Madame Besson - Chapitre 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Chapitre 4
Retour en classe
De retour dans sa classe Mme Besson comprit que sa journée serait longue. La soie du chemisier jouait sur ses tétons et envoyait directement des décharges électriques à sa chatte. Le plug se déplaçait à chaque pas et elle sentit qu’elle commençait à mouiller. Mme Besson prise en permanence par les jouissances qui montaient en elle, le plaisir qu'elle ressentait, avait du mal à se concentrer. Au début de la deuxième classe ses cuisses étaient humides et le haut de ses bas commençait à se mouiller, heureusement qu’elle était en fin de journée. Elle se rendit aux toilettes pour se nettoyer, mais se rappela que Léa lui avait interdit de se servir des toilettes. Elle se contenta donc de se nettoyer les cuisses et la chatte avec des Kleenex. Ne jamais mentir à Léa, surtout lui obéir.
À la fin des cours, lorsque toute la classe fut sortie, Léa s’approcha d’elle, ouvrit le chemisier de Mme Besson et la prof se retrouva seins nus devant son élève. Léa les caressa, une onde plaisir la parcourut, mais Léa se contenta en souriant d’effleurer les tétons douloureux.
— File faire ta gym, voilà mes instructions mon animal lui dit-elle en lui tendant une note,
« Mon animal, tu enlèves ton plug anal, mais tu n’as pas le droit d’aller te cacher dans une salle. Exercices identiques à ceux qu'hier et en plus quinze minutes pour raffermir ta poitrine. Après la douche, tu lubrifies ton cul et tu remets ton plug. Dehors dans deux heures » !
Mme Besson dans les vestiaires trouva un endroit tranquille et retira le plug, puis le rangea dans son casier, puis elle fit ses exercices, dans un état de jouissance extrême, le maillot trop court que lui avait donné Léa dansait dans sa chatte en feu. Puis la douche, elle remit le plug et fut heureuse de constater qu’il rentrait maintenant sans difficulté dans ses fesses. Elle eut honte de constater que de sentir le plug dans son ventre, lui procura du plaisir.

.. Elle savait, que peu à peu, elle sombrait...
Le temps de se coiffer, de se maquiller, elle ne put rejoindre Léa qu’avec quinze minutes de retard. Elle s’excusa, mais le regard de Léa, la terrifia. Léa la conduisit au centre commercial et gara la voiture et dit à Mme Besson d’aller réserver une table au restaurant. Dès qu'elle fut de retour, hors de vue des consommateurs, Léa gifla violemment Mme Besson.
— Tu m’as fait attendre, animal, je ne supporte pas cela, ce soir tu seras punie !
Elles rejoignirent le restaurant, Mme Besson attendit que Léa lui dise de s’asseoir. Elle mangea tout son repas avec les doigts, sous le regard surpris des clients.
— Et maintenant Mme Besson, ta surprise,j'ai décidé de t’offrir une coupe de cheveux, puisque tu as décidé de changer de look.
Mme Besson, fut inquiète mais ne put que dire merci. Léa la conduisit chez le coiffeur et parla avec la styliste et lui dit qu’elles reviendraient dans une heure. La coiffeuse s’occupa d’elle pendant cinquante minutes et Mme Besson en se regardant dans la glace, fut surprise, elle avait une coupe, les oreilles très dégagées qui la rajeunissait encore plus. La styliste lui dit que La demoiselle, voulait que Mme Besson se fasse aussi percer les oreilles. Mme Besson pensa que Léa voulait juste qu’elle ait un deuxième trou pour une autre boucle et accepta car elle aimait les boucles d'oreilles. Mais avant qu’elle puisse comprendre, la styliste lui avait mis cinq nouvelles boucles d’oreille, un peu vulgaires, à grands anneaux, le type même de boucles de pouffiasses, des boucles très visibles avec sa coupe courte.
— Ce soir je te fixerai une autre boucle.
Léa ayant décidé d'asservir plus encore sa prof, a choisi d’identifier Mme Besson au moyen d’une nouvelle boucle en fer, apposée au bout d'une petite chaine à l’oreille droite. Cette chaine serait rivetée sur son lobe pour devenir ainsi inamovible. Léa avait fait graver en gros caractères gras « Suceuses » au recto et « Animal » au verso pour être facilement lisibles par tous… Une manière de signaler son animal.
.. une sorte de traçage comme l'on trouve dans les fermes pour les animaux de labeur, du bétail en sorte.
Mme Besson est honteuse de se retrouver ainsi réduite par ce traitement...
Elle paye la facture et Léa lui demande de prendre un rendez-vous, pour une épilation complète, vendredi à six heures.
Léa poursuivant ses achats conduisit Mme Besson dans une bijouterie et lui fit acheter un bracelet de cheville, marqué « Animal ».
— Tu le mettras ce soir, après ta punition quand je scellerai ta boucle d’identification.
Mme Besson pensait qu’elle allait se faire punir comme une petite fille prise en faute et elle savait que la punition serait pénible. Quand ils furent arrivés au domicile de Mme Besson, Léa lui dit qu’elle la verrait dès qu'elle sortirait de la douche. Mme Besson entra dans sa chambre et se déshabilla immédiatement et changea pour ses talons de 15. Elle ne voulait pas s’attirer encore plus l’ire de sa propriétaire...
Elle avait pensé « propriétaire » se dit-elle en bouclant son collier autour de son cou. Elle voulait tout faire pour lui obéir et la satisfaire. Léa la rejoignit un quart d’heure plus tard et la trouva qui l’attendait debout, nue, en hauts talons et portant son collier, la laisse pendante entre ses seins et en main sa boucle d’identification.
Léa se dirigea vers Mme Besson lui caresse la croupe chaleureusement, passe sa main entre ses cuisses humides, lui pelote le sexe, Mme Besson agacée étouffe un râle, ronronne et se cambre nerveusement en proie à un désir foudroyant, elle cherche à se coller contre le corps de son élève, mais Léa, implacable, saisissant les tétons de sa prof, les tordit violemment, la forçant à se mettre à genoux devant elle... Le visage de madame Besson est couvert de larmes.
— Je vais riveter ta boucle d’identification ma petite grue, tourne la tête mon animal
et Léa saisissant sans douceur l’oreille de Mme Besson enfonce le rivet dans l'un des trous faits dans le lobe par la styliste, rentre le rivet dans l'anneau de la chainette et se saisissant d’une pince, Léa fixe définitivement la boucle d’identification.

— Te voilà marquée ma salope,
— Tu ne me fais plus jamais attendre, tu as compris animal ?
— Oui Mlle Fournier, votre animal ne sera plus jamais en retard. Votre animal est désolé sanglotait l'enseignante en larmes.
Léa fut heureuse de voir que son animal de compagnie s’était si bien glissé dans son rôle de soumise. Sa chose apprenait vite.
— Enlève ton plug.
Mme Besson retira le plug de ses fesses.
— Mets-le dans ta bouche,
Mme Besson dut lutter pour ne pas vomir. Sa bouche était complètement remplie par le plug qui l'écœurait
— Baisse la tête, lève ton cul et écartes les cuisses et cambre-toi bien ! Ordonna-t-elle sévèrement, ne sais-tu pas encore qu’écarter les cuisses et cambrer le cul doit être une posture naturelle sinon innée pour la salope que tu es !
Mme Besson prit la position humiliante demandée.
Après un long silence et un regard inquisiteur de Léa…
— Tu dois entériner une bonne fois ce que tu es, admettre cette posture définitivement. Vu ma salope !
— Oui Mlle Fournier, je vous le promets.
— Écarte-moi bien ces cuisses... On doit voir que tu as envie de t’offrir...
— Tu as bien envie de te satisfaire, de jouir, tu sais que tu vas te faire baiser, défoncer tous tes trous ?
— Oui Mlle Fournier, je suis à vous,
Mme Besson écarta encore plus ses cuisses, encore plus offertes, exposant son cul et sa chatte à son élève.
— Tu m’as mis très en colère animal et tu vas sentir le fouet.
Léa prend sur la table, une espèce de martinet aux lanières nombreuses mais courtes et larges, en cuir noir, elle le présente aux yeux de Mme Besson qui a un geste de recul en fermant les yeux.
— Tes yeux grands ouverts, chienne.
Elle obéit.
— Je vais limiter ta punition, à quinze coups. Un coup pour chaque minute de retard et pour les rendre plus supportable mets cela. (Elle lui remit le plug), je t'autorise à te masturber, mais tu n’as pas le droit de jouir.
Compris animal ?
dit Léa en regardant sa prof se mettre le gros gode vibrant dans la chatte. Melle Fournier passe derrière elle et assène un premier coup violent, en travers de son dos. La peau rougit. Elle ne s’arrête pas. Mme Besson geint entre chaque coup.
Fuitiiiichh !
Le suivant coup claque, le fouet vient de frapper son cul. La lanière cingle les fesses et finit sa course au ras de la vulve.
— Un,
Mme Besson pleure, Une marque rouge violacée traverse les deux hémisphères culiers. Les coups se suivent et marquent son cul de sillons d’où perlent quelques gouttes de sang. Le quinzième coup la surprend au milieu du dos et frappe jusqu’au téton. Le dernier coup vient entre ses cuisses et atteint les lèvres vaginales. Mme Besson est larmoyante mais continue à se masturber avec le gode. Après six coups, Mme Besson avait fait entrer 25 cm de son jouet sexuel dans sa chatte. Léa voyait que sa prof luttait pour ne pas jouir. Elle appliqua les six autres coups rapidement sans faire de pause. Les coups pleuvent à un rythme régulier et étaient administrés de manière plus en plus appuyée. Mme Besson ne voyait pas le résultat, mais on pouvait admirer de belles lacérations rouges, une à droite et l’autre à gauche d’une raie culière qui laissait entrevoir une motte déjà bien dégoulinante de jute. Pourtant, ce n’est pas de plaisir que Mme Besson poussait des grognements sourds,
— Aïe !... Oh ! Nooooooon !... Arrêtez !... Je vous en supplie ! Mlle Fournier... Je vais vous obéir !... Pitié !
Mais Léa ne se laisse pas émouvoir et redoublait de force. Cette fois les fesses sont écarlates et les larmes inondent le visage de Mme Besson, à genoux elle dansait pour éviter les brûlures, les grognements se sont transformés en sanglots.
— Quinze, dit Mme Besson, dans un souffle.
Léa a corrigé sa soumise arrivée en retard et Mme Besson a le dos et les fesses déchiquetées, entièrement rouges, laissant perler quelques gouttes de sang. Le tapis en dessous de Mme Besson avait 2 taches humides, l'une de ses larmes et l'autre de sa mouille. Nue et à genoux Mme Besson a supporté sa punition et au milieu de sa honte, apparaît un sentiment de fierté. Elle a réussi à subir cette douleur, en faisant honneur à sa propriétaire et toujours à genoux, elle vint se coller contre la cuisse de sa maitresse.
Léa lia les mains de Mme Besson à son collier afin que la nuit elle ne puisse pas se branler.
Attrapant Mme Besson par les cheveux, elle lui ordonna,
— Ouvre-moi grand ta gueule animal,
La bouche ouverte, elle lui fixa une muselière gode dont le faux pénis s'enfonce profond dans la gorge.
Elle relia à la cheville de Mme Besson une chaîne fixée au pied du lit, régla l'alarme du réveil et s'en alla se coucher.
— Réveille-moi, pour que je te désenchaîne.
Lorsque Mme Besson se réveilla le lendemain matin, elle se débattit pour pouvoir se mettre à genoux et poussa sa propriétaire avec le nez pour la réveiller. Elle était épuisée et sa bouche distendue lui faisait mal d’avoir porté, toute la nuit la muselière gode.
Mercredi et jeudi furent semblables aux jours précédents. Tenue sexy, peu de nourriture et beaucoup d’exercices. Léa n’avait pas abusé d’elle, pas de s aux seins, mais le régime et les exercices commençaient à porter leurs fruits, son corps se raffermissait là où il fallait et elle avait pris l’habitude de marcher avec les talons hauts et ses fesses se chaloupaient avec bonheur.
Mme Besson pensa qu'elle serait bientôt éduquée pour d'autres activités...
Ce fut le vendredi matin que les choses changèrent, Léa lui ordonna de s’introduire dans le vagin des boules de geisha. Mme Besson n’avait jamais connu cela, le mouvement des boules dans son sexe était très excitant et intense.
— Tu n’es pas autorisée à les retirer, ni de te nettoyer ! Compris animal. J’espère que tu ne mouilleras pas trop. Léa lui avait choisi un chemisier blanc et une jupe courte bleue pâle, avec bien entendu, porte-jarretelles et Bas et sans culotte. Comme chaussures, des talons de 12 cm.
— Tu as compris ma pute !
— Oui Mlle Fournier… Bien Mlle Fournier,
Pendant les cours, bien sûr elle devait rester debout, mais elle espérait qu’en restant immobile cela irait. Elle découvrit que le moindre mouvement faisait glisser les boules dans sa chatte et lui procuraient une excitation très forte. Elle mouillait énormément. À la fin de la matinée, sa chatte était trempée et la mouille coulait le long de ses cuisses.
Au déjeuner, lorsque Léa vint chercher son animal, la jupe de Mme Besson était tachée à hauteur de l’ourlet et elle craignait que la tâche ne soit visible dans le dos.
— Hello animal de compagnie, nous devons y aller, j’ai changé le rendez-vous de ton épilation, je t’attends dans la voiture. Mme Besson regarda sa jupe, c’était encore pire qu’elle ne le l’imaginait, il y avait deux grosses taches sur sa jupe, une devant et une derrière. Elle essaya de cacher le désastre. Rejoignant la voiture Mme Besson implora Léa,
— S’il vous plait Mlle Fournier, votre animal souhaiterait se nettoyer.
— Nous n’avons pas le temps, animal. Nous sommes attendues au salon. Tu as besoin d’être toiletté.
Au salon, Léa entra avec la prof embarrassée, qui dut se mettre nue et s’étendre sur la table. La fille la regarda et dit que Mme Besson était trop humide et qu’il fallait sécher tout cela pour pouvoir poser les bandes de cire. Mme Besson aurait voulu ramper sous la table, à chaque mouvement de la jeune fille, les boules dans sa chatte, la faisaient mouiller. Elle devait ressembler à une salope en chaleur se dit-elle. Enfin, cela se termina et la fille se tourna vers Léa.
— Elle est lesbienne ou quoi, je ne pouvais pas m’occuper de sa chatte, sans qu’elle ne mouille comme une chienne !
— Je ne sais pas, mais elle très chaude du cul ! Un rien l’excite.
Mme Besson paya la facture et retourna à la voiture. Son sexe lisse la brûlait et les boules ne lui laissaient pas un moment de répit. Quand ils furent arrivés à la maison, Léa a dit à Mme Besson qu'elles avaient le week-end ensemble, Mme Besson savait que ce serait encore un moment rude, son cœur se serra.
Léa ordonna à Mme Besson de se mettre nue, en profita pour la caresser, puis elle la maquilla, elle voulait que son « récipient à sperme » soit bien apprêté et la coiffa mais dans un style plus vulgaire, elle changea ses petites boucles d’oreilles, contre d’autres plus larges, lourdes et brillantes, à son oreille droite sa boucle d’identification lui tendait le lobe. Elle lui ordonna de mettre le plus gros plug,
— Mlle Fournier, comment engloutir un truc pareil dans le cul de votre animal…
Et pourtant, les cuisses écartées devant sa maîtresse, Mme Besson fit entrer dans son cul, le gros plug anal, elle le sentit en elle, lui écartant douloureusement l’intérieur et la remplissant comme jamais. Puis Léa lui ordonna de se mettre le gode vibrant dans sa chatte, il n’était pas en fonctionnement, mais Mme Besson avait désormais les deux trous remplis. Léa lui tendit un jean déjà très moulant trouvé dans la chambre d'amis. Mme Besson eut beaucoup de mal à enfiler, Léa dut même l’aider pour fermer les boutons. Une fois le jean enfilé, Mme Besson se sentait très mal à l’aise, tout engoncée et les deux accessoires étaient encore plus enfoncés en elle. Mme Besson dut mettre un tee short large dont Léa avait découpé le décolleté qui dévoilait largement ses seins, elle dut aussi mettre ses talons de 14 cm. Léa entraîna sa prof en laisse dans la voiture et la conduisit jusqu’au parking d’un club, fréquenté par les jeunes.
— Voilà, nous y sommes, un peu d’entrainement mon animal, c'est un bon exercice pour toi, tu vas exciter ces jeunes gens, tu dois devenir l'objet de leur désir !
Puis Léa mit en route avec la télécommande les vibrations du gode, surprise, Mme Besson ondoya du bassin...
— S’il vous plait Mlle Fournier, votre animal ne peut aller dans ce club.
— Tu files, sinon je laisse en marche ton gode !
Léa put lire sur son regard qu’elle était effrayée…
Et avec un sourire jusqu’aux oreilles… elle lui ordonna quand même,
— Bien sûr, tu peux, enlève ton collier et laisse ton sac, il fait sombre, personne ne te reconnaîtra.
Léa lui donna ses instructions,
« Tu danses avec tous ceux qui t’invitent et tu les laisses faire ce qu’ils veulent, pelotage de tes mamelles, doigt dans ta chatte ou ton cul, mais je ne te donne pas la permission de jouir ! Comprends-tu ?
Tu reviens ici à minuit avec un petit copain.
Interdiction d’aller aux toilettes ».
— Mais Mlle Fournier, votre animal doit aller aux toilettes !
— Ce sont mes instructions ! Attention au fouet mon animal ! Maintenant vas-y et amuses toi bien.
Habillée comme une pute, Mme Besson n’eut aucun mal à trouver des partenaires, elle dansait lentement à cause de ses seins qui semblaient vouloir s’échapper du top trop court et son jean frottait son cul et sa chatte « habités ». Ses partenaires caressaient sans honte ce cul moulé et ses seins qu’elle exhibait de façon outrancière. Elle sentait leurs mains se glisser sous le tissu et les prendre à pleines mains. Elle laisse faire, elle sait qu’elle doit être disponible et peut se faire baiser par n’importe qui. Quand elle s’arrêta pour boire une boisson elle remarqua que son jean était mouillé, elle avait une tache de mouille entre les cuisses et elle fut heureuse qu’il fasse sombre. Après deux heures, ses jambes lui faisaient mal, les talons la blessaient et le jean trop serré l’empêchait de manger quoi que ce soit, elle eut du mal même avec une boisson. Plus la nuit avançait et plus elle se laissait aller contre les contre les garçons. Elle avait honte, mais elle dut admettre qu’elle aimait ces attouchements, elle souhaitait, elle attendait les caresses. Minuit approchait et elle chercha l'un d'eux pour l’accompagner dehors et rejoindre Léa. Comme sa maîtresse le lui avait ordonné, elle se décida pour un grand blond, qui avait dansé avec elle trois fois et qui s’était assez bien comporté avec elle, même alors qu’elle sentait sa bite en érection contre son ventre. Juste avant minuit, elle lui demanda de sortir dehors et bien entendu, il ne refusa pas. Quand ils arrivèrent dans la voiture, Léa était avec un autre garçon.
— Dis bonjours mon animal.
Mme Besson très embarrassée salua le garçon, Léa la présenta et tendit à sa prof son collier et la laisse en lui ordonnant de le mettre.
— Mon animal de compagnie, ici présent est dressé pour obéir à tous mes ordres.
Les garçons ouvrirent grand la bouche en voyant la prof humiliée avec son collier de chien.
— Enlève ton chemisier et montres tes seins à ces jeunes gens, animal.
Mme Besson essaya d’implorer du regard Léa, mais le regard que lui lança son élève lui fit comprendre qu’il valait mieux qu’elle obéisse. Elle enleva son tee short et exposa sa jolie poitrine aux tétons durcis aux regards concupiscents des garçons. Ils étaient sans voix en regardant cette femme, les seins nus, ses jolis tétons en érection, tenue en laisse par une autre femme. Voilà, maintenant elle était une salope, qui allait devenir le jouet sexuel de jeunes gens.
— Vous pouvez jouer avec ces jolis seins si vous le voulez.
Ils ne se firent pas prier et commencèrent à caresser son torse nu, tordirent, embrassèrent, sucèrent les tétons qui avaient doublé de volume, Mme Besson avait mal, des larmes coulent sur ses joues, sa bouche est grande ouverte déformée, par la douleur, mais elle ne put retenir un gémissement de plaisir sous les caresses et du gode que Léa avait remis en route et qui vibrait dans sa chatte. Son corps la trahissait, son bas-ventre s'embrasait de vagues successives de plaisir.
— Je parie que ces garçons aimeraient bien s’amuser plus avec toi, dis leurs pourquoi, cela n’est pas possible, animal.
À contrecœur d'une voix tremblante Mme Besson murmura, « J'ai un plug dans mon cul et un vibrateur dans ma chatte ».
En tirant durement sur la laisse Léa siffla,
— Plus fort et articule salope !
— L’animal de compagnie de Mme Fournier possède un plug dans son cul et un vibro dans sa chatte.
— J'aimerais voir cela, dit l'un des garçons.
— Ce n'est pas possible, mais je suis sûr que mon animal serait ravi de vous sucer à la place. Mets-toi à quatre pattes ! demande leur si tu peux les sucer, animal.
Une prof humiliée, enfin pas complètement, car ce qu'elle ne dit pas, c'est qu'elle aime par-dessus tout, c’est s’agenouiller devant le sexe d'un homme, elle est toujours prête à se soumettre à son autorité et à le servir.demanda,
— L’animal peut sucer vos bites ? ,
Les garçons répondirent en choeur « suce nous salope ».
— À genoux Animal, lève la tête et ouvre bien la bouche ! J’ai dit, plus que ça, catin ! Petite pute tu vas le sucer, il le mérite bien ce beau garçon. Et tu me montres, quand il éjaculera, avant de tout avaler.
— Oui Mlle Fournier,
Mme Besson se mit à genoux devant le premier garçon, ouvrit son pantalon, libéra sa verge. Impulsivement, il lui empoigna les cheveux et tira brutalement sa tête enfonçant sa bite raide dans la gorge de Mme Besson. À genoux devant lui, elle commence à lui lécher les couilles puis remonte le long du sexe gonflé par le désir. Elle le lèche goulument puis, arrivée au gland, elle laisse sa langue faire le travail. Mme Besson se délecte de se gland doux et gonflé. Ses lèvres l’enserrent puis l’aspire et l’enfonce au plus profond de sa gorge, la bite se rassasie encore de plaisir, elle sent les contractions... puis c’est l’éclat dans le gosier, elle sent le sperme couler. La queue glisse alors hors du cocon des lèvres et descend lentement, lentement vers le repos. Il a utilisée sa bouche comme si c'était le sexe d'une femme.
— Montre, dit Léa en prenant Mme Besson au menton et lui soulevant la tête. Ouvre la bouche salope, montre le jus ! C'est bien ! Avale maintenant !
Mme Besson ne pouvait croire qu’elle était là, à genoux sur un parking, tenue en laisse, les seins nus et qu’elle allait sucer un autre jeune garçon. Mais elle suce et elle aime cela. Seule comptait cette sensation, cette montée d’adrénaline quand cet inconnus sans visage s’empare d'elle et l’amene à satisfaire leurs pulsions.
— Laisse-moi gober ton sexe tout entier, chéri.
Il lui maintient bien la tête et s'enfonce dans la gorge offerte. D'une main elle malaxe doucement les bourses, elle fait tourner sa langue autour du gland, le titille... il est prêt à exploser...
Son corps était en feu, elle était presque en transe érotique et elle se sent mouiller encore plus. Le deuxième garçon était bien mieux monté que le premier. Il n’avait aucune pitié pour la prof et faisait entrer et sortir sa bite avec force dans la bouche offerte, l’enfonçant jusqu’à la glotte tout en continuant à lui caresser et lui tordre les seins. Il impose sa domination tout de suite. Il se contrôlait bien, il lui tint la tête par les cheveux jusqu’à ce qu'il ait fini de cracher sa semence au fond de sa gorge. Les yeux de Mme Besson étaient embués de larmes, elle faisait de son mieux pour ne pas s' et continuait à avaler aussi vite qu'elle pouvait le flot épais du jus du jeune garçon. Léa ne s’en rendait pas compte, mais tout en suçant la bite devant elle, avec bonheur, Mme Besson laissait ses hanches aller et venir et jouir sur le gode en elle, le sperme coulant de sa bouche, elle continua de se masturber, à genoux sur le sol.
— Que fait-elle ?
Demanda le garçon d’un air gourmand.
Léa prit une lampe de poche et éclaire Mme Besson en transe sur le sol, de l'orifice s’écoule le surplus de sperme.
— Lève-toi animal !
Mme Besson se releva et Léa éclaira son jean trempé à l’entre jambes.
— qui t’a permis de te faire plaisir comme ça ? Tu es ma chose et rien d’autre, petite salope, c'est moi qui décide !
Très en colère et devant les garçons, Léa gifle violemment Mme Besson,
— Tu avais interdiction de jouir putain, tu es vraiment un animal, je vais te dresser suceuse de bites ! Ce soir, ce sera le fouet !
— J’espère que vous avez apprécié le spectacle, les garçons, la prochaine fois, mon animal pourra vous en donner plus.

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