La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°810)

Marion au Château – (suite de l'épisode N°797) –

L’entretien était plus une formalité que vraiment un enjeu. Lorsque je me retrouvai dans le bureau de Mme Mahé, la discussion tourna autour des études que je faisais au moment où l’on s’était connu et que j’avais du abandonner, puis reprise plus tard, juste avant mon départ à Nouméa, mais aussi sur mes différents stages… Lorsque la secrétaire appela via l’interphone, annonçant que le nouveau patron allait bientôt arriver dans le bureau et dans la minute qui suivit, on toqua à la porte. Sur une invitation de Mme Mahé à entrer, deux hommes pénétrèrent dans le bureau, le premier que je connaissais comme étant le chef du cabinet, et quand je levais les yeux sur le second, mon cœur s’arrêta de battre quelques instants de stupéfaction, comme figé par l’énorme surprise qui me saisit de consternation ! Je fis de grands yeux ahuris, mon visage paralysé par un étonnement extraordinaire.

- Mesdames, je vous présente notre nouveau PDG et aussi principal Actionnaire et haut Financier qui grâce à lui, nous permettra de pérenniser notre entreprise par l’apport d’abondants fonds propres en liquidités, je veux parler de Monsieur le Marquis d’Evans. Il vit près de Lyon et nous apporte donc son appui, son aide via un matelas financier nous permettant de voir l’avenir de l’entreprise plus sereinement. Et nous serons donc amenés régulièrement à le voir, ici, dans ces locaux !

Pendant que Mme Mahé le saluait poliment, je restais encore figée. Le Maître savait que j’avais un entretien professionnel, mais je ne Lui avais pas dit dans quel cabinet ! Pourtant je ne pouvais pas croire qu’Il était ici, et qu’Il avait racheté précisément ce cabinet, par hasard, c’était impossible ! La coïncidence étant improbable ! Il devait donc être très bien renseigné sur mon rendez-vous ici pour mon entretien, mais aussi à mon sujet et à mon éventuel avenir professionnel découlant de cet entretien.

Cependant je me repris pour le saluer aussi respectueusement que possible, m’efforçant de ne pas l’appeler Maître et de ne rien laisser paraître.

- Vous êtes Madame… ? Je ne me rappelle pas vous avoir vu sur l’organigramme de la Société ! dit le Marquis avec un sourire en coin mais avec une prestance d’un patron sûr de lui.
- Non, effectivement Monsieur le Marquis, je passe aujourd’hui un entretien pour le poste de secrétaire comptable.
- Vous ne m’avez pas répondu, reprit-Il sévèrement.
- Je Vous prie de bien vouloir m’excuser Maî… Monsieur, je suis Marion Beaulieu.
- Bien, je vous laisse finir votre entretien ! Mme Mahé, je vous reverrai très bientôt, j’ai à vous parler.
- Je … Je reste à votre entière disposition, Monsieur, répondit Mme Mahé, un peu déstabilisée par le fait que le nouveau patron veuille lui parler déjà et aussi rapidement
- Veuillez m’appeler Monsieur le Marquis, je vous prie.
- Je … Je vous prie de m’excuser. Bien Monsieur le Marquis, ce sera comme vous l’exigerez, répondit de nouveau Mme Mahé cette fois vraiment gênée.

Et il ressortit du bureau sans un regard ni un mot pour moi. J’étais tremblante, je me posais un million de questions. Je savais qu’il allait falloir que je demande une sanction pour ne pas avoir répondu de suite à Sa question…

- Eh bien, Marion, vous semblez avoir été impressionnée, vous aussi, me dit Mme Mahé en essayant de sourire, montrant elle-même sa gêne ressentie devant la prestance, le charisme, l’autorité naturelle du nouveau PDG, qui soyons clair, l’a vraiment impressionnée. - Remettez-vous, au vu du poste que vous occuperez, vous ne devriez que très rarement avoir à faire avec lui ! En tout cas, voila un patron qui ne manque pas de crédibilité pour diriger une équipe ! Je pressens qu’avec lui, l’entreprise va mieux tourner …

Mon dieu, si elle savait… j’essayais de respirer profondément pour me calmer. L’entretien finit rapidement, Mme Mahé, Emmanuelle de son prénom, m’assurant une nouvelle fois, de la certitude de mon embauche un mois plus tard, lorsque leur secrétaire actuelle partirait, mutée dans le Sud pour raison personnelle.
A peine arrivée dans ma voiture, je voulus envoyer un mail au Maître pour m’excuser et lui demander de me sanctionner. Mais à peine ouvris-je ma boite mail, que je vis un message de Sa part.

« Tiens-toi prête chez toi, à 13h ! Je resterais deux heures chez toi, tu pourras ainsi te préparer en femme pour aller chercher tes filles à l’école »

Mon dieu, le Maître va venir chez moi ? Je regardais l’heure, il était 10h. Cela me laissait 3h. Je réfléchissais aux priorités, pour savoir quoi faire. Vue l’heure d’arrivée, je doutais qu’Il eut mangé, je devais donc préparer un repas. Heureusement pour moi, je m’étais épilée récemment, vu que je venais de passer un week-end à Ses côtés, donc à ce niveau-là, je n’étais pas inquiète. Et il fallait que je fasse un peu de ménage et de rangement chez moi. Je rentrais donc rapidement chez moi, préparais et mis dans un des fours la base de mon fameux cheesecake, préparais l'appareil et dès que le fond sortit du four aussitôt il y repartit garni. Je préparais à côté un poulet rôti au citron et des pommes de terre, accompagné de fagots de haricots verts, dans le second four. Puis je dressais la table pour une seule personne, mais je disposais aux pieds de la chaise face à laquelle se trouvaient l’assiette, une gamelle d’eau et une gamelle vide, s’il plaisait au Maître de vouloir partager Son repas avec Sa chienne que je suis. Je préparais plusieurs bouteilles d’apéritifs sur la table du salon. Je pouvais maintenant passer au ménage et au rangement. Je fis rapidement le tour du salon et de la salle de jeux pour ranger les jouets des filles, je vidais le lave-vaisselle pour y ranger celle du petit déjeuner. J'attrapais l'aspirateur, puis passais la serpillière. La maison était propre et rangée, le repas cuisait. Un coup d'oeil sur l'heure de la pendule du salon me fit rendre compte que la moitié du temps était passé. Je pris alors la direction de la salle de bain. Je repris une douche, je vérifiais par acquis de conscience mon épilation, je me fis un masque capillaire, puis je me fis de jolies ondulations à ma chevelure comme le Maître les aimait.
Je prenais le temps de me passer un lait hydratant légèrement parfumé, puis une huile corporelle irisée. Je me fis un maquillage léger. Je vérifiais la propreté de mes accessoires. Je me sentais belle et désirable, femme tout simplement…

Un nouveau regard sur l'heure fit accélérer mon rythme cardiaque. Il restait seulement cinq minutes avant l'arrivée du Maître ! Je mis avec empressement mon collier, y attachait ma laisse, étalais sur une tablette mes accessoires, posais mes pinces à grelot sur mes tétons, passais mon bâillon-boule, en prenant soin de laisser retomber mes cheveux en cascade par-dessus et sur mes seins. Puis je me positionnais à genoux aux côtés de la porte d'entrée après avoir actionné l'ouverture du portail électrique. J'étais installée depuis seulement quelques secondes, à genoux, cuisses écartées, le buste droit, tête et regard baissés, la poignée de ma laisse posée sur mes mains ouvertes tendues devant moi, telle une offrande, lorsque j'entendis le crissement de pneus sur les graviers dans la cour. Mon coeur fit un bond, et je crus qu'il allait s'arrêter de battre. La porte de la petite entrée extérieure s'ouvrit et dans la foulée, celle de la maison. Il se trouva ainsi devant moi, immobile et silencieux. En effet, le Maître ne bougeait pas, ne disait rien, mais je sentais Son regard et Sa puissante Domination peser sur moi... La tension dans mes bras devenait douloureuse mais je restais immobile. Lorsque Monsieur le Marquis décida que c’était le moment pour Lui de bouger, contrairement à ce que je pensais et que j’aurai voulu, Il ne prit pas ma laisse, mais me contourna et rentra chez moi. Au bruit que j’entendis, je sus qu’Il venait de s’asseoir dans le canapé d’angle gris du salon faisant face à la cheminée où brûlait un agréable feu de bois. Lorsqu’un claquement de doigts, suivi d’un léger sifflement retentit, signal qui voulait dire que je devais me mettre à quatre pattes et rejoindre les pieds du Maître sans tarder. Je me mis en position, sans prendre le temps ne serait-ce que d’essayer de détendre un peu mes bras engourdis, après avoir passé la dragonne de ma laisse dans mon collier pour ne pas risquer de me prendre les pattes dedans.
Une fois arrivée aux pieds du Maître je repris la poignée en main, me prosternais, mais au lieu de garder les mains tournées vers le sol, je les positionnais paumes vers le plafond afin de Lui présenter ma laisse.

Monsieur le Marquis se redressa légèrement, me flatta furtivement la croupe, comme on l’aurait fait d’un chien qui vient de nous contenter, me laissant penser qu’Il était fier de moi et de mon obéissance, mais toujours sans toucher à ma laisse, puis Il se renfonça dans le canapé, toujours silencieusement. Au bout de quelques minutes, je l’entendis défaire la fermeture éclair de son pantalon. Un claquement de doigts me fit comprendre ce que j’espérais, j’allais avoir le plaisir de prendre en bouche le sexe de celui à qui j’avais fait don de mon corps. Je me redressais donc à quatre pattes pour me positionner entre Ses jambes, puis me mis à genoux, et j’essayais de Lui montrer à travers cette fellation que j’avais retenu ce que j’avais pu apprendre de celle que j’avais exécuté avec ma sœur de soumission le précédent week-end. Il ne fallut pas longtemps avant que je comprenne que le Maître n’allait pas tarder à se vider, lorsque je Le sentis me repousser, pour le voir attr une autre gamelle que j’avais disposée auparavant auprès de la table du salon. Monsieur le Marquis se vida dedans tout en laissant échapper des râles jouissifs que je savourais car j’étais si heureuse de le faire jouir même s’Il décida que ce ne fut pas dans ma bouche, ce que j’aurai tant souhaité.

- Voilà qui fera un très bon apéritif pour Ma chienne, dit-Il, mais sans s’adresser à moi, comme si je n’étais pas là. - En revanche, je suis un peu déçu que personne ne me remplit mon verre ! Conclue-t-il.

Comprenant l’allusion, je le servis avec empressement, je remplis un verre du meilleur cognac que l’on pouvait trouver par chez moi, et pour le côté local, je Lui servi également un verre de chouchen, avant de me replacer à Ses côtés, prosternée. Alors, semblant enfin s’apercevoir de ma présence à Ses côtés, le Maître me caressa la croupe, tendrement, deux doigts se laissant aller à explorer mon sexe déjà bien humide.

- Ma belle chienne ! Déjà prête à m’accueillir si l’envie m’en prenait… Tu vois, je n’ai pas eu envie d’attendre que ta vie vanille te permette de revenir en Ma noble demeure ! J’ai eu envie d’affirmer encore plus Mon Emprise sur toi en devenant, en plus du Maître que tu connais dans ta vie chocolat, ton patron dans la vie vanille. Et franchement racheter ce cabinet est vraiment une petite goutte d’eau pour mes finances. Désormais, quoique tu fasses, en dehors de ta famille, tout devra te ramener, à Moi, à ce que tu es uniquement pour Moi ! …

Tout en parlant, Ses doigts allaient et venaient en moi, tantôt dans ma chatte maintenant baveuse, tantôt dans mon cul, tantôt me pénétrant les deux orifices en même temps.

- Oui, tu es Ma propriété, tu m’appartiens, tu es à MOI, et je veux que plus jamais tu ne puisses l’oublier ! Il faut que tu te mettes bien cette réalité dans le crâne, que maintenant que tu es une soumise MDE, tu auras encore moins de liberté, plus de contrainte et de règles de vie, mais paradoxalement cette perte de liberté, tu l’as librement choisi ! Si jamais tu le regrettes, tu sais que tu peux partir, je n’ai jamais retenu qui que ce soit mais tu sais aussi que tu ne pourras jamais revenir ! pense à cela, tu sais ce que tu perdrais pour toujours…

Monsieur le Marquis laissa le silence s’installer, et en profita pour déguster son cognac. Je réfléchissais aux paroles du Maître, sachant qu’Il voulait me laisser une porte de sortie, comme il le fait avec chaque membre de Son cheptel de soumis-esclaves. Mais voulais-je partir ? bien sûr que non ! Avais-je peur d’avoir comme patron le Maître à qui je me soumettais volontairement ? Évidemment ! Je vivais déjà dans l’angoisse de pouvoir le décevoir dans le monde chocolat, maintenant j’allais avoir la même appréhension dans le monde vanille… Mais était-ce une raison de m’enfuir et de tourner le dos à ce que j’étais réellement au fond de moi ? Et si je voulais rester malgré tout, ce que je suis, soumise, aurai-je le courage de repasser par une farandole de pseudos maîtres qui s’autoproclament maître, avant d’en trouver un digne de porter un grand M, sachant dans tous les cas qu’il n’arriverait pas à la hauteur du Maître Vénéré ? Certainement pas !! Mon choix était fait depuis longtemps au fond de mon cœur ! Je serais à vie, si telle est Sa Volonté, à Monsieur le Marquis d’Evans et à personne d’autre ! Comme si le Maître avait entendu mes pensées, Il brisa le silence :

- Bien ! Je t’ai laissé le temps de réfléchir ! Mets-toi à genoux devant moi et baisse la tête ! (ce que je fis immédiatement) veux-tu partir ? Réponds seulement avec la tête ! Veux-tu quitter notre monde ou même simplement me quitter ? (je secouais énergiquement la tête de gauche à droite) Bien ! Acceptes-tu tout ce que cela implique d’être une soumise MDE attitrée ?… (je secouais la tête positivement) Bien ! Désormais tu n’es plus considérée comme novice ! Tout sera ren, plus intense, les règles, les sanctions, mais aussi les récompenses !

Tout ce que le Maître venait de dire, avait été annoncé d’une voix froide, distante. Mais à ce moment-là, Sa voix s’adoucit :

- Bien, Ma chienne ! Maintenant que cette mise au point a été faîte, trinquons !

Et Il prit son verre de chouchen pour le faire teinté contre ma gamelle. Je me dirigeais donc en quadrupédie vers celle-ci et lapait avec bonheur la semence de la personne qui comptait comme une des celles les plus importantes dans ma vie, et la seule qui soit commune à mes deux vies désormais !

- Bien et maintenant je veux profiter de Mon bien, de ce qui M’appartient, de ton corps qui reste Ma propriété ! dit-Il alors que je lapais encore.

Et j’entendis le bruit de sa fermeture éclair de nouveau et bientôt je le sentis s’enfoncer dans ma chatte trempée sans aucun préambule. D’un coup net, profond et rapide, Sa noble verge me pénétra ainsi, puis très vite, une fois bien lubrifiée naturellement par mes sécrétions vaginales, Il positionna Sa verge contre ma petite entrée secrète, (sauf pour Lui) et me pénétra le cul d’un grand coup de reins puissant !

- Pour fêter mon arrivée dans cette entreprise ainsi que ton embauche que j’ai signée avant de venir, tu es autorisée à jouir et à crier autant que tu le souhaites, Ma petite salope à MOI !

Je remerciais la vie qui avait fait que je vivais à la campagne, au milieu des champs et des prés de vaches ! Car le Maître, qui alternait changement de rythmes, de force et d’orifices, me fit jouir cinq fois de suite, et ces orgasmes, tous plus puissants les uns que les autres, me firent hurler de nombreuses fois ! Lorsque le Maître se fut vidé entre mes fesses, malgré mes membres tremblants, je n’attendis pas un ordre pour me retourner, me prosterner devant Lui, et le remerciais pour ces fulgurants orgasmes, pour le poste d’un emploi qui m’avait été attribué, pour Sa volonté de me soumettre encore plus aisément en entrant aussi dans une partie de ma vie vanille, celle qui est professionnelle...

(A suivre …)

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