Chloé 5

Je réajustai la sangle de mon sac à dos, et me remis en marche. J'étais en pleine randonnée dans le Massif Central en compagnie de ma tante Isabelle, et de ma cousine Chloé. A l'occasion des vacances d'été, ma tante m'avait en effet invité à les accompagner toutes les deux dans un de leur voyage favori, qui consistait à crapahuter pendant plusieurs jours en montagnes. On ne s'arrêtait que le soir pour dormir dans un refuge, ou sous nos tentes. Qu'est ce qui m'avait attiré dans ce voyage ? La beauté des paysages, le plaisir de faire de la randonnée, certes. Mais ce qui m'intéressait surtout, c'était l'idée de nuits embrasées avec Chloé sous la tente. Ma cousine et moi avions déjà couché ensemble de nombreuses fois. J'avais de quoi être impatient de passer la nuit sous la tente avec elle : elle était très sexy, de taille moyenne, des cheveux châtains mi-longs, un corps de rêve avec une poitrine affolante (95D), et des fesses très excitantes.

Après une longue journée de marche, arriva enfin le moment que j'attendais impatiemment : le soir. Autour d'un feu de camp, nous prîmes un dîner frugal de boîtes de conserves et sandwichs, puis, après une courte toilette, nous allâmes enfin nous coucher. Nous n'avions que deux tentes : l'une que ma tante Isabelle occupait, et l'autre, plus grande, réservée à moi et ma cousine. Lorsque ma tante fut couchée, Chloé et moi entrâmes dans notre tente.

« J'ai cru que ce moment arriverait jamais ! S'exclama Chloé. »

« Quel moment ? Lui demandai-je d'un ton faussement blasé. »

Chloé me saisit, et me plaqua contre le matelas gonflable de la tente.

« Ce moment là, dit elle en souriant. »

Elle s'installa à califourchon sur moi, et vint m'embrasser avec fougue. J'enroulai mes bras autour de sa nuque, et lui rendis son baiser. Je voulus la faire rouler, et m'installer au dessus à mon tour, mais Chloé m'en empêcha. « Non, je veux rester au dessus cette nuit ».

J'y voyais pas d'inconvénient, alors je la laissai se redresser, et se déshabiller lentement, sous mon regard brûlant. Lorsqu'elle fut complètement nue, je ne pus plus me retenir. A la vue de sa poitrine imposante, je me redressai d'un coup, et vins dévorer ses seins. Chloé me laissa faire un bon moment, avant de me pousser par les épaules, et de me plaquer à nouveau contre le matelas. Elle se mit à me déshabiller, d'abord le haut, puis le bas. Trop impatiente pour faire durer les préliminaires, elle s'empala direct sur ma queue, poussant un gémissement de plaisir. Elle se mit à aller et venir d'avant en arrière, me culbutant avec sauvagerie. Toute l'attente de cette journée, toute cette frustration accumulée, s'envolait magnifiquement à chacun de ses coups de reins. Plus les minutes passaient, et plus Chloé se déchaînait sur mon sexe, telle une furie. Elle allait si vite que la tente en était secouée. Si Isabelle sortait de sa tente, et qu'elle voyait la notre se secouer ainsi, elle se poserait sûrement des questions. Mais Chloé et moi nous en fichions. Nous étions bien trop occupés à prendre notre pied. Chacun des coups de reins de ma cousine m'envoyaient au septième ciel et m'arrachait un petit cri que je tâchais d'. Chloé elle aussi gémissait doucement, tout bougeant ses hanches vers le haut, aidées par mes mains qui la soutenaient et accompagnaient ses mouvements. Au bout de trois délicieux quart d'heure de sexe brut, l'orgasme était proche pour nous deux. Chloé me saisit les poignets, et me les mit derrière la tête, avant d'accélérer la cadence comme une folle, donnant des coups de reins de gauche à droite telle une tigresse. Je sentis le plaisir augmenter brutalement en moi, en une vague irrépressible, et dans un grand cri que je ne pus , je défaillis dans un orgasme délicieux, qui me laissa étourdi. Chloé jouit quelque secondes après moi, s'écroulant sur le matelas avec moi. Nous nous endormîmes paisiblement.

Le lendemain, nous primes notre petit déjeuner avec la nourriture emmenée.
C'était frugal, mais bon. Après quoi, nous nous remîmes en marche. Une heure ou deux plus tard, nous étions toujours entrain de marcher dans les montagnes. Isabelle avait pris pas mal d'avance sur nous, et elle avait escaladé une pente rocailleuse que Chloé et moi n'avions pas encore gravi. Depuis plus d'un quart d'heure, je marchai derrière ma cousine, et pouvais admirer son magnifique cul. Je n'en pouvais plus. Lorsque je compris qu'Isabelle était loin et ne pouvait nous voir, je saisis Chloé par les hanches, et lui dis :

« J'en peux plus, tu me rends fou. »

Elle eut un petit rire « ce soir, pas avant. »

« Maintenant, j'en peux plus je te dis. »

« Bon d'accord, on va pas te laisser dans cet état ! »

Avec un sourire, elle se mit à genoux, et me baissa pantalon et caleçon. Je me mis aussitôt à bander sec, ce qui la fit sourire. Elle me prit en main, et me branla vigoureusement. Un doux plaisir m'envahit alors. Ensuite, elle me prit en bouche, et se mit à me pomper avec vigueur, me suçant le gland avec avidité, le léchant aussi, tout en me massant les boules. Après quoi, elle se déchaîna, et enchaîna les va-et-vient buccaux, me faisant fondre sur place. Je ne cherchais pas à faire durer, car je savais qu'à tout moment, Isabelle pouvait nous surprendre. Si bien que lorsque je sentis l'orgasme approcher, je ne fis rien pour le contenir, bien au contraire, je me laissai aller. Chloé, me sentant venir, accéléra encore le rythme, me faisant partir dans un délicieux frisson. Je jouis à fond dans sa bouche, et un peu sur son visage. Elle avala tout avec un sourire.

Je me rhabillai, et escaladai le monticule rocheux, rejoignant Isabelle qui nous attendait pour le déjeuner. Chloé nous rejoignit une minute plus tard, le temps de se débarbouiller. Une fois de plus, Isabelle n'avait rien remarqué.

Le reste de l'après midi passa sans que nous ayons eu le temps de remettre ça. Le soir venu, nous nous installâmes dans le gîte où nous allions passer la nuit.
J'y comptais bien baiser Chloé, mais quelque vint contrarier mon plan : nous n'avions qu'une seule chambre, pour moi, Chloé et Isabelle… Le risque était trop grand, et j'en était dégoûté. La nuit venue, je m'endormis mécontent. Mais au beau milieu de la nuit, je fus réveillé par Chloé.

« Rejoins moi dans la salle de bains. Souffla-t-elle. »

Elle quitta la chambre à pas de loup. J'attendis un peu, avant de la suivre. Le gîte était désert, Chloé m'attendait au milieu de la salle de bains. Elle n'était vêtue que d'un petit pyjama en débardeur, qui moulait ses formes de façon indécente. Sans plus attendre, je me jetai sur elle avec avidité. Nous étions en grand danger d'être découverts, aussi nous ne fîmes pas traîner les choses. Je soulevai Chloé, et la posai sur le plan de toilette, à côté des lavabos. Je lui retirai son pantalon de pyjama, avant de retirer le mien également. Je la pénétrai avec vigueur, lui arrachant un petit couinement. Je me mis à aller et venir en elle avec sauvagerie, cherchant à nous faire jouir tous deux au plus vite. Je la baisais avec passion, tout en la tenant d'une main par la nuque, la regardant droit dans les yeux, me réjouissant de voir son regard chavirer sous mes va-et-vient. Je la saisis par le menton, et l'embrassai passionnément, avant de reprendre mes coups de boutoir, lui tenant cette fois la poitrine à deux mains, me délectant de sa rondeur et de sa fermeté. Chloé gémissait de plus en plus fort, sans parvenir à contenir ses cris, et semblait perdre complètement la tête. Elle me poussa et se releva, quittant le plan de toilette.

Ensuite, elle chercha à m'entraîner au sol, afin de me chevaucher. Mais je n'étais plus en état de me laisser faire. Je la saisis par les poignets, et la fis se mettre à quatre pattes. Je vins derrière elle, et la pris fort en levrette. La tenant fermement par les hanches, je me mis à la besogner avec ardeur, donnant de gros coups de reins, peu rapides, mais très puissants.
A chaque coup, Chloé poussait un gémissement de délice. Je la pilonnais ainsi pendant un bon moment, marquant la cadence, laissant le plaisir monter lentement, et fortement en nous. Puis, je saisis Chloé par les cheveux, et l'obligeai à me regarder, avant d'accélérer brutalement le tempo de mes assauts. Mes va-et-vient s'enchaînaient rapidement, faisant tourner la tête de ma cousine, la faisant gémir comme une folle. Je dus la baillôner avec mes mains pour qu'elle ne nous trahisse pas. Ensuite, impitoyable, je repris mes assauts, plus forts et plus rapides encore. Le plaisir se mit à me brouiller la vue, et je sentis Chloé trembler littéralement sous mes coups de reins. L'orgasme était imminent. Dans un ultime effort, j'accélérai encore la cadence, jusqu'à nous faire exploser de jouissance tous les deux, nous laissant haletants et ivres de plaisir.

« Qu'est ce que t'es doué, cousin ! Souffla Chloé extasiée. »

« Je sais oui, dis je d'un ton prétentieux. »

Nous pouffâmes, et nous hâtâmes de rentrer dans notre chambre.

Le lendemain, nous reprîmes la route. Nous eûmes encore deux trois jours de randonnée. Cependant, à chaque fois, la nuit nous trouvait, Chloé et moi trop épuisés pour baiser. Le dernier jour, lorsque nous arrivâmes dans un petit hôtel du Massif Central, nous étions donc affamés de sexe tous les deux. Par chance, Isabelle avait des courses à faire, et elle nous prévint que cela lui prendrait la soirée. Chloé et moi, avions donc deux ou trois bonnes heures devant nous. Après un petit examen de l'hôtel, nous découvrîmes deux choses : d'abord, l'hôtel était désert, les touristes avaient visiblement déserté cette partie là de la région. Ensuite, nous découvrîmes que l'hôtel comportait une piscine… Nous eûmes donc envie de pousser la chance honnête, et d'aller essayer cette piscine de façon un peu… sportive.

Nous nous mîmes en maillot de bains, et allâmes à cette piscine. Nous nous mîmes à l'eau, et après un bref instant d'hésitation, nous nous jetâmes l'un sur l'autre. Nous nous embrassâmes furieusement, nous enlaçant avec nos bras, et nos jambes. Je collai Chloé contre la paroi de la piscine. Elle m'enroula ses jambes autour de la taille, et me colla contre elle. Je lui retirai le bas de son bikini, et la pénétrai d'un coup sec. Je me mis ensuite à la prendre sauvagement, lui administrant de puissants coup de reins, tout en m'aidant du remous de l'eau pour la baiser plus fortement encore. Chloé gémissait à fond, tout en me tenant par la nuque, et me regardant droit dans les yeux. Je l'embrassai avec passion, sans ralentir le rythme. Ensuite, je descendis sur son buste et lui embrassai avec ferveur. Puis, je dénouai le lacet de son maillot de bain, pour libérer enfin sa volumineuse poitrine. Je dévorai ses seins avec avidité, lui arrachant un soupir de plaisir. Après quoi, je repris avec force mes coups de reins, tout en la tenant fermement plaquée contre le mur.

Chloé eut ensuite envie de donner un peu le ton. Elle me repoussa à travers la piscine, et me colla contre la paroi opposée. Elle s'empala sur mon sexe, et se mit à son tour à me donner de puissants coups de reins, s'aidant elle aussi du remous de l'eau. Elle me tenait par les épaules, et faisait une véritable danse du ventre sur ma bite, la secouant de droite à gauche, me faisant frémir d'allégresse. Elle se mit ensuite à aller d'avant en arrière comme une folle, me bousculant contre la paroi. Nous nous mîmes à gémir de concert, et je me sentais partir dangereusement vite. Chloé me collait ses gros seins sur le visage, ce qui m'excitait au plus haut point. Je repris donc le dessus, la saisissant par les hanches, et la retournant pour la prendre en levrette contre la paroi de la piscine. Elle était à moitié en dehors de la piscine. Je me mis à la baiser très fort en levrette, la tenant par les hanches avec fermeté. J'allais et venais très fort, claquant le fond de son intimité à chaque coup. Chloé gémissait de plus en plus, tandis que moi le plaisir me faisait trembler. Je lui saisis les cheveux et la forçai à me regarder dans les yeux, tandis que j'accélérai encore et encore, jusqu'à ce que dans une explosion de plaisirs, nous eûmes un orgasme en même temps.

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