De Délicieuses Vacances (Partie 1)

Je me garai sur le parking, soulagé que ce long voyage soit fini. J'étais venu en vacance dans le sud, sur la côte Atlantique, et il m'avait fallu de longues heures de trajet. Cependant, le trajet avait été assez facile, car je n'étais pas venu seul… Je me tournai vers mon copilote, ou plutôt ma copilote, et la secouai pour qu'elle se réveille.

« Katherine ? Katherine ? »

La belle ouvrit ses grands yeux marrons, et observa autour d'elle. « On est arrivés ? »

« Oui, enfin, ça va être de bonnes vacances. »

Elle s'étira, et sourit en se penchant sensuellement vers moi : « oh oui, toi et moi seuls tous les deux pendant 10 jours… Il va y avoir du sport. Je vais à l'accueil, je reviens. »

Elle sortit de la voiture, et alla à l'accueil. J'en profitais pour la regarder s'éloigner de moi de sa démarche lascive et sensuelle, qui mettait son merveilleux cul en valeur. Avec un sourire, je me dis que ces vacances allaient être délicieuses : Katherine était mon plan cul régulier depuis maintenant deux ans, et pour les grandes vacances, elle m'avait invité dans un camping où elle avait l'habitude d'aller. La famille de Katherine était tout ce qu'il y avait de plus riche, suffisamment pour que leur fille puisse amener son plan cul en vacances dans un camping passablement cher. Mes parents avaient été un peu gênés de cette invitation, mais avaient fini par accepter. Bien qu'un peu gêné moi aussi (se faire inviter tout frais payé a toujours quelque chose d'un poil embarrassant), j'étais ravi d'être là : Katherine en plus d'être mon plan cul régulier, était hyper sexy : brune, de taille moyenne, des fesses à tomber par terre, et une poitrine affriolante (95C). En plus de ça, elle était hyper douée au lit, une vraie déesse. J'avais donc toutes les raisons du Monde de m'attendre à passer de délicieuses vacances. Ce que j'ignorais, c'est qu'elles allaient être encore bien meilleur que prévu.

Un fois enregistrés auprès de l'accueil du camping, nous allâmes nous installer dans notre bungalow.

Pendant que je finissais de nous installer, Katherine prenait l'air sur la terrasse. Je l'y rejoignis, et la vis, debout sur la terrasse entrain d'observer quelque chose avec grand intérêt. Je suivis son regard et vis… sur la terrasse du bungalow d'à côté, un très beau garçon, grand (une tête de plus que moi environ), blond, un torse nu très musclé, et de beaux yeux verts. Katherine tourna la tête vers moi et avec un petit sourire dit :

« Je te préviens, je vais me le faire. »

« Je croyais que ton style de mec c'était plutôt les bruns aux yeux bleus ? »

Katherine éclata de rire « oh j'adore les mecs comme toi mon grand, mais de temps en temps faut un peu changer... T'es pas jaloux au moins ? »

Même si j'éprouvais en fait une pointe de jalousie, je tâchai de la réprimer : « non t'inquiète, on est pas en couple, tu peux te taper qui tu veux… par contre, j'espère que t'auras du temps pour moi ».

Elle vint vers moi, et enroula ses bras autour de moi « j'ai toujours du temps pour toi mon chéri... »

Elle m'embrassa légèrement avant d'ajouter : « prépare nos affaires pour la plage, pendant que je vais faire connaissance avec notre voisin... »

Avec un sourire, je m'exécutai, tandis que Katherine discutait avec le beau blond. D'après ce que j'entendais, il devait être allemand, et le moins qu'on puisse dire, c'est que Katherine semblait maîtriser parfaitement cette langue. Elle revint un peu plus tard, un sourire coquin que je connaissais très bien aux lèvres.

« Alors t'as accroché avec notre voisin germain ? »

«Il s'appelle Hans pour info, et oui j'ai bien accroché…Je sens qu'il est plus qu'intéressé. En tout cas, il veut bien nous rejoindre à la plage, il attend juste sa copine. »

« Sa copine ? C'est pas bon pour toi ça. »

« C'est pas vraiment sa copine, d'après ce que j'ai compris, c'est son plan cul. Pendant que je me taperai Hans, toi t'auras qu'à la sauter, comme ça pas de jaloux.
 »

« J'espère qu'elle est sexy. »

« Rêve pas mon grand, elle sera pas aussi sexy que moi. »

Je ne répondis pas, me contentant de lever les yeux au ciel. Dix minutes plus tard, nous étions arrivés à la plage. Katherine retira ses vêtements, ne gardant qu'un bikini noir, qui mettait terriblement bien en valeur son corps de déesse. Quand nous arrivâmes sur la plage, beaucoup de gens, surtout des garçons (mais pas que), tournèrent la tête vers elle. Je ne savais pas trop si je devais être gêné, ou fier d'être le plan cul régulier d'un canon comme Katherine.

Nous étions sur la plage depuis un moment, étendus sur les tapis de plage entrain de bronzer, quand Katherine reçut un sms. « Ah, dit elle, Hans arrive. »

Machinalement, je tournai la tête, vers l'entrée de la plage, et ce que je vis, me laissa coi. Hans se dirigeait vers nous, un petit sourire aux lèvres, mais il n'était pas seul. Il était accompagné d'une blonde de grande taille qui était également fine, et dotée de courbes ultra généreuses. Ceux qui avaient mâté Katherine sur son passage tout à l'heure, tournèrent à présent la tête vers elle, la même expression de désir dans les yeux. Il faut dire qu'elle était vêtue d'un bikini bleu, qui mettait parfaitement en valeur son corps de déesse scandinave.

Mais ce qui me frappa surtout, c'est que je connaissais déjà cette fille : je l'avais rencontrée six mois plus tôt lors de mes vacances au ski (voir le récit « la belle inconnue du ski »). Comme je savais qu'elle venait d'Europe du Nord (j'ignorais de quel pays précisément), je ne pensais pas alors la revoir un jour, j'étais ravi de voir que je m'étais trompé. Lorsque la belle posa ses yeux sur moi et me reconnut, un large sourire illumina son magnifique visage, et je lui souris en retour. A côté de moi, Katherine était moins enchantée.

« C'est qui cette fille ? Demanda-t-elle, un soupçon d'agressivité dans la voix. »

« Ca doit être la copine de Hans, et tu sais, ce qu'il y a de drôle c'est que.
.. »

Je fus interrompu par l'arrivée du couple. Hans adressa un grand sourire à Katherine, quant à la bonde, elle s'agenouilla sur le tapis de plage, juste à côté de moi, et fit un grand bisou sur la joue. Elle se mit à me parler dans sa langue, mais bien évidemment, je ne comprenais rien de ce qu'elle disait.

« Tu la connais ? Demanda Katherine. Parce qu'elle dit qu'elle est ravie de te revoir... »

« Euh… elle parle allemand ? Dis-je étonné. » Je n'avais pas imaginé que ma mystérieuses skieuse venait d'Allemagne.

« Non, elle parle suédois. »

Ainsi donc, ma belle inconnue venait de Suède. Un peu étonné que Katherine comprenne cette langue, je dis à la blonde :

« Je suis ravi de te revoir moi aussi. »

Dans un suédois excellent, Katherine fit la traduction. La blonde sourit, et ajouta quelque chose qui fit froncer les sourcils de Katherine. Après quoi, elle repartit avec Hans, non sans m'adresser un dernier grand sourire, nous laissant seuls, Katherine et moi. En s'éloignant, elle attira avec elle les regards de tous les touristes nous entourant.

« C'est officiel, grogna Katherine, je déteste cette fille. »

Je jetai un coup d'oeil amusé à la brune, et la taquinai : « Tu serais pas jalouse toi ? »

« Absolument pas, répliqua-t-elle d'un ton encore plus grognon. »

J'éclatai de rire, mais ne relevai pas. J'étais amusé de voir comment Katherine ne supportait pas la moindre concurrence. L'après midi touchait à sa fin, et après m'être baigné, je décidai de rentrer en bungalow. Katherine étant toujours de mauvaise humeur, elle ne me raccompagna pas, et resta sur la plage. Je ne m'en plaignais pas, heureux d'échapper à son humeur bougonne. Katherine ne se mettait pas souvent en rogne, mais en deux ans passés avec elle, j'avais appris que quand ça arrivait, il fallait mieux se tenir loin d'elle.

Je rentrai dans notre bungalow, et j'y restai seul un bon moment.
Comme le soir approchait, je me mis à préparer le dîner. Katherine revint un peu près à ce moment là. Je lui jetai un coup d'oeil tout en cuisinant, et vis qu'elle avait l'air de bien meilleure humeur.

« C'est officiel, claironna Katherine, j'adore cette fille ! »

Là je dois avouer que je fus surpris. Laissez moi vous expliquer ce qui s'est passé. Après que je sois parti de la plage, Katherine est restée seule un moment. Seulement, très vite, elle fut rejointe par ma belle blonde, qu'Hans avait délaissée. Toutes les deux commencèrent à discuter, et Katherine se rendit compte qu'elle était très sympa. Après ça, elles allèrent toutes les deux au centre commercial du camping, histoire de flâner. Pour l'occasion, elles s'étaient rhabillées, Katherine portait à présent un débardeur bleu foncé et un mini short et des lunettes de soleil, tandis que la blonde avait enfilé un t-shirt blanc très moulant, et avait gardé en bas sa culotte de bikini. Tout en flânant, elles léchaient chacune une glace, et se jetaient des petits coup d'oeil furtif. Chacune appréciait la beauté de l'autre, et son sex-appeal. Vous vous doutez bien qu'avec deux filles aussi sexy, et aussi dévergondées les choses se corsèrent rapidement. Katherine ne m'expliqua pas exactement comment les choses arrivèrent, mais cinq minutes après avoir fini leurs glaces, elles eurent envie de se lécher autre chose… Arrivées devant la voiture de Katherine, elles s'observèrent un moment, avant de soudainement passer à l'action. Katherine saisit la Blonde par la taille, la Blonde lui enlaça le cou. Elles s'embrassèrent furieusement, chacune laissant libre cours au désir qui l'assaillait depuis un moment déjà. En hâte, Katherine ouvrit la porte de sa voiture, et s'assit sur le siège. La belle suédoise vint sur elle, et elles reprirent leur baiser, plus furieusement que jamais. La Blonde retira d'un coup sec le short de Katherine, puis le bas de son maillot, avant de lui dévorer l'intimité. Elle tournoyait sa langue telle une furie, et la belle brune se sentit décoller au 7ème ciel, et poussa un gémissement incontrôlé. Jamais personne ne lui avait fait un cuni aussi délicieux, à chaque mouvement de langue de la Blonde, une vague de plaisir la submergeait. Par pure habitude, Katherine eut envie de diriger le cuni, et posa sa tête sur la Suédoise, cherchant à lui imposer son rythme. La belle nordique lui saisit les poignets, et les plaqua contre le siège de la voiture. Elle accéléra ensuite le rythme diabolique de ses coups de langue, faisant vibrer Katherine des pieds à la tête. Celle ci se dit alors qu'après tout, se laisser faire pourrait être bien étant donnée la situation et la plaisir qu'elle en tirait. Lorsque la Blonde eut fini son cuni, elle se redressa, et embrassa langoureusement Katherine, tout en la doigtant avec vigueur. Les doigts experts de la Blonde firent littéralement hurler Katherine, qui se secoua dans tous les sens, le corps en feu. La tenant par le cou, la belle Suédoise accéléra encore ses assauts, jusqu’à ce qu’une immense vague de plaisir parcourt le corps de Katherine, emportant tout avec elle, et la faisant jouir à fond. Katherine poussa un hurlement, eut un spasme terrible, et s’écroula, épuisée sur le siège de la voiture. La Blonde s’assit contre le dossier du siège, en se pelotonnant contre Katherine.

« C’est la première fois que je baise une française… dit elle. J’avais déjà baisé ton mec il y a six mois, c’était mon premier français. Je crois que j’adore vous faire des choses à vous les français, je viendrai souvent en vacance ici... »

« Hmm tu es la bienvenue ! »

Vous l’aurez compris, la hache de guerre était définitivement enterrée entre Katherine et la Blonde (même si elle avait pas vraiment été déterrée). En me racontant ça, Katherine avait un sourire radieux, de celle qui est aux anges.

« Donc tu lui en veux plus d’être aussi sexy que toi ? Lui demandai-je. »

« Non. Elle a de plus gros seins, mais j’ai de plus belles fesses, ça équilibre. Et puis elle est sexy, bi-sexuelle, et suffisamment douée pour me combler, on est faites pour s’entendre. »

En même temps qu’elle me racontait tout ça, je continuais ma cuisine, lui tournant le dos. Soudain, je la sentis derrière moi. Elle m’effleura le dos, et je bandais immédiatement.

« J’en connais un autre qui est doué et sexy, souffla-t-elle en se collant à moi. »

J’avais envie de me retourner tout de suite, et de la prendre sauvagement, mais je sentais qu’elle était d’humeur joueuse, et je voulais entrer dans son jeu.

« Ah oui ? Qui ça ? »

Elle m’enlaça par la taille, ses mains effleurant mon sexe, et d’une voix sensuelle et moqueuse, elle me glissa à l’oreille :

« Hans... »

Ce fut la provocation de trop. Je lâchai d’un coup mes ustensiles de cuisine, pivotai soudainement, et saisit Katherine par les hanches. Je l’embrassai comme un fou, laissant libre cours à mon désir pour elle, toujours brûlant. Elle me rendit mon baiser avec passion, collant son visage contre le mien, mais c’est moi qui donnais le ton. Je profitais de ce moment pour dévorer son magnifique visage dont je ne me lassais pas, frissonnais au contact de ses douces lèvres tout en massant son merveilleux postérieur. Puis, soudainement, je la soulevai, provoquant chez elle un éclat de rire, qui se transforma en cri d’excitation lorsque je la plaquai contre la table. Je lui embrassai le décolleté avec avidité, la faisant haleter de plaisir. Décidé à la rendre fiévreuse, je lui massai les seins avec force, lui arrachant des petits gémissements. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et m’attira contre elle, sur la table. Elle me souffla à l’oreille « allons dans la chambre, je vais te faire des choses folles. » Elle appuya ses propos en me mordillant l’oreille. Je fus tellement excité que je vis littéralement rouge. Je la saisis, et la soulevant, je l’entraînai dans la chambre, l’embrassant comme un fou tout le long du trajet. Une fois dans la chambre, je la plaquai sur le lit, m’allongeant sur elle. C’est là qu’elle reprit le dessus. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me fit rouler, se juchant sur moi. Elle frotta ses merveilleuses fesses contre mon sexe, déjà à fond en érection, me faisant un bien fou. Puis, elle retira son short et son maillot ne gardant que son débardeur. Elle me retira ensuite le pantalon puis le caleçon, avant de s’empaler sur moi avec un gémissement d’extase. Elle démarra de puissants va-et-vient, allant d’avant en arrière à un rythme très élevé. Ce fut à mon tour de pousser un cri d’extase, ce qui tira à Katherine un sourire satisfait. Pendant qu’elle me chevauchait, je pus l’admirer : tout son corps était en action, ses hanches s’activaient, son ventre plat dansait, ses gros seins se balançaient, tandis que son beau visage rougissait sous l’effort et le plaisir. « Tu aimes ce que je te fais mon grand ? » Avec difficulté, je lui répondis « J’adore, tu vas me  ». Elle eut un sourire narquois, et ralentit le rythme, afin de pouvoir se pencher sur moi, et de m’embrasser fougueusement. Après quoi, elle se redressa, et se mit à se déhancher de gauche à droite à grande vitesse, secouant mon sexe dans toutes les directions, me faisant frémir de la tête aux pieds. « Tu kiffes comme ça ? » me lança-t-elle, « oh oui ! Répondis je », elle enchaîna alors une série de coups de reins de gauche à droite, tout en disant « et ça ? » « et ça ? » « et ça ? » ponctuant chacun de ses « et ça ? » par un coup de reins toujours plus violent. Je criais à fond, et répondais à chaque fois « oh oui ! », ce qui ravit Katherine. Elle commençait elle aussi à se sentir de mieux en mieux, gémissant à chaque fois plus fort. Elle se remit ensuite à me baiser d’avant en arrière, plus sauvagement que jamais, me secouant dans toutes les directions. Par pur réflexe, je voulus prendre ses hanches, juste pour avoir quelque chose à quoi me raccrocher dans cet ouragan, mais Katherine pensant que je cherchai à reprendre le dessus me colla une gifle, et accéléra encore le rythme de sa baise. Bordel ! Qu’est ce que j’aimais être baisé comme ça, avoir l’impression d’être violé. Le plaisir se mit à monter irrésistiblement en moi, je sentis tout mon corps se tendre de façon insupportable. Katherine me sentant défaillir accéléra encore le rythme pour la dernière ligne droite, plantant ses griffes dans mon torse. Je partis dans un orgasme magnifique qui me donna l’impression de sortir tout ce qu’il y avait en moi dans une délicieuse sensation. Impitoyable, Katherine continua de me baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse aussi, prolongeant au-delà de l’insupportable cette terrible jouissance. Lorsqu’elle eut son orgasme elle aussi, elle s’écroula sur le matelas, épuisée et hors d’haleine. Moi, j’étais presque évanoui.

Cette première journée de vacances commençait bien. A part que le temps que je me remette de l’orgasme monstrueux de Katherine, notre dîner eut le temps de brûler. Mais bon, premier jour, et déjà un orgasme à rester au plafond, ça valait le coup de manger du surgelé ! Une fois le repas avalé, nous allâmes nous coucher. Nous étions bien trop fatigués pour remettre le couvert pendant la nuit, et nous dormîmes paisiblement… A part que notre fenêtre donnait sur le bungalow voisin, ce qui nous laissa entendre Hans et la Blonde s’envoyer en l’air. Les cris durèrent un quart d’heure vingt minutes avant de s’interrompre. Ils reprirent tard dans la nuit. A part ça, je dormis à fond, et me réveillai le lendemain en pleine forme.

Dés que je m’éveillai, je notai l’absence de Katherine. Je jetai un coup d’oeil à l’heure : il était 9h du mat. Je me préparai mon petit dej, et m’installait sur la terrasse, savourant ce moment de tranquillité. Je reçus alors un SMS de Katherine : « Je suis à l’atelier gym avec nos voisins. Je reste après avec Hans… Mais t’inquiète pas, tu auras de la compagnie... » Avant que j’aie le temps de m’interroger sur ce que signifiait ce SMS, je sentis quelque chose de doux me chatouiller l’oreille. Je me retournai, et vis, penchée au dessus de moi la belle Blonde. Je restai un moment interdit : se faire surprendre par un si beau visage, ça laisse sans voix. Elle contourna la chaise, et vint devant moi, et mon air de stupéfaction s’agrandit : elle était ultra sexy, vêtue d’une brassière blanche qui dévoilait largement son ventre plat, et moulait son imposante poitrine. Elle portait aussi un leggins qui mettait en valeur ses fesses de folie. Elle resta un moment devant moi, me laissant l’admirer, avant de se jeter sur moi soudainement.

Elle s’installa sur moi, et colla sa poitrine contre mon torse, tout en enroulant ses bras autour de ma nuque, et en m’embrassant fougueusement. Je la serrai contre moi, frissonnant à ce contact, et lui rendis son baiser avec passion. Nous nous séparâmes quelques instants, le temps de nous dévisager.
Je sentis le désir s’installer entre nous, nous nous souvenions tous les deux de notre folle baise au ski, et savions donc à quel point ça allait être bon… Incapables de nous arrêter plus longtemps, nous nous jetâmes l’un sur l’autre, reprenant notre furieux baiser. La belle suédoise me retira mon pantalon, et m’arracha mon caleçon sans plus de cérémonie. Après quoi, elle s’agenouilla devant moi, et me prit le sexe en bouche. Elle se mit à aller et venir de haut en bas, me suçant divinement bien me pompant avec force, avant de s’interrompre et de me lécher le gland de manière délicieuse. Elle se mit ensuite à me branler avec force, me malmenant le sexe en me regardant dans les yeux, avant de reprendre sa fellation soudainement. Elle enchaîna plusieurs minutes de fellation, ne s’interrompant que pour me lécher de bas en haut avant de reprendre sa sucette, toujours plus sauvagement. Je finis par crier « putain tu suces tellement bien ! » Elle ne comprit pas ce que j’avais dit, mais eut un sourire quand même en entendant ma voix crispée par le plaisir.

Elle se releva, et retira son leggins, puis son shorty, avant de venir s’empaler sur mon sexe. Aussitôt, une puissante décharge de plaisir se répandit en moi, qui augmenta encore lorsque la Blonde se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, me culbutant fortement, et me faisant un bien fou. Elle me tenait par les épaules, me regardait dans les yeux, et gémissait sans s’interrompre, tandis que ses énormes seins s’agitaient sous sa brassière. Elle me fit sucer un de ses doigts, tout en accélérant le rythme de ses assauts, si bien que j’eus l’impression d’arriver au Paradis. Après que j’eus sucé son doigt, elle m’embrassa avec force, et je lui rendis son baiser jusqu’à en perdre le souffle, tout en plongeant ma main dans sa chevelure dorée. Pendant notre baiser, elle me donna quelques coups de reins circulaires, qui me firent gémir pendant que je l’embrassais. Elle était incroyablement douée. Elle rompit notre baiser, et s’écarta un peu de moi, prenant du recul pour m’admirer pendant que je gémissais sous ses assauts. Elle me dit des choses en suédois que je ne compris pas, mais je perçus une note moqueuse dans son ton et son sourire. Elle me baisait, et visiblement, en profitai pour me narguer. Une pointe d’orgueil me traversa alors, et je lui lançai « je vais te montre que je suis un vrai mec, ma petite. »

Je la soulevai d’un coup, et la portai jusqu’à une chaise longue, sur laquelle je l’installai à quatre pattes. Je la saisis par les hanches, et me mis à lui administrer de puissants et sévères coups de reins en levrette. Je commençai par aller sur un tempo puissant mais mesuré, lui infligeant de profonds coups de reins qui cognaient le fond de son intimité. Elle se mit à gémir doucement, tandis que je frissonnais à chacun de mes allers-retours. Je décidai ensuite d’augmenter la cadence, et me mis à aller et venir de plus en plus vite, la mitraillant furieusement. Ces gémissements devinrent de véritables cris, ce qui m’encouragea à aller encore plus vite et plus fort, lui infligeant des coups de reins puissants qui s’enchaînaient à un rythme infernal. J’admirais en même temps son corps de rêve, ballotté par mes assauts, je me délectai de chaque frémissement qui la parcourait. Je lui claquai les fesses m’émerveillant de leur rondeur, me penchait en avant pour masser ses merveilleux seins par dessus sa brassière. Je me réjouissais de baiser sauvagement un corps si parfait, et ça me motivait pour accélérer encore et encore le rythme. La belle suédoise devenait complètement folle, se tortillait dans tous les sens et hurlait son plaisir à pleine voix. Je la sentis se raidir, elle était proche de l’orgasme. J’accélérai encore le rythme, donnant tout ce que j’avais, la baisant jusqu’à être hors d’haleine, mon sexe limant son intimité avec force. Elle explosa dans un orgasme merveilleux qui la fit s’écrouler sur la chaise longue. Je me retirai d’elle, et pris le temps de l’admirer : elle était étendue sur la chaise longue, le souffle court, et elle me regardait avec un air très excitant. Son visage était vraiment magnifique, j’adorais la lueur perverse qui faisait briller ses yeux bleus clair. Je décidai par pure perversité de souiller ce visage angélique, et prenant mon sexe en main, je me mis à me branler devant son visage. Elle sourit, comprenant où je voulais en venir, et sa main rejoignit la mienne pour une branlette de toute beauté. Elle me tenait le haut du sexe, et me branlait rapidement, insistant sur la zone ultra sensible en dessous du gland, me faisant frémir, tandis que moi, je me branlais le bas de mon sexe, nos mains se cognaient fréquemment. Le plaisir augmentait en moi, et je me sentis envahi par une vague brûlante qui ne tarda pas à me faire lâcher dans un terrible frisson de plaisir tout ce que j’avais en moi sur le merveilleux visage de la Blonde, qui fut copieusement maculé. 

Ravi, je m’écroulai sur la chaise longue aux côtés de la Suédoise, qui vint se pelotonner contre moi. Nous restâmes ainsi un moment, jusqu’à ce que Katherine et Hans reviennent. Hans avait un air comblé, mais je vis que Katherine faisait un peu la moue. Lorsque Hans et la Suédoise rentrèrent dans leur bungalow, je questionnai Katherine :

« Alors, c’était comment ? »

Katherine fit une grimace « C’était bof… Vu son physique, je m’attendais à mieux. »

Je retins un petit sourire. Je dois avouer, que j’étais soulagé de penser que Hans ne m’éclipsait pas dans l’esprit de Katherine. Alors que je rangeais la table, celle-ci reçut un SMS. Curieux, je demandai :

« C’est qui ? »

« C’est ta Blonde chérie… Elle me dit que tu l’as envoyé au septième ciel tout à l’heure… T’es fier de toi ? »

J’étais en effet on ne peut plus ravi. « Oh c’était pas grand-chose, dis je en essayant de rester modeste. »

« N’empêche qu’elle crève d’envie de recommencer. Je sens qu’on va passer le séjour à se disputer tes faveurs... »

Je ne pus retenir un sourire sous le compliment. Mais toujours modeste j’ajoutai « Y a Hans quand même, vous aurez pas à vous disputer. »

« Mouais… Hans serait une maigre consolation. »

En entendant ça, je me sentis complètement rassuré, et en même temps très fier de moi. Je n’avais donc pas à souffrir de la concurrence allemande visiblement, c’était une sacré bonne nouvelle !

En fin de matinée, nous décidâmes, Katherine, Hans, la Blonde et moi d’aller à la plage. Alors que je finissais de préparer les affaires, je vis Katherine et la Suédoise tirer à pile ou face pour une raison mystérieuse. Je vis Katherine faire un grimace déçue, tandis que la Blonde semblait ravie. Je n’eus pas le temps de demander ce qu’elles faisaient cependant, nous partîmes tout de suite après. Katherine conduisit (c’était sa voiture), Hans était assis à côté d’elle, tandis que la Blonde et moi, étions tous les deux à l’arrière. J’étais on ne peut plus excité : Katherine était vêtue d’une débardeur noir, et ne portait en bas que son bas de bikini, si bien que ses longues jambes étaient dévêtues. Elle portait des lunettes de soleil, ce qui la rendait très classe et sexy. Quant à la Suédoise, elle ne portait qu’un bikini bleu, dévoilant largement son corps de déesse. J’avais envie de les prendre toutes les deux, là tout de suite, mais ne pouvait que ronger mon frein, pour l’instant. Moi même, je n’étais vêtu que d’un maillot de bains, et je dois dire que Katherine me jetait de fréquents coups d’oeil dans le rétroviseur, tandis que la Blonde me mâtait fréquemment…

Lorsque nous arrivâmes au parking de la plage, je voulus tout naturellement descendre de la voiture. C’est alors que la Blonde m’arrêta en me saisissant le poignet.

« Qu’est ce que tu fais ? Lui demandai-je. »
J’étais trop étonné pour me souvenir qu’elle ne me comprenait pas.

« Elle t’a gagné mon grand, elle veut pas te voir t’en aller. Expliqua Katherine. »

« Elle m’a gagné ? Dis-je sans comprendre. »

« On a tiré au sort pour savoir qui baiserait qui. Elle a gagné, donc c’est toi qu’elle va baiser. Moi je vais me faire Hans. »

Ainsi, j’étais le premier prix, tandis que Hans était le lot de consolation. C’était flatteur. La Suédoise, me tira vers elle, et vint sur moi. Elle se mit à m’embrasser le cou et le torse. Je protestai en m’adressant à Katherine :

« Mais on va pas le faire ici ! Y a plein de monde sur le parking. »

« Les fenêtres de ma voiture sont teintées… Personne ne nous verra à l’intérieur ! »

Sur ce, elle vint se mettre sur Hans, et se mit à l’embrasser. Surpris, il lui rendit son baiser, tandis que Katherine se frottait contre lui. Mais je dus bientôt me concentrer sur autre chose : la Blonde devenait de plus en plus pressante dans sa façon de m’embrasser le cou, et je me mis à lui masser les fesses avec vigueur. Souriante, elle m’embrassa langoureusement, me tenant par la nuque, et je sentis mon sexe se raidir à fond… Elle le sentit elle aussi, si bien qu’elle se mit à genoux devant moi, et me retira mon maillot de bains. Elle prit mon sexe à pleine main, et l’enfonça dans son énorme poitrine, sans même retirer son maillot. Elle se mit à aller et venir rapidement, faisant coulisser mon sexe entre ses merveilleux seins. C’était chaud, c’était doux, et plus que tout, c’était délicieux, mon sexe était compressé et secoué, et je vibrais sous le plaisir qu’elle m’infligeait. La Blonde me regardait droit dans les yeux, comme pour me défier du regard, et cela m’excitait terriblement. Elle prenait ses seins avec ses mains pour me presser le sexe plus fort, me donnant l’impression d’être au Paradis… ou en Enfer. A l’avant de la voiture, Katherine poursuivait ses préliminaires avec Hans, l’embrassait sauvagement, tout en se déhanchant sur lui, frottant ses fesses contre son sexe, rendant l’allemand complètement fou. Pendant ce temps, ma belle Suédoise accélérait le rythme de sa branlette, si bien que je vis des étoiles danser devant mes yeux. Mon sexe était malmené par sa belle poitrine, et lorsque le bout de mon engin ressortait, elle se mettait à le lécher avec avidité, me faisant trembler de la tête aux pieds. Comme lors de notre première rencontre, les préliminaires étaient trop bons, et je décidai d’y mettre un terme.

Je la relevai, et la fis s’allonger sur la banquette, ses jambes sur mes épaules. Je la pénétrai fortement, et me mis à la baiser dans la position de l’enclume. J’allais et venais en elle à un rythme élevé, la pénétrant profondément à chaque coup. Les préliminaires m’avaient beaucoup excité, aussi j’allais directement à un rythme très élevé, comme si je cherchai à la faire jouir tout de suite. Je me mis à masser ses merveilleux seins à travers son bikini, faisant frémir ma belle Suédoise. Plus je la sentais frémir et l’entendre gémir, plus j’étais excité, et plus je la baisais fortement, on était dans un délicieux cercle vicieux. Je me mis à la saisir par le cou pour l’obliger à me regarder droit dans les yeux, et me mis à lui donner des coups de reins plus forts, tout en la toisant d’un air supérieur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, pour me serrer contre elle : elle voulait que je la baise plus fort encore. Je m’exécutai, la tenant par les poignets, je me mis à la limer avec force tout en tenant mon visage à quelques centimètres du sien. Elle adorait être traitée ainsi, elle se mit même à me mordiller le menton pour m’exciter d’avantage : opération réussie, j’étais plus déchaîné que jamais, je bombardais son merveilleux corps de gros coups de reins, qui la faisaient gémir à pleine voix. Je sentis son corps se cambrer sous le plaisir, et dans une explosion de cris, elle eut un orgasme.
Malgré sa jouissance, elle n’était pas rassasiée : me poussa et me fit m’asseoir sur la banquette. Puis, elle vint s’empaler sur ma queue en me tournant le dos. Elle se mit à sauter sur mon sexe comme une folle, rebondissant dessus comme sur un ressort. Le plaisir augmentait brutalement en moi à chaque coup. Je ne tardai pas à pousser de grands cris, et à vibrer de la tête aux pieds. Comme moi tout à l’heure, plus elle m’entendait gémir, plus elle me baisait sauvagement. Elle bondissait de plus en plus vite sur moi, et moi je prenais mon pied comme jamais, tout en admirant son merveilleux cul en action. Par dessus l’épaule de la Suédoise je vis Katherine qui se déchaînait sur Hans le chevauchant à grande vitesse. Pendant ce temps, ma belle Suédoise se mit à changer de technique : elle se mit à se déhancher de gauche à droite, malmenant mon pauvre sexe, me donnant l’impression de fondre sur place tant elle me faisait du bien. Elle dansait sur moi comme si elle pratiquait une danse orientale, et voir son corps en mouvement me faisait presque autant de bien que le reste. Je saisis ses seins et les massais fortement, la faisant gémir doucement. Tout en la tenant par la poitrine je la fis bouger à mon rythme, tout en donnant des coups de reins par en dessous. Excitée par cette initiative, elle augmenta la cadence de ses propres assauts, et j’eus l’impression de décoller au septième ciel. Le plaisir se transforma en désir ardent, et j’augmentais le tempo de mes assauts, jusqu’à atteindre un rythme très élevé. Elle se mit à pousser de véritables cris d’extase, et lorsque je me mis à lui titiller son clitoris avec une main, ses cris devinrent des hurlements. Son corps se cambra une fois de plus, et elle explosa dans un nouvel orgasme dévastateur.

Je notai alors que Katherine en avait fini avec Hans : elle nous observait, avec un air d’envie, surtout quand elle vit la Blonde se tourner vers moi, et s’empaler une fois de plus sur mon sexe, de face cette fois ci. Elle se mit à me chevaucher très sauvagement, me tenant par le cou et me regardant droit dans les yeux. Elle me donnait de puissants coups de reins d’avant en arrière, très secs, me culbutant contre le dossier de la banquette. Elle accélérait progressivement le rythme de ses assauts, et je sentis le plaisir monter horriblement en moi, et s’intensifier, encore et encore à chacun de ses coups de reins. J’adorais qu’elle me baise ainsi, notamment pour la vue : elle me regardait droit dans les yeux, son visage d’ange diabolique rougi par l’effort, ses yeux bleus brillant d’une lueur vicieuse, ses hanches se secouant dans toutes les directions pour me faire jouir, son ventre plat s’agitant plus que jamais, mais surtout sa volumineuse poitrine qui se secouait juste sous mon nez, sous son bikini. Je voulus la saisir et la masser, mais la Suédoise me saisit les poignets, et me les plaqua contre le dossier de la banquette, avant d’accélérer brutalement le rythme, se remettant à sauter sur mon sexe comme une folle. Je me mis à crier à fond, en sentant le plaisir me submerger. Mon corps se raidit, ma vision se brouilla, et je compris que j’allais avoir mon orgasme… Quand soudain, la Blonde ralentit fortement le rythme, un sourire coquin aux lèvres. Elle voulait me frustrer, la garce. Je dégageai mes mains, et la saisit par les hanches, bien décider à la renverser, et la baiser jusqu’à jouir. Mais elle ne se laissa pas faire, elle enroula ses bras autour de ma nuque, et me colla la tête contre son buste, tout en m’enserrant avec ses cuisses. Nous étions collés l’un à l’autre, et avant que je ne puisse faire quoique ce soit elle se mit à se déhancher de gauche à droit très rapidement. J’eus l’impression d’être en ébullition : j’étais complètement nu, et elle ne portait que son haut de bikini, nos peaux nues se frottaient l’une contre l’autre à fond, nous incendiant littéralement. Pire, la vague de plaisir qui tout à l’heure menaçait de me submerger s’était transformé en tsunami. Le déhanché de la belle Suédoise secouait ma bite dans toutes les directions, l’enfonçait en elle, et me faisait gémir de plaisir. Elle me tira par les cheveux, et m’obligea à la regarder dans les yeux, et se mit en même temps à sauter sur mon sexe en se contractant, de façon à enserrer ma queue terriblement. Elle me défiait du regard en même temps, et je chavirai sous le plaisir qu’elle m’infligeait. Dans un grand cri, nous eûmes tous les deux un terrible orgasme, qui nous fit nous écrouler sur la banquette, essoufflés mais au combien ravis.

Nous prîmes quelques minutes pour nous remettre de cette baise endiablée. Après quoi, nous sortîmes de la voiture, pour aller à la plage. Katherine vint vers moi et me dis

« Notre amie a eu de la chance de t’avoir… Elle a eu trois orgasmes, et moi aucun... »

« Hans n’a même pas pu te faire jouir une fois ? »

« Non, je l’ai chevauché trop bien, et il a joui trop vite. »

Elle paraissait assez agacée, et je sentais qu’elle était insatisfaite.

« Tout à l’heure, je m’occuperai de toi, lui dis-je, orgasme assuré ! »

Elle sourit et me fit un clin d’oeil. Une fois arrivés à la plage, nous nous installâmes tous les quatre. Deux heures passèrent, entre bronzette au soleil, nage dans la mer, et sieste sur le tapis de plage. Seulement, quelque chose d’autre que le soleil ne tarda pas à me chauffer : voir Katherine et la Suédoise en bikini, se baigner, courir sur la plage (bonjour les poitrines qui se secouent), mâter leur magnifique derrière, et les voir étendues lascivement au soleil ne tarda pas à me donner une furieuse envie de baiser, surtout Katherine que j’avais promis de faire jouir. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je m’approchai de la brune, et lui dis :

« J’aimerais bien qu’on se trouve un coin tranquille tous les deux… j’ai une promesse à tenir après tout, tu te souviens ? »

En guise de réponse, Katherine se mit à m’embrasser langoureusement, et je dus me retenir très fort de ne pas la prendre sur le champ, devant tout le monde. Pendant que nous nous embrassions, la Blonde et Hans revenaient d’une nouvelle baignade. Katherine dit à haute voix :

« On va aller sur la dune là haut, personne ne nous verra, et personne n’y va. »

Elle traduisit en suédois et en allemand, ce qui tira un sourire coquin à la Blonde et à Hans. Tous les quatre, nous nous éclipsâmes donc discrètement. Une fois arrivés au sommet de la dune, Katherine se remit à m’embrasser, avec encore plus de fougue cette fois ci. La Suédoise se mit à embrasser Hans, et je ne pus m’empêcher de noter qu’elle le faisait avec moins d’enthousiasme… Aurait elle préféré que ce soit moi qui m’occupe d’elle ? Je n’eus guère le temps de m’interroger d’avantage, car Katherine devenait de plus en plus pressante dans ses baisers. Je l’enlaçais et lui rendais son baiser avec toute la fougue dont j’étais capable. Je la sentais devenir bouillante entre mes bras, et avais hâte de passer à la suite. D’expérience, je savais qu’il ne fallait jamais faire traîner les choses quand on avait une Katherine affamée entre les bras. Je la saisis donc par les hanches, et la fis tomber sur le sable, avant de la retourner et de la mettre à quatre pattes.

Elle poussa un gémissement d’excitation, ravie de me voir prendre les initiatives. Je lui retirais son bas de maillot de bains, avant de la pénétrer avec force, lui arrachant un petit cri. A côté de nous, la Blonde se mit à quatre pattes, et Hans vint également la pénétrer. Et nous partîmes tous les deux dans une formidable levrette, chacun besognant sa belle aussi puissamment que possible. Fidèle à ma promesse, je limais Katherine avec vigueur, sans ménager ma peine, la pilonnant puissamment et rapidement, culbutant le fond de son intimité à chaque fois. Elle ne tarda pas à frémir, gémir, et même crier, ce qui me motivait encore plus. « Oh bordel mon grand j’adore ce que tu me fais, continue comme ça, t’arrête pas surtout ! » J’adorais la voir ainsi, mais j’avais envie de la r. Je me mis à accélérer le rythme, l’emmenant très haut dans le plaisir, avant de brutalement ralentir le rythme, allant très très lentement. Katherine cria presque « qu’est ce que tu fous bordel ? Baise moi ! » elle voulut se retourner pour me renverser, mais je l’attendais au tournant, et la saisis par la nuque pour la maintenir à quatre pattes, avant de reprendre mes coups de reins lents, la frustrant comme jamais. Elle se tortillait et se démenait, mais je la tenais solidement, et continuais de la frustrer. Ce fut seulement lorsque moi je n’en pus plus de ce rythme lent, que je me remis à la baiser sur un rythme élevé. J’allais et venais en elle sauvagement, lui claquant les fesses, et lui triant les cheveux, me délectant de l’entendre gémir. Je jetai un coup d’oeil à Hans, et notai qu’il tentait d’aller aussi vite que moi, et de baiser la Blonde aussi bien que je baisais Katherine. Je décidai d’accélérer encore le rythme, allant trop vite pour le pauvre allemand, qui dut se contenter de baiser sa belle bien moins rapidement. Je culbutais Katherine avec sauvagerie, et la sentais toujours plus proche de l’orgasme, son corps se cambrait, ses gémissements devenaient de plus en plus incontrôlés, tandis que le rythme de mes coups de reins s’intensifiaient toujours plus. Lorsque je me mis à lui titiller le clito, elle fut pris d’un puissant spasme de plaisir, j’accélérai alors le rythme dans un dernier sprint final, la faisant exploser dans un merveilleux orgasme, qui la laissa effondrée sur le sable, enfin repue.

Elle était bien la seule à être rassasiée : je bandais toujours très fort, quant à Hans et la Blonde, ils baisaient encore tous les deux. Katherine leur dit quelque chose en allemand et en suédois, avant de me lancer « prends moi en cuillère mon grand, tu vas voir ça va être géant ».

Je ne voyais pas trop ce qu’une cuillère avait de géant, même si c’était une position plus qu’appréciable, mais je m’exécutai. Elle était allongée sur le côté, et je vins derrière elle pour la prendre. C’est alors que Hans et la Suédoise interrompirent leur levrette, et que la Blonde vint se mettre allongée sur le côté devant Katherine, tandis que Hans vint derrière elle. Les deux belles se collèrent l’une à l’autre, et s’embrassèrent à pleine bouche avec férocité. Dopés par cette vision de rêve, Hans et moi nous mîmes à baiser chacun sa belle avec passion. Je me collai dans le dos de Katherine, et lui dévorai la nuque, tout en l’observant embrasser la belle Suédoise avec passion. Quand elles ne s’embrassaient pas à à pleine bouche, l’une léchait le buste ou la poitrine de l’autre. Plus d’une fois Katherine mordit le menton de la Suédoise, qui elle même lui griffait le dos. Assister à ça tout en baisant l’une de ces deux magnifiques créatures, était une véritable épreuve pour Hans et moi. Il ne fallut pas dix minutes à l’allemand pour craquer, et avoir un puissant orgasme qui le fit crier. Quant à moi, je continuai à besogner Katherine, qui s’occupait de la Suédoise avec plus d’entrain, comme Hans ne pouvait plus la faire jouir. La Blonde se retourna, tournant le dos à Katherine pour que celle-ci puisse plus facilement lui masser les seins et la doigter. La nordique se mit à pousser des gémissements aigus, qui m’excitèrent au plus haut point, si bien que j’accélérai le rythme de ma baise, limant Katherine avec plus d’entrain, la faisant gémir elle aussi. Tout était trop bon, trop intense : il arriva ce qui devait arriver, nous explosâmes tous les trois en même temps dans un magnifique orgasme qui me donna l’impression que je tombais inconscient.

Nous restâmes un moment étendus sur le sable. Il me fallut quelques minutes pour me rendre compte que je bandais toujours. Katherine s’en rendit compte elle aussi. « Oh, mais que vois-je ? Une bite qui s’offre à moi ! »

Elle se mit à quatre pattes devant moi (j’étais toujours allongé sur le sable), et se mit à me lécher le sexe, afin de lui redonner sa vigueur. Elle le prit ensuite en bouche, et démarra des va-et-vient, d’abord lents, avant de très vite accélérer le rythme. Autant dire que je ne fus pas long avant de rebander à fond, et Katherine en profita pour me lécher le gland tout en me branlant avec dextérité. Elle fut bientôt rejointe par la Blonde. Toutes les deux se mirent à me branler ensemble avant de me sucer, chacune l’une après l’autre. Katherine adorait me lécher juste sous le gland, avec de petits coups de langue très rapides, qui me faisaient frémir, tandis que la Blonde adorait me prendre en bouche complètement, et aller et venir très rapidement. Hans lui, nous observait avec envie, mais je dois dire que je ne m’occupai pas beaucoup de lui… jusqu’à ce qu’il vint vers moi, et tenta de m’embrasser… Je réagis immédiatement en le repoussant, et en criant « non ! » : je voulais bien être ouvert d’esprit, mais je me sentais trop hétéro pour essayer des trucs bi. Pendant que la Blonde me suçait avec vigueur, Katherine dit deux trois mots à Hans, qui d’un air maussade s’assit à l’écart. J’aurais bien remercié Katherine, mais au même moment, la Suédoise venait de faire un mouvement de bouche particulièrement bon, et tout ce que je pus faire, c’est crier à pleins poumons.

Après cinq à dix minutes de fellation alternée, j’avais déjà l’impression d’être au Paradis. Pourtant, je savais que mon bonheur ne faisait que commencer. Et quand Katherine vint s’empaler sur ma queue, tandis que la Blonde s’installait sur mon visage pour que je la lèche, je me dis que je ne m’étais pas trompé. Katherine se mit à aller et venir d’avant en arrière comme une folle, ses hanches se secouant comme jamais, tandis qu’elle me culbutait contre le sable. Pendant ce temps, ma langue venait tourbillonner contre l’intimité de la Blonde qui gémissait à pleine voix et se tortillait sur moi pour me m’obliger à accélérer le rythme. Pendant ce temps, les deux belles s’embrassaient comme des mortes de faim, tout en se massant les seins, ou le clito avec vigueur. Le soleil de l’après midi nous brûlait, pendant que nous baisions toujours plus sauvagement. Les coups de reins de Katherine me martelaient le sexe et les hanches, et le plaisir me paralysait littéralement… sauf au niveau de langue que j’activais toujours plus afin de faire perdre la tête à la belle Blonde. Les deux anges gémissaient à pleine voix grâce à mon sexe et ma langue… et leurs mains, hanches et bouches expertes. Au bout d’un moment, notre triangle de plaisir devint infernal, je n’en pouvais littéralement plus, je tremblais de tous mes membres, et avais presque envie de pleurer ou de m’évanouir tant le plaisir était bon, intense. Je m’activais désespérément la langue, et tentait de donner des coups de reins à Katherine pour accélérer les choses, car vraiment, ça devenait insupportable tant c’était bon. Au dessus de moi, je sentais bien que la Suédoise était dans le même état, quant à Katherine, elle augmenta le rythme de ses assauts. Je sentis une vague de plaisir me submerger totalement, et dans un grand frémissement j’explosai dans un orgasme dévastateur et salvateur, mais qui me sembla durer une éternité, car Katherine le prolongeait encore et encore en me chevauchant toujours jusqu’à ce qu’elle jouisse elle aussi, non pas une fois, mais deux, prolongeant encore ce délicieux calvaire. Quant à la Blonde, sous l’effort conjugué de ma lange, et des doigts de Katherine, elle ne tarda pas à nous rejoindre en explosant de plaisir dans un grand gémissement.

Sonnés comme rarement, nous restâmes pelotonnés tous les trois sur le sable chaud. Ivre de plaisir je me mis à somnoler dans un merveilleux contentement, profitant du soleil, du sable, et des doux cheveux des deux belles qui se reposaient sur moi. Ce ne fut que lorsque je me relevai, presque une heure plus que je me rendis compte que Hans était parti. Vexé de ne pas pouvoir participer à notre baise à trois, il avait décidé de bouder. A dire vrai, cela ne me gênait pas, j’étais ravi à l’idée de le voir s’éclipser et me laisser Katherine et la belle Suédoise rien que pour moi.


Voilà, cette histoire est à présent terminée, j’espère qu’elle vous a plus. Si vous avez des commentaires à faire sur l’histoire, le scénario, l’action, les personnages, surtout n’hésitez pas ! N’hésitez pas non plus à me laisser vos conseils et éventuellement vos critiques.

Je précise que cette histoire sera en trois parties, mais les deux prochaines parties seront espacées, en l’occurrence les deux prochains récits ne seront pas consacrés à la suite de cette histoire.

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