L'Equipe Viii

Les quatre heures de classe du samedi matin passèrent très vite et mon esprit était totalement concentré sur mes études. Je crevai la dalle à la sortie de l'amphithéâtre et me rendis au mess où je prend un sandwich avant de me rendre à la bibliothèque, une table au fond, ma pile de bouquins et mes notes et me voilà parti en mode boulot. Une heure s'était écoulée, puis deux et je reçevais un message. C'était Rick, il me demandait si j'étais partant pour aller faire un tour en ville... Ma réponse fut simple et rapide "ok mais pas avant 16.00" il me répondit aussitôt et me donna un lieu où se rejoindre. Je finis par quitter la bibliothèque, un rapide passage à l'appartement pour me changer et me revoilà en ville.

Le noiraud me fit de grand signe quand j'arrivai à la galerie marchande et nous nous fîmes la bise. Pendant une bonne heure nous déambulâmes dans la galerie et les commerces du centre ville, parlant de tout et de rien mais aussi des vacances de Noël qui approchaient, des exams en janvier et de la semaine de break après. Rick Allait comme chaque année passer la noël avec ses parents vu qu'il vivait encore chez eux et irait au ski avec eux après les exams. Pour ma part je ne savais pas trop comment cela se passerait, les années précédentes j'étais rentré à la maison, le ferais-je cette année? Je n'en étais pas sur, je crois que ma décision dépendrait surtout de comment évoluerait ma relation avec David. Pour ce qui est du break... je ne savais pas, je savais skier mais je n'étais plus parti à la montagne depuis que j'avais commencé mes études, ce serait probablement une autre semaine à la maison à bosser sur quelques travaux à faire théoriquement pour la fin de l'année. Finalement Rick me proposa un cinéma, la séance de 18 heures approchait et il y avait un film qui semblait intéressant à l'affiche. J'étais partant et il me proposa d'inviter des amis. Après plusieurs essais seul Steves était là et disponible, ce serait donc avec Steves, il nous rejoindrait au cinéma.



Vingt minutes plus tard le grand rouquin nous rejoignit devant le cinéma. cela me faisait plaisir que ce fut lui qui vint nous rejoindre, bien que j'aurais été encore plus heureux si les autres avaient su se libérer mais Benoit travaillait jusque 19.30, Julien était pris pour la soirée avec ses parents quand aux autres que nous avions contactés tous où presque étaient repartis chez eux pour le weekend. Bref j'embrassais donc avec un large sourire mon beau rouquin, pas vraiment sur la joue, pas vraiment sur les lèvres et là il me surprit en attrapant mes joues dans ses mains et en me disant que j'avais raté la bise. Mon visage vira tout simplement au rouge écarlate quand ses lèvres se pressèrent aux miennes et qu'il me fit la remarque que c'était ainsi qu'il fallait la faire. Alors qu'il faisait la bise de la même manière à Rick, je regardais autour, gêné de crainte d'avoir été surpris par des regards étrangers. Deux bonnes heures plus tard nous étions dehors et assis dans un sushi bar. Les mêmes questions revinrent à l'assaut et le plus grand de nous annonça qu'il rentrait chez ses parents pour les fêtes et qu'après les examens il partait avec son jeune frère à la montagne. Je ne savais pas qu'il avait un frère, quatre ans plus jeune que lui et Steves me parla un peu de lui. Il me demanda aussi si je comptais venir avec eux aux vacances de Pâques. Ils allaient skier dans les alpes autrichiennes et y louaient un chalet tout entier pour les deux semaines. Ma surprise fut encore plus grande et je failli m' avec un bout de maki quand Rick m'annonça qu'il y avait lui, Steves, David, Julien et Benoit, que je serais le bienvenu. Bien sur je m'imaginais déjà plein de truc, de tels mecs ensemble pendant quinze jours.... Je ne pus répondre que cela m'intéressait bien sur mais que je devais voir cela avec ma mère quand Steves me demanda si j'allais venir. Au fond de moi je voulais déjà y être mais il y avait le problème financier, je n'avais pas quoi me payer un tel voyage et je devais donc avoir le soutient de ma mère pour cela.
Qu'importe coupa Rick, Pâques était encore loin et seul comptait l'instant présent. La discussion tourna alors sur le match de demain et très vite, salière, poivrier et bouteille de soja devinrent des joueurs adverse, nous faisions déjà le match sur la table... Steves fini par proposer de passer chez lui pour continuer la discussion, offre que Rick et moi acceptâmes volontiers.

Plus la voiture se rapprochait de l'appartement de Steves plus il me venait à l'esprit que cette soirée ne serait pas que discussions de water polo.. Le petit sourire en coin que me fit Rick ne fit que me conforter dans cette idée... Une fois chez lui il disparu un instant dans la salle de bain et les toilettes, à son retour il nous proposa d'utiliser sa salle de bain pour nous brosser les dents car bon, les sushis c'est délicieux mais cela laisse un arrière gout dans la bouche et une haleine pas très agréable. J'ai donc accepté, je n'étais jamais venu chez lui, l'appartement qu'il louait, enfin que ses parents lui louait n'était pas très grand, un long couloir qui passe devant la chambre, la salle de bain / WC et finalement une pièce à vivre avec cuisine ouverte. Deux minutes plus tard Rick et moi étions dans la salle de bain, je me brossais les dents quand je remarquai qu'il était en train de se déshabiller... Non seulement il s'est mis à poil mais avant que je ne réagisse il s'est plaqué contre moi, contre mon dos et s'est de suite attaqué à ma ceinture et mes jeans. J'avais à peine recraché le dentifrice qu'il poussait ces derniers et mes sous vêtements à mes pieds. A ma question de savoir ce qu'il faisait si il était con ou quoi il me rétorqua que j'étais bien naïf si j'avais cru que la proposition de Steves s'arrêtait juste à discuter de water polo puis bye bye, à demain chacun rentre chez soi. Il ne fallut que quelque mots de plus de mon ami pour me faire comprendre que le rouquin avait bien l'intension de nous faire l'amour et passer la nuit avec nous. L'idée n'était pas déplaisante, loin de là, une partie de moi était toute excitée à cette pensée mais une autre partie était encore confuse, troublée, gênée et effrayée.


Les mains de Rick glissèrent sur ma peau, une repoussant mon pull et mon t-shirt vers le haut, m'invitant à les ôter, une autre se referma sur mon sexe et le noiraud me masturba lentement, repoussant la peau de mon gland en arrière, exposant ce bulbe gonflé de sang à l'air libre. En quelques instants, en quelques mouvements de bras et de jambes je me retrouvais nu dans la petite salle bain, mon ami pressant son corps contre le mien, ondulant des hanches pour glisser son sexe dur le long de la raie de mes fesses, une main se jouant de mon propre sexe, une autre torturant un de mes tétons, ses lèvres se refermant sur ma clavicule. Il ne faisait aucun doute que Rick savait comment me faire succomber aux plaisirs corporels, il venait en quelques courtes minutes de bouter le feu à mon désir, transformant mon corps en un brasier. A ce moment, je n'avais plus aucun doute, plus aucune hésitation... Je voulais succomber aux plaisirs charnels, m'offrir tout entier aux pulsions animales et bestiales de mes amis... Si il n'avait été comme moi un receveur je l'aurais supplié qu'il me sodomise là contre le meuble du lavabo. En un éclair je me suis retourné et je l'ai embrassé avec fougue, passion, ma main s'était refermée sur son sexe, jouant de son propre prépuce, roulant mon pouce sur son gland. Nos regards se croisèrent et nous ne pûmes retenir un rire. Il ouvrir un tiroir et en sorti un pot de lubrifiant... Sans un mots mais en pensée commune en quelques secondes nous nous doigtions mutuellement l'un l'autre, appliquant ce gel contre notre rondelle, nous préparant à recevoir Steves en nous. Je ne pus retenir un gémissement de bien être alors qu'il enfonçait deux doigts en moi, écartant mes sphincters. Nous restâmes là ainsi à nous faire mutuellement plaisir quelques minutes et nul doute que nos petits cris, nos soupirs d'aise arrivèrent aux oreilles du grand et fort rouquin qui nous attendait dans la pièce voisine.

Lorsque nous quittâmes la salle de bain, le grand roux était là dans la pièce de séjour, debout devant le canapé.
Il s'était mis torse nu et ne portait plus que ses jeans, une large déformation à son entrejambe trahissait son érection. Il sourit alors comme un prédateur face à des proies s'offrant délibérément à ses crocs et griffes. Alors que nous nous tenions à l'entrée du salon il nous complimenta, nous qualifiants d'anges de la tentation que si il y avait un paradis, c'est ainsi qu'il le voulait. Cela nous fit un peu rougir, enfin moi car je dois avouer que j'ai fortement apprécié ces compliments. Steves nous demanda alors si il devait enlever le reste, ni Rick ni moi ne prononcèrent un mot mais nos hochements de tête confirmèrent au rouquin de poursuivre. Il se débarrassa alors de ses jeans et boxers, révélant une belle érection de son chibre plus qu'imposant, le prépuce étant déjà partiellement replié au dessus de son gland. Notre étalon s'assit alors sur le rebord du canapé, pressant son dos dans celui-ci alors qu'il écartait totalement ses cuisses offrant son entrejambe à notre regard, à notre appétit de ce sexe bandé dont la base se perdait dans une luxuriante toison rousse. En un instant nous nous ruâmes tous les deux vers lui, tombant à genoux, nous pressant contre lui, contre ses jambes, contre ses cuisses, moi sur sa droite, Rick sur sa gauche. Nous primes tous deux de longues inspirations, humant le parfum naturel de notre ami avant de laisser nos lèvres, nos langues parcourir son chibre, sa hampe, sa verge, la couvrant de bisous, glissant notre langue sur sa longueur, titillant les veines qui pulsaient à sa surface. Nos lèvres se rapprochèrent pour cercler cet imposant phallus, coulissant tout au long pour se rejoindre sur son extrémité gorgée de sang. Nos langues jouèrent dessus, jouèrent ensemble partageant un baiser autour de son gland, arrachant de Steves des gémissements et des grognements de pur plaisir alors que nous unissions nos forces pour aduler sa verge et ses bourses. Ses mains vinrent perdre leurs doigts dans nos chevelures, ils nous flattait ainsi comme on peu flatter un animal pour un bon comportement. Cela aurait pu paraitre dégradant, humiliant mais j'éprouvais et je crois que Rick aussi une certaine fierté à donner à notre beau roux un tel plaisir, de nous offrir pleinement à lui.

Nous nous relayâmes alors l'un l'autre à prendre ce sexe gonflé dans notre bouche, dans notre gorge, collant, plaquant nos lèvres dans ce buisson de poils roux alors que notre cou se tendait un peu, trahissant la présence d'un envahisseur de très bonne taille. Son sexe brillait de nos salives lorsqu'au bout de quelques minutes d'un tel traitement il repoussa délicatement nos visages, jouant du bout de ses doigts sur nos lèvres, nous laissant les suçoter avant de les plonger dans nos bouches de jouer avec nos langues. Ils fini par éloigner ses mains et se redressa sur ses jambes. Il nous toisait de haut, sa voix, son ordre tomba et claqua sèchement... Rick et moi nous nous regardâmes un instant avant de sourire et de nous exécuter, nous plaçant l'un à côté de l'autre sur nos genoux. Je crois qu'à ce moment là j'ai atteint un sommet, un col à franchir dans mon excitation, dans la découverte de moi même... Steves s'est accroupi derrière nous et sans un mots ses mains se sont posées sur nos fessiers, sans hésitation il a poussé en chacun de nous deux doigts jusqu'à la garde nous faisant soupirer et gémir de bien être. Ses lèvres glissaient entre nos épaules et il vantait notre beauté, combien il nous désirait. Ce serait mentir de dire que cela ne nous toucha pas. Je réalisais que je le désirais tout autant, que je voulais me donner entièrement à lui...

Un petit cri s'échappa de ma bouche lorsqu'il me poussa en avant, me faisant tomber contre le canapé. En terme un peu cru il dit à Rick qu'il devrait attendre qu'il avait envie de me prendre en premier, qu'il me désirait depuis le jour où sa queue avait ressenti mes lèvres lors de mon intronisation. Mince c'était vrai? Cela souleva plein de contradictions en moi mais la voix de Rick ne fit qu'en rajouter, il venait de déclarer que plein n'attendaient que l'occasion mais qu'ils n'osaient pas. "Quoi?" fut mon interpellation mais elle mourut dans le vide quand le noiraud se glissa devant moi sur le canapé et que mon visage se retrouva nez à nez avec son entrejambe et sa belle érection. C'est à ce même moment que le gland gorgé de sang de Steves força l'entrée de mes entrailles, écartant mes sphincters et plongeant centimètre après centimètre en moi faisant expulser à mes poumons un gémissement où se mêlaient grandement plaisir et un peu de douleur. Il poussa lui même un grognement de bien être lorsque ses couilles se pressèrent contre la raie de mes fesses, contre les miennes, sa verge enfuie jusqu'à la racine en moi. Le roux resta là ainsi quelques longues secondes, savourant l'étroitesse de mon anus et rectum, savourant les sensations procurées par mes parois de chair qui se contractaient autour de sa hampe et de son gland. Lentement il s'est entièrement retiré, me gratifiant de quelques compliments crûs. Sans attendre il fouetta mes fesses de son sexe et le poussa de nouveau en moi, me faisant gémir de nouveau. Cette fois il resta longuement en moi. Il me demanda alors si j'aimais son sexe, si je le voulais en moi, si je le désirais, si j voulais le recevoir, m'offrir à lui n'importe où, n'importe quand à son désir. J'avais honte, je devais être rouge écarlate mais les petits coups de reins qu'il donnait me faisaient trembler d'extase. Je n'avais plus ma raison et seul la jouissance sexuelle me dominait, me faisait dire que oui que j'étais à lui...

C'est le bruit rythmé de ses hanches, de son entrejambe s'écrasant contre mon postérieur, contre mon corps qui ampli la pièce durant de longues et délicieuses minutes. Bruit rythmé auquel s'ajoutaient les bruissement de succion alors que je tétais le sexe de Rick. Ce dernier n'ayant pas l'endurance du rouquin fini par passer son point de non retour et m'offrit sa semence, la laissant jaillir dans ma bouche, me laissant déglutir et la savourer pleinement alors qu'elle coulait vers mon estomac. Steves attrapa alors mon sexe jusqu'à ce moment négligé et me masturba avec la même force qu'il me sodomisait, alternant de lentes et profondes pénétrations avec de rapides et plus courts coups de rein. Ma propre semence, mon sperme ne tarda pas à jaillir entre ses doigts qu'il fini par lever et présenter aux lèvres de Rick qui les suça goulument. Il me pris encore ainsi quelque minutes avant de laisser ses instincts le dominer, me sodomisant alors tel un animal jusqu'à atteindre son organisme et déverser son fluide séminal en moi, au plus profond. Je pouvais ressentir chaque tressaillement, chaque soubresaut de sa verge, trahissant un long et puissant jet de sperme. Lorsqu'il se retira de moi, je ressentais comme un vide. Mon ami me tira vers lui et je me retrouvais assis sur le canapé à côté de lui. Se tenait devant nous le grand roux qui s'était redressé, sa verge luisante de sa semence se balançait librement sous nos yeux, son phallus était encore bandé et de son méat pendait une longue cordelette de sperme. Rick fut le premier à réagir de sa langue il coupa le filament de semence et s'attaqua au membre turgescent. En un instant je le rejoignis et nos langue jouèrent, glissèrent sur cette verge frémissante.

Une à deux minutes plus tard Rick était debout, torse vers le mur au dessus du canapé, bras tendus et mains contre le mur, une jambe levée, le pied reposant sur l'accoudoir. Steves se tenait derrière lui, les bras refermés sur son torse, les mains, les doigts jouant de ses tétons, un pied aussi sur l'accoudoir alors qu'il donnait de puissant coups de reins, prenant et sodomisant notre ami avec toute la fougue d'un jeune adulte en rut. Et moi? J'étais là assis à seulement quelques dizaines de centimètres, totalement hypnotisé par ce spectacle de voir ce grand et fort rouquin sodomiser de toute sa fougue ce jeune homme à la tignasse noire, arrachant de son corps des gémissements de pur plaisir. Égoïstement je n'avais qu'un seul regret, ce n'était pas moi, c'était Rick... De longues minutes durant tel un piston, son sexe, sa verge coulissa en lui dans de longs et puissants vas et viens. Je ne sais comment mais je fini par me glisser derrière Steves, sur mes genoux, inclinée ma tête se glissa entre ses cuisses et du mieux que je pouvais, je donnais des coups de langue contre l'arrière de ses bourses, le long de son périnée, presque jusqu'à sa rondelle. Il devait apprécier car il glissa sur ses pieds, s'ouvrant un peu plus à mes stimulations et redoubla d'effort en sodomisant Rick de plus belle. Le noiraud fini par atteindre son deuxième orgasme et son foutre vola en de nombreuses mais petites cordes dans les airs, s'écrasant contre le dossier du canapé. Il ne fallut que quelques minutes de plus pour que des grognements intenses résonnent à nos oreilles, les entrailles de notre gardien recevant le foutre chaud de notre fougueux étalon roux. A cet instant je m'étais écarté, il avait agrippé Rick sous les bras, mains repliées sur ses épaules et avait reposé ses pieds sur le sol afin de pouvoir donner de plus forts et puissants coups de reins. Néanmoins, je pouvais encore voir d'où j'étais la peau de son périnée et de ses bourses se contracter à chaque fois que son corps expulsait sa semence, cette vision était hypnotique et fascinante, comme prise hors du temps, presque divine.

Je portais à mes lèvres le grand verre d'eau glacée, appréciant sa fraîcheur après les intenses moments que nous venions de vivre. Nous étions tous trois assis dans le canapé, le corps perlant de sueur, des rougeurs au visages, nus comme des vers, nos jambes allongées, pieds sur la table basse et un large sourire sur le visage. Steves était assis entre Rick et moi, nous récupérions tout en discutant... Le rouquin venait de me re-dire combien il me désirait, combien il m'appréciait et voulait que cet instant dure éternellement. J'étais véritablement sur un petit nuage moi qui ne pouvait résister à un beau rouquin et lui, ce grand et fort Apollon qui m'avouait son attirance... Bien sur tout cela soulevait en moi des sentiments contradictoires... En peu de temps ma vie avait pris un tout autre tournant, de solitaire j'étais tombé dans une équipe, une fratrie où la sexualité était libre, où l'amitié et la solidarité étaient bien réelles mais encore mon quasi frère avait fait de moi son amant et son meilleur ami venait d'avouer son désir, faisant aussi de moi son amant... J'étais maintenant pris entre deux feux... Si tout cela n'avait été que sexuel, que du bien être échangé, partagé entre adultes consentants cela aurait été si facile mais on n'est pas toujours maître de ses sentiments, de son corps... Je ne pouvais encore parler pour David ou Steves étais-je juste un partenaire sexuel ou plus ? Mais moi, je commençais à ressentir sans vraiment le savoir pour Steves ce que je percevais déjà dans mes sentiments pour David... et cela m'effrayait horriblement.

Finalement nous finîmes par discuter du match du lendemain, et c'est là sur la table basse, nus que nous fîmes une ultime revue avant d'aller prendre une douche... collective... La cabine était bien petite pour trois personnes mais cela ne nous empêcha pas le noiraud et moi de savonner notre amant roux. Ce qui bien sur engendra chez lui de nouvelles poussées de sève et c'est ainsi que nous nous retrouvâmes sur le lit, Rick et moi torse contre torse à nous embrasser pendant qu'à nos jambes Steves nous sodomisait tour à tour, plongeant son sexe bandé dans nos entrailles jusqu'a atteindre par deux fois sa jouissance, offrant à chacun de nous de long et puissant jets de son sperme, l'enfouissant au plus profond de nous dans un concert de râles, de grognements et de gémissements de pure extase. Et c'est blotti les uns contre les autres que nous sombrèrent au royaume de Morphée.

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