ma queue se dresse toute seule. Sacha le voit et lui dit :

- Regarde il bande ! Je te l’avais dit, il adore ça,
- Putain quelle salope ce gamin, une vraie pute, renchérit Marcus.
- Vas-y continue, je vais filmer ça.

Sacha me lâche, prend son téléphone et commence à filmer. Je voudrais me retenir, ne pas leur montrer l’effet que ça me fait, mais je craque et je commence à gémir, c’est plus fort que moi. Marcus se déchaîne sur mon trou.

- Quelle salope, je ne sais pas où tu l’as dégoté ce mioche, mais tu as touché le gros lot, cette fois.
- Et encore, lui c’est rien, tu verrais sa mère !

Il retire ses doigts d’un coup sec en m’arrachant un cri, il me retourne et me fous à genoux direct, baisse son pantalon et me met devant la bouche sa queue tendue, longue et fine, avec les couilles pendantes. Il agite sa queue me la frotte sur la bouche. J’essaie de serrer mes lèvres et de tourner la tête, mais la voix grondante de Sacha me ramène à la raison.

- Un conseil, ouvre ta gueule et suce comme une salope, sinon tu vas morfler !

Je n’ai pas vraiment le choix et sa queue s’engouffre dans ma bouche, enfin la moitié pour commencer, elle est beaucoup trop longue. Je passe ma langue dessous pour la lubrifier. Marcus tient ma tête et commence à me forcer à le sucer. Sacha, qui n’en perd pas une miette, en rigole. Marcus pousse de plus en plus fort, je sens sa queue rentrer dans ma gorge, je tousse, bave et ça l’excite encore plus.

- Ce petit pédé suce mieux que les filles, n’y a pas à dire. Une vraie pompe suceuse.
- Je t’ai dit que tu en aurais pour ton argent, et encore t’as pas vu son cul.
- Ouais, fais voir ça maintenant.

Il retire sa bite de ma bouche, je suffoque, je tousse et je crache, au bord de l’. Eux se marrent et se foutent de ma gueule. Je pleurniche, je les supplie d'arrêter, ils rigolent encore plus, me disent de la fermer et de me mettre en position, penché en avant, mes mains sur le lit. Je regarde Sacha en le suppliant du regard, il se contente de me filmer avec son téléphone, et m’ordonne d’obéir.

Je pose mes mains sur le lit, jambes écartées, dans la position de soumission exigée. Mes jambes tremblent de peur et de rage mêlées, je baisse la tête, honteux. Sacha qui a fait le tour du lit me glisse à l’oreille de supplier Marcus de me baiser pour faire une bonne vidéo. Il me précise que j’ai intérêt à être coopératif, si je veux que tout cela reste secret.

Derrière moi, Marcus qui me tâte les fesses me demande :

- Mon petit Kevin, à 19 ans, on rêve de se prendre une grosse bite dans le cul ! Tu veux que je te baise ?

Je comprends qu’il fait ça pour la vidéo, et je rentre dans son jeu comme l’a exigé Sacha.

- Oh, oui, monsieur Marcus, mettez-moi votre grosse bite dans mon petit cul.
- Tu veux que je te défonce le cul, c’est bien ça ?
- Oui, oui, défoncez-moi le cul avec votre grosse bite.

Il crache sur ma rosette plissée, puis sur son gland, se présente dans l’axe et pousse fermement. Son gland entre difficilement, il progresse lentement, je respire fort, sa queue est plus fine que celle de Sacha, mais plus longue, beaucoup plus longue.

Je serre les dents, je me sens rempli, mon conduit anal écartelé me brûle, mes yeux s’emplissent de larme, douleur et honte mélangés. Marcus respire fort en grognant. Il aime infliger la souffrance ce salaud, il ne s'arrête pas, il va de plus en plus loin. Je me cale pour mieux encaisser, mes genoux contre le lit, mes mains le plus loin possible sur le matelas.

Ma queue est raide et fiévreuse, des pulsions malsaines m’envahissent, le désir d’être traité comme une merde, mais je ne dois pas gémir, sinon il va me défoncer.

Puis je sens son ventre collé contre mon cul, il a tout rentré, je ne comprends pas comment, une bite aussi longue dans mon cul presque vierge. Il commence à me baiser, sortant sa queue presque entièrement, et me la remet d’un coup, le plus brutalement possible. Je ne peux pas me retenir, j’ai trop mal, je gueule à chaque coup de bite. Marcus prend son pied en me faisant souffrir et en m’insultant copieusement:

- Putain, elle est bonne cette salope ! C’est la première fois qu’une tarlouze aussi jeune prend ma bite en entier dans son cul ! Elle va te rapporter gros, cette petite pute, Sacha ! 19 ans, c’est l’âge idéal pour faire le tapin !
- Ouais, j’ai eu du bol sur ce coup-là, il a la peau encore imberbe, une peau de fille.

Marcus se déchaîne, il accélère comme un taré, il me brutalise le cul, les chairs claquent, je hurle. J’aurais voulu me retenir, rester stoïque, ne pas lui donner ce plaisir, mais ça fait trop mal ! Je pleure, je supplie, mais je ne peux pas m’échapper. Il me bloque les jambes avec les siennes, et ses doigts s’enfoncent dans la chair de mes hanches.

Sacha est ravi, il se penche pour me filmer sous le bon angle, ma gueule déformée par la souffrance, mes yeux pleins de larmes, Marcus qui me défonce, et ma bite qui crache un petit jet de sperme. Violé, défoncé, maltraité, humilié, mais je jouis quand même … Sacha est sidéré :

- Quelle pute !

Ce psychopathe de Marcus m’att les mains, me les bloque dans le dos, je pique du nez dans le matelas. Il monte sur le lit, ses pieds de chaque côté de mes genoux, il me chevauche. Il maintient mes mains d’une seule main, et il me claque le cul de toutes ses forces, pendant qu’il me défonce l’anus avec sa bite. Il m’ouvre en deux, mais le matelas étouffe mes cris. Sacha m’att par la tignasse, et me tourne la tête de côté, pour qu’on m’entende gueuler.

- Pitié j’en peux plus.
- Ta gueule, petit pédé, j’ai payé, tu m’appartiens, Ton mac m’a demandé de te dépuceler !

Son rythme se désunit, ses coups de bite s’espacent, je sens une chaleur m’envahir, sa bite bite palpite en moi. Je comprends qu’il est en train de jouir dans mon cul. Il reste un moment dans mon cul puis, quand sa bite se dégonfle, il se retire d’un coup, et ça me donne un dernier frisson.

- J'espère que ta pute ne va pas tomber enceinte avec la dose que je lui ai mis. Viens voir.
- Oh putain, tu l’as bien rempli, là.

Il filme mon trou du cul en gros plan, je sens le foutre qui s’échappe, qui coule sur mes bourses, qui dégouline sur mes cuisses, il y en a énormément.

- Petit pédé, on dit merci au monsieur qui t’as bien baisé.
- Merci.
- Merci qui, sale pédé ?
- Merci monsieur.
- Et merci de quoi, sale pédé ?
- Merci de m’avoir bien baisé, et bien rempli le cul, monsieur Marcus.
- Il faut tout leur apprendre, à ces petits pédés. Aucune éducation !

Tête basse, je m’habille sans un mot, et je file chez moi avec le cul et les cuisses qui collent. Je me faufile dans la salle de bain, je me masturbe sous la douche, je jouis plusieurs fois, je gicle de partout, ça me coupe les jambes, je vais me coucher direct, sans souhaiter une bonne nuit à ma mère.

Ma mère vient m’embrasser dans mon lit, me demande si j’ai passé une bonne soirée, et me refait encore une fois l’éloge de Sacha. Quand elle s’en va, j’éteins la lumière, et je passe et repasse mille fois dans ma tête le film de ma soirée. Je me demande pourquoi je ne peux pas leur résister, pourquoi je suis si docile et si excité par ces brutes, et qu’est-ce que je peux faire pour que cela cesse.

Le pire, quand je pense à tout ça, c’est que mon cul palpite encore, et que ma bite se dresse, comme si j’en voulais encore. Je serre les fesses, mais c’est encore pire.

Quelques jours passent, n’ayant pas de solution pour échapper à Sacha, je décide d’aller à l'église pour trouver un peu de réconfort, et de l’aide pour m'éclaircir les idées. Je vais à la sacristie, rencontrer l’Abbé en privé, je le connais depuis toujours, et il connaît toute ma famille. Il m’accueille comme d’habitude avec son air débonnaire.

Je lui dit que je viens lui parler pour lui demander de l’aide et un conseil. Il me propose d’aller dans son bureau, dans ses appartements privés, ce qui me paraît bien, vu les circonstances. Il me fait asseoir dans un fauteuil profond, et s’installe juste devant moi, une fesse sur le bureau. Il se penche sur moi, souriant :

- Je t’écoute, mon fils.
- Mon père, j’ai fait une grosse bêtise, et j’ai besoin d’aide.
- Qu’as-tu fait mon fils ?
- J’ai eu des rapports sexuels avec une personne.
- Bon, ce n'est pas un grand péché, mon fils. À 19 ans, c’est normal. Bon, c’est en dehors des liens sacrés du mariage, mais c’est l’époque qui veut ça.
- C’était avec un homme, mon père.

Il reste muet quelques secondes, et reprend :

- Bon, comme je le disais, c’est l’époque. Ce sont des choses qui arrivent, mon fils. C’est la nature.
- Oui, mais là c'était avec un homme plus âgé, beaucoup plus âgé, de l’âge de mon père, peut-être plus...

Encore un silence, l’Abbé respire fort. Il reprend :

- Raconte-moi en détail ce qui s’est passé.

Je lui raconte tout dans les moindres détails, dans la cabane de Sacha, combien de fois, comment. Il m’écoute sans m’interrompre, les yeux plissés, attentif. Je trouve curieux qu’il respire aussi fort, mais il reprend :

- Tu parles bien de Sacha, le réfugié que tu aides, et que tu sers régulièrement ?
- Oui mon père.
- Tu as été contraint ?
- Je ne sais pas mon père, je suis perdu.
- Mais tu as aimé ce qu’il t’as fait subir ?
- Hein ? Non, pas du tout ! Enfin non, je ne pense pas ! Non, en fait, NON !
- Ce n'est pas ce que m’a raconté Sacha, ni la vidéo qu’il m’a montré !

J’ai le souffle coupé, je suis sonné, il a tout raconté au curé, et il lui a montré la vidéo, putain !

- Tu es d’accord avec ça, mon fils ?
- Euh, oui… Mais comment… Il vous a raconté? Et montré ?
- Oui, mon grand, il m’a tout raconté, et tout montré ! Il a même ajouté que je pouvais faire ce que je voulais de toi.
- Je vous en supplie, mon père, aidez-moi, je ne sais pas quoi faire.
- Hélas, mon fils, je ne suis qu’un homme, avec ses faiblesses.
- Je ne comprends pas, mon père.
- Tu vas bientôt comprendre, ne t’inquiète pas.

Il ouvre sa soutane, il est nu dessous, et il me présente son sexe en érection. La mine sévère, il me dit :

- Les petites putes damnées comme toi, on ne les aide pas, on les corrige.
- Mais, mon père ...
- Te faire baiser par un vieux réfugié de l’âge de ton père, et couiner comme une salope quand il t’encule ! Et tu te prétends innocent ! Ton châtiment sera de me sucer !
- Pitié, mon père, pas vous ...

La claque a failli m’assommer.

- Obéis, petite pute !

Je suis encore sous le coup de sa gifle et m'exécute. Je me penche en avant et je le prends en bouche. Sa bite s’érige lentement dans ma bouche. C’est humiliant, mais le goût est agréable. Je prends plaisir à le sucer, je bave et je le suce bruyamment pour lui montrer mon contentement.

- Sacha m’a vanté ton petit cul de gonzesse, ça m’a fait envie, je vais y goûter. Monte sur le bureau.

J’enlève mon pantalon et mon boxer, je m’assois sur le bureau en bois, l’Abbé me pousse sur le dos, je me retrouve les pattes en l’air, la bite à moitié bandée, et le trou du cul qui palpite. Il admire le spectacle.

- Ton petit cul me fait envie, je vais me régaler, ça fait un moment que je n’ai pas goûté une jeunesse comme toi !

Il s’assoit à ma place, m'écarte les fesses et commence à me lécher le cul comme un chien affamé. Sa langue m’ouvre, m’aguiche, me fait bander. La sensation est sublime, j’accroche mes mains au bureau. Il secoue la tête, il est comme possédé, il écarte mon cul avec ses doigts et me sodomise avec sa langue. Je gémis comme une femelle, ma queue est dure comme une barre d’acier, c’est plus fort que moi, je le supplie de me baiser.

- C’est un délice ton petit cul de fille, je comprends que Sacha n’ait pas pu résister, et tu bandes en plus, salope.

Il relève mes bourses, et les presse avec ma queue dans sa main. Avec son autre main, il me fourre deux doigts dans le cul et commence ses va et vient. Je deviens dingue, je devrais me rebeller mais je ne peux pas, je laisse ce pervers jouer avec mon corps.

- Tu sais Kevin, j’ai souvent pensé que tu étais une petite chienne comme ta mère. Cette bourgeoise hautaine, toujours à agiter ses gros nichons dans ses décolletés, je suis sûr que c’est une petite salope, comme toi.
- Non, pas ma mère, c’est une sainte !
- J’ai toujours voulu la baiser, cette truie, je vais te baiser en pensant à elle.

Là, il se dresse, présente sa bite devant mon trou, et pousse d’un coup. Je hurle ma détresse. J’étais venu chercher du réconfort, de l’aide, un conseil, une épaule amie pour soulager ma peine. Je me retrouve couché sur le bureau, les pattes écartées, sodomisé par un vieux pervers qui profite de ma faiblesse.

Il a posé mes mollets sur ses épaules, il me tient par les cuisses et commence à me défoncer le cul sans pitié. J’avais la rosette lubrifiée par sa langue, heureusement, mais le conduit anal me brûle et je couine d’une manière féminine.

Ça l'excite encore plus, je vois son visage devenir très rouge, son regard cruel me fixe avec mépris. Ses coups de reins sont puissants, les chairs claquent, il secoue le bureau à chaque poussée. Je gueule comme un possédé, ma queue est dure comme de la pierre, je suis conquis par sa virilité possessive. Je voudrais rester discret, ne pas montrer mon plaisir, mais je prends mon pied quand je suis traité comme une salope, ma queue dressée et mes cris de volupté me trahissent.

- T’aime ça, hein, salope ? Tu couines comme une femelle en chaleur ! Comme ta mère, j’en suis sûr, elle doit gueuler comme toi quand elle se fait baiser ! J’adorerai la baiser sur ce bureau, l’enculer et la faire hurler.
- Non. Pas ma mère !
- Si. Pareil. Deux salopes, deux chiennes en chaleur.
- Je vous interdis de dire du mal de ma mère.
- Tu m’interdis ? Alors que tu gémis de plaisir et tortillant ton cul sur mon bureau, salope !

Il s'énerve, sort sa queue d’un coup, je frémis. Je me calme, je reprends mon souffle, pendant ce temps il fait le tour du bureau, att ma tête à l’envers, la penche en arrière, et enfile sa queue dans ma bouche. Il force et me la rentre jusque dans la gorge. Il me maintient de toutes ses forces et baise ma bouche comme si c'était mon cul.

Il s ‘amuse à me faire suffoquer. J’ai de la bave qui coule sur mon visage, je couine chaque fois que je respire. Il n’en a rien à foutre de ma souffrance. Il prend son pied en me voyant gesticuler. Impossible de résister, je ne peux pas me dégager. Il ralentit un peu pour que je respire, puis reprend sa baise buccale en m’insultant.

- Petite salope, ta gorge est un vrai bonheur, tout comme ta mère ! Je te baise la gueule et tu bandes, petite fiotte. Tu vas jouir bientôt, petite chienne, allez, crache ton jus ! Voilà, comme ça ...

J’ai un orgasme foudroyant, mon foutre jailli sur mon torse. Tout mon corps tremble de plaisir. Je ne sais pas si c’est la position de soumission, ses insultes, sur ma mère, sur moi, mais j’ai joui comme un malade.

Puis l’Abbé se retire de ma bouche. J’ouvre grand la bouche pour respirer et immédiatement, je reçois une énorme giclée dans ma bouche et sur le visage. Ce pervers arrose mon visage de son foutre qui forme un masque gluant. J’en ai de partout. Dans la bouche, dans les narines, dans les yeux, je suffoque mais il me maintient toujours avec une joie sadique. Il grogne comme un malade, j’ai l’impression que ça ne va jamais s'arrêter.

Au bout d’un moment, il me gifle avec sa bite, je tente de reprendre mes esprits, je suis encore sous le choc. Une fois calmé, il se reprend et me parle, comme pour s’excuser.

- Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas baisé, quand j’ai vu la petite salope que tu es, et en pensant à ta mère avec ses gros nichons, comme elle me fait bander chaque fois qu’elle vient se confesser, j’ai perdu la tête. Mais tu me comprends et tu me pardonnes, n’est-ce pas ?
- Vous êtes un vrai pervers.
- Pas autant que toi mon chéri, regarde-toi, tu as gémi comme une femelle, et joui comme une petite fiotte.
- Non, ce n’est pas vrai. Vous m’avez violé. C’est un crime !
- Mais oui, bien sûr… Allez, rentre chez toi. Va raconter à ta maman ce que je t’ai fait subir. Et dis-lui bien que j’en ai autant à son service. Si elle veut se faire baiser, je suis son homme !

Je suis furieux, vexé, humilié, mais pas en situation de force. Je m’essuie le visage comme je peux, j’ai le visage dégueulasse, gluant de salive et de foutre mélangés. Je me rhabille en vitesse et fonce chez moi, prendre une douche. Je croise ma mère en sortant de la salle de bain. En la voyant, je ne peux m'empêcher de repenser à ce que m’a dit l’Abbé, et j’ai le cul qui se remet à palpiter.

Le reste de la semaine se passe, sans nouvelles de Sacha ni de l’Abbé. Je ne suis pas mécontent qu’ils me laissent tranquille, mon cul et ma bouche ont assez souffert comme ça.

Ce soir je dois aller à la cantine pour servir les réfugiés. J’ai bien essayé de refuser mais ma mère a insisté. J’ai peur de croiser Sacha, mais je ne peux pas l'esquiver indéfiniment. Je décide de prendre mon courage à deux mains et de l’affronter. J’accompagne ma mère en lui tenant le bras.

Depuis que ces salauds m’ont mis cette idée en tête, je n’arrête pas de penser à ses grosses loches qui se balancent quand elle marche, et j’ai mon cul qui palpite et ma bite qui se dresse. Je dois me calmer pour rencontrer Sacha et ne pas être en état de faiblesse.

Nous saluons les autres bénévoles et nous commençons à servir les repas. Quand je vois Sacha apparaître dans la queue, je panique, j’ai une boule au creux de l’estomac et mes mains tremblent. En même temps, bizarrement, ma rosette palpite et mon kiki frétille, comme s’ils étaient impatients de le revoir.

Il me voit de loin et me sourit d’un air chagrin. J’essaie de rester calme mais je suis intrigué. Il est passé où, le pervers qui m’a tant fait souffrir. Pourquoi cette attitude poignante, joue-t-il la comédie ? Il arrive dans les derniers et nous salue.

- Salut Kevin, bonjour madame, ça me fait plaisir de vous voir ici tous les deux.

Ma mère le salue : - Bonsoir Sacha ! Tout va bien ? Vous avez l’air contrarié.

Là, il prend un air encore plus malheureux. Toute la détresse du monde.

- Hélas madame, une grosse branche est tombée sur ma cabane, et elle a détruit une partie du toit, rendant mon logement inhabitable.
- Oh ! Malheur ! Mon pauvre ! Comment faites-vous alors avec ce froid ?
- Eh bien, madame, j’ai tendu une toile qui me protège du vent et du givre, mais le froid a réveillé de vieilles douleurs dans mon dos.
- Mais vous ne pouvez pas réparer votre cabane, Sacha ?
- Je dois trouver quelques matériaux de récupération, des planches ou des tôles feraient l’affaire. Mais d’abord je dois dégager cette grosse branche. Elle est trop lourde, alors je la coupe morceaux par morceaux.

Il continue ses plaintes, et connaissant le personnage, je me demande ce qu’il manigance.

- Si seulement pendant quelques nuits je pouvais avoir un endroit chaud et sec pour dormir.

Je vois ma mère avec les yeux humides, et je comprends ce que cet enfoiré essaie de faire.

- Écoutez, si c’est seulement pour quelques jours, venez dormir chez nous ! Nous avons de la place.

J’ai le cœur qui rate un battement, j’ai envie de vomir, ma mère ne va pas faire rentrer ce mec chez nous !

- Vous êtes trop bonne, madame, vous avez votre place au paradis, c’est sûr !
- C’est normal, mon ami, vous avez déjà tellement souffert !

Je suis en plein cauchemar, je ne trouve pas de mots ! Ma mère appelle mon père pour le prévenir, pendant que Sacha me dévisage avec son regard vicieux en se pourléchant les narines. De loin, on pourrait croire qu’il s’extasie devant le repas servi, mais pour moi, pas d’équivoque, d’ailleurs il me montre clairement ses intentions en se touchant la bite.

- Ta mère est vraiment une femme BONNE. Je la remercierai à ma façon, elle le mérite, non ? T’es d’accord ?
- Arrêtez ça tout de suite, vous êtes un monstre, c’est horrible.
- T’inquiètes, petite pute, je sais que je vais me la faire, et elle va adorer ! Comme toi !

Ma mère revient, et dit que c’est OK avec mon père. Nous aidons les autres bénévoles à ranger, et nous ramenons Sacha à la maison. Il donne le bras à ma mère, il lui parle, lui dit des bêtises, il la fait rire, elle semble subjuguée par ce type qui la drague ouvertement. Moi, je marche deux pas derrière, la tête basse. Je me demande comment je vais me sortir de son emprise sous mon toit.

À la maison, mon père a déjà déposé un matelas dans ma chambre, parce qu’on est "copains". Je n’ose pas protester, mais je pense que la nuit va être longue. Pendant le dîner, Sacha est un convive agréable, et il fait rire mes parents. Ma mère semble sous son charme. Mon père boit un peu trop.

Progressivement, Sacha pose ses jalons. Il jette de fréquents coups d’œil dans le décolleté de ma mère qui ne s’offusque pas, il me semble même qu’elle a défait un bouton de plus. Mon père a le regard brumeux, Sacha le ressert dès que son verre est vide. Le repas se termine, Sacha aide ma mère à débarrasser la table, pendant que j’aide mon père à regagner sa chambre.

Lorsque je reviens, après avoir aidé mon père à se coucher, ma mère et Sacha sont côte-à-côte à la cuisine, en train de faire la vaisselle. Ils rigolent, ils plaisantent, ils chahutent même. Ma mère doit être un peu pompette, je ne l’ai jamais vue comme ça. À un moment, il se penche hardiment sur son décolleté en lui déclarant qu’elle est une très belle femme.

Elle rit, d’un rire de gorge, un rire énervé, mais elle ne paraît pas particulièrement gênée, elle semble un peu flattée, peut-être un peu rougissante. C’est à ce moment que je remarque que deux boutons de plus sont défaits dans son décolleté. D’ailleurs, lorsqu’elle se penche sur l’évier, elle se débrouille pour faire saillir encore plus ses gros nichons.

Lorsqu’elle a fini, elle me demande de montrer la salle de bain à Sacha, et va dans sa chambre rejoindre mon père. Nous avons deux salles de bains. Une dans la chambre parentale, et une salle d’eau à côté de ma chambre. Je le guide et lui ouvre la porte, mais il me pousse à l’intérieur, rentre et referme la porte à clé. Il a retrouvé son regard pervers et dominateur :

- À ton avis, je baise qui ce soir ? La mère ou le fils ?
- Arrêtez ! C'est horrible ce que vous dites.
- Je suis sûr que c’est une salope qui aime la bite, est-ce qu’elle a de la lingerie sexy ?
- J’en sais rien.
- Eh bien moi je veux savoir, va fouiller dans le linge sale et ramène-moi ses culottes.

Je suis en panique, je le supplie d'arrêter. Il s’en fout et me balance une gifle. Je cède et je vais lui chercher ce qu’il réclame. Je lui ramène trois culottes, pas très sexy. Dans la bassine, il y avait aussi un string, mais j’ai jugé trop impudique de lui ramener. Il les porte à son nez. Les trois ensembles, puis séparément. Il hume longuement, comme un chien de chasse. Il en choisit une, et me la tend :

- Tiens, celle-là. Sent-moi ça. Elle a eut ses chaleurs, là. Elle a bien mouillé sa culotte, cette fois-là. Ça sent la chienne, elle doit bien mouiller quand on la baise.
- Vous êtes horrible.
- C’est une salope, ta mère, comme toi. Vas-y, rapporte ces deux-là, j’en ai pas besoin.
- Vous êtes un monstre.
- Ta gueule, fais ce que je te dis, sinon demain ta mère aura une nouvelle vidéo à montrer pour les repas en famille.

Cet enfoiré continue son chantage jusqu’au bout. Encore une fois, j’obéis. Lorsque je reviens, il m’examine de la tête aux pieds :

- À poil !
- Quoi ? Pourquoi ?
- On va prendre la douche ensemble !

On se déshabille et il me pousse sous la douche. Il se colle contre moi et frotte son paquet contre mes fesses. Sa queue est déjà dressée. Il s’amuse à la glisser entre mes cuisses, contre mes bourses, puis dans ma raie culière.

- Je t’ai manqué, chéri ?

Sacha commence à bien s'exciter, il me plaque au mur et me pelote le cul. Il est de plus en plus chaud et dur.

- Petite pute, tu m’excites avec son petite cul de femelle. Regarde comme tu bandes. T’aimes te faire baiser, salope !

Je ne peux pas répondre, sa bite contre mon trou me rend totalement fou. Il caresse ma rosette palpitante avec son gland, sans jamais essayer de rentrer. Il me mordille l’épaule, m’embrasse dans le cou, me palpe les bourses, je geins et je me cambre, m’offrant à sa convoitise.

Il ouvre le robinet de la douche et commence à me savonner, en insistant sur mes parties génitales et sur mon cul. De temps en temps, il s’interrompt pour m’embrasser à pleine bouche. Il joue avec mon corps, s’amuse à me pénétrer avec ses doigts savonneux, pendant que je caresse sa verge tendue.

Obéissant à ses exigences, je me penche pour le sucer pendant qu’il élargit mon orifice avec ses doigts. Cet enfoiré m’insulte et se moque de moi mais j’exécute ma tâche à la perfection. J’introduis sa queue profondément dans ma bouche, je le suce, je le pompe, le goût viril et âcre de sa queue ne me dérange plus. Il pousse des soupirs, il aime, et ses doigts s’acharnent dans mon cul.

Il me relève, me plaque face contre le mur, mes mains sur le mur, au-dessus de ma tête. Il écarte mes fesses avec ses énormes mains, et me fourre sa bite dans le cul. Il le fait avec des mouvements impétueux qui trahissent sa fièvre. Il me baise ardemment, ses coups me soulèvent presque du sol, je suis en extase, j’ai les bourses qui vont exploser, tellement je prends mon pied. Il me baise le cul avec tant d’ardeur et de fougue que ma bite crépite des petits jets de sperme. Ce pervers sait y faire. Il me bâillonne avec sa main pour que je ne gueule pas trop fort.

- Tu aimes comme je te baise, salope ? T’es une pute, comme ta mère, et je vais bien la niquer celle-là aussi !

Je gémis, sa queue m’écartèle le cul, il me bourre violemment. Sa bite magnifique m’ouvre en deux, et au lieu d’avoir mal, je prends mon pied, elle irradie une chaleur bienfaisante à travers tout mon corps. Il me baise de toutes ses forces, les chairs claquent, je veux jouir et j’essaie de me branler, mais il me bloque les mains en l’air.

- Tu es à moi, tu es mon jouet, c’est moi qui dis quand tu peux jouir, salope.
- J’en peux plus, pitié, je souffre trop, laissez-moi.

Là, il se retire, me retourne, et me fout à genoux en m’ordonnant de le branler. Je lui branle la queue quelques secondes à peine, et je reçois ses énormes giclées sur le visage. C’est gluant, épais, j’ai l’impression que ça ne va jamais s'arrêter, j’en ai partout, dans la bouche, sur les yeux. Il me fait un masque au jus de couille.

- Voilà, ma petite chienne, tu m’as bien fait jouir. Nettoie ma queue avec ta langue, et après tu pourras te branler.

Je reprends sa queue en bouche, je le suce, mais je n’ai pas le temps de me branler, je jouis instantanément, des jets hyper puissants, sans me toucher. Ensuite, on se lave mutuellement, puis on va se coucher. De retour dans ma chambre, il refuse que j’enfile mon pyjama, et me tends la culotte odorante de ma mère.

- Tiens, mets-ça pour dormir, tu sentiras bon.

Il rigole en disant ça, et s’allonge avec moi dans mon lit, négligeant le matelas jeté au sol. Aussitôt, il m’enserre entre ses bras et ses jambes. C’est captivant, je suis asservi entre ses membres puissants. Il est insatiable. Il me caresse et m’embrasse langoureusement, à pleine bouche. Je suis docile et je le laisse me faire tout ce qu’il veut. Je me méprise.

Le lendemain matin, nous descendons prendre notre petit-déjeuner. Ma mère est horrifiée en voyant Sacha vêtu avec ses affaires sales de la veille.

- Venez avec moi, je vais vous prêter des affaires de mon mari pour laver votre linge.

Sacha la suit, docile. Ils réapparaissent un long moment après, Sacha n’a qu’une vieille sortie de bain sur lui. Ma mère explique, gênée, qu’il est trop grand, trop maigre, et qu’aucune affaire de mon père ne lui va. N’empêche que son air troublé, ses joues rougies, et son regard rêveur trahissent son émoi. Elle a vu quelque chose qui l’a impressionnée. Le sexe de Sacha ?

Mon père part au travail, je vais à la fac, nous sommes obligés de laisser ma mère seule, avec Sacha à moitié nu. Elle a mis une machine en route, et elle attend que le cycle se termine. Je suis mort d’inquiétude en pensant à ce qu’il pourrait lui faire subir. Toute la journée, cette question obsédante trotte dans ma tête. Saura-t-elle lui résister ?

Je rentre tôt à la maison. J’ai fait craquer la dernière heure. Personne. Ni ma mère, ni sa voiture. Où a-t-elle pu aller ? Je suis en train de regarder un porno dans ma chambre lorsque ma mère rentre. J’ai entendu la porte d’entrée claquer. Mais je n’ai pas été assez rapide, et je l’ai juste aperçue de dos, en train de s’engouffrer dans sa chambre. Pourtant, il me semble que sa tenue était assez débraillée, et que son chignon avait pris mal au cœur.

Je vais coller mon oreille à la porte de sa chambre. Elle prend une douche. Elle ne s’est pas aperçue que je suis déjà rentré. Je me faufile en catimini dans sa chambre. Par la porte de la salle de bain entrebâillée, je vois qu’elle est sous la douche. Ses affaires sont en tas au milieu de la chambre. Ça sent fort. Je fouille, mais je ne trouve ni sa culotte, ni son soutien-gorge.

Est-ce qu’elle a subi des outrages ? A-t-elle été e ? Violentée ? Je retourne me cacher dans ma chambre. Sitôt douchée, elle descend faire tourner une machine. Je descend derrière elle. Elle sursaute. Elle n’a qu’une sortie de bain sur elle, et un de ses gros nichons s’échappe par l’ouverture. Elle se rajuste, rougissante :

- Tu es rentré ? Depuis longtemps ?
- Ouais, je bossais dans ma chambre. J’ai entendu du bruit, je suis venu voir. T’étais où ?
- J’étais avec Sacha. Ce matin, il n’avait pas de quoi se vêtir. Je n’allais pas le garder ici toute la journée, en attendant que son linge sèche. Alors, je l’ai raccompagné chez lui, pour qu’il s’habille, et qu’il puisse réparer sa cabane. Mais quand j’ai vu l’étendue des dégâts, j’ai eu pitié de lui, et je suis restée pour l’aider. Une chose en entraînant une autre, j’ai passé ma journée là-bas. J’étais crasseuse et toute dépenaillée, alors j’ai pris une douche, et je fais tourner une machine. Voilà, je vais me faire un thé, t’en veux un ?

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