Ma Coloc' Nina - Ch. 4
CHAPITRE 4: LA PROMENADE
Le lendemain, je me suis fait réveiller par une très agréable sensation provenant de sous les draps. Sans avoir besoin de vérifier, je savais que Nina sy trouvait. Je nai pas bougé, ni ouvert les yeux, jai seulement profité du moment. De la lumière du soleil que les volaient entrouverts filtraient. De la fraicheur de ce dimanche matin dautomne, que je pouvais ressentir malgré la couverture. Et puis bien sûr de cette bouche, qui mavalait, et qui mavalait encore un peu plus que la veille. Ma respiration accélérait, mais je nai pas bougé, préférant laisser Nina faire. Plusieurs fois, je lai sentie pousser delle-même un peu plus profondément, toucher mon pubis du bout de son nez, puis s et se retirer. Au bout de quelques minutes, jai fini par me manifester et relever la couette. Nina, à quatre pattes et seulement vêtue dune petite culotte, était en train de lécher mes bourses. Elle ma regardé en souriant, et cela ma suffi pour me donner envie de jouir. Je lai alors gentiment tirée par les cheveux pour lui faire comprendre quelle devait me reprendre en bouche. Dune main, je la tenais elle, et de lautre, je me branlais dans sa bouche. Jai fini par éjaculer en elle en grognant, et en lui ordonnant de tout avaler. Ce quelle a bien sûr fait.
_ Ce sera ton petit déjeuner tous les matins, lui ai-je dis à voix basse, reprenant lentement mon souffle.
Puis toujours par les cheveux, je lai tirée à moi, et lai embrassée à pleine bouche.
_ Bonjour.
_ Bonjour, ma-t-elle répondu en se levant. Je vais te faire du café.
Puis elle sest levée et est sortie de la chambre en tortillant de son joli petit derrière.
Je suis resté au lit encore quelques minutes, prenant le temps de réfléchir à cette toute nouvelle situation. Avec Nina, je vivais quelque chose daussi intense quun coup dun soir, quand on baise sans se soucier de ce quil y a à construire dans le futur, et en même temps, nous passions déjà du temps ensemble comme le ferait un couple.
Quand je suis arrivé à mon tour dans la cuisine, Nina, toujours à demi nue, versait du café dans une tasse quelle ma tendue. Je lai regardée se servir du thé. Ses tétons bruns pointaient sous leffet de la fraicheur automnale.
_ Après le petit déjeuner, on ira te trouver une tenue adéquate, et on ira se balader. Jai très envie de montrer à tout le monde mon nouveau jouet.
_ Tu veux mexhiber ? ma-t-elle dit avec un sourire.
_ On verra. Ça te plairait ?
_ Tant que ça te plait, ça me plait.
Bonne réponse.
Après mon deuxième café, nous sommes allés dans la chambre de Nina. Jai ouvert le placard pour fouiller, mais ayant encore peu daffaires, je nai pas eu beaucoup de choix. Jai jeté sur le lit une jupe, que jai jugée assez courte, ainsi quun sous-pull. Jai hésité un instant, mais jai finalement fouillé dans le tiroir à sous-vêtements également, et jen ai sorti un petit string en coton.
_ Enfile ça, lui ai-je dis. Le matin, cest moi qui te dit comment thabiller. Si je ne suis pas là, je te donne mes instructions par texto, et tu menvoies une photo tout de suite après.
_ Daccord, a-t-elle dit en enlevant déjà sa culotte.
La tenue choisie lui allait parfaitement. Sans soutien-gorge, ses tétons transperçaient presque le sous-pull, assez moulant. Jai soulevé sa jupe, jétais content de ce que je voyais.
_ Mets un manteau et en route, lui ai-je dis en lui claquant gentiment la fesse.
Nous sommes sortis, la température était idéale, et le soleil brillait. Un bon dimanche sannonçait. Nous avons marché moins de cinq minutes pour aller au marché du quartier. En arrivant sur la place, surplombée par léglise, jai attrapé Nina par la main et lui ai fait contourner le bâtiment.
_ Donne moi ta culotte, maintenant.
Nina a eu lair surprise. Elle ma regardé dans les yeux, puis à droite et à gauche pour voir sil y avait du passage. Et il y en avait un peu.
_ Allez! Tu ne croyais pas que ce serait si facile, si? Tu veux que je te larrache sur la place, devant tout le monde?
Elle a simplement fait non de la tête, et après avoir vérifié à nouveau sil ny avait pas trop de monde autour, elle a passé ses mains sous sa jupe et fait glisser son string sur ses jambes. Elle me la ensuite tendu, tenant sa jupe de lautre main, de peur que celle-ci ne senvole et dévoile tout à tout le monde.
_ Et maintenant en piste, lui ai-je dis en fourrant le sous-vêtement dans ma poche et en lattrapant par le bras.
Nous avons déambulé dans les allées du marché pendant un long moment. Je marchais lentement, regardant bien tous les étals, et mamusant surtout de la situation. Nina était stressée comme pas possible.
_ Tu nes jamais sortie sans culotte? lui ai-je demandé discrètement alors que nous nous étions arrêté à un stand de fruits et légumes.
_ Une fois, mais jétais en jean.
_ Habitue toi à cette sensation, cest loin dêtre la dernière fois que ça arrive.
Et je suis passé à un autre stand, en prenant bien soin de passer ma main sur sa jupe pour la faire voler légèrement. Pas assez pour que tout le monde puisse admirer son derrière, mais assez pour déstabiliser un peu plus Nina.
_ Tu sais, lui ai-je dit alors quelle me rejoignait en tenant sa jupe bien droite, au final je te connais peu. Mais je te connais maintenant assez pour savoir que cest ce genre dexpérience et de défi dont tu as envie et besoin. Jai tort ?
_ Non, non, cest juste que cest nouveau, ça me fait bizarre
_ Ce qui sera bizarre, bientôt, ce sera de te faire baiser en missionnaire dans un lit et dans le noir. Si ce nest pas déjà le cas. Moi en tous cas, jai envie de temmener à lopposé de tout ça.
Nina a alors lâché sa jupe et pris ma main dans la sienne.
_ Je te fais confiance, et je veux que tu memmènes là où tu en as envie.
_ Alors suis-moi.
Nous avons quitté le marché et nous sommes dirigés vers les quais de Saône. A cette heure-ci, les berges étaient désertes. Nous nous sommes arrêtés sous un pont, cachés des éventuels passants au-dessus de nous. Nina devait sattendre à quelque chose, je ne lavais pas emmenée dans ce coin reculé pour rien. Alors elle me regardait, sagement, les mains dans le dos, attendant les instructions. Jai alors remonté sa jupe, haut sur ses hanches, et dun pied, je lui ai fait écarter les jambes. Puis les instructions sont venues.
_ Je me suis rendu compte ce matin que depuis hier, tu mavais fait jouir deux fois. Ce qui est normal puisque cest ta principale préoccupation, désormais. Mais moi, goujat que je suis, je ne tai même pas fait jouir. Alors tu vas le faire maintenant, je ty autorise.
Nina est restée interdite un instant, sans trop comprendre ce que je lui demandais.
_ Branle-toi et jouis, ai-je insisté. Ne me force pas à te punir dès le premier jour.
Elle ma regardé apeurée, mais na pas tardé à ramener ses mains devant elle, et à commencer à sactiver. Un doigt timide sest dabord aventuré sur sa fente, avant de glisser entre ses lèvres. Elle narrêtait pas de regarder à droite et à gauche, et quand on entendait des gens parler au-dessus de nous, elle fermait les yeux comme si cela allait les empêcher de la voir. Mais personne ne faisait attention à nous. Personne ne pouvait vraiment la voir. Sentant quelle avait du mal à se concentrer, je me suis approché delle et jai posé ma main sur sa poitrine.
_ Allez, va falloir faire ça mieux.
_ Ou.. Oui, a-t-elle soufflé.
Et dès lors Nina a redoublé dénergie. Un deuxième doigt sest glissé entre ses cuisses. Ses yeux se sont fermés, sa bouche sest entrouverte, et entre deux gémissements, jai entendu les clapotis de son sexe humide sous sa main. A un moment, elle a ouvert les yeux et vu quune péniche était en train de passer en face de nous.
_ Marc
Marc !
Pour toute réponse, jai relevé son pull au-dessus de ses seins et ai commencé à lui pincer les tétons.
_ Tu nas même pas intérêt à tarrêter !
Nina a continué son travail sans lâcher le bateau des yeux. Elle regardait maintenant partout autour delle et gémissait encore plus, comme si la situation commençait à lexciter. Ma main navait pas lâché son téton. Je le pinçais, le faisais rouler entre mes doigt, tirais dessus. Mon autre main nest pas restée inactive, et est descendue le long de son dos, jusquà ses fesses, que jai dabord caressées et malaxées. Rapidement, mon majeur a glissé le long de sa raie et a poussé contre son petit trou. Nina sest mise à gémir un peu plus fort, tandis que je la pénétrais.
_ On dirait que tu aimes te prendre des doigts dans le cul en pleine rue, lui ai-je chuchoté.
_ Oui, je
jaime et je
je sens que je vais jouir, maintenant.
_ Lâche-toi, tu las mérité.
Jai alors senti son corps se contracter, entièrement. Pour laccompagner, jai tiré sur son téton et poussé mon doigt aussi loin que possible dans son anus. Puis son corps sest tendu et Nina a poussé un grognement, tremblante comme une feuille. Visiblement, elle navait plus aucune gêne quant à lidée dêtre à moitié nue dehors. Elle était plus bruyante encore que la première fois que je lai vue se branler. Il a bien fallu une minute avant quelle ne se calme, et reprenne doucement sa respiration. Lorsquelle a retiré sa main de son entre-cuisses, un long filet de mouille a coulé le long de ses doigts. Je lui ai ordonné de nettoyer, et elle les a sucé. A mon tour jai retiré mon doigt de son cul, et nous nous sommes embrassés à pleine bouche, comme deux adolescents. Sauf que Nina avait encore les seins et les fesses à lair.
_ Tu vois, cétait pas si dur. Mais rentrons maintenant, jai dautres plans pour nous aujourdhui.
Nina a réajusté sa jupe et son pull et nous sommes rentrés. Elle était déjà beaucoup plus à laise quà laller pour se balader sans culotte.
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