Ma Coloc' Nina - Ch. 6
CHAPITRE 6: LES TOILETTES DE LA FAC
Le début de la semaine avait été plus calme que le week-end. ment. Quand je rentrais du boulot, Nina était généralement déjà arrivée depuis un moment. Je posais mes affaires, et après lavoir embrassée, je prenais possession de son corps, où quelle se trouve. Une fois sur le palier, une autre dans la cuisine, une autre dans le salon. Elle était totalement mienne. Je la démontais, littéralement. Je la baisais comme une bête et jouissais assez vite, en elle ou sur elle, mais comment faire autrement quand, toute la journée devant mon ordinateur, je ne pensais quà comment jallais la prendre le soir. Nina, elle, ne jouissait pas ment, mais elle savait que javais le contrôle sur ses orgasmes aussi, et elle me remerciait après lavoir baisée. Nos soirées étaient plus calmes, même si nous remettions ça en général après le repas, et le matin, nous recommencions. Nina avait compris ce que je voulais et me suçait pour me réveiller. Puis nous déjeunions, je lui choisissais une tenue, et nous partions, moi au boulot, elle à luniversité. Cétait déjà presque une petite routine, mais cétait loin dêtre désagréable.
Mais ce jeudi, javais pris un RTT. Javais une petite galère administrative à régler et à laquelle je ne pouvais pas échapper. A 11h, je men étais débarrassé, et jétais libre. Libre, mais seul à lappartement, puisque Nina avait encore cours jusquen milieu daprès-midi. Alors à moitié affalé dans le canapé, jai dégainé mon portable et lui ai envoyé quelques messages, dabord presque anodins, et puis jai eu envie de mamuser un peu.
« Je veux voir ton corps. Tu as cinq minutes. »
Je savais très bien quà cette heure-ci, Nina était en classe. Pourtant, cinq minutes plus tard, je recevais un message. « Voilà », accompagné dune photo delle, prise dans un miroir, dans ce que jimaginais être les toilettes de la fac, le jean sur les genoux, le pull relevé au-dessus de ses seins.
« Rendez-vous dans les toilettes du rez-de-chaussée à côté de lentrée, dans cinq minutes. Pas une de plus. » Et en moins de cinq minutes, Nina mavait rejoint.
_ Quest-ce que tu fais là ? ma-t-elle demandé en rentrant dans les sanitaires. Jai dû demander à aller aux toilettes deux fois en moins dune demie-heure.
_ Rentre là-dedans et fous toi à poils, ai-je dis en poussant la porte dune des quatre cabines.
Nina sest mordu la lèvre, de manière très érotique. Apparemment, lidée lui plaisait. Elle est entrée dans la cabine avec moi, et sans plus attendre, a fait passer son pull au-dessus de sa tête. A la vue de sa poitrine, je nai pas pu men empêcher, jai giflé lun de ses seins, puis le deuxième, et je lai attrapée par un téton pour lattirer vers moi.
_ Impossible dattendre ce soir pour profiter de ma chienne, lui ai-je chuchoté à loreille.
_ Alors profites-en maintenant.
Je lai embrassée en tirant un peu plus sur son téton, puis lai retournée face au mur. Rapidement, jai moi-même défait son pantalon, et lai baissé à mi-genoux, comme sur la photo. Puis je lai poussée en avant, et Nina sest penchée en sagrippant au siège des toilettes. A mon tour jai défait mon jean, et en ai sorti mon sexe dur comme de la pierre. Sans plus attendre, je lai glissé entre les cuisses de Nina, puis entre ses lèvres, et jai poussé en elle. Mes mains sur ses hanches, jai commencé à la baiser. Sans me précipiter, mais sans tendresse non plus. Mon corps claquait contre le sien, et nos bruits de baise résonnaient dans la pièce.
_ Quest-ce quil y a? lui ai-je dis à loreille, tu ne veux pas que tes copines de lécole sachent quelle chienne tu es?
Elle a fait non de la tête, alors je lui ai mis une fessée assez forte, et assez bruyante.
_ Si tu ne jouis pas avant que ta copine parte, tu seras punie ce soir, cest compris?
Cette fois, elle a acquiescé. Jai continué à la branler en silence, tout en allant et venant doucement dans son vagin. Nous étions tellement silencieux quon avait limpression dêtre dans la cabine dà côté. On entendait clairement la camarade de Nina pisser, puis sessuyer, tirer la chasse et se rhabiller. La porte de la cabine sest ouverte et nous avons entendu le robinet se mettre en marche. Nina navait toujours pas joui, malgré mes doigts de plus en plus vifs sur son bouton.
_ Tant pis, ai-je dis à voix haute. Si tu nas pas envie de jouir, moi jen ai envie.
Et je lai baisée. Non, je lai défoncée. A tel point quà la fin, elle était obligée de reposer sa tête à même la cuvette. Nina se mordait les lèvres pour ne pas crier trop fort, mais de toutes façons, le bruit des fessées que je lui infligeais ne laissait aucun doute sur ce qui se passait dans ce box. Je lai encore baisée comme ça quelques minutes, puis je me suis retiré, et lai retournée. Nina sest assise sur la cuvette, tandis que jenfonçais mon sexe dans sa bouche. Jai fais un ou deux allers-retours dans sa gorge, puis me suis répandu sur sa langue en grognant. Nina sest étouffée un petit peu mais a tout avalé, et cétait tant mieux pour elle. Si elle ne voulait effectivement pas que ça se sache, il valait mieux supprimer toute trace de mon passage. Je me suis ensuite reculé en reprenant mon souffle et en me rhabillant, puis je lai regardé. Elle navait peut-être pas de sperme sur le visage, ou sur ses fringues, mais elle avait les cheveux en vrac, les joues rouges. Clairement, il sétait passé quelque chose.
Je ne lui ai pas laissé le temps de dire quoi que ce soit. Une fois rhabillé, je suis sorti de la cabine, que jai laissée ouverte. Nina avait beau être encore nue sur sa cuvette, ça métait égal.
_ Je te vois ce soir à lappart. Prépares-toi, lui ai-je simplement dit avant de la laisser en plan.
Je suis sorti de luniversité sans me retourner, et ce malgré un rapide texto de Nina me demandant pardon davoir désobéi. Mais trop tard. Javais promis une punition et je tiens toujours mes promesses. Alors avant de retourner à lappartement, je suis passé faire quelques courses.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!