Un Beau Pere Autoritaire

- Restez un peu élise je voudrais vous parler sérieusement
- Ha ? et de quoi Élodie
- Voici six mois que vous avez épousé Adrien et je peux vous avouer que pour moi vous êtes un véritable rayon de soleil qui est entré dans cette maison
- Ça me flatte et je vous en remercie belle mère !
- Ce qui me chagrine quelque part, c’est Franck, votre beau père, il a l’air bourru comme ça mais c’est un vrai protecteur de la famille, trop protecteur …
- Je l’avais déjà remarqué, il lui arrive d’arriver à l’improviste chez nous, mais ça ne me gêne pas plus que ça
- Vous ne savez pas tout …vous devriez trouver une maison loin d’ici afin de préserver votre intimité de couple
- Sans doute plus tard lorsque Lucas aura trouvé un emploi stable
- Il sera trop tard …soyez vigilante élise …autre chose, n’étendez plus votre petit linge sur l’étendoir commun, faites sécher chez vous vos dessous affriolants que je trouve magnifiques du reste !
- C’est à ce point-là ? je vous remercie de vos conseils Élodie, je vais y repenser, a demain ?
- Attend, je n’ai pas fini... depuis des générations les hommes de cette famille d’aristocrates ont la main mise sur les femmes de la famille, une sorte de droit de cuissage, Adrien est fils unique comme l’était mon mari et son père, et son père avant lui a croire que ces hommes ne savent faire que des garçons uniques, un jour je suis entrée sans crier gare dans la buanderie qui servait de salle d’eau, là un spectacle inattendu s’est présenté a moi je suis restée de cire devant la bonne de la maison, a genoux, longue jupe relevée sur les reins et derrière mon beau père la troussait allégrement
- NOOONN ?
- SI ! il m’a fusillée du regard, ce qui m’a fait réagir et partir en courant à l’autre bout du bâtiment, mais hélas il m’a retrouvée très vite, je me souviendrais toujours de sa cravache qui cinglait sa botte en cuir, a l’époque il se déplaçait toujours a cheval, il m’a dit ….

– Relève ta jupe, ôte ta culotte et a quatre pattes, je vais te faire voir ce qui arrive aux femelles trop curieuses, comme je tardais à obéir il a levé sa cravache et m’a cinglé vigoureusement les fesses, - ‘dépêche-toi sinon je te zèbre une joue a jamais’ !
- Vous avez obtempéré ?
- Que voulais tu que je fasse d’autre pour ne pas être défigurée ? il m’a emmanchée brutalement sa grosse et longue verge dans mon vagin étroit, je me suis mordue les lèvres afin de ne pas lui montrer ma jouissance
- Vous avez pris du plaisir ?
- Difficile de résister à un tel membre qui vous laboure les entrailles
- Il vous a laissée tranquille par la suite ?
- Penses-tu, une fois par semaines le même rituel avec sa cravache menaçante, toujours en levrette afin de ne pas avoir à supporter mon regard, et je suis tombée enceinte d’Adrien, mon mari qui entre parenthèse possède aussi un gros membre, savait que son père me baisait, mais l’affaire a été étouffée, ça n’a pas fait de vagues …je n’ai jamais osé faire un test de paternité



C’est le lendemain que j’ai commencé à me rendre compte de la véracité des dires de ma belle mère lorsque j’ai pris un bain de soleil, nue sur une couverture, dans les hautes herbes de l’ancienne ferme, me croyant a l’abri de tous regards indiscrets
Indécemment ouverte aux rayons de soleils je me faisais bronzer les seins et l’entrejambe pour contrer Adrien qui fait un véritable culte de la peau blanche ! soudain il m’a semblé entendre un froissement d’herbe, je me suis relevée pour voir ce qui provoquait ce bruit, je suis tombée nez a nez avec Franck, immédiatement avec mes mains et mon avant bras je dissimule du mieux que je peux ma poitrine et mon buisson blond, il me fixe d’un air dédaigneux, il fouette sa jambière de pantalon avec une badine d’osier… ça me rappelle immédiatement la cravache de son père…

- Je me doutais bien que la femelle de la ville que mon fils a épousée était une perverse avec ses slips de pute
- Je ne vous permets pas !! vous êtes un gougeât mon beau père !
- Qui est tu pour oser me parler ainsi ?
- Partez ! laisser moi tranquille !
- A GENOUX SALOPE ! sinon je te single les seins avec cette badine
- Vous n’oseriez pas ?
- Tu me mets au défit ? écarte tes bras sinon …

L’homme souffle tel un taureau, il va mettre sa menace a exécution alors, comme ma belle mère avec son beau père je cède …je bombe le torse pour lui dévoiler fièrement mes seins arrogants, il avance d’un pas en déboutonnant nerveusement sa braguette, il enfonce sa main et farfouille un bref instant … il en extrait un manche hors normes et raide qui se redresse encore par à-coups

- Tu va sucer ça pour commencer

Les paroles de ma belle mère tintent dans ma tête …- ‘ difficile de ne pas éprouver de plaisir avec un tel membre ‘ .
.. apparemment mon mari n’as pas hérité de cette ‘spécialité’ de famille… d’un coup je suis moins rebutée, de toutes façon si je ne coopère pas j’y passerais quand même, je tends la main vers ce sceptre animé et noueux à souhait

- Voilà qui est bien, avale et tète ce nœud royal, pelote mes couilles en même temps
- Oui Franck, je vais avaler votre foutre divin, hélas vu son importance je ne peux que sucer le gland
- Ça ira, décalotte moi à fond et branle énergiquement ma hampe
- Oui Franck …..mmmuuuuuummmmmmmmmmmm
- Hhhhaaaaaaaaa va-y c’est bbbooooooonnnnnnnnnnn !!!! petite dévergondée je vais te défoncer le connin
- Huuuuummmm-huuuuuummmmmmmm !!!!

Sans prévenir il éjacule une quantité incroyable de foutre, le surplus que je n’arrive pas à ingurgiter coule en cascade entre mes seins

- A présent tourne toi et présente-moi ta croupe salope
- Pas question !
- QUOI ? tu refuse ??
- Non, mais vous allez me baiser les yeux dans les yeux, fini les privilèges de baron déchu ! je veux voir votre membre disparaitre dans ma chattoune, ensuite je nouerais mes jambes et mes bras autour de votre corps tandis que vous moulerez gentiment mon étui vaginal a la dimension de votre bite de cheval
- De la rébellion ? j’aime ça, tu commence à me plaire toi
- Ce ne serais pas plutôt ça qui vous émeut ?
- Chienne tu t’écarte la moule pour me séduire ? soit … va-y ouvre encore ? cambre bien tes reins … putain quelle mouille abondante ! t’as une chatte de petite fille
- Lèche moi Franck, vient a genoux entre mes cuisses, prend appuis sur tes mains je vais guider ta bouche là où il faut
- Oui ma chérie je me laisse faire …

J’avais gagné ! j’ai fais de ce ‘monstre a deux balles’ un toutou qui me lèche la main, ou plutôt la chatte ! il lape de mieux en mieux avec de plus en plus de précision, je me cambre en lâchant une fusée de jus dans sa bouche, mon beau père a eu un instant d’hésitation partagé entre dégout et excitation avant de se re-ventouser a mon con
Il m’arrache des orgasmes exceptionnels, je me tords comme un ver pour échapper a cette douce qui devient exaspérante

- Alors ? que penses-tu de ce broutage de motte ?
- Tu cache bien ton jeu, en fait tu es un expert en cuni !
- Je n’ai jamais bouffé le cul à ta belle-mère, prête pour un tour de manège ?
- Vient sur moi, je vais mettre moi-même ta queue dans ma cavité baveuse
- Je te préviens qu’a partir de maintenant je te baiserais une fois par semaine, même devant mon fils s’il le faut, je lui parlerais ce soir …
- Pourvus que je sois défoncée comme une reine je me moque bien de ce pensera mon mari …va-y pousse, j’ai posé ton gland entre mes lèvres ….
Hhooooooo ! c’est grooooooos ! doucement … Ooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii ! ho-ho-ho-ha-ha-ha-ha …
- J’ai l’impression de m’enfoncer dans un étau, je touche déjà le fond,
- Il en reste beaucoup dehors ?
- Huit bons centimètres
- Ressort un peu et enfonce-toi plus fort
- Ça fait un bruit de piston …
- C’est ma mouille qui suinte, que c’est booooooooonnnnnnnnnn ! ça frotte partout là où il faut

Par à-coups brefs mais puissants petit à petit il m’enfonce la totalité de sa trique, je suis soulagée lorsque nos toisons se mêlent, collé a moi il reste enfin immobile faisant virevolter son gland au fond de mon corridor étiré a l’extrême, c’est l’explosion lorsque son foutre fouette mon utérus, a ce moment là que je me souviens vaguement avoir arrêté mon contraceptif …, un rapide calcul mental pour confirmer que je suis en pleine ovulation …expédiés sous pression ses spermatozoïdes n’auront pas beaucoup a nager pour féconder mon œuf …redescendue sur terre, essoufflés l’un et l’autre il pèse sur moi, son sexe recommence a bouger sans avoir dégonflé d’un pouce

- Franck ?
- Oui chérie ? ça va ?
- Merveilleusement ! je crois que tu va être papa !
- QUOI ?
- Je n’ai jamais ressentie un tel bienêtre en faisant l’amour, tu m’as fait un !
- Merde alors ! j’espère que ce sera un garçon !
- Pour qu’il perpétue votre perversité envers les femmes ?
- Pourquoi pas ?
- Certainement pas ! ce sera une fille très douce comme sa mère !
- Si tu es enceinte nous partirons tous les deux très loin
- Au soleil ? ainsi je pourrais faire bronzer ma motte toute l’année !
- Salope ! tu continueras à m’exciter !
- Pour que tu me baise devant la terre entière
- Pour commencer se sera devant ma femme et mon fils
- Tu seras toujours aussi pervers ?
- C’est bien ce que tu aine non ????? n’oublie pas de mettre des dessous affriolants comme ceux que vois sécher

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