Ma Coloc' Nina - Ch. 8
CHAPITRE 8: LE DEBRIEF
Une semaine sétait écoulée depuis le début de notre relation. Une semaine durant laquelle nous avions déjà beaucoup avancé, et beaucoup appris lun de lautre. Il me paraissait bien loin, le temps où Nina était ma colocataire. Encore plus loin, le temps où Nina nétait que la petite sur de mon ami denfance. Dix jours plus tôt, je ne me serais pas vu me réveiller comme ce matin-là, nu dans le même lit quelle, nue aussi, ma main sur son sein. Dailleurs cétait plutôt étrange, Nina était habituellement réveillée avant moi. Je le savais car elle me réveillait chaque jour avec une magnifique fellation. Alors ce jour-là, jai décidé de lui rendre la pareille, et cest moi qui suis descendu sous les draps. Je lentendais qui respirait encore lourdement, et essayais donc de faire le moins de bruit possible. Le fait quelle dorme sur le dos ma facilité la tâche. Je nai eu quà écarter légèrement ses cuisses et de poser ma langue sur son sexe. Une fois ma bouche verrouillée sur sa fente, je ne lai pas lâchée. Je me suis mis à la sucer, la lécher, la mordiller. Je la sentais qui bougeait, je savais quelle se réveillait mais elle gardait ses yeux fermés, et a simplement écarté un peu plus les cuisses. Juste assez pour me permettre de glisser une main sous elle, et deux doigts en elle. Sa respiration accélérait tandis que je suçais son clito, et ce sont des gémissements quelle a poussé quand, un instant plus tard, jai glissé un troisième doigt, dans son anus cette fois. Je me délectais de son jus, pensant que cétait tout de même le meilleur petit déjeuner possible.
_ Est-ce que jai le droit de jouir ? a-t-elle soudain demandé, ses premières paroles de la journée.
Je lui ai dis que oui, la tête encore enfoncée entre ses cuisses, et Nina na pas tardé à mettre son plan à exécution. Elle sest soudain tortillée dans tous les sens, et jai senti ses muscles, de lintérieur, qui se contractaient.
_ Restes au lit, lui ai-je dis, je vais nous chercher un petit dej.
Je suis allé dans la cuisine, toujours aussi nu et avec une belle érection. Cétait agréable de pouvoir se balader à poils chez soi. Il y avait du vis-à-vis, clairement, mais je men foutais, Nina aussi. Cétait notre cocon, chaleureux, et nous y étions bien, quoi que puissent en penser les voisins. Jai mis sur un plateau mon café, le thé de Nina, et quelques tranches de pain grillées avec du beurre et de la confiture. A mon retour dans la chambre, Nina navait pas bougé dun poil. Les yeux fermés, jai cru un moment quelle sétait rendormie. Nous avons pris notre petit déjeuner au lit, calés lun contre lautre.
_ Tu as des plans pour aujourdhui ? lui ai-je demandé.
Nous avions défini un peu plus tôt dans la semaine que notre relation ne devait pas avoir dincidence sur notre vie sociale. Elle avait ses amis, javais les miens, et je ne voulais pas quil y ait de problème avec ça. Nina a regardé par la fenêtre, tandis que la pluie commençait à tomber.
_ Jétais censée aller faire quelques courses avec des copines de la fac, mais vu le temps
Et toi ?
Je lai regardée, jai regardé son corps à peine couvert par le drap, et jai eu soudainement envie de rester ad vitam aeternam dans ce lit. Jai alors attrapé sa tasse pour la poser à côté du lit, jai fais de même avec la mienne, et je me suis collé à elle, dans son dos.
_ Et bien, je nai rien de prévu, mais vu le temps, effectivement, jai peut-être une idée de programme
Ma main a glissé entre nous deux, jai écarté ses fesses, et pointé mon gland sur son anus.
_ Et puis moi je nai pas encore joui, aujourdhui. Tu as déjà vu Le Dernier Tango à Paris ?
Je crois quelle ne lavait pas vu, mais elle a vite compris quand jai attrapé une noisette de beurre entre mes doigts, et que je lui ai tartiné lanus avec. Mais à la différence de Maria Schneider dans le film, Nina na pas protesté. Au contraire, elle a écarté elle-même un peu plus ses fesses en soupirant. Jai poussé mon gland en elle, aidé un peu par le beurre, mais surtout par ces deux derniers jours, où elle portait consciencieusement son plug. Je me suis enfoncé entièrement, jusquà coller mes testicules contre ses cuisses, et nous avons tous les deux grogné de plaisir. Une fois bien installé, je lai prise dans mes bras, collé son dos contre mon torse. Une main est venue empoigner lun de ses seins, lautre a glissé sur son clitoris. Son sexe était trempé.
_ Voilà, ai-je dis en agitant mes doigts et mon sexe. Là je suis bien. Tu es bien ?
Nina na pas répondu mais son sourire épanoui la fait pour elle.
_ Ça fait une semaine maintenant, ai-je continué. Tout ça me plait énormément, personnellement. Mais cest lheure du premier bilan, alors dis moi tout. Ce qui te plait, ce qui ne te plait pas, et ce que tu veux.
_ Hmm
alors
a-t-elle fait entre deux gémissements. Jai aimé que tu me prennes violemment et que tu te serves de moi, mais que tu prennes soin de moi aussi. Jai limpression dêtre ta chienne et ta princesse à la fois, et jaime ça. Hmmm
Jai pas aimé être punie parce que javais pas réussi à jouir, jai trouvé ça injuste. Mais jai aimé que tu me punisses. Jai pas aimé le gravier sur mes genoux, mais jai aimé la fessée et jai aimé que tu me forces à pisser devant toi. Jai aimé être humiliée pour toi. Et je veux juste que ça continue. Je te fais confiance alors continue juste, cest parfait. Et je veux que tu mencules plus fort, aussi.
Son discours, plein denthousiasme et entrecoupé de gémissements, mavait définitivement motivé à continuer encore longtemps.
_ Défonce moi, je ten supplie, ma-t-elle dit tout bas, entre deux grognements.
Jy suis allé encore plus violemment. Je lai pénétrée aussi fort que possible, jusquà men faire mal moi-même. Ma main sur son clito ne le lâchait que de temps en temps, pour claquer sa fente, ou enfoncer deux ou trois doigts en elle. Nina mouillait tellement que ça en devenait indécent. De la même manière, je ne lâchais sa gorge que pour maltraiter ses seins.
_ Marc, a-t-elle dit soudain, le souffle court, Marc sil te plait, est-ce que je peux jouir ?
_ Vas-y.
Et je nai plus lâché son clitoris. Nina a joui quelques secondes plus tard, en criant et en allant et venant elle-même sur mon membre. Jai enfoncé mes doigts en elle, quatre doigts, ma paume écrasée contre son clito. Elle était trempée. Tellement trempée et dilatée que jaurais pu y mettre ma main entière. Langle de mon poignet, cependant, ne le permettait pas. Et jai continué jusquà ce que son orgasme sarrête, et jusquà ce que moi aussi je finisse par jouir. Jai éjaculé dans son cul. Cétait la première fois que je ne jouissais pas sur elle. Jappréciais aussi ce confort, ne pas sortir, juste jouir. Après ça, on est bien restés deux minutes sans bouger, moi toujours en elle, des deux côtés. On reprenait juste notre souffle et nos esprits. Jai fini par retirer mes doigts de sa chatte, et les ai présentés devant la bouche de Nina. Instinctivement, elle me les a nettoyés. Puis mon sexe a dégonflé, et a glissé hors de son anus. Tout comme mon sperme, qui coulait déjà sur ses fesses et ses cuisses.
Je me suis levé du lit. Je pouvais voir quil pleuvait toujours, à travers les rideaux restés grand ouverts.
_ Douches toi et habilles toi, après on ira se balader un peu.
Nina, qui jouait avec le sperme coulant sur ses cuisses, a hoché la tête, et sest dirigée vers la salle de bain, tandis que jallais me faire un nouveau café.
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