La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°812)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°811) –

- Bien ! dit-Il d’une voix sèche. Maintenant j’ai faim ! Tu vas apporter tout le repas sur la table. Et voici le commencement de ma deuxième punition … Au lieu de partager ce repas avec moi, assise à mes côtés comme je l’avais prévu, tu vas passer sous la table, à quatre pattes, je t’interdis de changer de position, tes quatre membres devront toujours toucher le sol ! Tu vas me lécher et me sucer jusqu’à ce que je donne l’ordre de faire autre chose ! Et fais en sorte de me donner un maximum de plaisir, car ma semence, si elle veut bien sortir, sera ton seul déjeuner !

Je me dépêchais donc, me déplaçant au maximum à quatre pattes, ne me dressant sur mes genoux et éventuellement sur mes pieds que le temps d’attr les plats se trouvant trop haut pour que je puisse les prendre en respectant la position exigée par le Maître. Je posais donc tous les plats sur la table, qui était petite et carré. Le Maître s’installa, défit son pantalon et son boxer, et se mit à déjeuner tranquillement. Je m’empressais d’aller me positionner sous la table et m’appliquais donc à faire la meilleure fellation possible, je léchais, suçais, titillais avec amour et dévotion la noble verge de Celui à qui j’avais fait don de mon corps et de mon âme. Je la sentais gonfler, et se tendre, je l’avalais aussi profondément que possible en gorge profonde, quitte à avoir des hauts le cœur, que je maîtrisais pour Lui donner un maximum de plaisirs ! Mais en même temps, je ne pouvais m’empêcher d’être dubitative ! La sanction avait presque un goût de récompense, ça ne pouvait se résumer à cela ! Je me demandais donc ce qui allait m’attendre à la suite de ce moment tellement agréable, et je ne doutais pas que la suite le serait beaucoup moins ! Lorsque je sentis un giclement chaud et épais au fond de ma gorge, je le dégustais au maximum, sachant que je n’aurais droit à rien d’autre, à moins, pensais-je, de réussir à le faire éjaculer une seconde fois.

J’intensifiais encore mes mouvements, le membre reprenait rapidement sa vigueur, et alors que je pensais pouvoir atteindre mon but rapidement, le Maître me repoussa et recula sa chaise.

- Ne bouge surtout pas ! Ton repas était très bon, et ton dessert vraiment succulent ! Maintenant, passons aux choses sérieuses ! Après un bon repas, rien de mieux que de l’exercice pour digérer.

Je vis à Ses pieds qu’Il faisait le tour de la table. La table n’étant pas grande, ma croupe dépassait du côté opposé où le Maître avait mangé.

- Je vais te saillir comme jamais tu ne l’as été, sauvagement, bestialement comme si tu étais une chienne de rue en chaleur que le mâle prend, pénètre profondément à même le bitume ! Je ne veux pas t’entendre crier, mais Je veux t’entendre aboyer comme la chienne que tu es, à chaque fois que Je m’enfoncerai en toi ! J’exige à chaque coup de reins de ma part, un ‘’Ouah ! Ouah !’’

Le Maître se plaça alors derrière moi, et je sentis Sa verge se présenter devant ma rosette sans préambule. Il s’enfonça donc sans préparation, sauvagement comme Il l’avait annoncé et j’eus du mal à ne pas crier. J’oubliai d'aboyer surprise par cette sodomie si fulgurante, oubli vite rattrapé après une paire de claques sèches sur chacune de mes fesses. Bien sûr cela ne se reproduisit pas ! J'avais l'impression que le Maître cherchait à me traverser tellement Ses coups de reins étaient puissants ! Et pour accen le tout, à chaque va et viens, Il me tirait la tête en arrière en tirant sur ma laisse accrochée au collier qui me serrait juste sous le menton par la pression en arrière et failli m’. La position était d'autant plus inconfortable que ma tête était bloquée par le plateau de la table. La tension dans ma nuque était à la limite du supportable. J'étais partagée entre le plaisir excitant qui commençait à m'envahir, maintenant que mon petit trou était dilaté, la douleur de la prise de possession bestiale et de ma nuque semi étouffée ! Je sentais la jouissance qui montait mais je la retenais.
Je criais difficilement des ‘’Ouah ! Ouah !’’ égosillés. Monsieur le Marquis ne voulant pas m’ relâcha un peu de pression sur la laisse et ainsi je pus aboyer plus facilement mais parallèlement il accentua ses coups de boutoirs jusqu’à qu’Il se vida au fond de mes entrailles et se retira brusquement…

Le Maître fit le tour de la table, avant de m'ordonner de le nettoyer. Il m'entraîna alors à nouveau au milieu du salon, et, m'ordonnant l'immobilité totale, Il commence à me titiller le clito du pouce, tandis qu'Il commença à me doigter la chatte. En même temps, je sentis qu'Il faisait couler la cire d'une bougie, que je ne L'avais pas vu prendre ni allumer. Je serrais les dents pour ne pas bouger, ni crier. Au fur et à mesure, Il faisait pénétrer plus de doigts, jusqu'à arriver à faire rentrer son poing jusqu'au poignet. Je subissais le fist le plus délicieux et le plus excitant que j'avais connu ! Fistée en étant immaculée de cire. Ses mouvements étaient amples, de plus en plus rapide. Rapidement, je ne pus plus tenir l'immobilité, et je me retrouvais contrainte de supplier le Maître de me laisser jouir …

- Tu me désobéis à nouveau en ne te tenant pas immobile, alors que tu as déjà fauté par deux fois, donc tu vas avoir une troisième punition et de plus, si tu crois que je vais t'autoriser à jouir, petite salope en chaleur ? Non tu n'en auras pas le droit ! Tu ne mérites absolument pas de jouir, quand on faute, on doit subir la sanction et accepter ses conséquences, dit-Il d'une voix forte et glaciale. Non, tu ne le mérites pas, je le répète … J’ai dit !

Cela dit, Il ne s'arrêtait pas pour autant, et j'avais de grosses difficultés à contenir les vagues de plaisir qui voulaient me submerger ! Monsieur le Marquis se retira assez brusquement, et il fallut que je me morde au sang pour ne pas jouir… J’étais si trempée que son poing était trempé de ma cyprine ! Alors il m’ordonna de lui nettoyer sa main, chaque doigt avec ma langue, ainsi que le dessus de la paume.
Je m’appliquais le plus possible à lécher ma propre mouille par des coups de langues dignes d’une petite chienne. Une fois terminée, il s’exclama :

- Bien maintenant passons à la troisième et dernière punition, en espérant que cette fois, tu ne fautes pas pour en mériter une quatrième. Je te veux parfaitement obéissante … Tu vas subir l’humiliation via cette punition, ça t’apprendra à ne pas fauter :

Je n’ose bouger appréhendant cette nouvelle sanction, alors Monsieur le Marquis, de ses deux doigts, soulève mon visage par le menton quand j'entends le cliquetis de ma laisse. Je suis brusquement tirée sur le côté et un ordre bref retentit, ses yeux bleus et profonds me fixant, plongeant puissamment dans les miens, ce qui m’oblige à conserver son regard Dominateur :

- A quatre pattes, lève une jambe arrière et pisse sur le carrelage tout en aboyant, comme une véritable chienne. Exécution !

Je suis troublée par cet ordre si rabaissant, si humiliant. C’est effectivement une punition peu commune mais j’obtempère au plus vite afin de ne pas mériter une quatrième punition. Le problème est que je n’ai pas envie d’uriner et j’ai beau lever la jambe, rien ne veut s’expulser de ma vessie. Un véritable blocage.

- Tu te débrouilles comme tu veux, je t’accorde une minute pour que ton cerveau commande l’ouverture de ta vessie. Sinon, j’estimerai que tu n’as pas pu honorer cette punition et la sanction commuée sera alors beaucoup plus terrible, je te tournerai le dos durant un mois entier sans que tu ais de mes nouvelles.

Je suis comme tétanisée rien qu’à l’idée que le Maître ne daigne pas me donner signe de vie durant 4 semaines. Ce serait une sanction beaucoup plus terrible en effet. Alors, je me concentre en fermant les yeux, je pense fortement que je dois uriner, je décontracte tous mes muscles génitaux, jusqu’à la 55 ème secondes (ouf !) où un peu d’urine s’écoule de mon sexe pour s’étendre sur le sol.
Certes, ce n’est pas la grosse flaque mais au moins j’ai pu uriner un peu de liquide doré, environ l’équivalent d’un petit verre, c’est peu mais mieux que rien du tout. Je n’ai à peine rabaissé ma jambe toujours en quadrupédie, quand j’entends le Maître me dire sèchement :

- Et maintenant en levrette, tu lèches ainsi le sol, tu ne vas pas laisser ta pisse de chienne souiller ton beau carrelage. Avale tout, jusqu'à la dernière goutte en me montrant comment tu déglutis et tu savoures ta pisses … Tu as de la chance, tu n’as que très peu uriné et donc ce ne sera pas très long à tout avaler ! …

L’humiliation est totale ! Lécher ma propre urine à 4 quatre pattes en levrette ! En effet, me voyant dans cette servile position d’un quadrupède en train de lécher le sol telle une véritable chienne de rue, je me sens très humiliée mais aussi paradoxalement de nouveau très excitée. Je ne sais pas pourquoi je suis tant émoustillée mais cette excitation humidifie ma chatte à vitesse grand V, elle m’inonde les parois vaginales en abondance. Et un plaisir immense m’envahit alors tout le corps, je me sens simplement à ma place, rabaissée, soumise, chienne… J’ai passé un véritable cap à l’obéissance totale à satisfaire pleinement le Maître. Cette dévotion absolue m’excite autant, sinon plus, que l’acte lui-même d’humiliation. Ma langue essuie méthodiquement le carrelage jusqu’à la dernière goutte, comme exigé. J’ai le gout amer de mon urine dans ma bouche et âpre à la gorge en avalant ma liqueur dorée, quand je sens une claque sur les fesses et un ordre laconique :

- Ca suffit comme ça, tu as bien nettoyé ton carrelage Ma chienne ! Bien ! Il est plus tard que prévu ! Il est 16h15, il te reste un quart d'heure pour te préparer à aller chercher tes filles. Je suis fort mécontent, nous devions parler de ton avenir professionnel et par ta faute nous n'avons pas eu le temps d'aborder ce sujet ! Tu auras donc rapidement de mes nouvelles ! Je te laisse donc pour le moment... Va vite t’habiller et récupérer tes s …

Et sans autre parole, sans un regard, le Maître quitta ma maison. Je me sentais humiliée mais paradoxalement heureuse de lui avoir apporté des jouissances même si j’avais fauté trois fois mais surtout de lui avoir obéi jusqu’à avoir réussi à en accepter l’humiliation. Mais je n'avais pas le temps de m'appesantir sur mon sort chocolat, ma vie vanille m'appelait ! …

(A suivre …)

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