La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°751)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°747) - Madame la Baronne -

Madame la Baronne, âgée, est là toute petite, frêle et assise dans un large fauteuil beaucoup trop grand pour ce petit corps abîmé par le temps. Je constate son visage flétri et marqué par les années, des rides profondes marquent son front. Sa coiffure est tenue en un chignon très élégant, ses cheveux blancs se croisent et s’entrecroisent en une tresse relevée. Ses yeux, gris-vert, en revanche sont vifs sinon étincelants. Elle converse avec Monsieur le Marquis, lui aussi, assis dans un fauteuil, face à elle.

- Je suis très contente de vous revoir mon Cher Edouard.
- Moi également Edmonde, j’ai absolument voulu vous rendre visite, comme à chaque fois que je viens en Suisse.

Je me tiens debout, totalement nu près du Maître, portant juste mon collier autour du cou. Madame Murielle se tient près de moi en me tenant par un bras. Cette situation a tendance à m’exciter, je suis le seul à être nu, j’ai du mal à calmer mes ardeurs, je bande mou ! La conversation a un brin de mondanité, elle est exquise comme si tous les mots étaient choisis, Monsieur le Marquis excelle en la matière. Je constate aussi la profonde amitié, datant certainement de longue date, entre le Maître et cette vieille et très riche dame.

- Je vois ma Chère Edmonde, que Murielle est toujours à votre service !
- Oui, et elle le restera jusqu’à ma mort, répond presque autoritairement Madame la baronne.

Elle regarde Murielle avec compassion et un brin de tendresse.

- Vous savez mon Cher Edouard, Murielle est entrée à mon service, alors qu’elle n’avait que dix-sept ans. Ça fait plus de quarante ans qu’elle est là, près de moi. Elle me doit tout aujourd’hui. Elle a eu une vie heureuse ici. Aujourd’hui, elle me rend bien des services, elle est devenue ma dame de compagnie, mais aussi mon auxiliaire de vie et avec le temps, je la considère presque comme ma propre fille, ce qui est merveilleux pour elle qui n’était qu’une simple soumise-chienne à Mes pieds.

A mon âge, mon grand âge, j’ai besoin de quelqu’un pour m’assister dans mon quotidien.

La vielle Dame se tait quelques instants puis reprend, ses yeux s’embrument, puis soudainement se ressaisit :

- Murielle, je l’ai formé et quelque peu dévergondé. (Madame la baronne sourit !) J’ai exigé beaucoup d’elle. Je lui ai imposé un mariage avec André mon jardinier si bien monté, un peu simple d’esprit, certes mais un grand travailleur, toujours dévoué, toujours prêt à rendre service ! Et des services, à Mes pieds, il m’en a rendu…
- Je ne savais pas que Murielle et André formaient un couple ! reprend Monsieur le Marquis.
- Eh oui, un couple comme vous dites mon Cher Edouard… un couple un peu particulier, car jamais ils n’ont eu d’. Je ne le voulais pas. Je ne voulais pas que mes deux ‘servants’ puissent être détournés de leur mission, celle de me servir en tout temps, en tout lieu, comme les bons soumis dévoués qu’ils sont à mes pieds. J’ai donc géré leur sexualité. (sourire et long silence…). Depuis qu’ils sont unis, j’ai imposé une stricte chasteté à André, avec le port d’une cage sur son sexe en permanence. Seul une fois par mois, le 15 du mois, je le libère de ce joug et lui autorise de prendre vigoureusement Murielle par le cul, devant moi, un coït anal rapide… toujours anal, afin qu’il vide ses testicules de petit chien dans les entrailles de cette bonne chienne …

Je jette subrepticement un œil vers Murielle, elle ne bouge pas, ne frémit pas, ne rosit pas… Cette conversation, intime pourtant, ne provoque en elle aucun émoi, aucun tracas. Elle reste digne et apparemment fière de ce qu’elle est, soumise à Madame la Baronne !

- Quant à Murielle, après la pose d’un stérilet, elle a été besognée à maintes reprises pour devenir une très bonne putain et offerte à tant d’hommes d’affaires. Son vagin a connu des sexes de toute dimension et de toutes les couleurs parmi mes grandes relations mondaines et internationales de la haute finance, mais jamais le sexe de son mari dans sa chatte… (sourire encore), sexe toujours réservé pour son petit trou anal.
Un moyen contraceptif à toute épreuve, qu’est la sodomie, n’est-ce pas mon Cher Edouard.

Le Maitre se contente de sourire en regardant Murielle, toujours stoïque et impassible !

- Je me souviens de ces temps de ma jeunesse, où je me rendais au Château, où j’allais visiter Monsieur Votre Père, mon Cher Edouard … Combien de parties fines m’a-t-il offert ? Combien d’esclaves ai-je pu utiliser en votre Noble Demeure. Ce temps est malheureusement bien révolu… définitivement, maintenant je suis très âgée … c’est ainsi la vie ! … Et dans un autre contexte, je me souviens très bien, aussi, de te voir (elle se met à tutoyer avec affection le Marquis) traverser en culotte courte la cour du Château avec ton cartable sur le dos, oh tu devais avoir 10 ou 11 ans ! Tu savais qu’à chacune de mes visites, j’avais toujours un cadeau pour toi et ton frère ! Te souviens-tu le jour où je t’ai offert une belle voiture rouge à pédales ! Qu’est-ce que tu as pu jouer avec, dans les longs couloirs du Château !... Tu jouais en pédalant à pleine haleine à faire ‘’Les 24h du Château’’ après avoir vu à la télé Les 24h du Mans !

Le Noble lui fait un signe affirmatif avec une émotion certaine de nostalgie dans son geste… Un brin d’émotion se dégage de la voix de Madame la Baronne, mais ses yeux pétillent toujours à se remémorer des souvenirs anciens, mais bien présents encore dans la mémoire de cette vieille et riche Dame.

- Et cette chère Marie et ce cher Walter sont-ils toujours près de Vous ? (elle se remit à vouvoyer le Noble, comme on le fait dans le grand monde de l’Aristocratie)
- Toujours oui ! Ils me sont plus que fidèles, ce sont mes deux bras droits !
- Et Lucie et Charles-Edouard vont-ils bien ? Dire que je les ai vu dans leur berceau …
- Merveilleusement ! Charles-Edouard s’est marié récemment et habite New York, Lucie vit en Extrême-Orient et m’a présenté récemment son petit ami.
- Ah l’Extrême-Orient ! Que de belles contrées, autrefois très souvent visitées.
Seul souvenir que j’ai ramené du Japon, c’est Yang… Vous rappelez de Yang, mon Cher Edouard ?
- Votre soumis et excellent cuisinier !
- Oui, quelle mémoire vous avez !
- Il est toujours à votre service, je suppose ?
- Evidemment, ses sushis sont extraordinaires… Nous en mangerons ce midi. Je sais que vous adorez ça, n’est-ce pas Edouard !
- Vous aussi, vous avez une excellente mémoire Ma Chère Edmonde…
- Ah… pour certaines choses seulement !

La vielle baronne subitement s’intéresse à moi en orientant son regard pervers sur mon corps et me hèle.

- Approche mon garçon, viens près de moi.

J’attends le clignement des yeux du Maître avant de satisfaire celle qui nous reçoit. J’avance alors près de Madame la Baronne en me plaçant sur sa droite, tête basse, bras dans le dos, cuisses écartées, reins cambrés.

- J’admire ta belle présentation mon garçon, impeccable posture, tu sembles bien dressé, rien d’étonnant me diras-tu, Monsieur le Marquis à un savoir-faire redoutable et si reconnu de tous dans notre monde !

Une main flétrie me caresse une cuisse en remontant sur mon fessier, impossible cette fois-ci pour moi de contenir une belle érection…

- Ce mâle est bien doté, mais je suppose que ce membre ne doit pas lui servir à grand-chose ? reprend Madame la baronne.
- A rien ou presque, si ce n’est qu’exprimer sa fierté de M’appartenir. Voyez ma chère Edmonde, il bande dure, un moyen pour lui de nous dire qu’il est très heureux ici avec nous… lui répond le Maître !

L’affront et l’humiliation y sont pour quelque chose dans ma bandaison, mais pas que… Monsieur le Marquis, le sait, l’affirme à juste titre, je suis très heureux d’être là à disposition !

- Dites-moi mon cher Edouard, j’aurai deux services à vous demander ? dit aimablement Madame Edmonde à son hôte et ami
- Mais je vous en prie ma Chère Amie, rien ne me ferait autant plaisir que de vous rendre service …
- C’est au sujet de Yang… Il faudrait le soulager… Voilà près d’un mois et demi qu’il n’a pas eu d’orgasme.
En voyant Votre mâle excité, je me disais qu’il pourrait nous être utile…
- Il est à disposition, Ma Chère Edmonde…

Les doigts de Madame la Baronne parcourent mon sillon anal, un de ses doigts s’arrêtant sur mon petit orifice, l’effleurant délicatement. Je ne bouge pas, ne gémit pas, même si mon excitation est grande. Ma queue se met à baver !

- Le deuxième service serait que Yang participe à ces Mondiaux de la D/s dont vous m’avez parlé. Mais vous le savez, vu mon grand âge maintenant, je ne peux plus me déplacer. J’aimerai vous le confier.

Cette fois-ci, j’ai un doigt dans le cul !

- Mais c’est un grand honneur que vous me faites, Chère Amie, évidemment je prendrai en charge Yang… Il pourra participer à ces Mondiaux. Je suis même vraiment honoré de votre confiance …
- Oh merci, merci beaucoup Edouard, Vous êtes le meilleur de tous et le seul à qui je pouvais confier mon chien de Yang… Venez près de moi que je vous embrasse.

L’embrassade est sincère, presque familière en tout cas cordiale et emplie d’affection.

- Murielle, va chercher Yang, dit lui de venir rapidement ici, et toi remplace-le en cuisine ! ordonne sèchement Madame la Baronne.

L’attente ne se fait pas attendre. J’ai juste le temps de me mettre en quatre pattes, selon l’ordre reçu du Maître.

- Excellent mon Cher Edouard … nos mâles font se prendre comme deux chiens de rue…, exulte Madame la Baronne devenue subitement toute émoustillée.

Je vois approcher Yang. Il salue le Maître en s’inclinant respectueusement, comme le font les Japonais. Il est très obèse et nu ou presque, seulement vêtu d’une bande de tissu serrée autour de la taille et de l’entrejambe. Il est énorme tel un sumo ! C’est un sumo !!! Je m’affole…

- Viens près de nous Yang et ôte ton mawashi ! dicte Madame la Baronne.

Yang se dévêt j’entrçois sous son abdomen proéminent, son sexe enfermé dans une cage de chasteté.

- Tu vas pouvoir t’accoupler et te vider avec le mâle de Monsieur le Marquis, regarde le, il est là, prêt et bien en position pour être sailli profondément, il n’attend plus que toi ! lance soudainement, surexcitée Madame Edmonde.

Avec ses mains tremblantes, Madame la Baronne libère le sexe de Yang, en un éclair, celui-ci s’érige. Il semble énorme et donc avoir une belle taille, même si je ne le devine que partiellement, caché par cet estomac protubérant.

- Va, Yang, installe-toi à genoux derrière le mâle et prend le avec fougue, je veux que tu jouisses, que tu te vides bien les testicules dans ce cul de ce chien de lope ...

(A suivre …)

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