La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°797)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°796) –

Une bonne heure plus tard, je fus détachée et Walter m’ordonna de me rhabiller. Les routiers partirent sans plus me regarder, lâchant encore quelques insultes à mon égard et remerciant chaleureusement Walter. Le Majordome m’emmena au snack-bar et m’offrit un bon repas, payé par la cagnotte de l’urne, par l’argent des routiers ! Walter me lança avec ironie :

- Et mange bien, tu l’a bien mérité, chienne salope ! Tient, je te laisse le reste de l’argent que tu as gagné, la pute, il y a largement de quoi payer tes frais de route…

A la fin du repas, il me quitta et m’ordonna de reprendre prudemment la route. Je le vis monter dans la voiture de sport et démarrer rapidement. Je me retrouvais donc de nouveau seule et repris l’autoroute tranquillement en me ressassant cette aventure dans cette aire de repos. La route est encore longue pour arriver en Bretagne et au bout de 2 h, je m’arrêtais de nouveau afin de marquer une nouvelle pause car j’avoue être bien fatiguée. La route mais aussi m’être donnée totalement à ces routiers m’avaient exténué. Sur le parking de l’aire de repos, je me gare à l’ombre d’un grand platane et je verrouille ma voiture de l’intérieur afin de faire un petit somme, ô combien réparateur. Je baisse légèrement mon siège et m’assoupis rapidement, la fatigue aidant. Et dans mon songe profond, je me mis à rêver à ceci (rêve sublime que je me souviens parfaitement) :

‘‘Je suis dans une grande pièce au Château et je suis réveillée par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir sa bite pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir car au bout de quelques minutes, il att la chaîne reliée à mon collier, la détache de l’anneau et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le gode planté en moi.

J'arrive dans une autre salle que je ne connais pas encore.. Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un espèce de sarcophage vertical. Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir qu’il me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans pouvoir bouger du tout, prisonnière dans cet espace réduit ou je ne tiens que debout. Walter referme la caisse me laissant ainsi enfermée une dizaine de minutes. Puis j'entends des gens qui commencent à arriver. Manifestement il y a du monde, des voix d'hommes et de femmes, ça rit, ça discute.

Puis je sens une main qui s'insinue dans ma cage par l'un des trous : je comprends alors ce qui va m'arriver ! En quelques minutes, mon corps est pris d'assaut : des mains inconnues me palpent, s'insinuent dans mes moindres recoins sans que je puisse y opposer la plus petite résistance : on me pince les seins, on les tire, on vrille mes tétons, des doigts pénètrent dans ma bouche, puis dans ma chatte, plusieurs doigts venant de plusieurs mains… Je comprends ensuite pourquoi Walter a laissé le gode me dilater aussi longtemps : je sens une main qui tente de s'insérer entière dans mon vagin, par le trou positionné pile en face de mon sexe me forçant à écarter les jambes autant que je le peux pour tenter de faciliter la pénétration, car j'ai bien compris qu'il ne sert à rien de résister, mes mouvements désespérés pour échapper aux pénétrations ne font qu'exciter mes agresseurs.
Je suis trempée tellement cette situation m’excite La main enduite de gel va et vient, s'enfonçant à chaque fois plus profondément. Je gémis comme une petite chienne, le fist me fait peur car je n'y ai jamais goûté auparavant : comme pour mon anus, je suis trop serrée. Enfin on me force un grand coup et je sens la main disparaître en moi puis le poing se fermer dans mes entrailles. Commence alors un va et vient puissant, qui me dilate comme jamais. Je crie, je me cale comme je peux dans le noir de la caisse contre la paroi de bois pour résister aux puissants mouvements. Je sens confusément une autre main qui me branle le clitoris, mais toutes les sensations se mélangent, douleur et plaisir, peur et excitation… Soudain je suis terrassée par une jouissance intense. Celui qui me prend ainsi doit le sentir car la main ralentit puis se retire. Je ne sens plus que la douleur de mes entrailles trop élargies pour leur capacité. Je dégouline, ma mouille me coule le long des jambes, j'ai le souffle court et le cœur qui bat trop fort. Mais on ne me laisse pas de répit : maintenant c'est mon petit trou qui intéresse les explorateurs… Je sens un doigt se poser contre ma rondelle et je devine que ce soir je serai pénétrée par tous mes orifices, que cela me plaise ou pas J'entends des coups de fouet et des cris : manifestement, une autre soumise passe un mauvais quart d'heure.

Des gémissements s'échappent de plusieurs endroits de la grande pièce, je devine que je ne suis pas la seule ce soir dont on s'occupe des orifices… Pendant que je tends l'oreille, un pouce et un majeur s'insèrent en moi, un dans le vagin et un dans mon petit cul, bien serré pourtant. Les deux doigts se serrent ensuite rythmiquement, et je les sens se rejoindre à travers ma fine paroi de peau qui sépare mon vagin de mon anus. Mon excitation qui retombait remonte, surtout qu'une autre main, féminine il me semble vu son toucher, me caresse le clitoris sensuellement, comme pour me faire oublier la morsure de la dilatation causée par le fist.
Je me sens prête à jouir une fois encore mais la caresse merveilleuse s'arrête à ce moment-là, me laissant pantelante et trempée. Puis l'intrus change, à nouveau je sens d'autres doigts me pénétrer la chatte, puis le cul, je suis progressivement dilatée de partout : je sens confusément qu'on m'introduit trois doigts dans l'anus et que ma rondelle commence à en souffrir car elle arrive à ses limites, tout comme mon sexe élargit de force tout à l'heure. Je dois de nouveau sucer 4 ou 5 hommes à tour de rôle par le trou de la caisse placé juste devant ma bouche et encore une fois, je suis e à tout avaler. Enfin la soirée se termine, les visiteurs s'en vont, le calme revient.

La porte de la caisse s'ouvre. Je cligne des yeux et je vois l'heure à une pendule et constate que j'ai passé 3 heures trente dans ma prison-caisse à trous à mettre mes orifices à disposition des visiteurs. Soudain apparaît celui qui m'a ouvert la caisse, Walter Je suis soulagée de le voir, enfin un visage familier dans cette ambiance étrange qui me fait perdre mes repères depuis quelques heures. " Tu es une bonne pute " Me dit-il d’une voix froide. Je ne peux qu'osciller de la tête, j'aurai trop de choses à lui demander, des questions à lui poser… Il me regarde sans broncher, puis me caresse la joue et me dit sur le même ton " j'espère que les amis du Maître te plaisent, tu verras, tu vas découvrir plein de choses avec eux ". Puis il me détache enfin les poignets. Pour le première fois de la soirée, je suis entièrement libre de mes mouvements, ni entravée ni attachée mais pas pour longtemps. Ne sachant pas quoi penser je reste immobile puis on me ramène dans ma cellule. Dix minutes après Walter m'apporte de l'eau, et je suis autorisée à manger, à même mon matelas dans mon cachot de nouveau attachée à la chaîne scellée au mur, le repas qu’on m’a donc apporté et je suis laissé seule. Pendant ce temps les hommes boivent un dernier verre et discutent de la soirée dans le grand salon. Manifestement je suis la seule soumise du château.
Cette grande demeure est vide à part eux 4 et moi. L’autre soumise que j’ai entendu crier a dû venir et repartir avec les invités. J'entends Alexandre parler de moi, j'att quelques mots dans la discussion que je comprends mal. " soumission "… "Double pénétration "… "Dilatation" …" dressage "… Cela suffit à me faire appréhender et à la fois à me faire mouiller, car je me doute bien qu'ils parlent de la suite du programme…’’

Soudain, je suis réveillée par le bruit d’une grosse moto venant se garer à côté de ma voiture. Et je comprends vite que cela ne fut qu’un rêve précis et si délicieux car ce rêve m’a vraiment excitée, constatant que mon bas-ventre est trempé. Le temps de reprendre mes esprits et d’aller boire un bon café au snack-bar et je repris la route… Quand je fus enfin rentrée chez moi, je reçus un mail du Maître. Je ne l’ouvris pas de suite. J’appréciais la sensation que cela faisait naître en moi ! Le cœur, battait plus vite, l’humidité gagnait mon entre cuisses, un sourire immense me fendait le visage, ce sourire qui n’apparaissait que pour Lui, et qu’Il aimait tellement ! Je me décidais enfin à cliquer sur le message.

- Ma chienne adorable, j’ai passé un très bon WE en compagnie d’une sublime petite soumise ! Tu as été parfaite sur l’aire de repos avec les routiers. Walter m’a fait un compte-rendu précis et je suis très fier de toi. Maintenant que Ma petite chienne que tu es, a été admise au sein de Mon Cheptel, j’entends trouver rapidement sa présentation au chenil du Château sur mon site ! Le Maître qui n’aime pas patienter.

A peine, je finissais la lecture de ce mail, que j’en recevais un second :

- Ce week-end n’était pas une vidéo, mais je veux cependant avoir demain matin au plus tard un journal spécial, mais plus spécial qu’habituellement. Je ne veux pas tes ressentis au fur et à mesure des évènements qui se sont déroulés, je veux savoir comment tu te sens, là maintenant, ce soir ! Le Maître.

Ce journal, que le Maître exigeait que j’écrive, me posait un problème… je ne savais absolument pas comment je me sentais, j’étais perdue entre désirs, fantasmes et réalité… la présentation au chenil me parut plus importante pour le moment. Je m’installais donc confortablement à mon bureau, cliquais sur le raccourci qui m’emmenait directement sur le site du Château, et créais avec un bonheur sans borne un nouveau sujet au chenil.

‘‘ Présentation de soumise Marion MDE : Bonjour Monsieur le Marquis d’Evans, Cher Maître Vénéré, bonjour à tous, membres du site, C’est avec beaucoup de bonheur que je franchis le grillage du chenil de ce magnifique Château ! Je suis ici car Le Maître de ces lieux m’a fait l’immense honneur de m’autoriser à porter Ses nobles initiales. Aujourd’hui devant vous tous, je Lui fais officiellement don de mon corps de mon âme, de ma sexualité, et sans contrainte aucune de ma liberté ! Maître Vénéré, faites de moi ce que Vous jugerez bon ! Je Vous promets de Vous obéir en tout, de toujours et à jamais, rechercher Votre unique satisfaction. Je me remets volontairement, totalement à Vous pour mon plus grand bonheur qui sera Votre entière satisfaction ! J’espère mériter à jamais Votre confiance et ne jamais Vous décevoir ! Humblement, Votre chienne soumise à Vos pieds’’

En écrivant cette présentation au chenil, les larmes roulaient silencieusement sur mes joues. Le Maître avait eu assez confiance en moi pour m’honorer de Ses initiales, c’était un magnifique cadeau, et je le ressentais au plus profond de chacune des cellules de mon corps ! Cela avait calmé le tourbillon de mes idées ! Je me sentais prête à écrire mon journal… J’ouvris donc un nouveau document Word sur mon ordinateur, et je commençais à écrire.

‘‘ Journal spécial suite du week-end :
Il y a trois ans, j’étais perdue dans ma vie. Le destin a fait que nos routes se sont croisées. Vous avez su me montrer ce que j’étais au plus profond de moi, Vous avez su me le faire accepter. Trois ans de virtuel, du fait des obligations de ma vie vanille, pendant lesquels je ne souhaitais qu’une chose, pouvoir Vous rencontrer, et vivre enfin ma soumission à Vos pieds en réel ! Ce WE, ce souhait s’est réalisé. Ce que Vous m’avez fait vivre au cours de ces jours trop brefs, ces émotions que j’ai ressenties, longtemps j’ai pensé que ça ne pouvait exister, ailleurs que dans les écrits D/s que j’avais lu jusqu’ici. Aujourd’hui, maintenant que je suis revenue à ma vie vanille, je n’arrive toujours pas à atterrir ! Pendant deux jours, j’ai tout oublié qui n’était pas en rapport avec Vous ! Vous êtes devenu encore plus intensément le centre de mon univers, le Maître en qui j’ai tellement confiance ! Plus que jamais je ne l’ai ressenti durant ces trois premières années à Vos pieds, je me sens totalement dépendante de Vous ! Plus jamais je n’aurai la sensation d’être seule dans ma vie vanille. Cette vie est à jamais parfumée d’un peu de chocolat ! Votre regard de Dominant, Votre voix, tour à tour tendre, sévère, autoritaire, m’accompagneront à jamais à chaque seconde de ma vie, familiale, professionnelle ou purement D/s ! Vous m’avez toujours dit que Vous ne vouliez pas Vous mêler de ma vie vanille, mais tout ce que je ferais sera toujours en vue de pouvoir être toujours plus à Vous, toujours plus soumise, toujours plus chienne ! Demain je passe un entretien professionnel pour un emploi, Vous le savez. Je le fais pour mon épanouissement personnel et professionnel, mais surtout pour me sentir plus libre financièrement et temporellement de venir Vous rejoindre plus souvent dès que Vous exigerez ma présence près de Vous ! Maître Vénéré, si cher à mon cœur de chienne soumise, je ne me suis jamais sentie aussi heureuse, aussi épanouie, aussi à ma place… aussi moi tout simplement, que durant ces heures passées réellement à Vos pieds ! Ma vie ne sera plus jamais la même, mon cœur est à jamais empreint de ces magnifiques moments passés avec Vous ! Je souhaite vouer ma vie à Votre satisfaction, à Votre plaisir ! M’oublier entièrement pour n’être que ce que Vous déciderez de faire de moi ! A nouveau, je Vous fais le serment de n’être à jamais qu’à Vous, corps et âme, faits et gestes ! Tout ce que je ferai, que ce soit vanille ou chocolat, sera toujours fait dans le but de Vous rendre fier de moi. Votre chienne soumise à Vos pieds, si heureuse, si elle-même, depuis qu’elle s’y trouve. ’’

Je me relis, corrige quelques fautes, quelques tournures de phrases… j’ouvre ma boite mail, entre l’adresse du Maître, joins la pièce jointe et appuie sur envoyer. Je reste un moment à regarder l’écran de mon ordinateur. Le Maître est-Il devant son écran ? Je ne pense pas, Il ne fait pas partie des utilisateurs enregistrés en ligne au Château. Je regarde l’heure, 23h30 ! Il est temps que j’aille me reposer pour être en forme pour mon entretien. Je ne tiens pas à arriver les yeux gonflés et cernés. Je mets mes chats dehors, je ferme les différents volets, les différentes portes à clef. Je passe à la salle de bain pour me changer, me brosser les dents et je monte me coucher. Je suis épuisée, je pense donc que je vais m’endormir à peine je toucherai l’oreiller. Mais pas du tout ! je ne fais que penser au Maître, à ce week-end, à l’aire d’autoroute avec les routiers bref à tout ce qui s’y est passé, Ses caresses, les marques des coups que j’ai ramené avec moi, le moment magique où le Maître m’a remis mon collier et m’a accordé le port de Ses initiales, le cadeau de cette chaîne de main, tellement pleine de symboles. Inconsciemment, ma main gauche suit la chaîne et s’attarde sur le fermoir en forme de cadenas que le Maître Lui-même a refermé autour de mon poignet… Je m’endors sans m’en rendre compte, mes rêves sont peuplés de nouveau de rencontres et de moments D/s avec le Maître, comme mon rêve lors de ma deuxième pause sur l’aire de l’autoroute…

Le lendemain matin, je me réveille à 7h comme à mon habitude. Je regarde mes mails, plus particulièrement la boîte qui est réservé au Maître, mais rien. Je me lève donc, je m’habille, me coiffe, me maquille légèrement. Je prépare le petit déjeuner. Mon esprit est occupé, entre les sensations du week-end, qui ne se sont pas encore estompés et par mon entretien à venir. A 8h30, je pars en voiture, il me reste 20 minutes pour arriver au cabinet d’expert-comptable où j’ai mon RDV, j’ai 10 minutes de route pour l’atteindre.

Je me gare sur la petite place en face du cabinet, je patiente 5 minutes, et je me dirige vers la porte. La secrétaire me fait patienter dans la petite salle d’attente en face de son bureau. Il y avait du mouvement ! J’avais engagé quelques années auparavant un comptable du cabinet, alors que je commençais mes études de compta et que je venais de monter une petite maison d’édition. Et il y avait toujours régné un calme serein. Connaissant la secrétaire, lorsqu’elle eut l’air de pouvoir souffler un peu, je me dirigeais vers elle et lui demandais ce qu’il se passait. Elle me répondit que le cabinet venait d’être racheté et que le nouveau grand patron allait bientôt arrivé, ce qui expliquait l’effervescence dans le bâtiment. J’étais curieuse de savoir qui cela serait, mais je retournais m’asseoir en me concentrant sur mon entretien. La personne que j’allais rencontrer, je la connaissais bien vu qu’elle était mon ancien comptable. Pendant les deux ans où j’avais dirigé ma maison d’édition, où j’avais commencé mes études, j’avais aussi pris petit à petit l’habitude de faire une partie des bilans pour m’entraîner et Mme Mahé ne faisait plus que superviser mon travail. L’entretien était plus une formalité que vraiment un enjeu. Lorsque je me retrouvai dans son bureau, la discussion tourna autour des études que je faisais au moment où l’on s’était connu, que j’avais du abandonner, puis reprise plus tard, juste avant mon départ à Nouméa, mes différents stages… lorsque la secrétaire appela, annonçant que le nouveau patron allait bientôt arriver dans le bureau…

(A suivre …)

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