Qui L'Eut Cru Partie Vi Premier Matin

Qui l'eut cru Partie VI Premier matin

Ce texte après une longue absence est la suite de la série « Qui l'eut cru » proposée sous le pseudo GALONA que je vous invite à relire afin de mieux rentrer dans l'histoire présente.

Françoise DUVAL, veuve depuis quelques années, la cinquantaine finissante, femme d’un milieu assez aisé et bien sous tous rapports, se laisse séduire par un jeune collègue trentenaire en recherche d’un certain confort matériel et qui s’est bien gardé de lui avouer qu’il vient de purger une peine de prison pour vol.
Après quelques coïts qui révèlent à Françoise des plaisirs jusqu’alors ignorés, la mère de famille qui se découvre jalouse, propose à son amant qui se prétend sans logement et qui feint de vouloir trouver refuge chez une ex petite amie, de s’installer provisoirement chez elle.
Nous retrouvons nos deux amis après une première nuit passée au domicile de Françoise.


Mardi 11 novembre 2014

Dans la cabine de douche embuée, Françoise DUVAL verse machinalement une noix de gel pour hygiène intime sur son gant de toilette et commence à frotter délicatement sa vulve.
Il est déjà dix heures du matin, cela fait bien longtemps qu'elle ne s'était levée aussi tard, même un jour férié.
Dans la chambre, Stéphane dort encore.
Depuis qu'elle a ouvert les yeux tout se bouscule encore dans sa tête.
Elle se demande comment Stéphane va se trouver un appartement avec ses problèmes financiers.
Car elle ne va pas pouvoir le garder longtemps, cela va finir par se savoir, puis ses s viennent assez régulièrement.
Hier elle n'a pas pensé à tout ça, elle s'est emballée, la seule chose qui comptait alors, c'était que Stéphane n'aille pas loger chez cette fille.
Je fais n'importe quoi en ce moment ! Murmure-t-elle à voix basse.

Françoise ferme les yeux, elle se revoit quelques heures en arrière, à genoux sur le lit conjugal, la nuisette remontée jusqu'aux omoplates, en train de se faire prendre en levrette par Stéphane.


Son visage s'empourpre.

Avec Jean-Pierre, ils avaient bien essayé de faire cette position à deux ou trois reprises, cela doit bien remonter à une vingtaine d'années, à cette période où le couple commence a bien se connaître et veut essayer des choses un peu nouvelles, des choses que beaucoup n'osent pas les premières années.
Mais ce pauvre Jean-Pierre avait le plaisir un peu trop rapide, et manifestement la position ne lui convenait pas, à tel point que deux ou trois aller et retours avaient chaque fois suffi à avoir raison de sa résistance, alors que comme toujours dans ces cas là, Françoise le réconfortait en disant que cela pouvait arriver, finissant elle même par se convaincre.

Hier soir, il en fut tout autrement, le coït n'en finissait plus, elle a aimé ressentir le sexe bien dur de Stéphane aller si loin, elle a ressenti deux fois le plaisir, deux orgasmes qu'elle a bruyamment exprimés d'ailleurs.
Elle ne se reconnaît plus, elle qui jusqu'alors s'est toujours contrôlée.
Puis, il y a aussi cette impression de plénitude, ressentie après l'acte et qu'elle découvre avec cet homme si jeune.
Même si au fond elle le savait, elle n'a jamais voulu regarder les choses en face, admettre que Jean-Pierre ne la satisfaisait pas totalement sur le plan sexuel.
Il y a bien eu des moments agréables certes, mais elle avait toujours en elle ce sentiment d'inachevé que faute de comparaison, elle s'interdisait commodément d'expliquer...

Françoise passe le gant de toilette entre ses fesses et se rappelle que Stéphane l'a surprise en se retirant au dernier moment pour se finir en frottant son sexe dans la raie culière alors qu'elle espérait qu'il emplirait son vagin comme les autres fois .
Elle n'a pas trop compris d'ailleurs.
Françoise enfile un peignoir éponge blanc qui lui descend aux genoux.
Elle arrange ses cheveux, elle évite de s'attarder sur son visage sans aucun artifice.
Elle voudrait lui dire qu'elle s'est trompée, qu'il doit partir tout de suite, mais en même temps, elle a aussi envie d'aller le retrouver au lit !



Stéphane s'éveille, il a entendu le bruit de la douche.

Avec un petit sourire, Il se dit perfidement que Françoise doit sûrement se nettoyer la chatte.
Elle sentait tellement bon lorsqu'il lui a brouté le minou !

Il pense à la baise qui a suivi, il est assez content de lui, il a bien tenu la distance.
Il ne pensait quand même pas qu'elle gueulerait autant en prenant son pied.
Elle cache bien son jeu !
En tout cas, c'est génial, il adore les meufs qui expriment et cela révèle un potentiel
Il la revoit encore bouger son cul comme une salope pour venir s'empaler sur son manche s'il n'allait pas assez vite.
Il sourit en regardant sur le mur face au lit, la photo de mariage.
Il se souvient lorsqu'il l'a vue pour la première fois hier soir, il faut dire qu'il était en train d'enfiler Françoise.
C'était vraiment jouissif, un peu le symbole d'une victoire totale, c'est d'ailleurs à partir de là qu'il s'est déchaîné, il lui a carrément défoncé la chatte, il entend encore dans sa tête le bruit que faisait alors son cul qui claquait contre son ventre.
Il se souvient aussi de son excitation chaque fois qu'apparaissait à son regard son petit œillet plissé lorsqu'il empoignait ses grosses fesses pour les écarter, à tel point qu'il n'a pu s'empêcher d'aller se frotter tout contre pour se finir.

Rien que d'y penser il recommence à bander.


- Tu as bien dormi ? Demande alors Françoise qui ressort de la salle de bain.
- Comme un bébé, il faut dire qu'après notre petite séance, j'avais besoin de récupérer … Tu es vraiment une femme de tempérament.
- Tu sais, je... Eh !... Je ne suis pas si démonstrative d'habitude... Répond Françoise en baissant les yeux.
- Ah, mais c'est pas moi qui vais me plaindre ma puce...
- ... Eh bon, je … Je vais préparer le petit-déjeuner.
- Attends, viens t'assoir là, dit-il en tapotant sur le lit.


Françoise, hésitante l'espace d'un instant, vient s'asseoir sur le bord du lit.


- Je ne t'ai pas entendu te lever, tu aurais du me réveiller, dit-il en se redressant tout en posant sa main sur son genou.
- Je pensais que tu voulais dormir, répond Françoise en frémissant au simple contact de cette main.
- Dormir ? Non ! On aurait pu.... S'amuser encore un peu tous les deux.

La main de Stéphane remonte lentement sur l'intérieur de la cuisse galbée , séparant les pans du peignoir.

- Laisses-toi aller, tu es trop tendue.... Voilà, écarte un peu les cuisses.
- Il est tard...
- Chut... Laisses-moi toucher un peu ta chatte.
- Humm !
- Voilà... Humm... Tu es déjà bien ouverte dis-moi.

Stéphane promène ses doigts lentement entre les lèvres déjà humides, remonte à la recherche du clitoris qu'il retrouve déjà sorti de son capuchon et qu'il frotte légèrement de l'extrémité de son doigt.

- Humm
-Tu te caresses parfois le minou ?
- Non, enfin dernièrement une fois... Humm.
- Tu as pourtant le clito très sensible ma chérie.
- Ooh !
- Tu as connu beaucoup de mecs ?
- Seulement mon mari et... Maintenant toi… HUM!
- Il te baisait bien ?
- Non Stéphane, s'il te plaît, c'est déjà pas facile....
- Chut répond moi... Insiste-t-il en frottant vigoureusement son bouton
- Hummm... Non... Enfin pas comme toi, lâche Françoise pleurnichante, tout en enfouissant son visage contre l'épaule de Stéphane…

Le doigt de Stéphane glisse lentement dans le vagin dégoulinant de cyprine et commence quelques va et vient.

- Humm... Qu'est que tu me fais encore !
- Mais tu le sais bien ma chérie, je doigte ta petite chatte et ça a l'air de bien te plaire, ça aussi tu le sais.
- Oh ! Stéphane.

Stéphane retire le doigt humide, passe plusieurs fois sa main sur la toison, joue avec les lèvres puis revient sur le petit bourgeon.

- Humm... Oh mon chéri continue c’est bon !

Françoise, comme folle, s'agrippe à Stéphane tout en cherchant ses lèvres.


Stéphane branle le clito de Françoise qui l'embrasse à pleine bouche.

- Hummmmm ! ! ! !

Françoise tremblotante s'abandonne quelques instants tout contre Stéphane, après avoir joui.

- Voilà, tu vois que ça fait du bien de se laisser aller !... Et maintenant j'aimerais bien que tu t'occupes de mon engin ma chérie, dit Stéphane.

Délicatement le voici qui déplace la main de Françoise sous le drap vers sa queue à demi molle.
Et timidement, notre amie caresse le chibre entre son pouce et son index.
La mère de famille incapable alors de penser, se concentre sur la tâche, retrouvant des gestes un peu lointains, du temps où elle mettait son mari en forme en le réveillant le week-end ou pendant les vacances.

- Humm.....Suces-moi maintenant ! Demande -t-il en retirant le drap.


Après quelques secondes d'hésitation, Françoise se penche vers le sexe en érection.

- Installes-toi bien entre mes jambes...Voila.... Oh oui !



Elle, la femme à l'hygiène irréprochable, n'a même pas éprouvé le moindre dégoût à prendre en bouche ce vit poisseux, qu'elle pompe lentement en le tenant à la base entre ses doigts.

Françoise n'en n'est pas à son coup d'essai, mais c'est un exercice dans lequel elle n'a jamais été trop à l'aise, toujours pratiqué assez timidement, la plupart du temps dans le noir, entre le désir de faire plaisir à son mari et un sentiment de pudeur.

Cette fois ci Stéphane pense qu'il peut obtenir ce qu'il n'a pas eu hier soir, ce petit plaisir qu'il affectionne de temps en temps, jouir dans la bouche de sa partenaire.

- Oh oui, prends ton temps, je veux sentir ta langue sur mon gland... Voilà comme ça... C'est bien...fait tourner ta langue...Ah

Alors que Jean-Pierre n'osait jamais exprimer ses désirs ou son ressenti, les commentaires de Stéphane ont pour effet de donner confiance à Françoise.

- Descends maintenant.. Oui.. Remontes doucement... Regardes-moi….Voilà.

Françoise, aux ordres, titille longuement du bout de la langue le gland sans quitter Stéphane des yeux.

- Masses-moi les boules en même temps ma chérie... Ahh... Oh Françoise tu suces bien !

Françoise continue son travail sur le gland tout en faisant rouler les bourses dans sa main.

- Oh ma puce.
….......................................................................................................
- Je veux jouir dans ta bouche !

Françoise marque un temps d’arrêt, le regard comme vide, elle hésite quelques secondes.
Dans son couple, la fellation était un préliminaire, elle allait rarement jusqu'à la fin et les rares fois où cela se produisait, elle terminait à la main.
La demande de Stéphane la surprend, si tenté qu'elle puisse encore être surprise de quelque chose après tout ce qui lui est arrivé ces derniers temps.
En même temps, elle a réellement envie de faire plaisir à son jeune amant qui lui a tant donné ces derniers jours.

Françoise embouche la queue de Stéphane et se met à le pomper.

- Oh oui Françoise, c'est bon ma chérie... J’adore ça tu sais, dit-il enserrant sa tête de ses deux mains pour accompagner ses mouvements.

Françoise, lèvres serrées, laisse coulisser le dard sur sa langue et jusqu'à sa gorge.
Son nez vient régulièrement buter contre le pubis velu de Stéphane.

- Oh oui, tu me fais venir salope ! Aaah !

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