April, En Quête De Sexe 4

Un jour de week-end, j'allais à la salle de fitness où j'allais régulièrement. J'étais habillée pour l'occasion d'un mini-short et d'une brassière, tous deux de la même couleur. Je faisais donc du cardio, matant au passage les muscles des mecs que leurs habits laissaient apparaître. Un mec retint mon attention plus que les autres : c'était un homme grand, environ 1 mètre 90, noir de peau et, de ce que je pouvais voir, bien bâti. Il était plutôt beau gosse, et je ne pouvais m'empêcher de le mater.
Nos regards se croisaient de temps en temps et je voyais dans ses yeux une lueur de désir. Je savais qu'il me désirait autant que je le désirais. Néanmoins, il ne tenta aucune approche et, à la fin de sa séance, alla se changer dans les vestiaires. Ne voulant pas en rester là, je le suivis dans la cabine et la refermais pour me jeter dans ses bras et l'embrassai avec fougue. Il me rendit mon baiser avec vigueur en me caressant le corps. Il me massa les seins à travers ma brassière ce qui me fit pousser un gémissement. Il interrompit notre baiser pour me regarder avec un sourire :


- Eh ben ! T'es plutôt directe, toi.
- Quand un mec me plaît oui, lui dis-je en caressant son torse, Pourquoi ? Les filles directes ça te dérange ?
- Absolument pas.


Sur ces mots, il m'embrassa fougueusement. Je n'eus même pas le temps de lui rendre son baiser qu'il me retourna, me plaquant contre le mur de la cabine et appuya sur ma nuque pour me cambrer.
Sans attendre, il enleva mon short et ma culotte pour ensuite enlever son propre short et son caleçon, libérant ainsi sa queue bien pourvue : elle devait faire dans les 23cm de diamètre et une grosse largeur. Sans plus de cérémonies, il se mit une capote et me pénétra d'un coup sec et profond qui m'arracha un cri. Il commença de vigoureux va-et-viens en mettant une main sur ma bouche pour mes gémissements. Il me prenait sauvagement mais silencieusement, me poussant à chaque coup de reins sur la paroi de la cabine.

Je ne pouvais m'empêcher de pousser des petits cris, heureusement atténués par sa main sur ma bouche. Il me tira les cheveux, me forçant à mettre ma tête en arrière ce qui me permit d'apercevoir son visage : il prenait son pied et il me regardait d'un sourire carnassier. J'avais l'impression d'être une gazelle qui est la proie d'un lion et ça m'excitait terriblement. Il alla de plus en plus vite en moi, me limant sans ménagement. Je finis par avoir un orgasme intense et je dus lui mordre la main pour me retenir de crier. En réponse, il me tira violemment les cheveux et accéléra son mouvement jusqu'à ce qu'il jouisse en retenant un râle de satisfaction. Il se retira ensuite de moi et je pus me redresser, essoufflé par le plaisir. Je me retournai et lui souris tout en me rhabillant :


- Tu crois qu'on nous a entendus ? Lui demandais-je d'un air inquiet mais en même temps excité qu'on ait pu nous entendre.
- Possible, mais personnellement je m'en fous.


J'étais excitée par cette baise rapide en public et je ne voulais pas m'arrêter là aussi je lui demandais s'il était libre cet après-midi là pour qu'on continue. Il n'était malheureusement pas libre mais par contre il l'était le soir. Il me donna donc son adresse pour que je puisse le rejoindre le soir.


Le soir venu, je me rendis en voiture chez lui. J'étais habillée d'une mini-jupe blanche assez transparente qui laissait deviner mon string noir. Au niveau du haut, j'avais mis une chemise, blanche et transparente comme le bas, mais pas de soutien-gorge. J'avais bien sûr défait assez de boutons de ma chemise pour afficher un décolleté plongeant. Une fois arrivé devant chez lui, je me garai et je sonnai à sa porte. Il m'ouvrit et me fit entrer ; il était vêtu d'un t-shirt moulant gris et d'un short noir. Il s'installa sur le canapé et me demanda :


- Tu veux t'asseoir ?


Je m'approchai de lui, souriante, et je m'accroupis devant lui en posant une main sur son entrejambe :


- J'ai plutôt envie d'autre chose.



Il me laissa enlevai son short, me regardant en souriant. Je lui caressai ensuite la bosse de caleçon pour ensuite le retirer, dévoilant ainsi, sa queue à demi-bandée. Je la décalottai et donna un coup de langue dessus. Je commençai à lécher le long de son sexe ce qu'il sembla apprécier. Je le pris en bouche et je fis des va-et-vient, enfonçant presque toute sa queue dans ma bouche. Il posa sa main sur ma tête et appuya pour m'imposer le rythme qu'il voulait. Je le laissais faire et m'appliquai à lui faire des gorges profondes. J'avais un peu de difficulté à respirer mais j'arrivais tout de même à trouver assez d'air pour continuer à le sucer sans toutefois m'. Il continua ainsi de me baiser par la bouche, puis il dégagea sa verge de ma bouche, il me souleva et me coucha sur le côté au dessus du canapé. Il se mit un préservatif et soulevant ma jambe droite et rentra sa bite en moi. Je gémis sous l'intensité de cette pénétration et il commença à me pilonner. Il me prit ainsi, sans douceur, me traitant de salope et de pute. C'était un bon baiseur qui, pour ne rien gâcher, était muni d'un sexe assez imposant. Il garda cette cadence quelques minutes, me faisant gémir, puis il accéléra un peu et donna plus d'intensité à ses coup de reins. Soudain, il me souleva et me plaqua contre le mur et rerentra en moi sauvagement. Je poussais un gémissement et enroula mes jambes autour de lui.


- Tu aimes que je te baises comme ça, hein salope.


Je ne répondis pas, trop occupé à subir ces assauts dévastateurs. De plaisir, je lui mordis sa lèvre inférieur ce qui eut pour effet de le faire sourire et d'augmenter la vitesse de ses coups de reins. Ca me fit gémir intensément et je sentis le plaisir monter en moi rapidement jusqu'à ce que j'explose dans un intense orgasme qui me fit crier. Il me regarda jouir, sourit, et intensifia ses coups de butoir en moi. Je gémissais encore, légèrement sonné par mon orgasme. Il me porta ensuite et me mit sur la table, écarta mes jambes pour les mettre sur ses épaules et continua à me prendre ainsi.
Je gémissais de plaisir et donna des coups de bassin pour participer un peu. Il défit violemment ma chemise sans la déchirer et il retira son t-shirt gris. Il continua à me défoncer comme un marteau-piqueur, me pilonnant sans relâche et écrasant ses seins avec mes mains. C'était une baise violente et pas tendre du tout mais en un sens ça me plaisais. Il continua ainsi et je sentis un deuxième orgasme arrivé. Je poussais des cris de plaisir et me mordis la lèvre puis je finis par exploser de jouissance dans un violent orgasme. Me sentir jouir eut pour effet de stimuler sa verge et il jouit peu après. Une fois notre jouissance passée, nous nous rhabillâmes. Je lui souris et pris la parole :


- Au fait , moi c'est April


Il me sourit :


- Hyssan, enchanté.


Je l'embrassai puis rentra chez moi, ravie de cette partie de jambes-en-l'air.



J'espère que cette histoire vous aura plu. N'hésitez pas à donner votre avis et des conseils pour que je m'améliore.
Le prochain récit risque de sortir un peu tard, j'essaierai de ne pas être trop long.

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