Du Bonheur À L'Horreur 7

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je n’arrivais plus à dormir, il était 7h du matin et j’étais déjà les yeux grands ouverts alors que Julien dormait paisiblement à mes côtés. Le voir me rendais heureuse il avait l’air tellement paisible. Hier il avait participé aux ébats torrides et semblait avoir pris du plaisir même si je sentais qu’il le faisait un peu par obligation et par peur de me perdre.
Il est clair que ces derniers jours ont été un vrai bouleversement dans notre vie, je me suis rendu compte que j’aimais être dominée à ma grande honte mais surtout mon plus grand plaisir.
Au fond de moi je savais que je ne pouvais dire non et cela me rendais folle, en y repensant je me dégoutais c’était à l’encontre de toute mon éducation puritaine et saine. Mais je ne peux pas lutter contre ces pulsions, j’ai besoin d’un homme qui me domine et sache me satisfaire.
En regardant mon mari je me demandais s’il en était capable, en effet il subissait les évènements depuis le début et ne s’est jamais vraiment imposé pour stopper cette machination infernale. Cela me faisait me questionner sur notre couple et notre avenir. Je l’aimais de tout mon cœur mais il devait me contrôler pour que notre vie reprenne une tranquillité et un cours normal. Bref tout était chamboulé dans ma tête.
Ne voulant le réveiller je me levais silencieusement et allais prendre une bonne douche. Une fois sortie j’enfilais un ensemble tanga et soutif blanc magnifique et qui mettais ma peau satinée en valeur. Une petite robe d’été bleue a fleur et une paire de petites baskets complétées ma tenue. Je voulais aller chercher le petit déjeuner avant de discuter tranquillement avec Julien.
Arrivée au réfectoire quelle fut ma surprise de voir Pierre en train de faire le ménage l’air triste. Un peu gênée je me servis vite en viennoiseries et café pour rejoindre la piscine ou je voulais me détendre un petit peu avant de remonter dans ma chambre.


En arrivant je pus découvrir Méroé allongée sur un transat, nue, jambes relevées avec Camille la tête plongée à l’intérieur en train de la lécher a pleine langue. Moussa quant a lui pilonnait l’anus de la belle blonde a grands coups de bite.
- Bonjour Adèle ! Déjà levée ?
- Oui Julien dors encore je me pose un peu ici avant de remonter le rejoindre.
- Attends je finis de défoncer cette petite chienne et j’arrive.
Moussa accéléra encore plus ses va et vient. Camille était complètement ailleurs les yeux dans le vide, cette sodomie puissante la mettait dans un autre monde. En les voyant je ne pus m’empêcher d’humidifier mon tanga. Moussa se sentant venir se retira de l’anus de Camille pour venir se finir dans son vagin.
- Bon avec toutes ces éjaculations en toi ma petite si tu n’accouche pas d’un petit métis c’est que je suis stérile hahah.
Moussa se retira et après s’être essuyer la bite dans les cheveux blonds vint me rejoindre à table. Méroé ne laissa pas de répit à Camille et plaqua son visage contre son anus.
- J’ai vu Pierre faire le ménage dans la cuisine.
- Hahha oui il est rentré dans le rang. Je lui ai dit que s’il voulait voir un peu sa femme aujourd’hui il devait me nettoyer tout ça. Tu as bien dromie ?
- Oui oui mais a vrai dire je suis un peux patraque ce matin et toi ?
- Fatigué j’ai vraiment baisé cette pute toute les nuit et ma mère voulait en profiter un peu ce matin. Comment ça patraque ?
- Je ne sais pas ou j’en suis… J’ai peur que Julien ne prenne jamais les devants et que moi je ne pourrai jamais refuser quoique ce soit
- Je vois. En effet je pense un peu comme toi malheureusement. Heureusement il vous reste quelques jours ici pour vous poser les bonnes questions avant de rentrer.
- Oui mais je sais que je ne veux pas le perdre et en même temps il me déçoit par moment
- Ecoute Adèle tu devrais te changer les idées et aller découvrir le pays. Je connais un village sympa ou tu pourras découvrir le Sénégal typique ça te changeras les idées.
Tu y passeras la journée et la soirée et tu rentres demain matin.
- Bonne idée mais et Julien ?
- Ne t’inquiète pas je lui expliquerai. Il me fait confiance et en plus demain j’organise une grande fête ici du coup vous vous y retrouverais
- Merci Moussa
- Je vais voir pour t’organiser tout ça je connais bien le maire du village. Le taxi viendra te chercher dans 10 minutes.

Je patientais donc tranquillement au bord de la piscine, c’est clair que cette journée seule allait me faire du bien et me permettre de bien réfléchir.
- Adèle tu peux venir le taxi est arrivé
En effet à l’entrée Moussa était en pleine discussion avec un homme et quel homme c’était un véritable colosse chauve de plus de 2m pour au moins 120kg, une véritable armoire de 55ans.
- Je te présente Boubakar c’est un ami d’enfance et c’est aussi le maire du village que tu vas visiter.
- Enchantée madame
Je paraissais une naine a côté de ce géant qui me tendit sa grande main avec un sourire carnassier et un regard dur.
- Bonjour monsieur
- Adèle j’ai dit à Boubakar de te faire visiter et tu peux totalement lui faire confiance c’est comme un frère pour moi.
- Mettons-nous en route je t’ai préparé un programme chargé.
Je suivais cet homme avec un petit pincement au cœur pour Julien que j’allais abandonner pour la journée. Le chauffeur était un nain qui nous ouvrit la porte avant de prendre sa place au volant. Je m’installais donc à l’arrière du taxi avec le géant noir.
- Alors ma petite dame il parait que vous voulez voir du pays et vous évader
- Oui c’est bien ça
- C’est parfait vous n’allez pas être déçue. En tous cas Moussa ne m’a pas menti vous êtes véritablement canon
- Merci.
- Bon on a un peu de route je vais me mettre un peu à l’aise
Le géant enleva sa veste de costume, déboucla sa ceinture et retira ses chaussures. La vitre teintée entre nous est le chauffeur nous isolait totalement.
Je commençais à me sentir gênée et le regard fixé du géant sur moi me mettait très mal à l’aise.
- Dis-moi comment ça se fait qu’une si belle créature voyage seule ?
- Je ne suis pas seule mais j’avais besoin d’un peu d’air aujourd’hui
- Je vois. Tu as bien fait je préfère les visites personnelles.
Son regard me détaillait de bas en haut, j’avais l’impression qu’il voulait me dévorer c’était super gênant et je regrettais de m’être embarquée la dedans sentant que ça allait encore dégénérer.
- Tu dois être la plus belle femme que je n’ai jamais vue. Mon pantalon me serre totalement
Boubakar baissa carrément son pantalon et ne portant pas de sous vêtement je pus découvrir hallucinée un sexe d’une taille incroyable. Sa bite lui arrivait quasiment au genou et il avait de grandes jambes et ses couilles poilues étaient énormes. Je me rendis compte que j’étais fixé depuis un bon moment sur la bête et Boubakar savait très bien l’effet que son membre provoquait.
- Avoue que tu n’as jamais vu ça de ta vie princesse ?
- …
- Rapproche-toi un petit peu tu verras mieux
D’une main puissante il me tira vers lui et je me laissais faire totalement tétanisée. Il prit ma main et la posa sur son chibre. Je n’arrivais pas du tout à en faire le tour c’était vraiment impressionnant.
- Ecoute moi bien petite. Aujourd’hui tu es à moi c’est clair ? Tu es ma chienne
- ….
- Réponds-moi salope. Tu feras tout ce que je te dis ?
- Oui monsieur
- Parfait on va bien s’amuser. Enleve moi cette robe de pucelle maintenant.
A sa merci je fis passer les bretelles de ma robe au-dessus de mes épaules et la fis tomber jusqu’à mes chevilles exhibant mes sous-vêtements. L’effet fut immédiat, l’énorme sexe se dressa de toute sa longueur. Sa grosse main passa dans mes cheveux et poussa ma tête vers lui. Il m’embrassa avec force et ardeur. Je sentis sa grosse langue prendre totalement possession de ma bouche et je me laissais faire.
Il arracha littéralement mon soutien-gorge et mon tanga et les jeta par la fenêtre du taxi.
- Tu n’en auras pas besoin aujourd’hui.
Je ne pouvais retenir mes larmes de perler aux coins de mes yeux. Qu’est-ce que je faisais. Boubakar frappa sur la vitre teintée
- Toufik arrête la voiture j’ai besoin de toi a l’arrière un moment !
La voiture s’arrêta sur le bas coté et la porte s’ouvrit. Le nain noir était vraiment hideux et son visage était déformé par son handicap. Il faisait vraiment peur.
- Tu vas me la préparer comme il faut Toufik. Quand a toi vient gouter ton nouvel ami.
Les deux hommes me placèrent à quatre pattes et d’une poussée sur mon crane Boubakar me faisait bien comprendre ses intentions. J’ouvrais les mâchoires au maximum pour accueillir l’énorme gland du maire mais ça faisait vraiment mal. Je sentis de petites mains m’écarter les cuisses et une langue plongée sur ma vulve. La petite langue s’agita sur mon clitoris de manière frénétique ce qui me fit immédiatement mouiller au plus haut point. Pendant ce temps Boubakar poussait de plus en plus sur mon crane pour faire rentrer petit à petit son énorme sexe dans ma gorge. La douleur était intense et je pleurais à chaude larmes.
- Alors elle a bon gout a ce que je vois. Mon nain se régale haha
C’est clair que vu les coups de langue Toufik se régalait de mon jus et heureusement qu’il était là pour contrebalancer la douleur de la fellation que je tentais tant bien que mal de réaliser. Boubakar s’impatientant appuya fortement sur mon crane et les trois quarts de son sexe envahit mon œsophage je n’avais jamais senti quelque chose entrer si profond en moi. Il tira sur mes cheveux pour me faire remonter et me replongea immédiatement c’était horriblement douloureux. Toufik quand a lui avait stoppé son cunnilingus et je sentais a présent ses petits doigts entrer dans ma chatte.
Suite à plusieurs aller et retour la douleur s’atténuait quelques peu et je pouvais aller et venir plus facilement sur le sexe de mon tourmenteur. Pendant ce temps le petit poing entier de Toufik était entré en moi me donnant un énorme orgasme.
- Ah je vois que tu as joui ma petite chienne à mon tour maintenant.
Le géant me saisit et me retourna comme si j’étais une poupée. Il plaça le monstre à l’entrée de ma vulve préparée et s’enfonça d’un coup dans un cri de douleur de ma part. J’étais totalement déchirée que je faillis tomber dans les pommes et m’écroulais.
- Fais toi plaisir Toufik tu l’a bien mérité
Le nain sortit son sexe de taille convenable et me l’inséra dans la bouche. Moi je subissais les assauts de Boubakar totalement amorphe et KO. Cela ne ralentissait nullement le géant qui me pilonnait sans aucun remords. Mon vagin meurtri commençait à ressentir du plaisir et une chaleur intense envahit tout mon être. Je suçais au mieux le nain ayant une certaine reconnaissance envers lui de m’avoir préparée. Mon calvaire dura un bon moment et la douleur était trop forte pour que je jouisse mais les deux hommes finirent quasi en même temps. Toufik déchargea au plus profond de ma gorge et j’avalais sa semence sans broncher. Quant à Boubakar dans un ultime assaut se braqua et déchargea dans mon antre, il se retira dans un gros Blob et je me sentis instantanément vidée.
- Je sais que la première fois c’est trop douloureux mais fais moi confiance a la fin de la journée c’est toi qui en redemanderas. Allez Toufik on repart on a pris du retard.
Le nain reprit son siège et la voiture redémarra. Moi j’étais complétement abattue et n’arrivais même pas à me redresser. Boubakar me tendit ma petite robe, il prit soin de la déchirer au niveau du décolleté et sur les cotés du bas de la robe. Réunissant mes forces pour me redresser j’enfilais la robe et découvrais qu’elle laissait maintenant carrément voir mes cuisses et le début de mes seins. D’une robe sage c’était devenue une robe provoquante et sans équivoque.
La fin du trajet se déroula calmement et la voiture se gara dans une petite ville très atypique et mignonne, nous étions arrivé
- Voilà me belle bienvenu dans ma ville. Premier arrêt le marché j’ai des achats à faire et tu pourras découvrir le vrai Sénégal.
Moi complétement a sa merci je le suivais quand il sortit de la voiture. Il faisait chaud et j’avais vraiment l’air d’une pute avec ma tenue, au moindre coup de vent mes fesses et mon pubis serait à l’air libre.
Boubakar me prit par la hanche et nous avancions à l’intérieur de petites rues jusqu’à une place ou un grand marché était installé. Tous les gens que nous croisions ne manquaient pas de saluer mon compagnon et leurs regards sur moi semblaient plein de désir. Le marché était magique avec tous ces étals colorés et le brouhaha des marchands c’était exactement ce que je voulais visiter.
- Alors petite qu’est ce que tu en penses ?
- C’est très beau, un vrai labyrinthe.
- Tu l’as dit viens je vais te montrer un étal qui pourra te vendre une tenue pour ce soir.
Je le suivais donc jusqu’à un grand étal rempli de plein de fringues pendues de toutes part, il était tenu par deux hommes d’une cinquantaine d’années.
- Salut les gars alors comment ça se passe aujourd’hui ?
- Bonjour Mr Boubakar ça va très bien moi et mon frère avons vendu pas mal d’articles ça tourne bien.
- Super. Je vous présente Adèle, elle a besoin d’une belle robe pour la soirée qui se tient chez moi ce soir.
- Je pense qu’on a pile ce qu’il faut
Il me dit ça en me détaillant de haut en bas avec un petit sourire sournois. L’autre frère me détaillait de manière malsaine sans aucune gêne. Moi n’osant pas dire un mot je me laissais porter par le mouvement. On me tendit donc une combi short couleur jaune avec un tissu très doux.
- C’est une nouvelle création, ça va vous plaire Mr
- Bon ma belle qu’est ce que tu attends essaye la !
- Euh… Ou est-ce que je me change ?
- Hahah on n’est pas sur les champs Elysées allez magne toi on n’a pas que ça à faire.
C’était particulièrement humiliant surtout que de nombreuses personnes se baladaient et j’allais me mettre nue comme si de rien n’était. Je pris mon mal en patience et d’un geste rapide je fis tomber ma robe et le plus rapidement possible enfila le vêtement tendu par l’un des frères.
- Si vous le permettez monsieur je dois vous dire que votre compagne est magnifique
- Vous avez vu ça ? Ce n’est pas tous les jours qu’on voit pareille beauté dans le coin.
J’arrivais tant bien que mal à enfiler la combi qui était super moulante mais plutôt confortable. J’étais super sexy. De nombreux passants s’étaient arrêtés pour me contempler.
- Bon c’est bien beau mais combien ça coute les gars ?
- Pour vous Mr c’est toujours gratuit vous le savez bien.
- Certes mais ça me gêne beaucoup. Bon Adèle pour remercier ces deux braves gars de leur cadeau tu vas leur vider les couilles.
Cette dernière phrase fut un coup de massue surtout en voyant la joie des deux frères a l’hygiène très douteuse à la vue de leur odeur.
- Mais…
- Ya pas de mais. Je vais te prévenir tout de suite petite. Ici tu n’es rien, tu es ma chose alors si je te dis que tu te fais prendre, tu te fais prendre c’est clair ?
Pourquoi j’étais parti de l’hôtel ce matin ? J’étais totalement perdue et j’allais devoir satisfaire ces deux marchants devant tout le monde. Je regrettais ma décision de profiter car j’allais c’est sûr faire la pute toute la journée.
Les deux frères ne perdaient pas de temps et avaient sortit leur gros chibre de leur djellaba et se rapprochèrent de moi bavant d’envie. Ne voulant pas salir le nouveau vêtement ils me déshabillèrent et je me retrouvais à nouveau nue devant la foule qui commençait à s’entasser devant l’étal. De nombreux habitants avaient sorti leur sexe et se masturbaient en regardant le spectacle cocasse.
Les deux frères commencèrent à se coller a moi me couvrant de baisers, de lèches et je pouvais allègrement sentir leurs gros sexes se frotter sur mes cuisses. Moi je commençais à mouiller malgré moi devant la perversité de la situation. D’ailleurs conscient de cela le frère devant moi me souleva et tel un koala il m’empala sur sa bite en m’embrassant avec fougue, le deuxième ne se fit pas prier et plaça son sexe a l’entrée de mon anus et d’une poussée s’engouffra dans mon antre. J’étais donc doublement pénétrée en lévitation devant une foule de spectateurs et Boubakar regardait en filmant avec son portable. Moi j’étais totalement en extase profitant de la synchronisation parfaite des deux bites dans mes trous et je criais littéralement ma jouissance. Les frères ne devaient pas avoir baiser de si belles femmes de leur vie et d’ailleurs ils ne mirent pas longtemps à me remplir les trous de leurs semences chaudes me donnant un puissant orgasme.
Reprenant mes esprits je découvrais avec horreur la cinquantaine de males en chaleur en train de finir de se branler devant le spectacle.
- Bon allez le show est finit. Rhabille toi princesse on va continuer nos achats.
Je m’exécutais et repris la route avec Boubakar avec le sperme des deux frères coulant le long de mes cuisses.
- Je t’ai senti hésitante Adèle. Plus jamais tu ne me fais honte comme ça c’est clair ?
- Oui… excusez moi
- C’est bien.
Boubakar m’a fait finir le tour du marché et je pus découvrir les merveilles qui se cachent dans ce genre de vente. C’était super et j’aurais quand même voulut que Julien puisse profiter de ça avec moi.
- Bon il est midi ma belle tu n’as pas faim ?
- Si monsieur j’aimerai gouter des plats typiques.
- Je comprends on va aller au meilleur restaurant du coin tenu par un chef fantastique tu verras.
Nous arrivions donc devant un restaurant noir de monde mais Boubakar pu passer devant tout le monde et un homme noir a moustache totalement obese nous accueillait à bras ouvert. Ils se saluèrent chaudement.
- Adèle je te présente le Chef Abdelouad c’est un véritable artiste.
- Enchanté mademoiselle et bienvenue dans mon établissement.
- Alors Abdelouad nous allons prendre ma table privée. Moi je n’ai pas très faim donc prépare moi une bonne soupe de poisson mais pour Adèle fais lui découvrir ton menu réservé aux initiés.
- Ah je vois que vous êtes aventureuse c’est bien vous n’allez pas le regretter je ne prépare ce menu qu’aux spécialistes.
Subissant la discussion je me laissais diriger par Boubakar mais le sourire de l’obese a l’annonce du menu me fit un peu peur. Nous étions conduits dans l’arrière salle ou une table nous attendait somptueusement décorée. On voyait que Boubakar était reçu tel un roi partout dans la ville c’était impressionnant.
- Monsieur en quoi consiste ce menu ?
- Je te laisse la surprise c’est très conceptuel mais une expérience unique et c’est le chef lui-même qui va te le préparer
En attendant les plats nous pûmes déguster une bouteille de champagne et Boubakar me fit la conversation. Je pus lui parler de mon parcours, de mon mariage et de mes doutes. Il m’écoutait attentivement.
- Tu n’es pas faite pour le mariage petite, en tous cas pas avec cet homme que tu m’as décrit. Ce n’est que mon humble avis mais tu devrais être ma chose pour toujours je te ferai te découvrir et t’épanouir.
- Merci monsieur mais malgré tout j’aime mon mari et je ne pourrais pas vivre sans lui.
Le chef nous interrompit en entrant dans la petite salle. Il était en peignoir et semblait couvert de nourriture. Il était vraiment énorme et écœurant mais Boubakar semblait applaudir son entrée. Sans un mot le chef s’allongea sur la table devant nous et j’étais totalement déboussolée.
- En entrée mademoiselle veuillez découvrir de la sole sauce épicée, je vous souhaite une bonne dégustation
Je restais immobile ne comprenant pas trop ce concept et cherchais de l’aide auprès de Boubakar.
- Le plat est sur son corps il faut que tu le déguste directement. Ne fais pas attendre le chef
En effet je voyais qu’il y avait de la nourriture un peu partout sur son corps et ne voulant pas prendre une nouvelle soufflante de Boubakar je pris l’une des mains du chef et commençais a lécher et récupérer les morceaux de poisson couverts de sauce entre ses doigts. C’était vraiment délicieux malgré le fait de lécher cet obese. Il y en avait aussi sur ses pieds et entre ses orteils que je suçais malgré mon dégout. Pour finir son visage en était aussi recouvert jusqu’à dans ses oreilles. Je finis par récupérer le dernier morceau dans sa bouche et le chef en profita pour me rouler une énorme pelle baveuse.
- Pour le plat aujourd’hui je vous présente le sauté d’agneau aux olives.
Mêlant le geste a la parole il enleva son peignoir en exposant son énorme ventre plein de bourrelets. Il gardait néanmoins un slip cachant son intimité
Sur le même principe je dus déguster le plat a même le corps du cuistot passant ma langue entre les bourrelets dans le nombril. C’était encore délicieux mais aller lécher les aisselles du chef couvertes de sauce me dégoutât à un tel point que je faillis vomir. Boubakar quand a lui immortalisait la scène avec son portable.
- Enfin pour le dessert je vous offre le tiramisu maison
Il fit donc tomber son slip dévoilant un petit sexe couvert de mascarpone. Comprenant mon supplice je pris le sexe de l’obese en bouche et le suçais en me délectant du dessert. Je dus sucer aussi ses couilles et son pubis. Pour finir il se mit à 4 pattes et je sus avec horreur que je devais lui lécher l’anus également couvert du dessert. L’odeur forte accentua mon dégout mais telle une bonne élève je m’exécutais ne voulant pas décevoir Boubakar.
- Alors ma belle comment tu as trouvé ce menu ?
- C’était très spécial.
- Merci Abdelouad c’était encore super. Tu as une douche dans le resto car la petite s’en ai mis partout.
- Oui oui je vais lui montrer.
En effet le fait de manger directement avec la langue n’était pas la chose le plus hygiénique et j’avais un peu de sauce partout. Je suivais donc le gros chef nu jusqu’à une douche dans une salle a l’arrière du restaurant.
- Je t’accompagne petite j’en ai besoin aussi
- Mais euh…
- Tu ne veux pas ? Monsieur le maire va être déçu
Baissant les yeux je me dévêtis et entrais avec le chef dans la petite douche. Nous étions compressés à l’intérieur et tout son corps était plaqué sur moi. Il alluma la douche et nous commencions à nous débarbouiller.
- Tu es vraiment bandante et tu n’as pas froid aux yeux ! Il faut que tu me suce tout de suite
Il me força à me mettre à genoux et le prendre en bouche. C’était compliqué avec son gros ventre au-dessus de moi mais je savais que plus vite il avait éjaculé plus vite je pourrais sortir. Je m’appliquais donc sur ma fellation en lui massant les couilles avec mes mains. Il ne tarda pas à se sentir venir et déchargea sa purée sur mon visage d’ange dans un râle de plaisir. Je voulais me relever pour finir ma douche mais il me maintint à genoux de sa main puissante. Je compris vite en sentant un liquide chaud sortir de sa petite bite pour atterrir sur mon visage. Ce mec était infect et il me pissait sur le visage sans vergogne.
- Ouvre la bouche salope c’est le digestif. Obéis petite salope ou tu vas le regretter
Incapable de m’opposer j’ouvrais la bouche accueillant l’urine de l’obese. Il y en avait tellement que ça coulait sur mon menton et tout mon joli corps. Anticipant son ordre quand il eut terminé j’avalais l’urine au gout puissant et infecte.
- C’est bien tu apprends vite. Bon moi j’ai du boulot magne toi de terminer Boubakar doit s’impatienter.
Enfin seule je pus finir de me laver rapidement. J’étais vraiment tombé au plus bas et étais prisonnière de cette situation, je ne savais pas comment m’en sortir mais ça allait trop loin.
Je rejoins Boubakar qui m’attendait à la sortie du restaurant, je ne préférais pas lui raconter ce qu’il s’est passé sachant qu’il allait prendre le parti du chef.
- Bon on a un peu trainé dans le resto je te réserve une dernière surprise en ville et après on rejoindra ma villa pour que tu te reposes un peu avant la fête.
Je suivais donc le maire dans les rues de la ville jusqu’à un petit magasin dans une rue isolée. Il m’intima d’entrer et je pus vite reconnaitre l’intérieur d’un atelier de tatouage et piercing. Je fus pris de panique et voulus immédiatement partir.
- Non je ne peux pas ! pas ça… ma famille mon mari….
Une grande claque me fit redescendre sur terre et la force de l’impact me fit tomber au sol.
- Ecoute moi bien petite chienne. C’est moi ta famille maintenant c’est clair ? Et ton mari s’il n’est pas content il aura qu’à venir te reprendre.
Je pleurais à chaudes larmes en train de réaliser ce qui allait se passer. Un vieil homme entra et ne reconnut le maire qu’il salua.
- Bonjour on vient pour 2 tatouages et quelques piercings. Mais la petite a un peu peur.
Boubakar me releva retira ma robe et me plaça sur le siège.
- Ne t’inquiète pas ça va bien se passer. Il ne faut pas avoir peur tiens prend ça.
Il m’inséra une petite pilule dans ma bouche que j’avalais un peu contrainte. L’effet fut quasi immédiat et je me sentis dans les vapes jusqu’à m’endormir.
Je me réveillais dans une grande chambre encore un peu a l’ouest. Ma montre indiquait 19h j’avais donc dormit un bon moment. Sortant du lit j’étais nue et ma combi short jaune était prête sur une chaise. Un grand miroir était installé a coté du lit et le reflet faillit me faire tomber dans les vapes. Mes deux tétons étaient percés relié par une chainette, mon pubis imberbe était maintenant décoré de l’inscription « Propriété de Boubakar ». Un tour sur moi-même me fit découvrir un autre tatouage sur mes fesses « Garage a bite noires ». La porte s’ouvrit.
- Bonjour ma belle, tu as bien dormi ? Comment tu trouves ton nouveau look ?
Comment allait réagir Julien a tout ça, mes parents ? Je ne pourrai plus jamais me mettre nue devant eux, j’étais horrifiée.
- Oh ne fait pas cette tête moi j’adore ça reflète parfaitement ta personnalité. Bon allez habille toi la fête va commencer ne m’oblige pas à être méchant.
Complètement abattue je m’exécutais et enfilais ma tenue qui avait le mérite de cacher ces horreurs sur ma peau. Je sortais de la chambre pour rejoindre un grand jardin rempli de monde avec un bar énorme, un buffet, une grande piste de danse, toute la ville était conviée on dirait. Ma beauté fut vite remarquée par l’assemblé et les regards des hommes étaient très envieux. Voulant oublier mes tourments j’allais boire quelques verres au bar ne cherchant en vain un moyen de retrouver ma vie d’avant et d’oublier tout cela sans plus attendre. Je pouvais apercevoir au fond du jardin une file d’hommes qui mettaient des petits papiers dans une sorte d’urne, Boubakar lui allait de groupe de gens en groupe de gens pour saluer tout le monde. Je commençais a être bien éméchée quand Boubakar monta sur scène pour prendre le micro.
- Bonjour a tous et bienvenue a la grande fête annuelle du village. Comme chaque année la fête sera ponctuée par l’élection de la plus belle femme et maintenant que tous les hommes ont voté et que ces votes ont été compté laissez moi vous annoncer les 3 finalistes.
Une tonne d’applaudissement se firent entendre dans la foule, l’ambiance était au maximum et c’était sympathique.
- Première finaliste Yasmina. Viens me rejoindre sur scène stp.
C’était une jeune femme noire de 18ans très belles aux formes pulpeuses et arrondies. Son père, un local, la félicita et elle rejoint Boubakar sur scène.
- Deuxième finaliste Ping
Une jeune asiatique, cliché du touriste, d’une vingtaine d’année avec un superbe visage cria de joie. Elle était petite avec des petits seins et de jolies fesses et semblait être accompagné de son copain qui l’embrassa avant qu’elle ne rejoigne la scène.
- Et enfin dernière finaliste Adèle.
Je fus a moitié surprise d’être élue aux vues des regards envieux des hommes de la fête et sans trop de joie mais poussée par l’alcool je rejoignais mes concurrentes.
- D’habitude l’élection se base uniquement sur des défilés dans différentes tenues mais cette année j’ai aussi envie de récompenser la volonté et le courage. Il y aura donc trois épreuves ou deux des finalistes se qualifieront pour une ultime épreuve.
La foule semblait super emballée par ce changement de règle et moi je redoutais le pire connaissant la perversité de Boubakar.
- La gagnante aura l’honneur d’être la miss de la ville et toutes les portes des établissements et des commerces lui seront ouvertes gratuitement par contre revers de la médaille les deux perdantes seront sévèrement punis.
Je savais qu’il fallait que je gagne car les punitions allaient être à coup sûr terribles et je voyais les sourires de mes concurrentes se transformer peu a peu en crainte au vu des nouvelles règles.
- Sans plus attendre la première épreuve et cela ouvrira la piste de danse. DJ envoi nous un bon morceau ! Les filles vont devoir faire un striptease de manière sensuelle, celle qui attirera le plus de monde autour d’elle a la fin du morceau remportera l’épreuve.
Sans même avoir le temps de cogiter une musique typique d’ici aux sonorités dansantes se fit entendre et nous dûmes rejoindre la piste de danse vite entourées par la foule. Ne voulant absolument pas perdre craignant la punition je commençais à danser. Mes capacités sportives et l’alcool aidant je dansais de la manière la plus sensuelle possible. J’étais vraiment sexy dans ma belle combinaison et je voyais maintenant de nombreux hommes m’entourer et danser près de moi. Je sentais un homme se coller à mes fesses pour bouger au rythme de la chanson je pouvais sentir une grosse bosse déformer son pantalon. Cela mit en confiance plusieurs autres hommes et plusieurs corps se frottaient sensuellement à moi et je commençais à vraiment être excitée. Du coin de l’œil je pouvais voir que Yasmina danser somptueusement bien et avait fait tomber sa robe pour se déhancher en sous-vêtements, Ping quand a elle n’était pas du tout à l’aise et se laisser diriger par les quelques males l’entourant. Son copain a l’écart n’osait pas intervenir.
Un peu jalouse de Yasmina je fis lentement tomber le haut de ma combinaison dévoilant mes seins reliés par la chainette au vu de tous. Les danseurs autour de moi ne se firent pas prier et je sentis quelques mains les prendre de suite. Totalement prise au jeu je descendis complétement ma combi le long de mes cuisses et je me retrouvais totalement nue a la merci des mains et des doigts voisins. Mes tatouages furent une autorisation pour beaucoup et je sentais des doigts envahirent mon vagin et mon anus me faisant mouiller fortement. Yasmina aussi était nue et se déhanchait toujours avec fougue, Ping quand a elle s’était faite déshabiller un peu de force et subissait cette épreuve ne s’imaginant pas que ça puisse partir en vrille a ce point. Son copain semblait choqué mais incapable de rien faire et me fit penser à Julien.
Finalement la musique s’arrêta et Boubakar nous fit revenir toutes les trois nues sur scène sous les applaudissements.
- Merci les filles c’était super. C’était serré mais la grande gagnante de cette première manche est Yasmina suivit d’Adèle et de Ping qui a déçu.
J’étais énervée d’avoir perdu et mon esprit de compétition voulait une revanche lors de la deuxième manche. Yasmina souriait encouragée par son père qui semblait vouloir absolument que sa fille gagne. Ping elle pleurait et voulait à coup sûr s’enfuir.
- Pour la deuxième manche nous allons tester votre résistance a la douleur. Veuillez messieurs vous mettre en file. Nous allons mettre à votre disposition des martinets et les filles vous allaient devoir résister aux coups. Dès que vous n’en pouvais plus vous abandonnez c’est clair ?
Cette épreuve allait faire très mal heureusement j’avais été quelques peu initiée lors de ma confession a l’église mais ça avait été très douloureux. Toutes les trois nues nous attendions debout notre supplice qui ne se fit pas prier.
En effet le premier coup de martinet sur mes fesses me fit crier de douleur et mes complices également. Le martinet passait de main en main et les hommes frappaient à tour de rôle choisissant les zones qui les intéressaient. Ainsi mes seins, mes fesses, mon dos furent assaillis de coups et la douleur devenait insoutenable. C’est Yasmina qui craqua la première en pleurs et je vis son père l’engueler de manière exagérée. Ping semblait avoir une discipline de fer et encaissait les coups avec un flegme impressionnant. Pourtant les salauds n’y allaient pas de mains mortes et mon corps endolori ne suivit pas ma volonté et je tombais à genoux signifiant ma défaite.
- Ping est la grande gagnante de cette deuxième manche devant Adèle et Yasmina.
Toutes les trois très marquées nous nous relevions tant bien que mal de ce supplice. J’étais déçu mais je n’aurais pas pu battre l’asiatique sur cette épreuve.
- Enfin troisième manche, celle qui désignera les deux finalistes. C’est mon épreuve.
Le maire fier se déshabilla aux yeux de tous exhibant son membre énorme a l’assemblé. Je l’avais déjà vu mais il semblait encore plus impressionnant que la première fois. Ping était totalement sans voix devant l’engin et n’arrivait pas a tenir le regard.
- Comme vous pouvez le voir je suis très bien bâti et surtout j’ai une endurance impressionnante, vous allez devoir me faire éjaculer. Pour cela vous allez me sucer une par une, ensuite je vous baiserai et enfin si je n’ai pas encore fini je vous enculerai. Mettez-vous de suite à genoux.
En position Boubakar commença par moi et je pris son sexe en bouche en essayant de le faire rentrer au plus profond sachant qu’il adorait ça. Lui prenant ma tête a deux mains poussait. Prenant ses testicules en mains je sentais qu’il commençait à prendre pas mal de plaisir. Il passât néanmoins à Yasmina qui faisait de son mieux également avec la brutalité des coups de reins dans sa bouche. Ping quant a elle ne semblait jamais avoir réalisé de fellation car elle eu toutes les peines du monde à ne pas mettre de coups de dents ce qui énerva Boubakar.
- Allez maintenant à 4 pattes je vais vous prendre en levrette.
- J’abandonne
- Tu es sur Ping ? Sache que ça signera ta défaite et une punition sévère
- Oui je suis vierge et veut le rester.
- Comme tu le veux. Du coup nous avons nos deux finalistes. Je suis très énervé Ping a cause de toi je ne vais pas pouvoir baiser ces deux beautés.
Yasmina et moi avons croises notre regard et du soulagement se ressentait dans nos yeux.
- Messieurs veuillez emmener Ping dans le puit.
L’asiatique fut prise de force par deux hommes qui l’emmenèrent jusqu’à un genre de fosse. Ils la firent descendre à l’intérieur et fermèrent le puit par une grille.
- Quiquonque a besoin de pisser chier ou même vomir, je vous pris de le faire a présent dans ce puit.
Ainsi une dizaine de personnes partirent directement pisser à travers la grille et la jeune femme fut littéralement couverte de pisse. Un homme commença même à faire caca a travers la grille c’était immonde et j’eu énormément de peine pour cette petite mais au moins elle gardera sa virginité. Son copain était dégouté et je le vis même partir et abandonner sa copine a son triste sort.
- Bon revenons aux choses sérieuses. Pour cette finale nous aurons droit a un réel combat, veuillez enfiler ceci.
Nous réécumes chacune un harnais muni d’un énorme gode que nous enfilions.
- Le but est simple la première qui arrive à enculer l’autre a gagné
Un cercle de public commença à se créer autour de nous tel une bagarre de rue. Le père de Yasmina l’encourageait en hurlant. La jeune majeure se rua littéralement sur moi me faisant tomber au sol elle essaya de m’immobiliser avec une telle rage que j’eu toutes peines du monde à me défaire de sa prise. Concentrée sur mon combat je me contentais d’esquiver ses assauts attendant la faille. En effet Yasmina se battait avec rage mais a la fois s’épuisait et baissait sa garde. C’est d’ailleurs lors d’un nouvel assaut que je pus faire un pas de cote au dernier moment et lui fit une balayette qui l’envoya valdinguer au sol. Je profitais de sa chute lourde pour d’une clé de bras l’immobiliser et plaçant l’énorme gode à l’entrée de son anus je mis un coup de rein avec toutes mes forces se qui fit entrer non sans douleur pour la jeune black le gode au fond de ses entrailles. La foule cria de joie et m’acclama, en effet j’avais gagné et méritée le respect de toute l’assemblée.
- Félicitations à notre nouvelle championne Adèle. Pour ce qui est de Yasmina je la déclare pute de la soirée faites en ce que vous voulez les gars.
Immédiatement la foule et le père de la jeune fille en tête se ruèrent dessus et elle fut vite doublement pénétrés et avec deux bites dans la bouche. La nuit allait être très longue pour elle.
Quant à moi j’avais gagné et évité ces deux humiliations et j’en tirais une certaine fierté.
- Félicitations ma belle tu m’as vraiment impressionné je savais que tu ne me décevrais pas
- Est-ce que ça veut dire que je peux partir et rejoindre l’hôtel
- Hahah surement pas. Tu n’as pas bien lu tes tatouages je pense. Tu es à moi et tu le resteras à jamais. Je ne peux pas laisser partir une déesse comme toi.
La haine commençait à monter en moi mais je ne pouvais en vouloir qu’à moi-même. Pourquoi étais-je parti de l’hôtel ce matin laissant mon mari seul j’étais la pire épouse qui soit. Il fallait que je ratt les choses et vite seulement je n’avais aucune idée du comment.
- Cesse de cogiter de t’assures que tu seras bien ici. D’ailleurs laissons les s’amuser et viens avec moi.
Il m’emmena jusqu’à sa chambre c’était immense avec un énorme lit au milieu digne de sa corpulence. Le géant commença à m’embrasser et je me laissais aller sachant que ce soir je ne pourrais que subir. Il m’allongea sur le lit, m’écarta les cuisses et plongea sa grosse tête jusqu’à mon intimité. Il commença à me manger le sexe avec fougue et le plaisir monta vite en moi. Son cuni était magique et un orgasme m’envahit très vite. Fier de lui il se releva et tira sur la chainette pour m’amener à lui.
- Je vais te défoncer comme jamais on t’a défoncé et tu vas tellement jouir que tu ne voudras jamais partir de ce lit.
Mêlant le geste a la parole, lui a genoux il me souleva le fessier, plaça son sexe a l’entrée de mon vagin couvert de mouille et commença à me pénétrer doucement. La sensation était somptueuse d’être autant rempli que je criais mon plaisir sans pudeur. C’est même moi qui appuyai sur ses fesses pour qu’il s’introduise encore plus. Cet homme me dégoutait au plus au point et j’avais de la haine pour lui mais sa bite était un don des dieux. Il accéléra les mouvements et me pénétrait maintenant avec force ce qui décuplait mon plaisir.
Le maire me positionna à 4 pattes et prenant me cheveux d’une main me repénétra d’un coup. Il me chevauchait comme une vulgaire monture et je jouissais comme telle, il avait raison on ne m’avait jamais autant rempli. Il avait une endurance hors norme et profitait au maximum de mon corps de déesse ralentissant quand il se sentait venir.
Apres une bonne heure de baise ou les orgasmes furent incalculables il s’allongea sur le dos le sexe encore dressé.
- Il faut que tu finisses de m’impressionner petite. Viens t’enculer sur le monstre.
Au comble de l’excitation et de la perversité je voulais réussir ce défi et ressentir la sensation d’être remplit par cet engin. Je crachais donc dans ma main et enduis mon anus de bave pour le préparer au mieux. Puis me mettant à califourchon au-dessus du géant, j’écartais les fesses au maximum et m’assit lentement sur son énorme sexe. Les premiers cm furent un supplice et je du m’y prendre à plusieurs fois en écartant encore plus mes fesses jusqu’à ce qu’enfin l’intégralité de son gland avait disparu dans mes intestins. N’y tenant plus et voyant que le plus dur était fait il posa ses deux mains sur mes épaules et d’une forte poussée me fit descendre d’un coup. Le cri que j’émis à du resonner dans toute la ville mais ça y est j’avais l’énorme sexe du maire au plus profond de mes entrailles et la sensation était unique je ne pouvais plus bouger du tout. Laissant mon anus s’habi à l’intrusion je restais quelques minutes immobile et prenant sur moi je remontais pour redescendre a nouveau.
- Alors ma belle avoue que tu n’as jamais connu ça ?
Il me retourna mit mes jambes sur ses épaules puis repris sa sodomie en m’embrassant. Moi dans un état second j’ondulais mon bassin pour profiter au maximum et lui rendait son baiser avec fougue. J’eu un orgasme exceptionnel quand finalement il éjacula au fond de moi. Totalement abattue il du tirer sur mes seins avec la chaine pour que je vienne lui nettoyer la bite. Une fois bien propre il s’allongea et me prit dans ses bras contre lui. Prétextant une envie pressante il m’autorisa à aller aux toilettes.
Ça y est je pense que je suis allé au bout de la perversité maintenant il faut que je retrouve la vie normale de fille sage qui me rendait tellement heureuse autrefois. Il fallait que je m’échappe de ce manoir mais comment ? L’heure était tardive et c’était surement mon unique chance. En sortant des toilettes je pus voir que le maire était a moitie assoupi
- Allez, je te conseille de te recoucher car dans 2-3 heures je vais te redéfoncer je te l’assure.
Je m’approchais donc du lit, pris la lampe de chevet très lourde a deux mains et frappa fortement le géant sur le crane qui tomba immédiatement dans les pommes. Plus de marche arrière+ possible je devais partir au plus vite. Je sortais de la chambre nue avec comme premier objectif de retrouver des fringues.

A suivre





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