Weekend De Débauche Aux Halles - Chapitre 2 -

« Et toi mec, t’es marié ? » m’interpelle Karim qui fait relever les yeux à Alex, qui semble curieux de ma réponse.
« Oh ben moi… ! Mais, non ! C’qui est sûr c’est que j’suis pas marié ! ». J’avais répondu en regardant Alex avec un sourire légèrement lubrique tout en recommençant à tripoter sa RoshRun.
« Et t’as une meuf ? Parc’que toi pour le coup, t’as un bon spot pour pécho ici… ! »
« C’est… comment dire… compliqué… Disons que j’ai pas de meuf, …et que mon mec est pas là ! » accélérant la fin de ma phrase. Comme pour leur faire avaler la pilule plus vite. « J’espère qu’ça vous choque ou qu’ça vous dégoute pas, je veux pas que vous le preniez mal… » avec un ton presque larmoyant, ayant pour but de leur rappeler que je leur avait proposé mon calice sans préjugés.
En gros, ça faisait bien triper Karim, qui « n’avait jamais rencontré » de pd. Alexandre semblait moins surpris. On avait rejoint la fenêtre histoire de starter un spliff bien mérité. Un peu de THC pour les remettre du fait qu’ils étaient dans la chambre d’hôtel d’un inconnu, homo, et de presque 10 ans leur ainé. Quelques lattes pour moi qui étais arrivé à ramener et à garder dans ma chambre deux jeunes hétéros, même si la pluie m’avait aidé à les convaincre de rester.
Alex aspirait longuement sur le joint que lui avait fait passé Karim. Assis sur le bord du lit, je rêvais juste de prendre mon iphone pour immortaliser le spectacle. Un beau métis au trois quarts de profile, dont la position de fumeur accoudé à la fenêtre lui faisait cambrer le dos de telle sorte que son t-shirt blanc laissait contraster un bout de sa peau lisse et tendre. C’était dur de quitter du regard ce cul bombé, parfaitement moulé dans son boxer, qui disparaissait dans ce jeans que je rêvais d’arracher. A sa gauche, Karim s’était tourné et me faisais face, les deux coudes en arrière, appuyés sur le rebord. Son entrejambe pointait vers moi formant une légère bosse dans son Nike Performance du PSG bien moulant qui descendait jusqu’à enserrer ses mollets, mais suffisamment court pour s’arrêter aux chevilles dont la peau dorée tranche avec ses chaussettes blanches bien remontées, qui macèrent toujours dans ses AirMax qu’il n’avait pas ôter.

Il n’a pas mis longtemps à griller mes regards mal placés entre torse, cul, chaussettes ou boxer pour enchainer :
« Alors tu kifes des trucs chelous de pd ? Genre le boule de mon couz ? » dit-il en pelotant vite fait un lobe d’Alex qui fumait tranquille.
« Vas-y, t’es vraiment relou sale puceau. » enquilla Alex en se lançant dans des explications philosophico-métaphysiques qui aboutirent au vieux dicton de tout mec en manque « un trou est un trou et une bite n’a pas d’œil. »  Mais en ajoutant que chacun pouvait avoir ses trips et « qu’on s’en fout, tant que ça reste scred ! »
« Ben oim t’oublies… Y’a pas moyen que je pompe une teub ou que j’me fasse mettre, sérieux t’imagine frère ?! … » se rassure Karim en regardant Alex, qui lui me fixait avec un air qui commençait à sembler joueur.
« T’inquiète mec, moi non plus ! Mais t’as aussi des gros besoins, et tu kifes te faire pépon, non ? ... » enchaine Alex qui me faisait maintenant également face et qui tenait sa main gauche sur sa hanche, le pouce à l’intérieur de l’élastique de son boxer, les doigts appuyant subrepticement sur les boutons de son jeans qui semblaient cacher une forme génreuse. Karim semblait enfin comprendre les avantages qu’il pourrait tirer de cet abri plutôt accueillant en ce dimanche pluvieux.
« Et tu kifes faire quoi toi ? » me demande-t-il narquois, en se posant sur le petit canapé juste sur sa droite. Malgré ses paupières plissées par la fumette et ses yeux injectés, son regard arrogant de jeunesse m’envoyait des étincelles qui faisaient sursauter mon membre. Tout cet érotisme éblouissait tellement mon cerveau que je ne bandais toujours pas. Il fallait que je cesse de fantasmer pour me livrer, physiquement, à la réalité et au moment. Et ainsi faire partie de ce que ces deux jeunes en pleine création de leurs identités propres appelleront un jour « leur expérience ».
« Ben mon kiff, c’est de donner du kiff… »

« Genre ? »
« Genre faire des massages, laisser mon mec se laisser aller er s’abandonner à mes mains… à ma bouche… Et le laisser me dire stop ou encore » dit-je en essayant d’être langoureux, mais pas comme une vielle pédale de chez Michou.
J’avais rebranché mon laptop sur PornHub et envoyé un film avec trois blackos sur une blondasse qui réclamait du sperme et m’étais laisser glisser par terre, assis en indien, le dos contre le lit et la cuisse gauche contre le pied droit de Karim qui était affalé les jambes écartées dont l’une allongée vers moi. Alexandre s’était approché, toujours debout. Il me dominait de sa stature, la taille juste à hauteur de mon regard. La bouche entrouverte de désir, je passe furtivement ma langue sur mes lèvres comme un signal de bonne volonté à mes deux mâles et je commence à masser de la main gauche le mollet de Karim. Il est sec et dur, je remonte un peu plus son survêt et découvre le contact de sa peau douce comme du caramel. Je m’avance un peu et caresse de la main droite le pied d’Alex à travers sa chaussette plus grise que blanche sous le dessous. Le silence s’installe, l’atmosphère se charge d’une moiteur sexuelle tendis que je me penche pour embrasser la cheville de Karim du bout des lèvres. Je remontai ma main sous son genou et effleurai du dos des doigts sa cuisse relâchée mais parfaitement ferme. Pour plus d’aisance je m’accroupis pour mieux enlever les skets de Karim et plonger mes narines sur ses chaussettes propres mais fumantes. Un mélange de la lessive de maman et de sa sueur de mec m’électrisa les sens. Entrant dans la peau d’une bonne lope soumise, je lève les yeux vers Alex, qui avait allumé le second pétard et ne se gênait plus pour masser son engin avec le regard du lover qui a conquis sa proie.
Il avait ouvert sa ceinture et défait d’un geste viril les premiers boutons de sa braguette pour laisser apparaitre un bout de son épais sexe d’antillais, qui, vu comme il le malaxait, était loin d’avoir atteint sa taille invincible. Alex me tendit le pétard en toussant et je profitais d’être relevé pour passer ma main sur l’entrecuisse de Karim. Il me fixait. Je me suis approché de sa bouche. J’ai retourné le pet et l’ai embouché avant de coller mes lèvres aux siennes pour lui envoyer une énorme soufflète.
Il se redresse dans une toux mêlée de rires. Il se check avec Alexandre. J’en profitai pour saisir le bas de son maillot tout en caressant chacune de ses hanches et le relever. Il se laissa faire en levant les bras et me laissait ainsi découvrir son torse hallucinant de perfection. Doré, imberbe, sculpté des pecs au 6-pack, avec toute la douceur de sa fraiche majorité. Je l’enlaçai et le couvris de tendres baisers, remontant le vallonnement de ses abdos, baladant ma langue le long de ses côtes jusqu’à ses aisselles touffues, aspirant à tour de rôle chacun de ses tétons. Je l’embrassais dans le cou, totalement enivré par son odeur de déo bon marché et son odeur naturel de gros producteur d’hormones. Je sentais sa bite durcir sous mon torse tendis que je titillais ses oreilles jusqu’à me jeter sur ses lèvres pulpeuses et humides, ne trouvant que peu de résistance pour faufiler ma langue dans sa bouche entrouverte, sans doute l’effet de surprise alliée au fait qu’il était surement curieux de gagner l’expérience d’une vraie bonne pelle. Ne voulant pas r, je me suis tourné vers Alexandre. Il était athlétique, beau, sa peau était lisse comme celle d’un bébé. Il me fit un signe de tête en tenant toujours sa queue à travers son boxer.
« Tu la veux, hein ? »
J’ai laissé Karim, tout en gardant une main sur son paquet qui avait bien grossi et me tournai vers le boxer du métis qui moulait si bien ses hanches finement découpées. Je passais et repassais ma main dessus, avança mon visage et l’embrassa à travers le tissu soyeux. Je frottais mon nez et sentais ses poils crépus dont je voyais remonter la trace jusqu’à son nombril. Mes narines me transportaient dans un vestiaire de foot à la troisième mi-temps. Je caressais des deux mains ses cuisses et ses fesses musclées, j’agrippai l’élastique à l’arrière de son boxer et découvrais ses fesses dont je ne pouvais profiter qu’en les touchant. Elles étaient athlétiques, fermes. Mais pulpeuses. Je sentais une ligne de poils au creux de ses lobes mais les abandonnais pour baisser l’avant de son boxer.


Je le baissais, le baissais encore, dévoilant toujours plus d’une tige ébène pourtant encore qu’à moitié dure. Enfin jaillit sous mes yeux ces 15cm de chair en semi-érection laissant apparaitre le bout d’un gland plus clair que le reste de sa queue. Ses poils noirs clairsemés sur sa peau plus claire formaient des petites touffes drues dans laquelle j’enfonçais mon nez. Je léchais doucement sa hampe frémissante, la relevai vers son nombril et le léchais encore des couilles au gland en le regardant dans les yeux comme un affamé. Je le décalottai lentement, admirant son gland qui se découvrait à mesure du mouvement que j’imprimais à sa hampe, profitant des nouvelles odeurs de mâle qui s’en dégageait. Il n’était pas sale du tout, juste un peu de transpiration et quelques gouttes de pisse renfermée depuis le matin dans son boxer. Je reculais un peu la tête pour admirer, dans la perspective de ses abdos et de son petit sourire de beau gosse qui ne s’en rend pas compte, son morceau qui atteignait maintenant bien les 18 ou 20cm. Enfin je me jetais sur cette bite puissante et commençais à rouler ma langue autours de son gland. Je sentais le diamètre de sa queue gonfler et l’enfournais entièrement avant que cela ne devienne impossible. Sa queue se tordait dans ma bouche remplie et je m’agrippais à ses fesses rebondies pour atteindre sa toison pubienne avec mon nez et mes lèvres. Je relâchais mon étreinte et profitais de la salive restée sur sa queue pour entamer de la main un mouvement de vas et viens à sa base, prolongeant ce mouvement de ma bouche sur son gland.
Il soupirait et m’encourageait de « Mmmm c’est bon ça » et de « Putain tu suces trop bien » plus tendres que dominateurs qui me donnaient encore plus envie de lui offrir la meilleure pipe de son histoire. Il me tenait les cheveux comme s’il kifait de toucher leur consistance et commençait à me dicter le rythme de son plaisir, qui prenait de l’ampleur. Totalement soumis à ses envies, je pompais bruyamment sa queue en lâchant également des soupirs d’encouragement et de satisfaction.
Karim, qui avait fini le bédo, avait sorti sa bite de son survêt et se branlait doucement en assistant à la scène. Elle était plus fine et moins longue que celle d’Alexandre, je dirais 20 x 5cm, mais parfaitement proportionnée et parfaitement droite. Son gland circoncit perlait d’un peu de pré-cum presque transparent. Continuant ma branle humide sur les 23cm d’Alex, je me tourne vers Karim et engloutis sa queue direct. J’allais et venais sur cette queue en l’enfonçant à chaque fois au plus profond de ma gorge, me faisant monter des larmes. Sa respiration se faisait de plus en plus saccadée et alors qu’Alex avait récupérer sa queue pour se branler, je m’activais tout entier sur sa bite. Je la ressortais de ma bouche et la tenais devant ma langue et m’infligeait de petites biffles avant de reprendre sa bite en bouche pour encore la pomper. Je transpirais et sentais mon visage rouge. Je voulais ne jamais m’arrêter de contempler et de satisfaire les grosses queues de ces jeunes mecs.
« Putain, je vais che-cra » dit-il en se relevant et en reprenant sa bite en main lui aussi. Je me retrouvais à genou devant ces deux mecs en train de se branler à 20cm de mon visage.
« Ouais, allez… Donnez-moi votre jus… Putain vous êtes trop bien foutus les mecs ! »
Alex enchainait des séries saccadées de 3 ou 4 mouvements de vas et vient en poussant des petits râles qui annonçaient son éjac. Mais c’est Karim qui a envoyé le premier jet. Un gros jet très visqueux et plutôt transparent qui gicla jusque sur mon écran 1 mètre derrière moi. Il a balancé encore 3 jets qui s’étalèrent sur mon front et ma joue, puis dégoulinèrent dans mon cou jusqu’à tacher mon t-shirt. Malgré ma parano caractérielle, j’ai repris sa bite en bouche et en reçus encore deux que j’ai avalé. J’aspirais son gland pour bien nettoyer sa bite et n’ai pas eu le temps de savourer qu’Alex me biffla la joue en me crachant un jet qui m’a inondé l’œil gauche. Il gémissait puissamment et continua de me balancer son jus sur la face. Il soupirait et j’ai aussi avalé sa queue, histoire de bien la nettoyer.
« Putain trop bon ! » dit Karim dans un soupir.
« Grave ! » lui répond Alexandre. « Je t’avais dit que t’allait kifer ta race. »

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