Un Samedi De Shopping

Suite à l’entretien d'embauche d'olivier, la semaine s'était écoulée rapidement. Nous lui avions fait une proposition, qu'il avait cependant refusé, préférant plutôt un contrat de consultant, ce qui lui laissait plus de flexibilité. Je soupçonnais aussi l’impact de notre relation sur sa décision, lui permettant de rester en proximité sans trop d’engagement, ce qui n’était pas pour me déplaire. Le samedi suivant, j'avais donc prévu un après-midi complet de shopping et m’étais préparée pour la circonstance. Un chemisier blanc classique avec un pantalon taille haute élégant et patte d’éléphant, de couleur marron unicolore, avec des formes amples disposant de poches plissées sur le côté. Je m'apprêtais à partir quand Richard se proposa de venir avec moi ce que je n'avais pas anticipé. Il n'était pas amateur de shopping, mais se montrait toutefois très insistant pour m'accompagner. Depuis quelques jours, il était particulièrement attentionné, multipliant les gestes tendres parfois un peu coquin. Peut-être que notre partie de jambes en l’air au bureau, après-midi suite à l’entretien d’Olivier, avait réveillé sa libido, en tout cas, j'appréciais particulièrement les petites marques d'amour dont il faisait preuve. Nous avions garé ma voiture dans un parking du centre-ville, et j'entraînais mon mari dans une course effrénée parcourant les magasins les uns après les autres. Il prenait part activement à mes recherches, ce qui était quand même étonnant, n'êtant pas un grand fan de ce genre d'activité, mais donnant son avis, et ses recommandations. Nous étions invités le soir même pour une soirée plutôt chic. Il me voulait élégante et époustouflante et voulait que je porte une robe noire pour cet événement. Nous nous rendions dans une boutique de prêt-à-porter dont les collections et les prix était réservés à une certaine élite. Je connaissais bien la patronne, étant devenu au fil des années une très bonne cliente venant régulièrement dans son magasin.

Après de multiples essayages, j'avais flashé sur une robe moulante qui m'allait particulièrement bien, et décidais de la prendre. Je retournais dans la cabine afin de me rhabiller et alors que je finissais de boutonner ma chemise, la porte de la cabine s'ouvrit, Richard entra refermant derrière lui.
- Mais que fais-tu
- Je viens voir si tu as besoin d'aide ma belle.
Il se colla dans mon dos posant sa main sur mon chemisier et commença à me malaxer mes gros seins de manière frénétique, il m'embrassait dans le cou tout en me caressant ma grosse poitrine largement mise en valeur par mon chemisier blanc qui bien que très strict avait un côté très sensuel.
- Voyons Richard ce n'est pas possible, on est dans un magasin, tu ne voudrais quand même pas qu'on se fasse arrêter pour attentat à la pudeur
- Ne t’inquiète pas, j'ai promis à ta copine de ne pas r des bonnes choses juste quelques minutes pour montrer à ma femme au combien je l'aime.
Je le laissais faire, alors qu'il m'embrassait et continuait à me palper mes gros seins. Sa main, c’était glissée entre mes cuisses pour me caresser le vagin de manière sensuelle. Je décidais de me laisser aller, bien qu'essayant de garder le contrôle de la situation. Il continuait à me malaxer toutes les parties érogènes de mon corps, déclenchant en moi une réaction de plaisir vive. Je m’étais abandonnée dans ses bras subissant ses attouchements, juste à l'écoute du plaisir qui montait en moi, alors que la pression de ses mains s'accélérait. Il avait déboutonné quelques boutons du haut de ma chemise et passé ses mains en dessous, afin de m'attr, mes gros seins et de les palper au travers de mon soutien-gorge Lise Charmel. J'étais possédée avec entre mes jambes la pression de sa main gauche alors que sa ma droite malaxait mes gros seins laiteux.
- Je t'avais dit que tu aimerais ça, ma cochonne regarde-toi remuer ton corps, tu es en train de jouir.
- Ohhhhhh Richard ohhhhh, tu me rends folle, arrête s'il te plaît, tu vas me faire jouir ohhhhh ouuiiiiiiii
- T'inquiètes pas ma belle, je t'ai prévu un après-midi mémorable, j'ai bien l'intention de te regarder jouir avant de rentrer à la maison.

- Mais qu'as-tu encore en tête ?
Il me lâcha enfin sans répondre à ma question m’embrassant avec gourmandise, plongeant sa langue dans ma bouche et sorti de la cabine pour régler mes achats. Je venais à l'instant de comprendre son intérêt soudain pour le shopping, essayant de deviner quel fantasme, il allait encore me faire vivre. On sortit enfin du magasin sous le sourire approbateur de la patronne, et après avoir choisi les chaussures idéales assorties à ma robe nous nous rendions dans un club privé donc Richard était adhérent afin de nous reposer, nous rafraîchir. Il commanda 2 coupes de champagne.
- Je pense que je vais adorer le shopping, tu avais raison ta boutique de prêt-à-porter est vraiment fantastique.
- Tu es vraiment incorrigible, on a failli se faire remarquer.
- Mais non ne t'inquiète pas, j'avais prévenu ton amie, elle a trouvé ça très romantique.
- Il n’empêche qu'on aura eu l’air malin avec une plainte pour exhibitionnisme.
- J’aurais bien négocié l’amende, je suis sûr qu’ils auraient été sensibles à un paiement en nature.
- Richard !!!! Bien excuse moi quelques minutes, je dois aller aux toilettes
- Tu sais ce que j’aimerais que tu fasses ? Fais-moi un appel facetime, que je puisse profiter du spectacle.
- Richard !!!!!
Je me levais pour me rendre aux toilettes pour femme et m’installais dans une cabine. J’avais baissé mon pantalon, quand mon téléphone sonna. C’était un appel vidéo de Richard. Je décrochais, parlant à voix basse. Il avait mis son oreillette et me regardait en souriant.
- Alors ma belle, si tu me donnais un bel angle
- Ohhh Richard, s’il te plaît !!!!
- Fais-moi un show ma belle, caresse-toi, excite moi…
J’avais ma main droite entre mes cuisses, me caressant l’entre-jambe, alors que de ma main gauche, je me pétrissais mes gros seins au travers de mon chemisier blanc. Je soupirais et gémissais en même temps sous la pression de mes caresses, accélérant ma masturbation alors que mon mari me regardait au travers de son téléphone, profitant du spectacle.
Il me demanda de passer la main sous mon chemisier, libérant ma poitrine tout en continuant à me malaxer.
- Doigte-toi ma belle, et raconte moi.
- Ohhhhh, c’est trop bon, je me doigte, je vais venir, je suis en train de jouir.
- Oui continue ma salope fais toi jouir, tu es trop belle quand tu jouis, continue à te caresser tes grosses mamelles…
Je me faisais jouir, dans cette petite cabine, finissant de me masturber, m’écroulant sur cette cuvette, sous la pression de mes mains…
- Bien et maintenant que tu as terminé, reprends ton souffle et rhabille toi, on va faire un petit crochet avant de rentrer afin que je récupère un dossier
Je ne posais pas de question, de peur d'entendre la réponse, mais je me doutais bien qu’il eût sûrement quelque chose d'autre en tête. Une fois la coupe de champagne terminé, nous sortions du club, et je suivais Richard qui se dirigeait vers la vieille ville afin de récupérer ce soi-disant dossier. Il s'arrêta devant une maison qui était en délabrement total, et m'invita à le suivre. Il n'y avait pas d'ascenseur, et empruntions les escaliers afin d’accéder au 3eme étage avant de toquer à la porte.
- Et qui habite ici Richard, c'est un de nos collaborateurs ?
- C'est une surprise ma chérie.
Il ouvrit la porte rentra dans l'appartement et m'invita à le suivre. Nous pénétrions dans un petit salon obscur, alors que la porte se refermait derrière moi, me faisant par là même sursauter. J'étais en train de me retourner, quand 2 hommes se collèrent à moi, le premier, m'attrapant par les bras qu'il saisit fermement alors que le second plaqua sa main sur ma bouche afin de m'empêcher de crier. Tous deux étaient masqués afin de conserver leur anonymat.
- Voilà ma chérie, je t'avais promis un après-midi riche en surprises, tu vas maintenant être bien docile avec mes 2 amis. Dis-toi que tu es en quelque sorte leurs primes de performances.
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm,
- Messieurs, elle est à vous, ne traînez pas trop, nous n'avons que 30 minutes.
Et n'oubliez pas tout ce que vous voulez sauf son petit trou
- Richard, vous êtes définitivement le meilleur pour motiver vos équipes. Maintenant patronne si on s'occupait un petit peu de ces belles formes de bourgeoise plantureuse.
Nous étions toutes les 3, debout dans le centre de la pièce, alors que Richard s'était installé dans un fauteuil afin de nous observer. Les 2 hommes baladaient leurs mains sur mon corps qui venait de leur être offert par mon mari. Il continuait à me bâillonner pour éviter que mes protestations ameutent le voisinage. J'avais une main entre les cuisses qui me frictionnait énergiquement mon vagin, une autre main qui jouait avec mes mamelles laiteuses, et une 3eme qui me caressait les fesses. Je m'abandonnais aux mains de mes violeurs, alors que mon mari me regardait me faire malmener par ces 2 hommes dont j'ignorais l'identité. J'allais donc être détroussée dans ce petit appartement de centre-ville minable sous les yeux consentants et machiavéliques de mon mari qui avait tout planifié. Leurs caresses s’intensifiaient stimulant toutes les parties sensibles de mon corps qui commençait à réagir à cette attaque sensuelle. La langue d'un des 2 hommes vint remplacer sa main dans un baiser gourmand dont je ressentais toute la perversité entre mes lèvres. Richard leur donnait des instructions, qu’ils suivaient à la lettre.
- Malaxez-lui ses deux gros nichons, ça l'excite de se faire palper comme une grosse vache.
- C'est vrai que ça a l'air de lui faire de l'effet, elle gigote de bonheur. Ça ne vous embête pas si on lui dit des trucs un peu cochons ?
- Non au contraire et en plus elle adore ça de se faire traiter comme une grosse cochonne. Dis-leur ma chérie que tu aimes bien te faire insulter. Confirme que tu es une cochonne.
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm,
- Je ne comprends pas ce que tu dis, ma belle, hoche la tête pour dire que tu es d'accord.
Il m’avait à nouveau re bâillonnée avec sa main m’empêchant de parler. Je hochais donc la tête positivement afin de montrer mon consentement à mon époux. Ils continuèrent à jouer avec mon corps debout dans cette pièce pendant une dizaine de minutes avant que Richard leur demande de m'asseoir sur le canapé qui se trouvait en face de lui. Ils m'avaient poussé au milieu du canapé et s'étaient installés de chaque côté, bloquant mes jambes et mes bras qu’ils gardaient coincés fermement. J'étais écartelée, ouverte, disponible et offerte, face à mon mari qui me regardait tout en sirotant une coupe de champagne. L'homme de gauche s'occupait de mes seins, alors que celui de droite s'attaquait à mon entrejambe. Alternativement, ils m'embrassaient chacun leur tour de manière gourmande et animal. Je subissais leurs caresses bestiales, alors qu'ils avaient déboutonné le haut de mon chemisier afin de libérer ma poitrine voluptueuse toujours protégé par mon soutien-gorge. Ils descendirent le zip de mon pantalon qui se trouvait sur ma hanche, afin de libérer également l'accès à ma culotte, dernier rempart entre eux et mon vagin en feu. Une main plongea dans ma culotte prenant pleinement ma chatte qui était toute humide alors que l'homme de droite avait libéré mes gros seins de mon soutien-gorge qu’il tétait avec gourmandise.
- Ils vont s'amuser avec tes belles formes pulpeuses jusqu'à ce que tu jouisses entre leurs doigts. Tu vas être leur jouet, leur poupée sexuelle, je peux voir dans tes yeux que tu aimes ça. Caresse-lui ses grosses miches, et toi, mets lui un doigt dans sa chatte baveuse.
- Regarde-la comme elle gigote, elle adore ça se faire tripoter la bourgeoise.
- C'est vrai que tu aimes ça ma belle. On savait que tu étais une vraie nymphomane, mais franchement, tu dépasses tous nos fantasmes les plus fous.
Je sentais les doigts de l'homme qui se trouvait sur ma gauche me pénétrer et me doigter de manière hystérique. Il alternait les caresses avec un doigt ou avec 2, jouant avec mon entrejambe comme avec un instrument de musique, adaptant ses palpations au rythme de mes réactions orgasmiques. Mon corps venait au-devant de ses caresses alors que je ressentais également les mains-fortes de l'autre homme qui malaxait mes gros seins, tantôt tirant sur mes tétons, ou palpant mes grosses miches, ce qui accentuait encore plus mon excitation. Je bougeais mon corps de la gauche vers la droite, de l'avant vers l'arrière, répondant à leurs attaques simultanées et tout cela sous le regard complaisant et excité de mon mari qui me scrutait en souriant.
- Tu vois ma chérie dans la vie tout a un prix, les petites tâches de mayonnaise et les grands stratagèmes doivent toujours se rembourser, donc quitte à ce que tu te fasses défoncer, autant que j'en profite.
- De quoi parles-tu ? Richard s'il te plaît, tu sais bien que je t'aime et que jamais je te tromperai
- Ce n'est pourtant pas ce que les tâches sur tes vêtements que je retrouve régulièrement me dises alors maintenant fais-toi baiser par ces mecs et si tu fais une belle prestation, ce sera à mon tour ce soir.
Il m'avait donc démasqué, et découvert mon adultère. J'allais devoir le laisser accomplir tous ses fantasmes au risque de le voir partir à tout jamais, ce qui au-delà de l'aspect confortable des choses, je ne pouvais envisager, étant toujours amoureuse de mon mari, malgré mes nombreux amants. Je m'abandonnais donc dans les bras de ces 2 violeurs les laissant utiliser mon corps offert comme ils voulaient sachant que cela me conduirait ment à plusieurs orgasmes. Alors que le premier continuait à me faire jouir avec ses doigts, le deuxième s'était relevé, libérant son sexe qu’il poussa dans ma bouche. Je le suçais, ou plutôt lui laissais faire coulisser son sexe entre mes lèvres. Il me tenait par les cheveux et le menton afin de maintenir ma bouche ouverte accélérant les va-et-vient de son gros sexe, qu’il enfonçait au fond de ma gorge.
- C'est une vraie gourmande ta bonne femme, elle adore ma bite.
Le second se relevait également pour rejoindre son camarade, avec lequel il partagea mes lèvres pulpeuses. Il maintenait toujours mes bras écartelés sur le canapé immobilisés par leurs genoux. J'étais à leur merci, reléguée au statut d'objet de désir, offerte et disponible.
- Quelle suceuse cette belle oie, j'avais entendu parler de ses qualités buccales, j'étais loin de m'imaginer que c'était une experte de la fellation
- Oui en effet la meilleure bouche de pipeuse dans laquelle j'ai pu tremper ma grosse bite
- C'est une vraie petite butineuse cette cochonne, tu ne veux pas profiter aussi de la marchandise.
- Non, continuez-moi, je me la garde pour ce soir avec ce qu’elle m’a coûté en shopping aujourd'hui, je vais me faire un plaisir de me vider sur sa nouvelle robe noire dépêchez-vous de la finir, il va falloir qu'elle se prépare pour notre dîner.
Je m'appliquais à les sucer pendant quelques minutes avant qu’ils me basculent sur le canapé. Couchée sur le flanc, j'avais le visage plaqué sur le sexe du premier homme alors que le second me baissait mon pantalon à mi-cuisse écartant mon Tanga pour me pénétrer ma croupe généreuse. Il poussa son sexe en moi d'un coup sec me tenant fermement par la dentelle de ma culotte élégante. Je n’eus pas le temps de protester, car le sexe de l’autre homme retourna entre mes lèvres tout en me tenant par les cheveux afin que je ne puisse échapper au viol de ma bouche. Ils étaient comme des animaux, des prédateurs affamés, des homme frustrés qui pouvaient enfin profiter et réaliser leurs fantasmes : baiser la patronne bourgeoise et arrogante que j'étais. Ils se déchaînèrent sur mon corps pendant plusieurs minutes changeant régulièrement de position jouant soit avec ma bouche soit avec mon vagin tout en commentant à haute voix la qualité de ma prestation.
- Ohh qu'est-ce qu'elle est bonne, c'est vraiment la meilleure des pipeuses
- Et ce gros cul, je n'ai jamais baisé une croupe aussi appétissante
- Profitez-en bien si vous voulez encore la posséder, il va falloir doubler votre chiffre d'affaires.
Bien que honteuse que mon mari est découvert mon adultère, je gémissais de plaisir, abusée par ces deux hommes, qui m’utilisaient comme un vulgaire objet. Je sentais toutefois que leur plaisir arrivé à son terme. Ils se redressèrent, retirant leurs préservatifs et continuaient à se masturber devant mon visage. Ils giclèrent quasiment en même temps me recouvrant le corps de leurs spermes chauds. Une fois vidés, ils poussèrent à nouveau leur sexe dans ma bouche afin que je nettoie leurs membres de toutes traces blanchâtres. Sans dire un mot, ils sortirent de la pièce me laissant seule avec mon mari. Je m'étais écroulée sur le canapé, honteuse, craignant une réaction de sa part. Il s'approcha de moi, me relevant, et m'embrassa avec passion. Sa langue plongée en moi et je répondais de manière hystérique à son baiser l'embrassant avec passion. Il plongea sa main dans mon décolleté profitant de ma poitrine encore libre et recouverte de sperme, avec laquelle il joua avec délectation. Il continua cette caresse pendant quelques minutes avant de se redresser pour me rhabiller et me reboutonner mon chemisier.
- Je sais que je n'ai pas été très présent pendant cette année et que je t'ai délaissé, mais sache que je suis profondément amoureux de toi alors si tu veux continuer à prendre des amants, tu dois être honnête et franche et me dire la vérité.
- Richard, tu es et tu as toujours été l'homme de ma vie, je te promets à partir de maintenant que je te dirai toute la vérité.
- Parfait rentrons maintenant à la maison, tu dois te préparer, je veux que tu sois magnifique pour notre soirée, car je t'ai promis de souiller ton merveilleux corps de mâture et ta robe de bourgeoise.

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