Salope Le Temps D'Une Soirée

J’aime être salope. J’aime être baisée sauvagement. J’aime perdre le contrôle de mon corps, de ma jouissance. J’aime être soumise, humiliée, réduite à l’état de vide-couilles.

Ce soir, je met du rouge à lèvres d’un rouge éclatant, j’enfile mes bas résilles noirs et mon porte jarretelles, ma mini jupe en simili cuir noir trop courte pour cacher la lisière de mes bas, un petit haut noir décolleté et une paire de bottines à talons. Pas de sous-vêtements, je n’en ai pas besoin.

Je rejoins Sébastien au salon, qui m’attend avec impatience, nu. A côté de lui, sur la table basse, une paire de menottes, des pinces à seins, un gros gode ventouse et un martinet.

Il me détaille, me demande de tourner sur moi-même, caresse mes cuisses, ma chatte toute lisse. Il me menotte les poignets dans le dos. Je suis à lui. Il sort mes gros seins de mon débardeur, prend mes mamelons à plein bouche, les mordille. Il pose alors les pinces à seins reliée entre elles par une chaîne en métal. C’est vrai que ça fait un peu mal, que ça tire, mais c’est tellement excitant de voir ma poitrine ainsi offerte.

Sébastien caresse ma joue, me dit qu’il a hâte de voir ma bouche de pute autour de sa queue. Je mouille.
Il me demande de me mettre à genoux. Je m’exécute. Il s’approche de moi, il frotte son sexe sur mes joues. J’adore sentir son odeur de mâle en rut. J’ouvre la bouche. Il ne résiste pas et y enfonce sa bite déjà dure entièrement. Je la sens durcir encore, s’enfoncer inexorablement au fond de ma gorge. Il me laisse reprendre mon souffle et recommence, plusieurs fois. Il s’exclame tout haut que mes lèvres rouges lui donnent encore plus envie de me défoncer la bouche. Il accélère la cadence, il m’att par les cheveux. J’essaye d’ouvrir ma bouche au maximum, j’ai envie de le sentir toujours plus loin dans ma gorge. J’ai des hauts le cœur, du mal à reprendre mon souffle mais il continue, il est excité, il ne veut plus s’arrêter.

Heureusement, il veut faire durer le plaisir donc il finit par se calmer. Il m’ordonne de lui lécher les couilles pendant qu’il se branle. D’une petite langue habile, je m’exécute. Je suis aux premières loges pour admirer sa main qui monte et descend sur sa verge, laissant apparaître son gland turgescent. Par moment, Sébastien se sert de ma bouche, de ma salive pour lubrifier sa queue. Il me dit qu’il va bientôt jouir sur mon visage, que je vais avoir ma récompense. Je lui réponds que j’ai envie de sentir son foutre me recouvrir le visage, que j’ai aussi envie d’en avoir sur la langue car j’aime le goût de son sperme. Ca y est le plaisir monte en lui. Il se recule légèrement. Je le regarde droit dans les yeux, la bouche grande ouverte. Son foutre gicle sur mes joues, mon front, ma langue. Avec son gland, il étale son jus sur mon visage puis il m’oblige à nettoyer sa queue et à tout avaler.

Sébastien m’aide à me relever mais ne me détache pas. Il part chercher une chaise qu’il ramène vers moi et sur laquelle il fixe le gode ventouse. Je m’assois doucement. Je m’empale sur l’énorme gode. Je suis tellement mouillée que Sébastien n’a même pas besoin de le lubrifier. Ca y est je suis assise et bien remplie.

Sébastien aime mon impudeur, il aime me voir souillée de son jus d’homme. Il saisit le martinet et commence à fouetter mes seins. Au début, la douleur est supportable, ça pique un peu. Quelques traces rouges apparaissent sur mes seins. Sébastien me teste. Il veut voir jusqu’à quel point je suis à lui. Ses coups sont de plus en plus appuyés. Quelques cris m’échappent. Ma poitrine est de plus en plus rouge et brûlante. Sébastien s’arrête, je suis soulagée.

Il me demande d’aller vers la table de la salle à manger. J’obéis. Il récupère le gode enduit de mouille qu’il fixe sur la table. Il me demande de me pencher, d’écarter les jambes et de lécher ma mouille de chienne. Pendant ce temps là, Sébastien relève ma jupe de manière à voir mon cul.
Il plonge quelques doigts dans ma chatte, pince mon clitoris gonflé et constate que je suis trempée. Comme il en a le secret, il me fait gicler plusieurs fois. Il me donne ses doigts à lécher et se replace derrière moi le martinet à la main. Sébastien fait rougir mon cul. Il alterne les coups de martinets et les fessées. Sébastien bande à nouveau. Totalement offerte dans cette position, il pose son gland à l’entrée de ma vulve et me pénètre. Que c’est bon de le sentir en moi. Sébastien me pilonne en s’accrochant à mes hanches. Je n’arrive plus à sucer le gode tellement je suis secouée par ses coups de queue. Je l’incite à me défoncer encore plus fort, encore plus vite. Il m’att par les cheveux, tire ma tête en arrière. Il me dit que je suis vraiment une chienne, une pute qu’il va encore une fois se vider les couilles. Juste avant de jouir, Sébastien se retire et se branle au dessus de la table, non loin de mon visage. De grands jets de sperme s’étalent sur la table, quelques autres sur ma joue. D’un air pervers, il me demande tout nettoyer. Je lèche chaque traînée de foutre sur la table, j’aspire son gland une dernière fois.

Sébastien me détache. La soirée est finie. J’ai pris beaucoup de plaisir, lui aussi. La suite dans de nouvelles aventures.

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