La Soirée D'Anniversaire

Bonjour à tous,

Avant d'entrer dans le vif du sujet, je me présente, David, 1m80, assez mince, le physique d'un coureur de fond, châtain aux yeux marron. Ma compagne se prénomme Marjorie, 1m70, mince mais à la poitrine et au fessier généreux. Sa chevelure rousse flamboyante la distingue entre toutes dans la foule. Ses yeux vert clair contrastent subtilement avec la teinte de sa chevelure. Marjorie et moi sommes en couple depuis 2 ans. Nous nous sommes rencontrés lors d'une soirée chez des amis et le courant est passé de suite entre nous. Nous avons gardé le contact et nous nous sommes revus régulièrement. Rapidement, elle a emménagé chez moi dans une maison de campagne au calme dans un écrin de verdure. Elle avait gardé son appartement au centre de la ville voisine. Cela avait l'avantage de la rassurer dans les premiers temps de notre relation. L'inconvénient de cette situation était la difficulté à se projeter à deux dans un logement, cet appartement pouvant servir de refuge à la moindre crise entre nous. C'est pourquoi nous avons commencé des travaux dans la maison pour y apporter la touche personnelle de Marjorie et qu'elle s'y sente ainsi chez elle. La salle de bain était le premier chantier qui touchait à sa fin. J'avais aussi décidé d'aménager les combles pour lui créer un espace à elle, notamment pour le télétravail. Le gros œuvre était réalisé et il ne restait qu'à choisir les peintures et le revêtement de sol.

Un soir en rentrant du travail, je trouve sa valise et quelques cartons dans l'entrée. Je comprends aussitôt qu'un malheur est proche. Marjorie m'attend dans le salon, le visage fermé, assez distante. Elle m'annonce alors qu'elle a rencontré quelqu'un et qu'elle retourne vivre dans son appartement. Elle passera récupérer le reste de ses affaires dans les jours à venir car tout ne tient pas dans sa voiture. Je suis abasourdi et je reste planté au milieu du salon, la voyant faire des allers-retours pour charger sa voiture.



Les jours qui suivent, je ne suis que l'ombre de moi-même. Ma meilleure amie Nina prend régulièrement de mes nouvelles, ce qui est réconfortant. Nous nous connaissons depuis longtemps et elle sait me remonter le moral de par notre complicité. Nos anniversaires étant proches, elle me propose d'organiser une soirée commune pour fêter les deux évènements avec nos amis. Mon avis sur cette proposition demeure mitigé : ce serait la première soirée avec nos amis sans Marjorie mais d'un autre côté, revoir tous nos proches serait l'occasion d'avancer et de me remonter le moral. Rendez-vous est pris le dimanche après-midi pour lancer l'organisation de cette fête et envoyer les invitations.

Nina arrive le dimanche vers 14h00 comme prévu. Elle porte une petite robe bleue à fleurs pour profiter de ces premiers jours ensoleillés du mois de mai. Nina est très sportive et cette robe met en valeur sa fine silhouette et ses jambes élancées. Le blond de ses cheveux raides coupés au carré contraste merveilleusement avec le bleu marine de sa robe. Ses yeux bleu azur m'ont toujours subjugué par leur transparence. Je me rends compte que c'est l'une des rares fois où je la vois aussi féminine, elle qui a parfois une attitude de garçon manqué, un brin geek sur les bords. Son décolleté laisse apparaître ses jolis seins en forme de poires. Mon regard s'y perd un instant et j'espère qu'elle ne l'a pas remarqué. Je lui fais la bise et je sens alors son parfum léger et floral.

Juste avant son arrivée, j'étais en train de finir de réparer une fuite sur le robinet de douche de la salle de bain. Je lui demande de surveiller si la réparation est correcte pendant que je rouvre l'arrivée d'eau principale de la maison. Une fois descendu dans la trappe du compteur d'eau, au moment où j'ouvre la vanne, j'entends Nina pousser un cri. J'accoure jusqu'à la salle de bain et je la trouve dans la douche complètement mouillée. Je n'ai pas pensé à refermer le robinet après avoir changé le joint et la douchette l'a arrosée de la tête aux pieds.
Elle me regarde en souriant et je constate ma chance d'avoir une amie aussi bienveillante à l'égard de mes bêtises. Je lui propose d'aller chercher dans les affaires que Marjorie n'a pas encore récupérées si elle trouve quelque chose à sa taille, le temps que sa robe sèche. Marjorie est plus grande et possède des formes plus généreuses que Nina mais cela devrait aller pour une après-midi entre amis dans le jardin.

Je l'attends sur la terrasse pendant qu'elle se change dans ma chambre. Je commence à dresser la liste des invités lorsqu'elle arrive en petite jupe bleu jean et portant un haut blanc ample. Je lui demande si tout s'est bien passé et elle me répond par un petit oui, comme perdue dans ses pensées. Les préparatifs de la soirée d'anniversaire avancent bien et elle me propose soudain :
- Qu'est-ce que tu dirais d'une soirée à thème ?
- Pourquoi pas, ça peut être amusant. Tu as déjà une idée en tête ? lui demandai-je.
- Une soirée sur le thème des super-héros ?
- Je reconnais bien ton côté un peu geek ! lui lançai-je volontairement provocateur.
- C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
- Je te l'accorde, un point partout... Quelle super-héroïne tu voudrais incarner ?
- Ce serait bien qu'on forme un duo célèbre, pour qu'on soit connecté le temps de la soirée.
- Par exemple ?
- Je ne sais pas, laisse-moi réfléchir... Genre Batman et Catwoman ?
- Je suis persuadé que ce rôle t'irait très bien, tu es fine, sportive et élancée. Mais pour moi, j'ai un petit doute... Je suis assez mince alors il va me manquer un peu de muscle pour jouer ce rôle...
- On s'en fout, c'est juste pour la soirée. Fais pas ton rabat joie...
- Ok, ok, allons-y pour ces rôles si ça te plait.
- Donc il nous faudrait les tenues adéquates pour la soirée. Tu as quelque chose qui pourrait faire l'affaire ?
- Pas sûr d'avoir ce qu'il faut, mais on peut louer un déguisement.
- Tu n'as pas un haut moulant et un legging noirs ?
- Non, non.
.. J'ai beau réfléchir, je n'ai pas ça en stock.
- Ou une combinaison en latex noir, sait-on jamais... me dit-elle en rigolant et en me faisant un clin d'œil.
Je garde le silence un instant, me demandant si elle plaisante ou si elle a vu la fameuse combinaison dont elle parle dans ma penderie tout à l'heure. Je tente d'en savoir plus en bluffant :
- Tu penses vraiment que j'ai ce genre de vêtements ? lui répondis-je tout en levant les yeux au ciel
- Hum, bah comment dire... oui... En allant me changer dans le dressing de ta chambre, je cherchais des vêtements à ma taille dans les affaires de Marjorie. Je passais au crible les affaires sur les cintres de la penderie et au fond du dressing, j'ai commencé à voir des tenues un peu...sexy. Tu vois de quoi je parle ?
- Oui... Je vois bien... murmurai-je un peu gêné.
- J'ai d'abord remarqué les deux robes en vinyle, puis la robe de soubrette en latex et enfin la combinaison intégrale en latex noir avec la paire de cuissardes posée en-dessous. Très... chaud comme tenue ! Je suis désolée, je ne voulais pas m'immiscer dans votre vie privée, me répond-elle, le regard fuyant.
- Non, ce n'est pas de ta faute, j'aurais dû y penser avant de t'envoyer dans le dressing. De toute façon, j'aurais aussi dû ranger les affaires de Marjorie dans des cartons depuis plusieurs semaines maintenant.
- J'ai vu un peu plus que les affaires de Marjorie... poursuit-elle tout bas.
- Tu as aussi vu mes tenues. Du moins, c'est ce que j'en déduis d'après ta remarque sur le déguisement de Batman. C'est bien ça ?
- Oui, à la taille, j'ai compris que la deuxième combinaison en latex noir était la tienne et j'ai aussi vu les différents harnais en cuir.
- C'est pas bien grave, tu viens de découvrir une face cachée de ma personnalité, que personne à part Marjorie ne connaît. Si tu peux le garder pour toi, ça m'arrangerait hein ! Ajoutai-je en lui faisant un clin d'œil.
- Oui, oui, bien sûr.
.. Répondit-elle aussitôt, le regard toujours tourné pour ne pas me faire face.
- Tu veux qu'on en parle ? Pour "désamorcer" la situation ? Je te sens gênée...
- Je veux bien oui, et j'avoue que ça m'intrigue aussi... Donc tu es... fétichiste, c'est bien ça ?
- Oui, on peut dire ça comme ça. A la base, c'est Marjorie qui portait des tenues en vinyle, en cuir ou en latex, et ça m'a beaucoup plu. De fil en aiguille, on a fini par s'acheter des tenues plus élaborées pour nous deux. C'est ce que tu as vu dans le dressing.
- Et vous faisiez l'amour comme ça à chaque fois ?
- Non, non, pas à chaque fois, c'était juste pour pimenter notre vie de couple.
- D'accord... Et vous étiez aussi dans... le SM ? demanda-t-elle sur un ton hésitant
- Oui, ça arrivait également.
- Je dois t'avouer qu'en cherchant des vêtements secs dans les tiroirs, je suis tombée sur vos jouets...
- Donc en fait, tu sais déjà tout ! lui répondis-je en souriant
- En partie oui... Vous avez une belle collection d'accessoires...
- On se faisait régulièrement des surprises avec de nouveaux jouets, donc on a rapidement eu un large éventail d'objets.
- Et tu dominais Marjorie ou vous alterniez ?
- En fait, dans ma sexualité, je ne me sens pas à l'aise en tant que dominant, ou plutôt je ne trouve pas mon plaisir dans ce rôle. En revanche, Marjorie adorait me dominer, ça l'excitait au plus haut point. Son excitation alimentait la mienne en retour et cela m'a amené à aimer être son soumis.
- Je comprends, je comprends... Je dois t'avouer que je t'imaginais plutôt dominant au lit, ça me fait tout drôle d'apprendre ça.
- Dans les relations humaines, et surtout la sexualité, ce qui plaît à chacun est parfois un peu imprévisible... De la même façon que tu n'imagines pas cela de moi, je serais bien incapable de dire ce qui t'attire dans la sexualité. Je me rends compte qu'on est amis depuis plus de dix ans et qu'on n'a jamais partagé nos petits jardins secrets.
- Oui, c'est la conclusion à laquelle j'arrive également. Mais tu sais, mon côté un peu geek m'amène souvent à des relations avec des hommes éduqués au sexe davantage par les pornos sur le net que par l'expérience, alors ce n'est pas ment épanouissant... Dès que tu t'écartes de la femme-objet du porno, ils sont tout perdus et cela leur déplait.
- Tu ne m'avais jamais dit tout ça auparavant. J'avais bien rencontré quelques petits copains que tu m'avais présentés, mais c'est vrai que ça n'a jamais vraiment duré longtemps.
- Exactement... Si tu as le malheur de leur mettre une petite fessée, c'est fini, on arrête tout. Ils partent en courant !
- Une fessée ??? Mais c'est que tu me caches aussi des choses, lui dis-je en rigolant.
- Ah, ah... démasquée à mon tour... me répondit-elle en souriant aussi. Je dois avouer que la tenue de Catwoman que j'ai proposée tout à l'heure, c'est aussi parce que c'est l'un de mes gros fantasmes...
- Ça va comme fantasme, ce n'est pas trop extrême non plus !
- Oui... Et non... Avec la tenue, j'ai aussi envie de dominer un homme, parfois avec des désirs un peu particuliers, plus SM, on va dire...
- Il y a plein d'hommes qui aiment les femmes dominatrices, aucun mal à cela.
- C'est vrai, mais difficile d'avoir la confiance suffisante lorsqu'on débute...
- C'est valable pour tout le monde tu sais, il faut bien commencer un jour !
- Oui, je sais bien, mais c'est juste que je n'ai pas osé franchir le pas. Certains objets dans ton dressing, je ne connais même pas leur utilité... alors je me vois mal dominer quelqu'un et lui demander comment faire, me confesse-t-elle
- Je vois... Tu veux que je te montre mes jouets et que je réponde à tes interrogations ? Juste la théorie hein !
- Sérieux ?
- Oui, oui, si ça peut t'aider à franchir le cap.
- Génial ! On y va ?

Nous voilà partis pour le dressing où je commence à ouvrir les fameux tiroirs un par un, lui montrant les différents objets et leur utilisation si elle a des questions à leur sujet. Son ingénuité m'apparaît rapidement comme une façade et je comprends bien qu'elle a déjà écumé de nombreux sites spécialisés pour se documenter. La petite coquine ! Le premier tiroir contient les éléments pour immobiliser et attacher : des menottes en cuir, des barres d'écartement et un collier avec une laisse en cuir. Les explications sont brèves, leur utilisation est évidente. Le deuxième tiroir renferme une cagoule et différents modèles de baillons : avec un anneau pour maintenir la bouche grande ouverte, ou au contraire avec une boule, un autre avec un petit pénis à mettre dans la bouche, ou encore un dernier avec un double pénis pour mettre dans la bouche d'un côté et donner du plaisir à sa partenaire de l'autre. Je sens alors un intérêt particulier de Nina pour ces derniers. Le troisième tiroir cache les jouets davantage typés SM : des pinces métalliques pour les seins, un martinet, un ballstretcher en cuir qui sépare aussi les testicules par une lanière en cuir. Enfin, un petit fouet en cuir noir et rouge enroulé sur lui-même complète l'équipement. Elle se précipite dessus en le voyant comme une dans un magasin de jouets :
- J'adore ! Dis, je peux l'essayer ?
- Oui, si tu veux. Tu peux prendre un oreiller sur le lit pour t'entraîner à viser. Mais il faut faire attention au retour du cracker, ça peut faire très mal. Je te montre un petit peu avant ?
- Oui, vas-y, montre-moi comment le manier !
Après quelques coups, elle me prend littéralement le fouet des mains pour l'essayer à son tour. Sa dextérité me laisse perplexe sur le fait qu'elle n'a jamais essayé auparavant tellement elle progresse vite. Au bout d'un moment, elle semble rassasiée et nous reprenons l'exploration des jouets avec le dernier tiroir plus "phallique" celui-ci. Les godes qu'il contient sont variés : réalistes ou lisses, avec ou sans couilles, allant du plus petit, vibrant et de la taille d'un doigt, jusqu'au plus gros, réaliste avec des couilles, d'une taille proche de 25 cm et de 5 cm de diamètre. Nina a les yeux écarquillés en voyant cette collection de godes.
- Marjorie jouait avec tout ça ?
- Euh oui, certains lui plaisaient plus que d'autres. Au fur et à mesure des achats, on a fini par avoir nos préférés.
- "On" ??? Tu veux dire que toi aussi tu... ?
- Bah... Comment dire... Euh... Marjorie me prenait avec son gode-ceinture si c'est ta question...
- Oui, c'était bien ma question... Elle avait un harnais ?
- Oui, c'est le harnais en cuir noir qui est là. Il se noue autour du bassin et les deux autres petites sangles passent entre les jambes pour maintenir le harnais bien serré contre toi. Sur le devant, tu peux choisir entre différents anneaux en métal selon la taille du gode que tu veux utiliser.
- Hmm, j'adore aussi ce harnais... Tu as de beaux joujoux dis donc ! Et... tu as déjà essayé lesquels... ?
- Tu veux dire quels godes ?
- Oui...
- En fait, tous...
Nina me regarde surprise :
- Même le gros là ?
- Surtout le gros... C'était le préféré de Marjorie. Plus c'était gros, plus ça lui plaisait et on va dire qu'elle "m'entraînait" à recevoir plus gros à chaque fois.
- Je ne pensais pas que tu pouvais te prendre ça dans le cul. Pardonne-moi, je commence à parler crûment devant tant de godes !
- C'est pas grave, au moins je vois que tu es passionnée par le sujet, ajoutais-je en souriant. Je crois que tu as tout vu au niveau des jouets. Tu as d'autres questions ?
- Et au niveau des tenues ? reprit-elle toujours intriguée.
- Je pensais que tu les avais déjà regardées tout à l'heure, mais on peut y revenir si tu veux.
- Oui, j'aimerais bien les voir de plus près. Je les ai juste aperçues, je n'ai pas fouillé.
Je sors alors les robes en vinyle de Marjorie pour les montrer à Nina, puis je lui présente mes harnais en cuir pour le corps et pour le torse. A mon étonnement, peu de réactions de la part de Nina qui reste à fixer le fond de la penderie. Je décroche alors les deux combinaisons en latex, véritables objets de sa convoitise. Son regard s'illumine et sa réaction est immédiate :
- J'adore l'odeur du latex, c'est enivrant... Je peux toucher ?
- Bien sûr, c'est pour ça que je te les tends.
- C'est si doux, ça conforte mon fantasme... J'aimerais trop en avoir une à moi mais c'est pas donné !
- C'est vrai que ça coûte un peu cher, mais je dois dire que je n'ai jamais regretté mon achat. Je t'aurais bien fait essayer mais Marjorie porte des vêtements plus larges que les tiens alors tu risques de nager dedans.
- Oui, oui, t'inquiète, et puis je n'aurais pas osé la porter, ce n'est pas la mienne.
- Je comprends, je comprends. Et Marjorie avait aussi des cuissardes qu'elle mettait avec la combinaison. Elles sont là, sous la penderie.
- Oui, la panoplie complète de la dominatrice quand elle enfilait tout ça !
- Oh oui, je confirme, combinaison et cuissardes, un vrai duo gagnant !
- Dis-donc, tu fantasmerais pas un peu sur Catwoman aussi par hasard ? Me lance-t-elle en riant
- Eh eh, tu as raison, je dois l'avouer. Quand on me parle de femme dominatrice, c'est un peu l'image qui me vient immédiatement à l'esprit.
- On est bien d'accord sur ce point !
Son regard repart vers la penderie où il reste la robe de soubrette en latex.
- Je croyais que tu n'aimais pas dominer Marjorie ? me demande-t-elle
- Oui, c'est bien le cas. Pourquoi ?
- Bah cette robe, ça fait plutôt soumise ?
Je marque un temps d'arrêt. Elle me fixe avant d'ajouter :
- Ou alors... ça serait la tienne ? conclut-elle perplexe.
- Hum, oui, dis-je un peu gêné. Dans certains jeux, elle aimait me féminiser et que je la serve dans cette robe.
- Ah oui... Je ne t'imaginais pas féminisé.
- Oui, bah, pourtant ça arrive parfois... répondis-je embarrassé.
- Ne le prends pas mal, au contraire, tu dois aussi être sexy là-dedans.
Je sens que je rougis et c'est le signal qu'il faut commencer à ranger. Nous retournons dans le jardin pour continuer les préparatifs de la fête et nous décidons d'abandonner le thème de la soirée. Trop d'excitation en perspective avec ce duo en latex !

Le week-end qui suit, Marjorie vient reprendre le reste de ses affaires. La soirée d'anniversaire commence le soir-même et cela me mine un peu le moral de l'avoir revue. Nina arrive peu après et prend en main les opérations afin que la fête commence à l'heure. Tous nos amis arrivent progressivement, la fête bat son plein et cela m'aide à recharger mes batteries. La soirée d'anniversaire prend fin tardivement et les invités repartent les uns après les autres. Comme convenu, Nina reste pour m'aider à ranger le lendemain. Elle part se coucher la première dans la chambre d'amis et je finalise le rangement du salon avant d'aller me coucher à mon tour.

Le lendemain, je me lève le premier et j'attaque le ménage sans faire de bruit pour ne pas réveiller Nina. J'ai presque terminé lorsqu'elle arrive dans le salon, un grand sourire narquois aux lèvres. Je sens qu'elle prépare une vanne à mon encontre.

- Je pensais te trouver en tenue de soubrette pour faire le ménage, me lance-t-elle en me faisant un clin d'œil.
Ça n'a pas tardé à venir comme je l'avais pressenti :
- Tu arrives trop tard, je l'ai déjà rangée à la fin du ménage.
- Dommage, j'aurais bien fait tomber deux-trois trucs, juste pour voir sous ta robe quand tu te penches.
- Je vois que tu es d'humeur taquine.
- Oui, oui. Tiens, j'ai un petit cadeau d'anniversaire pour toi !
Elle sort un petit paquet qu'elle cachait derrière elle et vient me le donner.
- Merci ! Moi aussi, j'ai un cadeau pour toi !
J'att la boîte que j'avais apportée sur la table et je lui tends à mon tour.
- Merci à toi aussi ! Pourquoi tu ne me l'as pas donné hier avec les autres cadeaux ?
- J'ai l'impression que c'est pour la même raison que toi : pas trop adapté au public ? lui demandai-je avec un petit sourire.
Elle acquiesce et j'ouvre mon cadeau en premier. Je découvre alors un masque de Batman en latex moulé :
- Wouah, très beau modèle !
- C'est pour compléter ta combinaison et que tu aies la panoplie complète !
Je suis touché par son cadeau et je la remercie en lui faisant la bise. Je sens alors son parfum qui m'enivre l'espace d'un instant. Elle déballe à son tour son cadeau : un long fouet en cuir noir.
- C'est pour que tu puisses jouer à Catwoman !
Nina semble euphorique et elle me saute au cou pour me remercier. Sa poitrine est plaquée contre mon torse et je devine ses seins fermes. J'ai un début d'érection, je cherche un prétexte en urgence pour qu'elle me lâche afin d'éviter une situation qui va rapidement être délicate :
- J'ai visiblement fait mouche avec ce cadeau. Tu ne veux pas l'essayer dehors ?
Elle se dirige vers le jardin et commence immédiatement à faire virevolter le fouet au-dessus de sa tête pour se familiariser avec son nouveau jouet. Sauvé !
Elle semble ravie. Après quelques minutes, elle revient vers moi et me demande :
- Tu ferais pas un petit essayage de ton masque, voir si la taille te convient ?
- Ah oui, bien sûr, tu me diras si ça me va bien.
Je commence alors à entrouvrir le bas du masque de mes mains pour l'enfiler mais Nina m'interrompt :
- Je pensais que tu ferais un essai complet...
- Tu veux dire avec la combinaison et tout ?
- Combinaisons, gants, chaussures, cagoule, la tenue complète de Batman ! me dit-elle avec un sourire mutin
- D'accord... répondis-je hésitant. Mais il va me falloir un peu de temps pour me préparer...
- Prends tout ton temps, j'ai de quoi m'occuper, insiste-t-elle en soulevant son fouet.
Je pars alors en direction de ma chambre, laissant Nina s'exercer sur la terrasse du jardin. Je me déshabille et je commence à enfiler la combinaison que j'ai enduite de silicone au préalable afin qu'elle glisse sur ma peau. Je m'habille entièrement et je me regarde dans le miroir. L'excitation est immédiate à la simple vision de la tenue complète et je me rends compte que je vais devoir patienter quelques minutes avant de rejoindre Nina, mon sexe étant à nouveau dressé dans la combinaison, ce serait maladroit de ma part. Le calme revient tout doucement à mon entrejambe et je retourne alors au jardin. Personne... Je rentre dans le salon et j'entends des bruits de talons qui proviennent du couloir menant aux chambres. J'aperçois alors Nina en tenue de Catwoman : combinaison en latex noir, gants, cuissardes en cuir vernis, masque de chat en latex et son fouet à la main. Tout y est ! Je reste bouche bée. Elle fait un tour sur elle-même et je suis subjugué de découvrir à quel point Nina est sexy. Je ne l'avais pas remarqué après toutes ses années à se cacher dans ses tenues trop larges et qui manquent de féminité. Le latex dévoile les moindres détails de son corps. Ses beaux seins dont on perçoit les tétons qui pointent sous le latex tendu, sa taille de guêpe et ses petites fesses rebondies, ses fines jambes fuselées et gainées dans ses cuissardes, et cerise sur le gâteau, ce petit pli dans le latex à l'entrejambe qui dévoile ses grandes lèvres légèrement ouvertes par la tension de la combinaison. Je tente de rester lucide. Elle me sourit tout en s'approchant de moi :
- La tenue de Batman te va bien et le masque est pile à ta taille.
- Merci, mais ça ne vaut pas ta tenue, tu pourrais tourner dans le prochain film de Catwoman !
- N'en fais pas trop, je vais rougir. Mais quelque chose me dit que ça te plait vraiment.
- Bien sûr, si je te le dis.
- Je parlais plutôt de ton sexe qui est dressé dans ta combinaison, commente-t-elle en souriant. Comme quoi c'était préférable de ne pas porter ces tenues hier soir.
- Oh oui, tu as bien raison, ça aurait été obscène... Mais où as-tu trouvé cette tenue ? Lui demandais-je pour faire diversion
- Je suis allé l'acheter dans un sexshop cette semaine. Je n'ai pas résisté après avoir vu tous tes jouets et tes tenues dimanche dernier.
- Alors ça y est, tu réalises ton "gros" fantasme de Catwoman avec cette tenue intégrale en latex ?
- Oui, et j'ai déjà fait un essai cette semaine ! J'adore la sensation de seconde peau et la chaleur qu'on ressent à l'intérieur.
- C'est aussi ce qui m'a plu immédiatement avec le latex, la sensation d'être enveloppé et bien serré dans un cocon tout chaud.
- Et cela provoque d'autres types de bouffées de chaleur, je peux te l'assurer, dit-elle en riant
- Visiblement, tu ne regrettes pas...
- Mon seul regret, c'est de ne pas être passée à l'acte plus tôt !
- Eh eh, c'est le premier pas vers la réalisation de tes fantasmes. Si tu vas en soirée fétichiste habillée comme ça, je te promets que tu vas trouver des tas d'hommes soumis à tes pieds.
- Vraiment ? Tu veux dire que si on se croisait en soirée fétichiste et qu'on ne se connaissait pas, tu te mettrais à mes pieds pour que je te domine ?
- Euh... j'hésite à répondre et je finis par lâcher à voix basse : - probablement oui, vu comme tu es sexy et dominatrice dans cette tenue...
- Je reformule ma question... Je voulais plutôt dire : est-ce que là, tu te mettrais à mes pieds pour que je te domine ?
Surpris, je fixe alors Nina dans les yeux. Son sourire s'est effacé de son visage, elle est devenue très sérieuse d'un coup. J'hésite et elle le remarque. Elle pointe alors son index vers le sol, désignant l'emplacement entre ses pieds pour m'inciter à dépasser mon doute. Je finis par céder et je m'agenouille devant elle. Je reçois soudain une gifle, plus vexante que douloureuse :
- Il t'en a fallu du temps pour te mettre à mes pieds. Maintenant lèche mes bottes ! m'ordonne-t-elle d'un ton plein d'assurance que je ne lui connaissais pas.
Je lui obéis alors, baissant la tête vers la pointe de sa cuissarde. Ma langue commence à lécher le bout de son pied et je remonte progressivement vers la cheville. Je sens la chaleur de sa jambe à travers le cuir de sa botte. Je réitère l'opération à plusieurs reprises le temps d'avoir léché tout son pied.
- C'est ça, lèche bien tout mon pied. Et occupe-toi de mon talon aussi...
En même temps qu'elle prononce ces mots, elle soulève son pied vers mon visage et me tend son talon. Je prends la pointe du talon en bouche et mes lèvres avancent lentement le long de la tige noire.
- Suce bien jusqu'au bout, je sais que tu as déjà sucé plus gros que ça.
J'avale tout son talon, jusqu'à ce que ma bouche vienne en butée contre la semelle de sa botte.
- Bien ! Passe à l'autre pied maintenant !
Je change de botte et je recommence à lécher lentement le cuir. Tout le pied est méticuleusement parcouru par ma langue, de la pointe jusqu'à la cheville, très lentement. Son pied se soulève et je comprends le message sans même qu'elle ait besoin de me parler. Je suce son talon comme déjà fait quelques minutes plus tôt. Une fois le talon complètement en bouche, je sens sa jambe se soulever et le talon ressort lentement d'entre mes lèvres serrées autour de lui. Elle repose alors le pied au sol provoquant un léger claquement.
- Passons aux choses sérieuses à présent... me susurre-t-elle à l'oreille. Tu as titillé ma curiosité en me montrant tous tes accessoires dimanche dernier, j'ai envie de les essayer maintenant. Le sourire est revenu sur son visage, ce qui ne lui enlève en rien son autorité sur moi.
- Lève-toi, on va aller dans ta chambre pour avoir accès à tous tes joujoux.
Je me relève et je me tiens face à elle. Perchée sur ses hauts talons, elle me dépasse légèrement, me toisant de son regard.
- Tourne-toi pour que j'ai accès à la fermeture éclair entre tes jambes.
Elle saisit alors le premier curseur de la fermeture éclair et le fait coulisser de mes reins vers mon sexe. Elle s'arrête juste au-dessus de mes couilles ainsi libérées mais elle laisse mon sexe prisonnier dans le latex. Elle enroule alors le bout de son fouet autour de mes couilles et le resserre progressivement. Je sens la pression qui s'intensifie progressivement sur mes bourses à chaque tour supplémentaire qu'elle réalise. De son autre main, elle saisit coulisser le second curseur dans mon dos pour refermer la combinaison de mes reins jusqu'en-dessous de mes couilles. Ces dernières ressortent maintenant du latex, bloquées entre les deux curseurs de la fermeture éclair. Le fouet reste enroulé autour de mes bourses tel une laisse.
- Tu vas être un gentil soumis et tu vas me suivre jusqu'à la chambre comme ça.
Elle donne une petite impulsion sur le fouet pour me faire avancer. Je la suis et à mesure qu'elle progresse dans le couloir, je sens la traction augmenter le long du fouet qu'elle tire lentement par-dessus son épaule pour que je ressente son autorité.
Une fois dans la chambre, elle me fait signe de me mettre sur le lit :
- Mets-toi à quatre pattes et attends-moi là sans bouger.
Elle se dirige vers le dressing et je l'entends farfouiller dans les tiroirs. A son retour, elle défait le fouet et saisit mes couilles d'une main pour les étirer. Quelle poigne : une main de fer dans un gant de latex. Elle installe alors le ballstretcher en cuir et finit par verrouiller la sangle inférieure qui sépare mes couilles.
- L'expression "tenir quelqu'un par les couilles" n'a jamais été aussi appropriée, tu ne trouves pas ? Et ça me plait beaucoup tu sais de te voir ainsi...
Je sens alors sa main s'abattre sur ma fesse droite, provoquant immédiatement une chaleur intense sur ma peau. La fessée continue, variant le rythme et l'intensité, d'une main puis de l'autre. Mes fesses brûlent sous les claquements répétés et le silence revient soudain. Je sens un courant d'air frais sur mes fesses. C'est elle qui me souffle sur les fesses pour atténuer la douleur de la fessée. Je lui en suis intérieurement reconnaissant.
Elle retourne dans le dressing et revient se placer derrière moi. Je sens la morsure des lanières en cuir du martinet sur mon postérieur. Elle s'affaire sur mes fesses et je lâche quelques râles de douleur. Elle poursuit sans relâche. Un dernier coup de martinet s'abat sur mes couilles emprisonnées dans le cuir. Je m'effondre à plat ventre sur le lit.
- Excuse-moi, mais c'était trop tentant, ça m'excitait au plus haut point de te faire mal aux couilles ainsi présentées à moi. Ça va quand-même ?
- Oui, oui, ne t'inquiète pas.
Je reçois une nouvelle gifle, plus forte que la première.
- J'ai mal entendu. A qui parles-tu ?
- Oui Maîtresse Nina.
- Je préfère ça, dit-elle arborant un large sourire limite carnassier. Comme tu as été sage, tu vas avoir le droit à une récompense ! Remets-toi à quatre pattes.
Je m'imagine déjà en train de la prendre sauvagement dans sa tenue en latex. Mon sexe gonfle dans ma combinaison et cela provoque une tension encore plus forte sur mes testicules.
Elle revient du dressing avec le bâillon à deux pénis.
- Allez, ouvre grand la bouche !
J'obéis et elle enfile le petit gode entre mes lèvres avant de verrouiller fermement la sangle derrière ma tête.
- Comme je te l'ai dit, tu as droit à une récompense : le plaisir de me faire jouir.
Elle s'assoit alors sur le lit devant moi puis elle entrouvre sa combinaison à l'entrejambe.
- Viens me donner du plaisir avec ton bâillon.
Je m'approche de son sexe ainsi présenté et je sens déjà l'odeur de sa cyprine qui coule le long de ses grandes lèvres.
- Regarde ça, même pas besoin de lubrifiant, ça m'a tellement excitée que je ruisselle déjà. Enfonce le gode maintenant...
J'avance la pointe du sexe factice à l'entrée de sa chatte humide et je pousse doucement. En une seule poussée, j'insère tout le gode sans même forcer. Je commence alors des allers-retours qu'elle rythme de sa main sur ma tête. En quelques minutes seulement, je l'entends pousser un long gémissement et je comprends qu'elle est en train de jouir. Elle finit par reprendre ses esprits et repousse ma tête pour sortir le gode.
Elle retourne alors dans le dressing et commence à se préparer pour sa nouvelle envie de l'instant. Je la vois apparaître à l'encablure de la porte du dressing, harnachée avec le gode-ceinture et sans surprise elle a choisi le plus gros gode avec les couilles.
- Tu m'as fait jouir avec ton gode, à mon tour de te faire jouir avec ma bite.
Elle commence à branler lentement le gode :
- Je comprends ce que vous ressentez, vous les hommes, avec une queue entre les jambes. J'ai une sensation de pouvoir et j'ai envie de prendre tous les trous qui s'offrent à moi. Je vais te prendre ton petit trou et tu vas me remercier pour ça !
Elle se présente derrière moi et ouvre lentement le zip entre mes fesses pour donner accès à mon cul. J'entends la pompe du gel qui s'active et je sens du froid sur ma rosette. Elle force l'entrée progressivement et je comprends que c'est son doigt à la taille de l'objet introduit. Elle commence des va-et-vient puis ajoute un deuxième doigt, suivi de près par un troisième puis un quatrième.
- Ma parole, c'est que tu as l'air habitué à jouer avec ton cul, vu comme il s'ouvre facilement.
- Oui Maîtresse, je reçois régulièrement des godes.
- Et tu as déjà pris une vraie queue ?
- Non Maîtresse.
- Dommage, ça m'exciterait trop de te voir prendre une queue devant moi. D'avoir deux soumis avec lesquelles jouer comme des poupées, les forcer à se sucer mutuellement, à s'enculer devant moi en guidant moi-même la queue de l'un dans le cul de l'autre... Hummm... mais c'est un autre fantasme, je m'emballe ! Je vais déjà prendre pour la première fois un cul de mec avec ma nouvelle queue et on verra le reste plus tard. Tu es prêt ?
Joignant le geste à la parole, je sens le gland de sa queue élargir mon sphincter et entrer lentement mais sûrement en moi. Ses mains se placent alors sur mes hanches et Nina tire sur mon bassin pour faire entrer profondément le gode en moi. Elle commence ainsi à me prendre en levrette, de plus en plus vite, sauvagement même. Les couilles du gode viennent frapper contre les miennes, toujours emprisonnées dans leur extenseur en cuir. Je ressens le frottement du gode sur ma prostate et une chaleur intense commence à m'envahir. Je l'entends gémir à nouveau derrière moi. La situation et l'effet du harnais contre son clitoris semblent efficaces. Elle se retire lentement et je ressens mon cul qui reste grand ouvert. Ma prostate est en feu, je souhaite ardemment jouir après le traitement qu'elle m'a réservé.
- Joli spectacle, tu prends de sacrés godes ma coquine ! Je ne t'ai pas entendu me remercier ???
- Merci Maîtresse Nina.
- Merci pour quoi ?
- Merci Maîtresse Nina de m'avoir enculé.
- En voilà un bon soumis ! Pour ma première en tant que Dominatrice, je vais être gentille et je vais te laisser jouir.
Mon cerveau est en ébullition, ma queue est gorgée de sang et je sens la délivrance approcher. Nina s'assoit alors sur le lit et me fait signe de venir devant elle. Je m'agenouille par terre face à elle attendant ses instructions.
- Je vais te laisser te branler sur mes cuissardes et je vais compter jusqu'à 10. Si tu ne jouis pas avant que j'arrive à 10, tu n'auras pas le droit de jouir. C'est clair ?
- Oui Maîtresse Nina.
- Qu'est-ce qu'on dit à sa gentille Maîtresse ?
- Merci Maîtresse Nina.
- Un !
Elle m'a pris par surprise en commençant déjà à compter. J'ouvre la fermeture éclair de ma combinaison pour libérer ma queue. Mon sexe dressé touche presque ses bottes. Je reçois alors un coup de pied dans les couilles qui calme un instant l'excitation sous l'effet de la douleur.
- J'ai oublié de te dire, à chaque fois que je dirais un chiffre jusqu'à 10, tu recevras un petit coup de pied dans les couilles. Tu comprends, il faut que ça reste un plaisir pour moi. Un grand sourire illumine alors son visage.
-Deux ! Un deuxième coup de pied me fait revenir à moi. J'arrête de fixer son visage et je me dépêche de commencer à me branler.
-Trois ! Suivi du fameux coup de pied. La douleur fait à nouveau retomber l'excitation. J'accélère le mouvement pour essayer de compenser.
- Quatre ! Le coup vient de l'autre jambe, la douleur se diffuse plus largement dans mes couilles
- Cinq ! Retour au premier pied, je sens tout de même l'excitation monter.
- Six ! Alternance de pied, mes testicules me font souffrir mais je suis tout proche du but.
- Sept ! Mon sexe se raidit, Nina comprend que je suis prêt à jouir. Son coup de pied est plus intense. Très cruel... Elle en rigole.
- Huit ! Nouveau coup dans les couilles, une goutte de sperme sort au bout de mon sexe, comme si le coup l'avait éjectée de force.
- Neuf ! Je jouis enfin sur les cuissardes de Nina. Un dernier coup de pied s'abat sur mes couilles pendant la longue éjaculation.
Je suis en extase, sous le coup des hormones, mélange de douleur et de plaisir, je suis dans un état second.
- Dix ! Un dernier coup de pied me prend à nouveau par surprise, je tombe sur le flanc de douleur. L'excitation n'étant plus là pour compenser.
Nina me regarde en riant et me dit :
- J'avais dit que je comptais jusqu'à 10, tu as l'air surpris ? Il faut bien écouter les consignes...
Je hoche alors de la tête, ce qui lui suffit pour cette fois.
- Dis-moi, tu as déjà goûté ton sperme ?
- Euh, oui Maîtresse Nina, juste une goutte récupérée au bout de ma queue pour goûter.
- Tu as aimé ?
- Pas vraiment Maitresse Nina, le goût n'est pas... agréable va-t-on dire.
- Donc tu n'as jamais avalé toute une éjaculation ?
- Non Maîtresse Nina,
- Humm, voilà donc une chose que tu n'as encore jamais faite, j’ai fini par en trouver une... et tu vas le faire pour moi aujourd'hui ! J'adore les premières fois !
De son index, elle ramasse du sperme sur sa cuissarde et elle tend son doigt vers mes lèvres. J'ouvre la bouche pour accueillir son doigt ganté couvert de semence blanche. Je reconnais le goût âcre du sperme mais je suce tout de même son doigt.
- Maintenant, tu vas lécher le reste sur mes cuissardes, je ne vais quand-même pas me fatiguer pour toi, dit-elle en souriant
Je me remets alors à quatre pattes et je commence à lécher ses bottes, faisant progressivement disparaître les restes de mon plaisir avec ma langue.
Une fois ma tâche accomplie, Nina m'attrappe dans ses bras et me sert fortement contre elle. Je sens sa chaleur contre moi, si douce et si réconfortante.
- Pourquoi est-ce qu'on a attendu si longtemps pour partager notre jardin secret, c'est si bon...
- Oui, tu as raison Nina...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!