Son Fantasme Black !

Son fantasme black !

Il était une fois, cela pourrait commencer comme cela, trois couples d'amis qui se voient une fois par mois pour passer une soirée et dont moi même et mes potes jouons au foot dans une équipe vétéran.
Au cours de ces soirées, les fins de trentenaires que nous sommes, plaisantons de tout et de rien et comme souvent des propos grivois viennent animer les débats.
Ce soir là, nos femmes nous questionnent sur les dispositions génitales de nos coéquipiers et notamment de Valery, un antillais plus que quinqua. Il est dans l'équipe depuis plus de trois ans déjà et lors de soirées organisés par le club, elles ont eus l'occasion de le côtoyer, même de danser avec et comme tous les Antillais il sait être charmeur et très collés-serrés. Ma femme qui avait eu la chance de faire deux slows avec lui il y a quelques mois m'avait fait part de l'appendice généreux qu'elle avait eu l'occasion de sentir appuyer contre son ventre.
C'est vraie qu'habituellement c'est la femme de Jean Claude qui avait la primeur de faire ces danses avec lui et je m'étais même demandé si éventuellement elle n'aurait pas eu plus que ces étreintes dansantes avec lui, en tout cas au cours de nos délires, aucun n'avait fait d'allusions à ce sujet.
Donc, nous étions entrain de passer en revue l'intégralité des joueurs et il est vraie que Valéry était bien doté par la nature, pourtant je ne suis pas trop mal équipé mais force est de reconnaitre qu'il avait un petit plus.
Le soir lorsque nous sommes rentrés chez nous, ma femme était particulièrement câline et notre étreinte fut partagé avec l'image de mon coéquipier en toile de fond. Cela avait décuplé sa libido et j'ai réussi à lui laisser imaginer qu'elle était dans ses bras. Du coup, je la questionnais, lui demandant si elle aimerait être possédée par Valéry et c'est sans surprise qu'elle m' avoua que depuis la soirée et les slows, elle m'avait mentalement trompé avec lui !
A partir de cette nuit, chaque fois que nous faisions l'amour dans la pénombre de notre chambre, je faisais raconter par mon épouse ce qu'elle pourrait faire, ressentir et partager avec lui, ses jouissances étaient depuis beaucoup plus sonores et c'est sans surprise que j'ai commencé à lui proposer de sauter le pas, qu'il ne tenait qu'a elle d' accepter le deal que je n'y verrai pas d'objection à condition qu'elle me relate leurs ébats.

Je dois préciser que depuis des années, notre couple était assez libertin.....
C'est ainsi qu' au fil des jours un plan d'action fut concocter par nos soins afin de parvenir à vivre notre fantasme.
J'ai proposé à Valéry ( il est célibataire) de venir prendre un verre à la maison après un entrainement, il n'en fut pas étonné car cela était déjà arrivé dans le passé et même de partager notre table mensuelle au grand bonheur de Sylvie (la femme de Jean Claude) lors de quelques soirées amicales.
Chantal ( c'est ma femme) devait s'habiller d'une jupe où d'une robe, accessoirement enfiler des dessous affriolants et de nous attendre sagement.
Pour être plus tranquille nous avions laissé notre fils à mes parents.
Nous avions avec mon épouse préparé un scénario plusieurs fois remanié qui devait après avoir pris quelques collations, la laisser quelques minutes seule avec son tourmenteur, afin de voir si hors de ma présence il se montrerait entreprenant.
Evidemment, Chantal devait dès notre arrivée, s'assoir en face de lui, croiser habillement ses jambes lorsqu'il s'adresserait à elle et tenter une approche en mon absence.
Finalement la soirée se passa au delà de nos espérances.
Lorsque nous sommes arrivés, ma femme portait une jupe noire partiellement plissé, un chemisier blanc limite transparent sous lequel se dessinait un soutien gorge blanc pigeonnant, ses jambes étaient gainées de bas soyeux gris attachés à un porte jarretelles blanc et d'une minuscule culotte blanche assortie à son haut, des bottes complétées sa tenue. Evidemment en arrivant, je n'ai pas vu tout cela c'est plus tard que je l'ai découverte, ainsi que Valéry.
J'ai tout de suite vu que la tenue de mon épouse avait émoustillé mon coéquipier, c'est sans surprise que notre conversation après les échanges habituels, courtois et bonne éducation avait glissé une fois de plus sur un terrain plus sexuel.
Chantal questionna Valéry sur son isolement dans notre région, lui qui venait de la Martinique, sur son célibat et chaque fois qu' ils échangeaient, je voyais ses yeux s'égaraient sous la jupe de mon épouse, qui de son côté ne cessait de croiser et décroiser ses jambes, lui donnant l'occasion de scruter ses cuisses et même sans doute plus !
Cela faisait un peu plus de deux heures que nous échangions, la fatigue me gagnait, je m'en excusais auprès de Valéry qui lui était bien éveillé et je proposais à ma femme de finir la discussion en leurs servant un dernier verre de façon à ne pas écourter la soirée.

Je suis parti dans notre chambre, j'ai attendu quelques minutes avant de revenir à pas de loup dans le couloir, invisible du salon je pouvais épier leurs faits et gestes. J'entendais parfaitement leurs discussions et il ne se doutait pas que j'étais si proche.
La discussion était très sexe, il complimentait mon épouse qui jouait l'effarouchée, gênée que son mari se soit retiré. Ils se remémorèrent la soirée du club. Je l'ai entendu lui dire : ce soir là, tu m'avais copieusement fait bander avec ta robe rouge quand nous avions dansé. Je m'en souviens lui répondit elle, j'ai bien ressenti ton sexe écrasant le mien et je dois reconnaitre que tout cela ne m'as pas laissé indifférente, je peux même t'avouer que tu m'as mise dans un état d'excitation considérable....un peu comme maintenant ! Afin de faire moins de bruit et pour ne pas me réveiller il lui proposa de venir s'assoir à ses côtés, cela me permit de les avoir tous deux face à moi sur le canapé. Rapidement, il passa un bras sur les épaules de Chantal qui fit mine d'être surprise de son audace, puis sa main libre se posa sur son genou, elle fit semblant de vouloir repousser celle-ci mais sans réelles volontés. Attention lui dit elle, nous ne sommes pas seuls, il pourrait se lever. Convaincu qu'il pouvait se faire ma femme, il oublia que j'étais dans la maison et il l'embrassa, elle répondit à son baiser.
A partir de cet instant, j'ai vu mon épouse s'abandonner complètement à lui, sa main remonta sous la jupe déjà bien relevée tandis que celle de mon épouse se posa sur l'entrejambe de celui qui allait devenir son amant. Pour ma part, j'étais bandé comme un âne. J'avais devant moi deux êtres qui allaient se donner l'un à l'autre.
Un ballet à quatre mains se jouaient devant moi, celles de Valéry faisaient des allers retours entre les cuisses de ma bien aimé, qui elle s'acharnait sur la ceinture et la braguette du pantalon. Cette conquête des corps dura bien un quart d'heure. Bientôt il fut débarrasser de son vêtement et se retrouva en slip sur le canapé.

Elle se redressa devant lui et retira son chemisier et sa jupe, elle m'apparut pour moi de dos en sous vêtements sexy et lui qui était de face devait se régaler du corps qu'il allait posséder.
Elle s'agenouilla et commença à branler le membre qui prenait des proportions phénoménales, pour sa part il lui dégrafa le soutien gorge et je le voyais malaxer les seins arrogants, dressés avec des tétons qui trahissaient son excitation. Après quelques minutes qui lui permirent de jauger le monstre qui dans un moment viendrait coulisser dans sa chatte, elle se pencha, ouvrit sa bouche, sa langue vint lécher le méat rosé de Valéry avant que celui ci ne soit aspiré dans sa gorge jusqu'aux amygdales. Je la voyais pomper ce membre tout en malaxant les testicules généreuses et sans doute pleines du bon lait qui allait inonder sa bouche et le reste.
C'était un ravissement pour moi de voir la mère de mon fils se donner sous mes yeux à ce black sans aucune retenue, je pense que les soirées a lui faire imaginer que c'était avec lui qu'elle baisait, devait accroitre son envie.
Alors que j'avais pensé qu'il allait jouir dans sa bouche, il n'en fut rien ! Il la redressa et lui intima l'ordre de venir sur lui, les cuisses grandes ouvertes, sa main crocheta la culotte afin de dégager sa chatte ruisselante de mouille, il empoigna son vit qu'il frotta le long du sexe qu'il allait investir et brutalement le propulsa au fond de ce nid douillet, la taille du membre fit pousser un cri de contentement à mon épouse qui tomba sur le torse partiellement dénudé de son amant et leurs lèvres se soudèrent pour un baiser passionné. Il resta un court instant sans bouger, sa queue bien fiché au fond de son vagin, lui laissant le temps d'en apprécier le volume. J'imaginais les seins de Chantal écrasés sur le torse de Valéry, je ressentais une pointe de jalousie, la savoir empalé sur son membre, savourait la possession de son corps et le plaisir qu'elle allait égoïstement prendre avec lui.

Je ne fus pas déçu, ils commencèrent leur joute amoureuse, bestiale, elle montait et descendait sur cette queue noire qui tranchait sur sa peau blanche, elle poussait des cris chaque fois qu'il percutait le fond de son ventre. Délicatement, je suis allé dans la cuisine qui devait me permettre d'avoir un autre angle de vue sur leurs ébats. Effectivement, toujours face à face, elle coulissait sur ce pieu, ses seins pressaient ceux de son amant, leurs lèvres toujours soudées, j'imaginais la langue qui fouillait la bouche de ma femme afin aussi d' les cris du plaisir qu'il lui donnait.
Je sentais qu'il n'allait pas tarder à jouir, Chantal devait en être à son énième orgasme au vue des râles qu'elle émettait, je l'ai entendu lui dire avec son petit accent : je peux me lâcher dans ton ventre où tu veux que je me retire ? la réponse fut : remplie ma chatte, depuis le temps que j'attends......ce moment !
Il a appuyé fortement sur ses hanches afin d' inonder le fond de sa matrice, elle a crié quand elle a ressenti son sperme fuser dans son ventre, un dernier orgasme sans doute, puis elle s'écroula sur lui, la tête sur son épaule, les yeux mi clos, elle m'aperçu et un sourire illumina son visage.
Je suis rentré dans la pièce en faisant mine d'être surpris de les voir ainsi.
Il essaya de se soustraire.
N'en fait rien lui ai je dit en le rassurant, reste fiché dans son ventre, elle apprécie sans doute de sentir les palpitations de ta queue après le plaisir que tu viens de lui donner et moi je veux voir de près ton membre dans sa chatte. Elle ne détourna même pas la tête pour me regarder, elle était encore à savourer le plaisir qu'elle venait de prendre.
C'était bon me dit elle !! merci.....
Ils restèrent l'un dans l'autre jusqu'au moment où sa queue perdit de sa consistance, s'extrayant de ce nid chaud et humide et moi comme un idiot, j'attendais pour voir son sperme s'écoulait le long des cuisses de mon épouse.
Il lui avait administré une sacré dose qui tâcha les coussins du canapé.
Elle se releva, avala une gorgée d'alcool qui restait dans son verre et me dit : tu dors dans le lit de Frédéric, je veux que Valéry dorme chez nous et avec moi.....ça ne te gêne pas ? que voulez vos que je dise ! J' ai accepté, elle le pris par la main et ils allèrent se coucher dans notre lit. Je n'ai pas beaucoup dormi, je repassais les images de sa débauche et me suis masturbé plusieurs fois, car leur nuit aussi fut courte, à deux reprises je fus réveillé par les cris de jouissance qu'elle prenait avec lui.
Au matin, je me suis levé, préparé, déjeuné, avant de partir j'ai été dans notre chambre, elle était entre ses jambes entrain de lui prodiguer une superbe fellation.
Elle s'interrompit pour me dire : tu peux téléphoner à mon travail et dire que je ne viendrai que cet après midi ?
Je suis rentré à midi, elle était pimpante, lavée et habillée pour rejoindre son travail, je lui ai demandé tu peux me raconter toute ta nuit et ce matin, c'est le minimum que tu me dois !
D'abord, je veux te remercier de m'avoir permis de baiser de la sorte.
Ensuite, tu ne préfères pas que je te raconte tout cela ce soir ?
Non, dis moi en déjà un peu....je suis tout excité !
Ok, comme tu as pu le voir sur le canapé il est superbement monté même si toi tu n'es pas en reste, mais lui tu comprends, il y a aussi l'interdit, il a l'âge de mon père et le fait qu'il soit noir, jamais je n'aurai pu imaginer qu'un jour je coucherai avec ce genre de mec et en plus que j'accepterai tout de lui.
Ne sois pas jaloux si tu penses que j'ai jouis plus avec lui qu'avec toi, c'est pas pareil. c'est vraie que j'ai pas mal crié et j'espère que les voisins n'ont rien entendu.
Maintenant pour ton plaisir, sache que nous avons baisé au moins quatre fois en plus du salon, que ce matin je l'ai sucé et j'ai avalé à sa demande son nectar antillais et qu' il est parti vers onze heurs après m'avoir sodomisé et avoir jouis par deux fois dans mes reins. D'ailleurs, malgré le bain que je viens de prendre, son sperme s'écoule encore de partout, un vrais geyser, je vais devoir changé ma culotte.
StP lui ai je demandé, garde la sur toi toute l'après midi, ce soir je veux la palper et la sentir....
Autre chose pour ta gouverne : il a baisé Sylvie à plusieurs reprises dont la dernière fois lors de la soirée du club dans les toilettes du centre social, elle cache bien son jeu en jouant les oies blanches celle la. Quand à Denise il pense que c'est une question de temps, il l'a croise souvent en ville et elle n'en a jamais fait écho lors de nos discussions, donc qui ne dit rien : consent !
Pour finir, il me propose de passer la soirée de samedi avec lui, enfin la soirée et la nuit, il est convié à une soirée antillaise exclusivement et il souhaiterai que je l'accompagne, tu réfléchis, je lui donnerai ma réponse demain.
Elle pivota sur elle même prête à aller au boulot, je l'ai retenu, elle ne pouvait pas partir comme cela, je l'ai courbé sur la table, retroussé sa robe, descendu son collant et sa culotte. Laisse moi regarder tes orifices violentés avant de t'en aller.
Ok mais pas plus, je suis exténuée.
J'ai pu me délecter de voir notamment son petit œillet plissé encore rougis du traitement qu'il lui avait infligé.
Je l'ai réajusté en disant : à ce soir.






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