La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°821)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°820) –

Il se releva, et agenouillée je le nettoyais de ma langue avec application avalant ce qui restait de son précieux sperme et de mes secrétions anales puis une fois terminé, il se réajusta, m’enleva mon bandeau et d’un claquement de doigts me fit comprendre de le suivre en quadrupédie. Nous allâmes alors dans la cuisine, Il s’assit sur une chaise, et je me plaçais à genoux, en position d’attente à Ses côtés, tête baissée. Il me regarda de longues minutes, sans dire un mot. Puis Il passa Sa main sur mes cheveux, sur mes épaules et mes seins, s’arrêtant pour jouer avec mes tétons déjà bien dressés … Il me regarda ainsi de longues minutes, dans un silence absolu.

- Voilà comme je veux te voir Ma chienne, à ta place, à Mes pieds ! J’ai apprécié te soumettre à distance par la force des choses, due à ton éloignement géographique. Mais maintenant que tu es de retour en France, il est hors de questions que je me prive de la présence d’une de Mes chiennes trop souvent ! Outre les enjeux financiers, car je n’investis jamais juste pour le plaisir, mais plutôt pour pouvoir te soumettre plus facilement, malgré tes contraintes vanilles, que j’ai décidé de racheter cette entreprise. Tu te doutes bien que je n’ai pas décidé ceci lors de ce premier week-end passé au Château ! Mais j’étais sûr de Moi, en voyant en toi une soumise née qui ne demandait qu’à éclore pour devenir une parfaite chienne soumise à Mes pieds ! Et je ne me suis pas trompé ! (et le Maître, ayant du voir naître un sourire sur mes lèvres, me claqua les fesses trois fois sur chacune d’elles) Je n’ai pas dit que tu étais une soumise parfaite, on en est encore loin ! dit-Il d’une voix plus sévère. Mais tu as le potentiel pour le devenir, et je saurais t’amener exactement là où je le veux ! …

Je buvais Ses paroles ! Sa confiance en moi me reboostait ! À aucun moment, je n’ai pensé qu’Il pouvait me trouver parfaite ! Si ça avait été le cas, je ne serais pas simplement à l’essai, j’aurai déjà intégré un Cachot, alors que pour le moment je ne suis qu’à l’essai dans le Chenil du Château ! Mais j’étais heureuse qu’Il puisse penser que je saurais le satisfaire, car je n’aspirai qu’à cela, et qu’Il puisse acheter une société juste pour m’avoir un peu plus sous Son emprise me procurait une joie profonde ! Je pouvais envoyais valser mes mauvais rêves, ce n’était pas le Maître qui allait me laisser dans une vie vide, seule au bord d’un chemin !

- Bien, ceci étant dit, je t’autorise à t’asseoir en face de Moi pour la suite de la conversation.

Tu vas commencer comme cela a été prévu au poste de secrétaire comptable, car tes supérieurs comptent sur toi pour remplacer la personne actuellement à ce poste et qui va bientôt partir à la retraite ! Mais dès que cela sera possible, donc dès que j’aurai trouvé une autre personne à mettre à ta place, comme tu as ton diplôme d’assistante de gestion, tu deviendras secrétaire de direction, soit Ma secrétaire personnelle. Ton principal lieu de travail restera ici, même si moi je n’y suis pas physiquement, j’y serais en web conférence, et donc tu travailleras comme si j’étais présent. Mais tu seras également amenée à devoir venir me rencontrer chez Moi, au Château, professionnellement parlant, du moins aux yeux de ton entourage vanille ! Ce qui me laissera à loisir la possibilité de faire de toi, qui m’appartient, absolument tout ce que je veux ! Je songe par exemple, à te faire appeler une fois par mois pour le week-end complet. En attendant que tu deviennes Ma secrétaire, nous nous verrons plus rarement, surtout au début, mais tu verras que tu seras tout de même amenée à subir Ma domination, et lorsque Ma décision sera devenue officielle, pour « t’évaluer » sur ce nouveau poste, tu devras venir quand je l’exigerai passer du temps sur Mes Terres dans le Beaujolais, peut-être bien une semaine complète…

Et à ces mots le Maître me regarda fixement. Je baissais rapidement les yeux. Une semaine ?comment est-ce que j’allais gérer la garde de mes filles, si cela tombait sur une absence de leur père ? Mon mari serait-il d’accord pour me laisser accepter un travail aussi prenant et contraignant pour la vie de famille ? Mais ces points sombres furent vite balayés par d’autres pensées plus réjouissantes ! Une semaine ? Une semaine avec Lui, une semaine de soumission totale ou presque si je dois travailler un peu, vanillement parlant ! Une semaine à me laisser aller à ma nature profonde ! Rien que l’idée faisait déjà réagir mon bas-ventre. Le Maître dut percevoir le serrement de mes cuisses sous la table, car soudainement, Il s’interrompit, se leva, m’intimant l’ordre de rester assise.
Il tira la table loin de moi, me fixant toujours de Son regard bleu profond, avec l’air d’un prédateur prêt à fondre sur Sa proie mais avec une Maîtrise parfaite. Il passa derrière moi, je L’entendis se saisir de quelque chose, puis il revint devant moi tenant la pelote de ficelle de cuisine à la main, avec un sourire carnassier.

- Ne sais-tu pas qu’une bonne soumise doit toujours avoir les cuisses bien écartées ? Tu vas m’obliger à devoir les attachées !

Et disant cela, il commença par m’attacher chaque cheville à un pied de la chaise, puis chaque genou. Il me fit pencher légèrement en avant pour me bondager les seins, faisant passer la ficelle dans l’anneau de la médaille de mon collier, puis me collant au dossier m’attacha de manière à ce que je ne puisses plus non plus bouger le torse, et il fit par les mains qu’Il maintint derrière ma tête en faisant passer la cordelette à une des poutres du plafond, après l’avoir fait s’entourer sur mes cheveux en une queue de cheval, ce qui fit que le moindre mouvement de ma tête ou de mes mains était douloureux pour mes racines. Il partit vers la tablette que j’avais préparé de nouveau hâtivement avant qu’Il n’arrive, et se saisit de mon mini fouet, dont le manche était un petit phallus. Il me remit mon bandeau et après quelques minutes à laisser monter la pression en moi, Il commença à me fouetter doucement d’abord les seins, puis le ventre, le dessus puis l’intérieur de mes cuisses, de mon clitoris, déjà gonflé d’excitation et enfin ma chatte dont les lèvres intimes largement écartées étaient elles aussi bien gorgées de mouilles. Ses coups n’étaient pas là pour faire mal, je L’avais déjà senti manier le fouet, là c’était vraiment pour faire monter l’excitation ! Trop tôt, Il s’arrêta, mais poursuivit sa douce de Ses doigts, de Sa langue, de Ses dents, surtout sur les mamelons sombres de désirs et sur mon petit bouton turgescent ! Lorsqu’Il commença à titiller intensément ce petit bout de chair qui palpitait, je sentis les vagues de plaisir commençant à m’entraîner dangereusement vers la jouissance.
J’essayais de respirer profondément, de sortir mon esprit de mon corps pour pouvoir me contrôler, mais je savais que cela allait être dur, et je serrais les dents aussi fort que possible, tandis qu’il accentuait sa masturbation sur mon sexe, ce qui décuplait mon envie forte à laisser éclater mon orgasme.

- Humm que se passe-t-il Ma chienne ? dit-Il avec un petit sourire. Aurais-tu envie, voir besoin de quelque chose ? Je t’autorise à parler pour me répondre !

Ma voix était chevrotante, tant j’essayais de me contrôler, mais je réussis quand même à lâcher assez distinctement :

- Oh Maître… cher Maître Vénéré… s’il Vous… S’il Vous plait, laissez… moi… laissez-moi jouir !

Il me regarda quelques instants avant de me dire « Regarde-moi dans les yeux ! » Je le regardais, essayant de Lui faire comprendre par mon regard tout mon désir, de jouir mais avant tout de Lui obéir, et donc de m’abstenir si telle était Sa volonté !

- Retiens-toi encore !

Et alors, Il défit de nouveau son pantalon et pressa son sexe fortement dressé contre mes lèvres, et tandis qu’Il me baisait sans ménagement la bouche, et provoquait des tiraillements dans mes cheveux toujours pris dans la ficelle, Il continuait à malmener tendrement mes tétons. Et alors que je le sentais prêt à exploser au fond de ma gorge, Il cria :

- Vas-y chienne, jouis maintenant, je l’exige …

Et nous laissâmes éclater notre jouissance ensemble dans un concert de longs râles jouissifs !… Après avoir repris notre souffle, je m’attendais à ce que le Maître me détache, afin que je puisse m’agenouiller pour le remercier, mais Il n’en fit rien !

- Humm, j’aime te voir ainsi à Ma merci ! Pour l’instant, tu vas rester comme ça ! Baisse la tête comme tu le peux, baisse les yeux et remercie-moi !

Il gardait bien enserrés dans sa puissante poigne fermée une grosse touffe de mes cheveux, ce qui m’obligeait à pencher la tête dans le sens qu’il m’imposait, alors au prix d’efforts douloureux pour mon cuir chevelu, j’obéissais et remercier le Maître pour les bonnes nouvelles professionnelles qu’Il m’avait annoncé et pour les plaisirs et la jouissance qu’Il avait bien voulu m’accorder !

- Ton avenir professionnel fait partie de ta vie vanille.
Je ne peux donc pas te l’imposer ! Tu peux me répondre librement, il n’y a ni bonne ni mauvaise réponse. Acceptes-tu celui que je te propose ?
- Maître Vénéré, ce serait un immense bonheur pour moi que de pouvoir accepter, mais…
- Mais quoi ? Parle sans crainte Ma chienne !
- Je dois en parler d’abord à mon mari ! Il a déjà un emploi contraignant, acceptera-t-il que le mien puisse m’amener à passer du temps aussi loin de chez nous avec nos filles dont il faut s’occuper ? Si Vous m’appelez à Vous rejoindre lorsqu’Il est en déplacement, qui Vous le savez peuvent durer jusqu’à six mois, comment faire avec mes filles, n’ayant pas de famille à proximité pour les garder ?
- Je comprends tes interrogations ! Mais si ces contraintes n’existaient pas, si tes filles pouvaient facilement être gardées, souhaiterais-tu accepter ce poste à Mes côtés ?
- Oh Maître ! Ce serait un réel bonheur que de pouvoir vivre aussi régulièrement ma soumission à Vos pieds en réel ! C’est mon vœu le plus cher, soyez-en assurer ! Ma vie Vous appartient et si elle ne pouvait que servir à être à Votre entière disposition à tout moment, je l’accepterais comme un précieux cadeau !
- Bien alors nous ferons en sorte que cela soit possible ! Pour le moment, n’en parle pas à ton mari, tes supérieurs directs n’étant pas au courant évidemment ! Et maintenant, il va être l’heure de déjeuner ! Je vais te détacher, je t’invite au restaurant ! …

(A suivre …)

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