Ma Coloc' Nina: Ch. 10
CHAPITRE 10: SOIRÉE ÉTUDIANTE
Arrivés à l'appart, Nina était toujours aussi intenable. Elle n'arrêtait pas de sauter dans tous les sens, de se frotter à moi, me suppliant des yeux de la faire enfin jouir. Elle était excitante, dans cet état, y'a pas à dire. J'aurais pu la prendre, encore une fois, sans la laisser jouir. Mais j'aimais la voir dans cet état de désespoir. Je voulais la pousser encore un peu plus à bout. Je lui ai dis d'aller se défouler un peu, et Nina est partie à la salle de sport. Avant qu'elle ne quitte l'appartement, je lui ai quand même rappelé que si elle se faisait jouir, je le saurais d'une manière ou d'une autre, et que la punition de la dernière fois ne serait rien à côté de ce qui l'attendait.
A son retour, deux heures plus tard, Nina n'était que très légèrement calmée, et m'a annoncé qu'une de ses copines de fac l'invitait le soir-même pour une petite fête. J'ai été flatté qu'elle me propose de l'accompagner. C'était la première fois que nous allions sortir ensemble, sociabiliser, tenter de se fondre dans la masse. Je lui ai demandé comment elle comptait me présenter, et elle m'a répondu que cela dépendrait de ce que je veux. J'avais deux heures, donc, pour réfléchir à la question.
Mais j'ai commencé par aller fouiller dans sa nouvelle garde-robe pour lui trouver une tenue. J'ai opté pour une robe bustier, courte. En-dessous, un simple string noir, des bas, un porte-jarretelles. Nina a essayé sa tenue, sûrement beaucoup plus osée que toutes celles qu'elle avait pu mettre dans d'autres soirées avant, mais après s'être regardée dans le miroir, elle a souri et approuvé mon choix. Je suis allé me préparer à mon tour, beaucoup plus sobrement que Nina, et vers 20 heures, nous étions en route. Adeline, qui nous invitait, habitait dans un petit appartement, au fond d'une cour d'immeuble. Nous étions une grosse vingtaine dans ces 35 ou 40 mètres carré. Et il y avait à boire pour une centaine de personnes.
Nous avons passé notre soirée à grignoter un peu, et à boire beaucoup. Connaissant mes limites et aimant par dessus tout garder le contrôle, je me suis retenu, mais ce n'était pas le cas de tout le monde. Certains sont partis vers 23 heures, ivres mort. Nina gérait encore, mais était clairement saoule, titubant, rigolant pour rien, dansant même s'il n'y avait pas de musique. Assis sur le canapé avec un verre de gin, je la regardais se trémousser, onduler du bassin, mains sur les cuisses, aguicheuse à souhait. J'ai ressenti une grande fierté à ce moment-là. Fier de savoir qu'elle m'appartenait, et que si certains garçons de la salle avaient clairement envie de se la faire, c'est moi qui la prendrais ce soir. A côté de moi, notre hôte, Adeline, embrassait goulument un garçon, la main sur son paquet, tandis que celui-ci pelotait sa poitrine sans gêne. De l'autre côté du salon, un jeu d'alcool s'était organisé, mais en version strip, car toutes les occasions étaient bonnes pour se mettre et se voir à poils. La soirée prenait une tournure plutôt agréable. Je me suis levé pour aller pisser, cherchant Nina du regard, je l'avais perdue de vue depuis sa danse lascive. Dans les toilettes, un mec s'était à moitié endormi dans la cuvette et dans son vomi. Je me suis ainsi rappelé pourquoi j'avais fini par arrêter les soirées étudiantes. J'ai cherché d'autres toilettes, et c'est dans la salle de bain que j'ai trouvé Nina, avec une copine.
_ Tu as toujours autant envie de jouir ?
_ Oui, s'il te plait...
_ Alors debout, et retournes toi.
Nina s'est levée, titubante, et s'est penchée au-dessus de la baignoire, ses mains en agrippant le rebord. Déjà cul nu, je n'ai eu qu'à écarter un peu plus ses jambes, et glisser mon sexe en elle. Nina était trempée, et ce depuis le début de la journée. Je l'ai baisée violemment, en levrette, claquant son cul comme à mon habitude. Je l'ai baisée si fort que Nina n'a pas pu se tenir plus longtemps à la baignoire, et s'est retrouvée avec le buste penché dedans, la tête contre la faïence. Le fait que tout le monde ait considéré cet endroit comme les toilettes n'a pas eu l'air de la gêner outre mesure.
_ On va y aller, nous, ai-je dis, brisant le silence régnant dans la petite pièce.
J'ai ramassé le string de Nina, qui pendait à l'une de ses chevilles, et l'ai mis dans ma poche. Puis j'ai retiré la brosse à cheveux de son anus, et lui ai tendu la main pour l'aider à se relever. Nina, le visage encore recouvert de ma semence, a simplement souri à son amie, comme pour lui dire "ne m'en veux pas si je ne te fais pas la bise en partant", et est sortie de la salle de bain.
_ Merci pour la soirée, hein! Et à bientôt, ai-je dis avec un sourire, avant de refermer la porter derrière eux.
Nul doute sur ce qui s'est passé après.
J'ai rejoint Nina dans le salon, où elle récupérait nos affaires, puis nous sommes partis. Une fois dans la rue, je lui ai tendu son string.
_ Tiens, essuies toi au moins le visage avec ça, espèce de petite dépravée.
Nina a rigolé avant de s'exécuter, puis nous sommes rentrés. Encore bien saoule et surtout épuisée, Nina s'est endormie habillée, sur le lit. Je l'ai déshabillée, et l'ai rejointe.
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