Festibaise

15 jours ou même plus que je ne l’avais pas vu, je n’avais pas compté les jours mais ça me paraissait une éternité.
Elle me manquait, son sourire, son rire, quand elle me chambrait gentiment, la douceur de sa peau, ses seins qui gonflaient, sa chatte épilée qui mouillait de plaisir, ses sons de jouissance qu’elle étouffait mais qui m’excitait grandement chaque fois que nous nous voyons.
Et puis c’était un mardi, c’est là que le SMS tant attendu arriva « oimvla dlkoin » mon cœur palpita direct, elle était revenue et me faisait signe.
J’avais rêvé de ce moment quasi chaque jour, et les moments de douche ou même dans les chiottes au boulot avait été des masturbations palliatives en attendant … J’étais dans mes pensées quand le 2ème SMS arriva « koncer Destropouillave alalantern endiablé ». La réalité de notre proche rencontre me réveilla, youhou j’vais la voir ma douce, sentir son odeur, l’embrasser, la toucher ….
Ça m’a donné une de ces patates, qui retomba au 3ème SMS « on y sra ». On ? Comment ça ON !
Putain, je ne m’attendais pas à ça, alors elle est pas toute seule. Elle à quelqu’un à présenter ? Pfff la tuile, moi qui m’imaginais la serrer fort contre moi, je vais juste me faire serrer fort la main par « Helmuth », « Ralf » ou bien encore « Ulrich », un grand gaillard Allemand qui n’a pas eu de mal à la séduire , elle amoureuse des squats Allemands, avec son périple dans Berlin, elle à dû en voir des mecs.
4ème SMS « Oi tudor ? Tuvien ou tufai lagueule ?» Putain fallait prendre une décision et vite, sans trop réfléchir, j’envoyai « A dtalle ». Plus possible de faire marche arrière, je pris mes clefs, fit une caresse au chien et démarra direction concert. Malgré la zic à fond « oi oi oi », et que je gueulais à tutête « oi oi oi », l’idée de cet Allemand qui me volait les futurs moments d’extase avec ma Punkette ARRRRGHHH ! Ça y es j’étais arrivé, je restais derrière le volant, mais vite un BOUM sur le capot me fit sursauter.

C’était Destroy qui m’avait vu arriver, « Oi ça va c’est cool de te voir blablablablabla … » j’ai juste capté quand il à dit « MD » tellement la vision de l’Allemand me hantait. J’en ai acheté au cas ou pour passer une bonne soirée.
Au fait Destroy t’as pas vu Em … il ne me laissa pas finir ma phrase, on pensait avoir été discret mais on était grillé 100 000. « Oui elle est là » qu’il me dit avec un sourire en me faisant un signe de tête vers un camion.
Et je l’ai vu au loin, un mirage, elle était encore plus belle qu’avant. Mais elle ne m’avait pas vu, elle rigolait fort et rentra dans ce camion, la porte se referma. Je m’approchais du camion, je n’étais pas venu pour enfiler des perles, il fallait que je la vois coute que coute quitte à me faire mal. Devant la porte j’ai hésité et j’ai frappé « toc toc toc ». 2 voix en chœur dire « OUI », mais 2 voix féminines ! J’ouvris et entra, ma douce était là plus belle que jamais, elle se précipita sur moi et me serra fort. « Tu m’as manqué » me dit-elle.
Passé l’accolade, elle me pris par la main et m’entraina vers l’autres créature divine qu’il y avait dans ce camion. « Je te présent Brigitte », bonjour me dit-elle avec un accent Allemand prononcé. Elle était belle elle aussi, les cheveux bleus, un maquillage parfait qui prononçait son regard et le rendait hypnotisant. Une jupette hyper courte qui laissait voir l’accroche de son porte-jarretelle bas résille tout monté sur des chaussures compensées. Une des bretelles de son haut était tombée et laissait voir une partie de son soutif. Elle me plu tout de suite. « C’est mon pote dont je te parlais », elle me regarda avec le sourire et fit un genre de « hmmm » avant que toutes les 2 pouffent de rire. Brigitte me tendit une bière et je m’asseyais à côté de ma pote qui m’avait tant manqué. On était tout collé l’un contre l’autre, sous la table elle me caressait la cuisse et l’Allemande me dévorait du regard. On discuta, rigola, pris le MD et les minutes passant il commença à monter ….


Un certain moment, l’atmosphère était tellement love que ça me paru tellement naturel de les voir toutes les 2 s’emballer. Ma pote me caressait entre les jambes et je lui caressais les fesses. Brigitte s’arrêta d’emballer ma pote, me regarda, la regarda, ma pote lui a fait un signe de tête voulant dire oui et se rapprocha de moi pour m’embrasser. Elle avait une langue vigoureuse et un bon gout. Puis Brigitte nous pris tous les 2 par la main pour nous entrainer vers son lit. Elle enleva le haut de ma copine, puis son fut, tout en l’allongeant sur son lit. Ma pote me regarda et me dit « elle a envie de m’entendre jouir, je lui ai dit qu’avec toi ça marchait à tous les coups ». L’Allemande alla s’asseoir au fond de son lit, tandis que ma pote attendais en se faisant caresser les sein s par Brigitte. Le MD me montait et j’étais excité par la situation. Je me mis à genou et commença à lui lécher les cuisses, en montant de plus en plus vers la culotte sexy qu’elle avait mise. Brigitte avait la main dans sa culotte et je voyais ses doigts s’activer. Je sentais son sexe s’ouvrir derrière le tissu, l’humidité mouiller sa culotte noire qui bientôt fit une tâche. C’était le moment idéal pour y glisser mes doigts, elle commença à légèrement gémir. Ça donnait le sourire à Brigitte. Celle-ci se déshabilla et vient s’assoir sur la tête de ma pote. Elle l’a lécha avec habilité, c’est la 1ere fois que je la voyais faire ça, elle le faisait bien, et ça m’excitait. Au bout d’un moment j’ai voulu me rapprocher de ma pote sur le coté, pour l’enlacer, l’embrasser. C’est le moment qu’a choisi Brigitte pour se mettre sur ma pote et à frotter son sexe humide contre le siens. Elles gémissaient toutes les 2, j’avais soif et je me suis retourné a la table boire une gorgée de bière (yec’hed mat !). Quand je suis retourné vers le lit, c’était trop tentant ces 2culs qui remuaient, chatte contre chatte. J’ai commencé à caresser le dos et les fesse de l’allemande et je l’entendis dire « YA !! Viens ! » Je me penchais et la lécha, le bas du dos, les fesses très rapidement l’anus puis ses les lèvres.
Elle l’avait voulu entendre ma pote, elle l’avait entendu. mais je voulais l’entendre elle maintenant.

Je la lécha bien, mais j’ai vite compris qu’un truc les rendais dingue toute les 2 c’était de partir de la chatte de ma pote pour revenir jusqu'à celle de l’Allemande. Elles avaient les jambes qui flageolaient, elles n’en pouvaient plus il fallait que je vienne leur donner plus. Je me relevais, elles continuaient de s’emballer goulument, pris doucement mais fermement le cul splendide de l’allemande et commença à la pénétrer doucement.
Elle poussa un cri avec un son accentué en allemand YAAAAA puis au bout de 4/5 vas et viens je me retirai et pénétra plus bas ma pote cette fois. Un petit peu chacune son tour, elles gémissaient toute les 2, mais je sentais la frustration des 2 que ce n’étais pas assez. L’Allemande s’allongea sur le dos au bout d’un moment, m’invita à continuer a la besogner et s’occupa de ma pote avec ses doigts. Ma pote était excité et m’invita au bout d’un moment a avoir sa part avant qu’il ne soit tro tard et que j’ai tout lâché. Mais l’allemande y était presque et très vite elle hurla, avant de morde la couverture pour ettoufer son cris. Je me retirai, ma pote enleva les doigts de l’allemande et m’attira en me poussant les fesses, elle avait le sourire, elle qui me connaissait si bien, avec qui on avait tant baisé. On avait une complicité de plus. je la pénétra tout doucement, lui croisa une jambe comme elle aimait tant…la besogna de plus en plus fort jusqu'à me retirer et à éjaculer à l’aveugle un peu partout, une sorte de libération. je m’écroulai entre les 2 , ferma les yeux et entendit l’allemande dire « SCHON, GUT, SEHR GUT » pendant que ma pote m’enlaçait.

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