La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1489)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1482) -

Vincent ordonne à la jeune femme d’aller se mettre en position d’attente au centre de la pièce, avant d’aller superviser la préparation de la salle... Après de longues minutes, le silence se fait dans la pièce, les esclaves sont retournés dans les cuisines de Madame Marie, soumise Keira MDE n’entend plus personne. Elle patiente seulement quelques minutes avant d’entendre la porte s’ouvrir, c’est le Maître en personne accompagné de Vincent.

- Très cher Vincent, comment s’est passée ta journée ?, interroge le Châtelain.
- A la perfection, Monsieur le Marquis, merci de ce présent dont j’ai pu profiter pleinement.
- Dois-je en conclure que son attitude t’a satisfait amplement ?
- Sans aucune faille, elle a été parfaite.
- Hum, je n’en attendais pas moins d’elle, ponctue le Noble en se dirigeant vers Sa soumise.

Le Noble s’arrête à un mètre de la jeune femme, l’observe satisfait de son obéissance, puis d’une cravache sous son menton, la contraint à lever les yeux. Vanessa peine toujours autant à maintenir Son regard si Dominateur, mais obéit.

- Bonjour soumise Keira MDE, comment vas-tu ?, interroge-t-Il souriant
- Bonjour Maître, je vais bien, merci de Vous en soucier, et merci de m’avoir permise de remercier Monsieur Vincent
- Je tiens à te féliciter pour ton obéissance parfaite, tout au long de cette journée, ton attitude mérite une récompense, lui annonce-t-Il.
- Maître, je...je ne mérite pas Vos félicitations, et encore moins une récompense, mais plutôt une sanction, car j’ai fauté aujourd’hui, ose-t-elle.
- Hum tu as conscience que je t’ai suivi toute ta journée sur les vidéos ?, questionne le Noble amusé, se demandant quelle petite faute insignifiante elle souhaite encore prendre en compte.
- Oui Maître, mais j’ai fauté hors caméras, répond-t-elle humblement.


- Comment cela ?, interroge Monsieur le Marquis surpris de son aveu.
- J’ai manqué de respect à Monsieur le Commandant en arrivant sur Votre Domaine, Maître.

Le Châtelain est déçu de ce qu’Il apprend, et surpris que Laurent ne lui en ait pas parlé. Il ordonne à la jeune femme de baisser les yeux et lui demande de détailler sa faute. Elle Lui fait donc le récit de son arrivée sur Ses Terres, jusqu’aux écuries, elle termine en Lui présentant Ses excuses et en Lui demandant une sanction.

Vincent, fais venir le pilori au centre de la pièce et installe cette chienne, je vais devoir lui rappeler certaines règles qu’implique sa condition, annonce le Noble d’un ton volontairement fâché, sachant que la meilleure des sanctions pour soumise Keira MDE est de lui faire prendre conscience qu’elle a déçu le Maître.
- Bien Monsieur le Marquis, je m’en occupe immédiatement, répond le serviteur en quittant la pièce.

Le Noble délaisse la jeune femme pour venir accueillir ses Invités qui arrivent. Il s’agit du Préfet accompagné de sa femme.

- Charles, Cécile, bonsoir et enchanté de Vous recevoir ce soir.
- Bonjour Edouard, le plaisir est pour nous, merci pour ton invitation, répond le Préfet d’un ton amical alors que sa compagne reste un pas derrière lui.
- Cécile, vous allez bien ?, sollicite le Châtelain pour l’aider à prendre le rôle de la femme et non de la soumise.
- Oui, Monsieur le Marquis, merci pour Votre invitation, mais c’est toujours un peu difficile pour moi d’accepter un tel honneur, se force-t-elle à sourire.
- La preuve s’il y en avait besoin, que je ne me suis pas trompé en conseillant à votre mari de faire de vous sa soumise, sourit le Châtelain.
- Je ne vous en remercierais jamais assez, Monsieur le Marquis.
- Avec qui d’autres allons-nous partager le dîner ?, questionne Le Préfet remarquant le nombre de couverts.
- Walter, Vincent, un de Mes serviteurs à qui je viens d’offrir une promotion amplement méritée, il est désormais l’assistant de Mon Majordome, Laurent et sa compagne.
Mais finalement Laurent sera seul, il semble que je doive rappeler à soumise Keira MDE sa condition, annonce Monsieur le Marquis d’un ton volontairement déçu, fort pour que la jeune femme entende.

soumise Keira MDE, patiente sans bouger au centre de la pièce, elle comprend qu’elle manque l’honneur de manger à la table du Noble, mais ce qui l’attriste, c’est surtout la déception qu’elle Lui a causé, tout comme au Commandant. Ce dernier arrive à ce moment dans la salle, accompagné de Walter.

- Laurent, bonjour, comment vas-tu ?, interroge le Châtelain.
- Toujours parfaitement bien, quand je viens me détendre sous ton toit après une journée de travail, sourit le Commandant.
- Pourtant, j’ai cru comprendre que ta pause du midi n’a pas été des plus agréables, souligne le Noble suffisamment fort pour que Vanessa entende.
- Ah... effectivement, je l’aurai bien giflée, je ne sais pas ce qui a retenu ma main, confirme Laurent.
- Peut-être le fait qu’un tel comportement mérite bien plus qu’une simple gifle, répond le Châtelain.
- Je n’aurais pas manqué de temps, je l’aurais sanctionnée à même le capot de ma voiture, mais je ne voulais pas retirer à Vincent la primeur de faire rougir un cul indemne, sourit Laurent.

Au même moment, Vincent arrive avec deux esclaves portant le pilori exigé par le Noble. Il les dirige pour faire installer le meuble, puis les congédies, avant d’installer la jeune femme dedans avec une immense douceur. Ainsi Vanessa se retrouve la tête et les deux poignets pris dans les carcans du pilori. Le Noble fait un signe de tête à Walter avec un sourire entendu, lui faisant comprendre de prendre la main. Sans attendre Walter rejoint Vincent, il lui fait signe de le suivre, s’éloigne avec lui dans un coin de la pièce, puis lui parle tout bas.

- Tu es tombé sous son charme ?
- De qui donc, Walter ?
- Eh bien de soumise Keira MDE, sourit le Majordome.
- Oh non, je ne me permettrais pas, elle est une des favorites de Monsieur le Marquis et la compagne du Commandant, répond Vincent presque choqué de la question.

- Mais tu l’apprécie fortement, n’est-ce pas ?
- Euh...oui Walter, elle est obéissante, respectueuse, agréable à regarder et à posséder, je reste un homme tout de même !
- Je te comprends, pas de souci et quand on apprend à la connaître, on ne peut que l’apprécier. Moi aussi j’apprécie cette soumise mais aussi la femme. Tout comme Monsieur le Marquis et encore plus le Commandant, mais cela ne nous empêche pas d’adopter la bonne attitude en fonction de la situation, tu vas devoir apprendre à faire de même.
- Je ne comprends pas, Walter, que veux-tu dire ?
- Eh bien, sa faute qui va être sanctionnée, ne mérite absolument pas la douceur avec laquelle tu l’as mise en place.
- Je suis désolé, Walter, je vais faire plus attention pour m’adapter.
- Je n’en doute pas, et je vais t’y aider, tu vas m’assister pour la suite, suis-moi, termine le Majordome en se dirigeant vers le pilori.

Alors que chaque convive se soit installé à table et que l’apéritif est servi, Walter lance un regard en direction du Noble qui acquiesce de la tête. Il détache la cravache de sa ceinture et applique un petit coup sec sur les fesses de la jeune femme.

- soumise, tu sais ce qui t’attend ? s’assure-t-il avant de commencer.
- Oui Monsieur, la juste sanction pour avoir manqué de respect à Monsieur le Commandant et par la même occasion à l’éducation du Maître, répond-t-elle d’une voix forte, bien décidée à accepter les conséquences de ses actes. Parce que je n’ai pas offensé n’importe qui, mais le Maître qui a pris de son temps, mainte fois pour inculquer mon éducation, parce qu’Il a sacrifié sa pause du déjeuner pour m’accompagner, et que la moindre des choses aurait été de ne pas lui manquer de respect. Mais aussi et surtout parce que ce n’est pas n’importe quelle marque que j’ai l’honneur de porter dans ma chair.

Walter tourne la tête vers le Châtelain pour obtenir son aval avant de la cravacher. Les convives observent la scène avec attention, Laurent est encore une fois subjugué par la personnalité de sa compagne, et même s’il est déçu de son attitude, il ne peut s’empêcher de ressentir de la culpabilité.


- Edouard, bien que j’ai déjà pu vous le dire, Votre soumise est décidément proche de la perfection, quelle chance pour nous tous que vous l’ayez prise sous Votre Joug, sourit le Préfet.
- Effectivement, elle sait assumer ses actes quoi qu’il en coûte, confirme satisfait Le Châtelain. Laurent, ça ne semble pas aller ?, s’inquiète-t-il.
- Tout va bien, je songeais simplement que si j’avais mieux cloisonné la situation, elle n’aurait pas fauté.
- Mais encore ?
- Eh bien, il n’est pas toujours aisé de passer en quelques secondes de la femme à la soumise, surtout qu’elle n’avait pas encore le collier autour du cou, donc son erreur est compréhensible.
- Mais elle était sur Mes Terres, et tu venais de lui mettre le collier entre les mains.
- C’est exact.
- Alors je te laisse le choix de la sanction, sourit Monsieur le Marquis.

Le Commandant se lève et d’un pas solennel rejoint le pilori. Il se place face à la jeune femme, alors que Walter patiente derrière aux côtés de Vincent.

- soumise Keira MDE, ton attitude à mon égard vaut une sanction, pour toutes les raisons que tu as parfaitement bien évoquées. Toutefois, je vais tenir compte que tu as réalisé ta faute et présenté tes excuses immédiatement, que ton comportement sur le reste de la journée a visiblement été exemplaire, et que tu as avoué ta faute à Monsieur le Marquis dès que tu as pu le faire. Je vais donc décidé de la sanction. Et comme je n’ai pas à demander à une soumise à combien elle pourrait évaluer un nombre de coups pour une punition, par exemple, il est évident, que je décide seul sans être ainsi influencé. En conclusion, j’exige que tu reçoives cinquante coups, mais ce sera avec le fouet… et un challenge, termine-t-Il sur le ton de l'énigme.

La jeune femme remercie intérieurement le Commandant, mais elle se demande ce que va être ce challenge.

- Edouard, puis-je emprunter ton matériel ? demande le Commandant en désignant un grand tableau accroché au mur.
- Je t’en prie, sourit le Noble.

Laurent s’approche du tableau et le tire vers lui, dévoilant une armoire cachée dans le mur, le large tableau étant en réalité une porte. Un large choix d’objets en tout genre y est parfaitement rangé. Il se saisit d’un magnifique fouet noir, de cuir tressé, ainsi que d’un bandeau…

(A suivre …)

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