Ravagée, Déchirée, Labourée...
Je navait plus connu une approche semblable depuis longtemps, le contraignant à sécarter, à souvrir, dilaté à lextrême
Je réalisais brutalement que jétais en train de me faire
.« enculer » par mon domestique, mais la sensation était telle que je me laissais aller à ce plaisir retrouvé et tellement inattendu
La barre de chair chaude était maintenant à demi enfoncée dans mon....cul. Il me saisit alors par les cheveux, que je porte assez longs, pour mieux me clouer sur son pieu, marrachant un cri de douleur sous lécartèlement
. Un dernier coup de reins violent, et jétais empalée, dans un grand cri, jusquà la racine du sexe qui me pénétrait brutalement maintenant ! Javais mal, très mal, le sphyncter, inutilisé, sétant resserré etroitement. Il me maintenait captive, une main torsadant fermement mes cheveux, lautre empoignant lun de mes seins quil pétrissait fortement, en roulant les tétons érigés et durs entre pouce et index, les tirant à la limite d'une exquise douleur et il me limait à grands coups, se ruant en moi, allant et venant dans mon anus défoncé comme si jétais sa propriété,
.(Ce que je me sentais être dailleurs
.) tout en me claquant violemment les fesses. Je me sentais trouée, pénétrée, ravagée, déchirée, labourée par son sexe imposant et je râlais de plaisir et de douleur mêlés à me sentir investie ainsi, ouverte, dilatée totalement pour le plaisir de
..je ne savais encore comment le désigner devant le bouleversement intense que je subissais.
Il sest raidi brutalement, et son flux brûlant à inondé mes entrailles
..Il ma maintenue contre lui et je sentais entre mes fesses ouvertes son membre mollir doucement, et se retirer de moi peu à peu
.Je maffaissais, haletante, les yeux fermés, anéantie sous cette vague de plaisir qui mavait ravagée
.Il ne parlait pas, mais caressait mes cheveux, ma nuque, mon dos, arrachant des frissons à ma chair survoltée. Parfois sa main flattait mes fesses, les tapotant, comme l'on fait à une jument que l'on vient de monter et qui vous a donné pleine satisfaction.
Après avoir ainsi utilisé mon anus inviolé depuis des lustres, mon « cul » comme il exigea que je dise, il mabandonna sur le tapis et partit vaquer à ses affaires de factotum, comme si de rien nétait.
Je me relevais péniblement, en proie à un désordre mental que je navais jamais connu, lanus douloureux de la pénétration sauvage quil venait de subir, mais en même temps le cur battant follement des émotions violentes, du plaisir inouï que je venais de connaître
..et dont jespérais bien quil ne serait pas unique.
Ca na heureusement pas été le cas, et depuis je suis devenu sa chienne et sa putain.
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