Au Cinéma

Voici la seconde histoire vraie de nos aventures candaulistes.

Un soir, ma Gigi, 56 ans, superbe grande femme et moi décidons d’aller dans un cinéma porno ; en réalité le dernier subsistant à Bruxelles ; il est fermé maintenant !
Le vendredi en question, elle se vêtit d’une manière très sexy voire assez provocante c’est à dire avec chemisier noir quasi transparent et un soutien gorge plus que pigeonnant puisqu’il ne cachait que le dessous de ses seins.
A noter qu’un soutien est bien plus élégant compte tenu de son imposante poitrine soit un 95 E.
Une jupe en tissu très courte, des bas auto fixant noirs, des hauts talons et bien sûr, comme à l’accoutumée, pas de culotte.
Pour nous déplacer en ville, un imperméable cachait une bonne partie de son anatomie excepté qu’à chaque pas, son imper s’ouvrait et on pouvait voir ses jolies jambes jusqu’à la dentelle en haut de ses bas.

Nous voilà devant le cinéma et le gérant nous fait entrer et sans doute flairant notre intention nous a offert les places.

On s’assoit au dernier rang, laissant deux sièges libres à la droite de Gigi.
Peu de personnes dans la salle ; environ huit à neuf personnes des hommes exclusivement.
L’espace entre les rangées était assez large et permettait le passage sans aucune difficulté,
Bien sûr, le film ne nous intéressait pas fort car ce n’était pas notre but.
Je commençai donc à embrasser ma chère et à la peloter à travers de son chemisier auquel j’avais déjà enlevé les trois boutons supérieurs permettant une vision non équivoque sur sa superbe poitrine et laissant libre accès à mes mains …, les miennes jusqu’à présent !

Après moins de cinq minutes, un monsieur dans la trentaine vînt s’assoir à côté d’elle et deux autres, un jeune d’une vingtaine d’années et l’autre la cinquantaine vinrent derrière nous.
Timidement (quoique) le voisin osa le contact avec le genou de Gigi qui ne se déroba pas et puisqu’il n’y avait pas de scandale, remonta lentement le long de sa jambe jusqu’à la lisière de ses bas.


Je glissai une main dans son entre-jambes et bon sang, elle mouillait déjà fort.
Le voisin me relayant pour la masturber lentement ce qu'elle avait l'air d'apprécier.
Voyant que ce voisin n’a pas essuyé de refus, les deux à l’arrière s’enhardirent et ont commencé à la peloter correctement tout en délicatesse et en sortant les seins du soutien tandis que je continuais à l’embrasser en surveillant les opérations !

A ma demande, la main de ma compagne s’est alors déplacée vers l’entre-jambes du voisin qui a sorti son engin qu’elle a commencé à masturber.

Après un moment, un quatrième larron est arrivé de l’avant de la salle, s’est faufilé entre les deux rangées de sièges et est venu se positionner entre les jambes de Gigi qui les a écartées sans poser de question !
Cet homme, un jeune polonais de 25 ans environ a baissé son pantalon, sorti sa queue de belle dimension, a mis un préservatif et attirant ma chérie vers lui, l’a pénétrée sans tambour ni trompette ce qui n’a pas déplu à Gigi qui était en attente.
Les coups de boutoirs s'accélérant, ma Gigi respirait de plus en plus profondément et un hhhhoooouuuuiii prolongé nous a averti qu'elle jouuissait.
Ce soir, un seul la baisée mais nous avons promis au patron de revenir la semaine suivante.

Le vendredi suivant, nous y sommes retournés et cette fois dans la salle du haut. Grosso modo le même scénario mais cette fois, elle s’en est pris quatre car la pub avait été faite sur le site du cinéma qu’un couple allait venir.
Quatre mais pelotée par une dizaine ! En un mot : superbe !
Quel bonheur d’être candauliste !

La fois prochaine, je vous raconterai une partouze à domicile

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