La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°819)

Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (2/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Evans -

Tandis que les esclaves assignés au service du repas commençaient à servir le Châtelain du sublime repas préparé par Marie, qui avait au préalable restauré toute la maisonnée, le personnel en tout premier, car le Châtelain prenait toujours grand soin de ceux qui étaient à son service. Mais aussi par la suite les nombreux esclaves du Cheptel dont les gamelles avaient été remplies de bonne et saine pitance bien équilibrée, à l’exception des punis qui n’avaient eu qu’un peu d’eau pour se désaltérer et qui devraient attendre la fin du service et des corvées de rangement ou de nettoyage en se contentant des restes éventuels. Tandis que Monsieur le Marquis d’Evans savourait les bons petits plats concoctés avec amour par Marie qui vouait une admiration sans faille pour son patron. C’est Walter qui prit la parole, chacun faisant silence pour écouter attentivement les consignes pour le déroulement de la soirée festive telle que l’avait imaginé le Châtelain toujours très imaginatif. La seule qui n’entendit rien de ce qui se passait était l’esclave Phryné MDE qui avait toujours un casque sur les oreilles, mais qui se forçait à garder la tête haute et les yeux ouverts, même si tout en elle l’aurait plutôt incité à faire le contraire.

- Vous avez tous et toutes été réunis en ce lieu pour une soirée qui vous est offerte par Monsieur le Marquis, mais avant que Le bien-aimé Châtelain ne prenne la parole, voici quelques précisions quant à l’organisation. C’est le sort qui ce soir décidera des jeux et rôles de chacun. C’est ainsi qu’en a décidé Monsieur le Marquis.

Le Majordome attrapa une carte qu’il avait soigneusement rangée dans sa poche avant de continuer. Elle semblait sortie d’un banal jeu de 32 cartes.

- Tous les serviteurs ici présents se sont vus remettre une carte à jouer similaire, Marie et moi-même avons respectivement reçu le valet et la dame de Pique.

Vous voudrez bien déposer cette carte à vos pieds, face visible. Tous les esclaves MDE ont pu piocher une carte lorsqu’ils sont venus s’incliner pour rendre hommage au Maître, Monsieur le Marquis. Ceux qui ont une carte dont le verso est vert devront venir aux pieds de celui des serviteurs du Château qui fera la paire. Ce qui veut dire que j’attends immédiatement à mes pieds le chien ou la chienne qui aura tiré au sort la carte du valet de pique avec un verso vert. C’est un exemple que je vous donne.

Dans l’assemblée des esclaves, une chienne-femelle se leva sans attendre et vint s’agenouiller aux pieds de Walter, qui sans le moindre commentaire lui asséna aussi sec une bonne dizaine de coups de cravaches sur la croupe qui commença à se zébrer de belles traces violettes car le Majordome n’y avait pas été de main morte.

- As-tu donc perdu la tête, espèce de cabote écervelée !!! … J’ai bien dit « immédiatement », mais cela ne laissait nullement entendre que tu devais te relever et marcher sur tes deux pieds pour t’exécuter. Ne sais-tu pas que les consignes doivent être respectées sauf dérogation spéciale expresse et entre ces murs, les chiennes bâtardes de ton espèce ont quatre pattes pour se déplacer. Tu commences bien mal la soirée, je ne sais ce qui me retient de te renvoyer en cuisine pour faire la plonge de la vaisselle, mais ne t’en fais pas, je saurai bien te faire regretter amèrement de t’être dressée en bipédie sans autorisation.

Walter repoussa du pied derrière lui, celle qui commençait à vouloir prendre la parole pour lui présenter des plates excuses et le remercier d’avoir bien voulu la punir de ces quelques coups de cravache, manière de lui faire comprendre qu’il avait tout autre chose à faire pour l’instant.

- Quand aux chiens et chiennes du Cheptel, ceux qui ont tiré une carte au verso rouge devront se relever lorsque l’ordre en sera donné, tout en ayant au préalable déposé la carte à leurs pieds pour que ceux qui ont la carte équivalente mais au verso blanc viennent les rejoindre.
Tâchez que personne ne se trompe car il n’y avait ce soir que des paires exactes dans la distribution des cartes et il m’en coûterait de devoir sanctionner ceux qui se relèveraient à tort ou ceux qui ne viendraient pas se positionner au bon endroit ou en ayant l’outrecuidance d’imiter cette première bécasse aux grands airs qui est venue me rejoindre, oubliant qu’elle était avant tout une chienne MDE et non appelée sur le plateau pour participer à un jeu télévisé. Les cartes rouges vous donneront le statut de « pseudo-dominant » chargé de conduire le jeu sexuel au sein du tandem constitué pendant toute la soirée, mais n’oubliez pas que vous n’en restez pas moins des esclaves soumis ou soumises qui devront reprendre leur position dès que Monsieur Le Marquis décidera d’interrompre la partie de jeu. Car n’oubliez jamais qui si cette soirée a une connotation exceptionnellement ludique, ce que vous vivez entre ces murs n’a rien à voir avec un jeu. La Domination/soumission n’est surtout pas un jeu et vous le savez tous, c’est avant tout un Art de vivre auquel vous être autorisés à en savourer la teneur au quotidien en tant qu’esclaves MDE…

Les esclaves s’étaient tous empressés discrètement de regarder la couleur du verso de la carte qu’ils gardaient précieusement en mains, ne sachant pas s’ils devaient être ravis ou non de jouer un rôle de pseudo-dominant pour la soirée, étant tous soumis et soumise par nature, et bien peu « switchs » et encore moins dominants dans l’âme. Mais aucun n’aurait eu à l’idée d’aller à l’encontre des exigences du Maître Vénéré, quelque soit ce qui leur serait imposé pour la soirée.

- J’informe également que les serviteurs qui ne seraient pas satisfaits de celui ou celle que le sort leur aurait assigné, pourront échanger l’esclave attribué contre n’importe lequel de ceux qui ont tirés une carte au verso blanc, et ce sans avoir à justifier de leur choix.

Monsieur le Marquis d’Evans décida d’intervenir sur ces entrefaites.


- Mon cher Walter, il me semble que tu as oublié une précision et non des moindres puisqu’elle me concerne directement.
- Euh …. Oui … Monsieur le Marquis, je suis vraiment désolé, pardonnez-moi. Il est vrai que j’aurai même dû commencer par cela. Je vous présente toutes mes excuses. Je crois que je suis un peu déboussolé moi aussi à l’idée de Vous voir quitter le Château pour de très longues vacances, car je ne me suis pas encore habitué à l’idée d’une absence prolongée.
- Tu es tout excusé, mon ami. Je te laisse donc continuer pour les règles du jeu de cette soirée, car il ne saurait être question que Je sois le seul à n’avoir personne pour s’occuper de Ma personne. Je n’ai pas encore décidé de faire vœu de chasteté et puis je crois qu’il serait dommage de priver les esclaves qui auront eu la chance de tirer le Roi.

Le Majordome repris à l’attention de toute l’assemblée.

- Tous ceux qui ont eu la chance de tirer une carte Bleue du côté pile pourront constater que le côté face représente un Roi. Il n’y en pas d’autres dans les cartes mises en jeu, car entre ces murs, le seul Roi de la soirée ne pouvait être que le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Ai-je besoin de préciser que ces 4 chanceux pourront venir s’agenouiller aux pieds du Maître Vénéré et se mettre à Sa disposition pour tout ce qu’IL lui plaira de leur imposer. A vos places maintenant !

Dans un tumulte contenu car tout se fit dans le plus grand silence, ce qui n’empêcha pas de nombreux va et vient à quatre pattes avant de trouver la bonne carte de correspondance parmi toutes celles étalées sur le sol, les tandems peu à peu se formèrent et le calme revint. C’est à ce moment-là que le Marquis d’Evans qui venait de terminer son plat se leva pour s’adresser à l’assemblée.

- Chers tous, membres de mon personnel, et vous aussi, mes fidèles chiens et chiennes MDE qui sont là de leur plein gré pour m’honorer et me servir, il me tient à cœur de Vous dire que j’ai décidé d’organiser cette soirée avant mon départ en vacances, pour vous permettre d’avoir du plaisir, car tel est ma profonde volonté.
Vous avez tous l’habitude de me voir quitter le Domaine pour Mes affaires pour des durées plus ou moins longues, mais cette fois-ci ce sera pour un temps non défini, mais vraisemblablement plus important que d’habitude, car je vais partir en croisière en Mer Méditerranée Me reposer à bord d’un bateau qui a été construit par l’une des filiales de la Holding MDE.

Quelques bruissements et interjections se firent entendre dans l’assemblée. Volontairement, le Marquis d’Evans n’en dit pas plus sur le navire en question qui était bien loin de ressembler à un de ces « petits » yachts de milliardaires tels que les membres de l’assemblée auraient pu se l’imaginer. IL voulait ne rien divulguer pour entretenir le suspense et conserver la surprise le plus longtemps possible …

- Je n’ai pas à me justifier envers qui que ce soit, ni de Mes décisions, ni des raisons qui Me poussent à M’absenter, et encore moins de Mes destinations ou de Mes loisirs. Cependant, Je compte sur chacun d’entre vous, serviteurs attentionnés d’une part, et vous tous, d’autre part, Mes esclaves-soumis qui me servent docilement et qui M’appartiennent totalement, pour veiller sur Ma Noble Demeure que je confie totalement aux mains de Walter, Mon très fidèle second de longue date en Mon domaine, qui Me substia pendant toute Mon absence et qui aura encore plus que jamais tout pouvoir pour Me représenter et agir en Mes lieux et place. Il est plus que digne et méritant à me remplacer et il aura donc tout pouvoir ici en mon absence, Ma confiance en lui est totale…
- Monsieur le Marquis, je Vous suis très reconnaissant de la confiance que vous me témoignez.….. (répondit avec fierté aussitôt le Majordome) …. Je ferai tout mon possible pour en être plus digne que jamais et pour que Vous puissiez nous revenir heureux et reposé, content de retrouver Votre belle et ancestrale demeure.

Le Noble repris avant de retourner s’asseoir à Sa place.

- Je vais choisir parmi tous Mes esclaves, en fonction de leurs états de services comme dominés et de leur prestation de ce soir, ceux qui m’accompagneront à la soirée inaugurale que je compte donner en l’honneur de la mise à l’eau de ce bateau.

Cette petite phrase lancée presque à la cantonade avait eu vite fait de produire de l’effet sur chaque esclave qui espérait bien avoir l’honneur d’être choisi par le Maître des Lieux, tout en se doutant que seul un petit nombre d’entre eux auraient cette opportunité.

- Et maintenant que la fête commence ! Une seule consigne, tous les plaisirs et toutes les jouissances sont autorisées. Tous Mes esclaves, comme tous mes serviteurs ont droit à la jouissance ! Alors profitez-en au maximum pour copuler, pour vous enfourner, pour éjaculer, pour mouiller, pour frémir, pour jouir, pour tout ce qui vous passera par la tête dans la plus grande débauche que j’attends de voir telle une formidable orgie. Les soumis et soumises à genoux devront s’en remettre aux ordres et consignes donnés par ceux qui sont debout, serviteurs ou esclaves tenant lieu de « pseudo-dominants » pendant toute la soirée. Bonne baise à tous et que foutre et cyprine inondent les corps libidineux que je vois en ce lieu rassemblés, qui n’attendent que de pouvoir commencer à forniquer…

Le Marquis d’Evans s’installa à nouveau dans son fauteuil. Il y avait à ses côtés deux chiennes-femelles et deux chiens-mâles, tous les quatre prosternés et silencieux, tête au sol, avec la croupe relevée et le dos bien cambré. Le Dominant était heureux à l’idée que le sort avait bien fait de choisir dans la parité, car il aimait autant les unes que les autres, trouvant des plaisirs différents mais tout aussi intéressants de pouvoir Dominer les deux sexes. Le Châtelain commença par caresser la croupe de chacun et chacune. Son pantalon laissait apparaître une bosse proéminente qui ne trompait pas, mais IL décida de ne pas céder trop vite à ces plaisirs charnels que Son corps excité lui réclamait car il voulait profiter aussi du spectacle que le reste de l’assemblée allait lui fournir. Et les choses n’avaient pas tardé à vite tomber dans l’orgie la plus torride puisque la consigne de la soirée était une jouissance massive et autorisée à volonté, ce qui était rarement le cas lorsqu’il y avait des soirées organisées au Château en faveur d’Invités de marque, dont il fallait en tout premier lieu assurer le confort et le bon plaisir pervers, et non songer à celui des esclaves MDE qui étaient là en tout premier lieu pour faire honneur au Maître et à Son éducation.

Le Châtelain ordonna aux deux chiennes à Ses pieds de sucer les queues de leurs frères de soumission pour les faire gonfler et durcir au maximum, mais sans atteindre le point de jouissance, fut-elle autorisée, car c’était avec l’obligation par la suite pour les deux chiens d’enculer les deux soumises prises en levrette jusqu’à ce qu’ils puissent se déverser une première fois dans leurs fondements respectifs. Le Marquis regardait parallèlement les autres tandems dans la salle qui copulaient dans toutes les positions possibles, on aurait presque pu imaginer qu’il s’agissait d’un « dictionnaire » du Kamasutra vivant qu’il s’agissait d’illustrer, tant certains avaient fait preuve d’une imagination débridée pour des pénétrations buccales, vaginales ou anales, dans tous les sens, avec des jambes en l’air, à terre, pliées, tendues, mais toujours écartées, et des mains qui ne cessaient de caresser, de masturber, de branler. Les langues se faisaient agiles et sources de plaisirs pour des baisers langoureux ou des léchages savants, sauf quand les bouches étaient prises d’office par des queues en recherche d’orifice buccaux à forcer, pénétrer, pilonner et emplir de foutre.

Le Maître des Lieux se régalaient d’entendre les râles de plaisirs jouissifs qui emplissaient la pièce, car IL savait que chacun et chacune se souviendrait longtemps de cette soirée lubrique et telle était sa volonté la plus chère pour fêter son départ dans une gaieté qui n’avait d’égale que les anciennes bacchanales, à l’exception près que le vin ne coulait pas à flot, même si on se trouvait en plein pays du Beaujolais. A peine les deux chiens eurent-ils fini d’enculer les deux chiennes pour les remplir de foutre que le Marquis ordonna aux femelles de venir leur sucer à nouveau la queue pour redonner sans tarder de la vigueur à ces nouilles déjà recroquevillées. Le Marquis d’Evans entreprit d’ouvrir son pantalon et de baisser son boxer, tandis que les femelles s’étaient glissée dos contre terre sous les mâles encore positionnés à genoux. Le Châtelain pris possession des culs de Ses deux esclaves-mâles l’un après l’autre. Son dard déjà bien gonflé n’avait pas besoin de préparation tant les plaisirs intellectuels de ce début de soirée l’avait maintenu en état d’excitation permanent. IL encula avec une fougue bestiale les deux rondelles qui se dilatèrent sans grande difficulté, chaque chien-esclave se trouvant bien trop heureux d’avoir la chance de recevoir la Noble queue du Maître. Il les besogna chacun à leur tour, sauvagement mais tout en retenant sa jouissance le plus longtemps possible, pour finalement, lorsqu’il décida d’éjaculer, le faire sur les visages de ces chiens et chiennes qu’il avait fait positionner à genoux, côte à côte et face à Lui, la bouche ouverte et la langue tirée. Il secoua sa verge qu’il prit entre ses mains pour en extraire jusqu’à la dernière goutte de son précieux nectar qu’il déposa sur les langues blanchies de ces quatre esclaves.

Le Maître ordonna par la suite à Ses deux femelles de le nettoyer pour qu’IL puisse remonter son pantalon et refermer sa braguette. Les esclaves furent autorisés à se lécher les lèvres et le visage deux à deux afin qu’aucune goutte du précieux et Noble divin suc du Maître ne puisse être perdu. Il imposa par la suite aux deux femelles de profiter ensemble en position de 69 de plaisirs saphiques jouissifs. Et aux deux mâles, il leur imposa d’en faire de même devant se lécher en 69, autant la queue que les testicules, et ce jusqu’à la jouissance… Le Marquis d’Evans se leva bien décidé à choisir les esclaves qui feraient partie du premier déplacement qui le rejoindraient sur L’Odyssée, juste avant la première soirée d’inauguration qu’IL allait donner à bord. C’est ainsi qu’il tapa sur l’épaule droite, qui était le signe convenu, d’une vingtaine d’esclaves qui avaient fait preuve d’une soumission exemplaire et qui ce soir avaient fait la démonstration de leur lubricité débridée, qui serait largement utile pour fêter dignement le lancement du paquebot L’Odyssée.

(A suivre …)

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