Une Auberge Accueillante.

Cette histoire remonte à l’été 1992. Elle est tout à fait véridique. Seuls les noms des protagonistes et des lieux ont été changés.



Depuis quelques mois, je fréquente Emmanuelle, une femme de 44 ans, plus jeune que moi de six ans. Je l’ai rencontrée lors d’une soirée organisée par des amis qui recevaient quelques couples établis. Ils l’avaient conviée pour que la table soit complète et qu’il n’y ait que des couples. Nous avons sympathisé et ensuite nous nous sommes revus à plusieurs reprises pour aller au cinéma ou danser en boite.

Contrairement à mes habitudes, moi qui suis libertin, rien de sexuel ne s’est passé entre nous jusqu’à la semaine précédent notre départ en vacances, où au sortir d’un spectacle de cabaret, nous avons fini la soirée dans le même lit ! Nous n’avions d’ailleurs jamais parlé de nos penchants dans ce domaine mais c’est pendant les deux semaines de vacances passées ensemble que tout a basculé….



D’un commun accord, nous avions décidé de partager les frais des deux semaines de vacances que nous voulions passer dans une auberge dans le département de l’Ariège. En effet, Emmanuelle ne souhaitait pas aller au bord de la mer et comme nous nous étions découvert un goût commun pour la randonnée, il nous avait semblé que les Pyrénées pouvaient nous offrir quelques belles ballades en altitude au mois d’août. Quant à moi, cette année, je serais privé des plages naturistes à Montalivet ou à La Teste que je fréquentais à cette période de ma vie.

Par l’intermédiaire d’amis résidant dans la région, j’avais pu trouver quelques semaines plus tôt, un gîte aménagé dans une ferme d’altitude avec deux chambres, un salon et un cabinet de toilette commun puisqu’à cette époque, nous pensions faire lit séparé...



Depuis Paris, le voyage est long et nous nous sommes entendus pour partager la conduite de mon cabriolet Golf. Les bagages entassés dans le coffre et sur la banquette arrière, nous prenons la route le vendredi en début de matinée pour échapper à la ruée de ce soir de grand départ.

Si tout va bien, compte tenu des divers arrêts, nous serons arrivés en début de soirée.

Emmanuelle est une grande femme brune à la silhouette élancée avec des formes menues. Sportive accomplie, elle pratique assidument jogging, fitness et natation. Divorcée sans , elle a une bonne situation dans un grand magasin du centre de Paris et des horaires assez souples. De mon côté, je n’ai pas à me plaindre non plus car au fur et à mesure de ma carrière j’ai franchi pas mal d’échelons, ce qui me vaut un poste à responsabilités dans un ministère.

Le voyage se passe sans encombre en bavardant ou en écoutant de la musique. Il fait beau, la route est dégagée et nous avançons à un bon rythme au gré des changements de conducteur. C’est après avoir dépassé Toulouse depuis une bonne heure que notre relation prend un tour sexuel… tout à fait inattendu.
Emmanuelle me demande de chercher un endroit où s’arrêter pour satisfaire un besoin naturel mais nous ne sommes plus sur une autoroute avec les aires de services. Je suis donc contraint de trouver un petit bois avec un chemin où engager la voiture pour avoir un endroit discret.

Je me tiens à quelques mètres d’Emmanuelle pour la prévenir d’une éventuelle arrivée intempestive lorsqu’elle m’appelle :
• Gilles ! Viens voir ce que j’ai trouvé !

Quelle n’est pas ma surprise lorsque je m’approche ! Emmanuelle a sa courte jupe troussée en haut des cuisses et elle caresse sa chatte avec envie en passant sa main entre les lèvres intimes :
• Viens ! Nous n’avons fait l’amour qu’une fois mais là, je n’en peux plus ! J’ai envie d’une belle queue en moi ! Çà faisait bien longtemps que je n’en avais pas eu et j’ai bien vu les coups d’œil que tu glissais sur mes cuisses… Tu dois avoir envie aussi !

Je lui réponds aussitôt :
• OH oui ! Çà c’est sur ! çà me fait très envie de faire l’amour à une belle femme comme toi ! Sois tranquille, je vais te satisfaire ! Et tout de suite en plus.


Je retourne rapidement jusqu’à la voiture où je prends un plaid avant de rejoindre Emmanuelle qui s’est enfoncée un peu plus dans les fourrés où elle m’attend, son sweatshirt enlevé laissant voir ses seins menus :
• Pas besoin du plaid ! Tu vas me prendre debout appuyée contre un arbre ! J’ai envie à la sauvage !

Je prends Emmanuelle par la taille en lui disant :
• Pas de problème, si c’est ce que tu veux, fais gaffe à tes fesses.

Et je la fait pivoter et s’appuyer contre le tronc d’un arbre en sortant ma bite de mon pantalon. Je bande comme un taureau en rut tant ces fesses me font envie, rondes et fermes, c’était un appel que je ne veux pas négliger. Rapidement je me colle contre elle, j’ouvre la raie d’une main et d’un coup de reins, je glisse ma queue tout au fond de sa chatte qui est humide et chaude d’envie :
• Tiens ma belle ! Tu veux ma bite et bien tu l’as ! Tu la sens ?
Et aussitôt Emmanuelle s’écrie :
• Oh oui ! Défonce-moi !

Je ne me le fais pas dire deux fois ! Lorsque nous avons fait l’amour la première fois, j’ai quelque peu épargné Emmanuelle en la prenant à la missionnaire dans une obscurité relative. Mais là en plein jour, l’envie d’honorer une jolie femme me tenaille et c’est sans retenue que je la baise à longs traits.

Je remonte une de mes mains jusqu’aux seins de mon amie et doucement je fais rouler les tétons entre mes doigts. L’autre est appuyée au creux des reins et je la fait courir le long de la colonne vertébrale. Je baise Emmanuelle avec vigueur, mon ventre claque contre ses globes charnus à chaque fois que je me projette au fond de sa chatte qui est de plus en plus humide. Çà n’a rien à voir avec notre première séance d’il y a presque un mois. C’est presque violent ! L’un comme l’autre, nous ne sentons pas la fatigue de la route et au moment où la jouissance déferle chez ma maîtresse, je lance quelques jets de sperme qui vont frapper tout au fond et Emmanuelle s’écrie :
• Oh oui ! Jouis en moi ! C’est si bon de te sentir gicler comme çà ! Qu’est ce que tu me mets !

Je reste quelques instants abouté dans cette chatte si accueillante en reprenant mon souffle puis nous nous désunissons.
Emmanuelle rabat sa minijupe, enfile rapidement son sweatshirt pendant que je rentre mes attributs dans mon caleçon et nous regagnons la voiture pour poursuivre notre route.

Lorsque nous arrivons à la nuit tombante, nous sommes accueillis par le propriétaire du gîte, un homme d’une bonne cinquantaine d’années à l’allure de baroudeur, style ancien militaire à la haute stature et aux épaules larges. Il nous conduit à nos chambres où nous nous installons rapidement avant de revenir dans la salle commune où deux autres couples, assez jeunes dînent ensemble à une table près de la fenêtre. Nous, nous choisissons celle qui est proche de la cheminée où brûle un feu. Même si nous sommes en été, à plus de 1 200m d’altitude les soirées sont fraiches.

Le repas rapide est servi par notre hôte qui nous explique que sa femme est partie en ville pour faire des provisions et qu’elle rentrera assez tard. Nous la verrons demain car c’est à elle qu’incombe le service du petit déjeuner qui est servi dans les chambres. Notre repas terminé, nous regagnons nos pénates et après une douche rapide, nous nous mettons au lit pour récupérer un peu après cette longue route.



Le lendemain à l’heure demandée, nous sommes réveillés par l’hôtesse qui vient nous apporter le petit déjeuner qu’elle dépose dans le salon. Elle nous demande ensuite si nous souhaitons qu’elle ouvre les volets et les rideaux. Lorsque la clarté entre dans la chambre, nous avons la surprise de découvrir que notre hôtesse est une splendide femme noire, à la silhouette élancée, une taille très fine, souple et ondoyante, des seins volumineux qui balancent librement dans son teeshirt et des fesses rondes emprisonnées étroitement dans un jeans sous une cambrure très prononcée. Une femme splendide qui ne doit guère avoir plus d’une trentaine d’années.
Emmanuelle, qui a ma bite dans la main, ressent aussitôt un tressaillement que je ne peux réfréner. Cette belle noire a mis ma libido en éveil ! Lorsqu’elle a quitté la chambre, Emmanuelle me glisse dans l’oreille :
• Elle t’excite cette belle noire ? Et bien moi aussi je me la ferais bien !

Devant cette sortie, je me tourne vers ma compagne :
• Serais-tu bisexuelle pour avoir envie d’elle ?

Et sans aucune gêne, elle me rétorque :
• Et bien OUI !!! Cela m’arrive de céder à la tentation des délices de Lesbos !

Là-dessus, tout en prenant notre petit déjeuner assis côte-à-côte dans le lit, Emmanuelle raconte comment elle a été initiée par une fille de son âge lors d’un stage d’athlétisme quand elle avait une vingtaine d’années.
Elle me confie aussi que si elle a divorcé de son mari, c’est que ce dernier ne comprenait pas que son épouse ait envie de batifoler avec d’autres femmes alors qu’il la trompait, certes discrètement, mais elle ne comptait plus ses conquêtes d’un soir… Alors, je ne lui cache plus que je suis un libertin convaincu, habitué des clubs échangistes et autres lieux où le sexe est roi comme sur certaines plages naturistes où des couples éphémères se forment à l’abri des dunes….

Bien évidemment cette conversation nous a bien chauffé les sens d’autant qu’Emmanuelle a repris les manipulations de ma queue. Désormais, elle est triomphante au point que ma compagne vient s’enfiler dessus en amazone après avoir fait voler sa nuisette et son string… me laissant découvrir sa poitrine menue et sa chatte imberbe mais avec des lèvres bien ourlées et gorgées de sang.

Quelques temps plus tard, nous retrouvons Virginie, notre hôtesse dans la grande salle commune où se trouvent deux autres couples auxquels nous ne prêtons guère attention. Lorsque ces derniers sortent à l’extérieur, nous nous installons pour rechercher sur des cartes détaillées les itinéraires de randonnée au départ du gîte et là c’est la surprise, Virginie se penche à l’oreille d’Emmanuelle et je l’entends lui dire discrètement :
• Tu sens l’amour ! En plus je t’ai entendue jouir au travers de la porte ! Dès que je t’ai vue ce matin dans le lit avec ton homme, j’ai eu envie de vous !

Oulla ! Comme entrée en matière on ne fait pas mieux ! Nous sommes tombés sur une bien jolie coquine… et si elle continue comme cela, je vais pouvoir, sans l’avoir cherché, assouvir un fantasme longtemps recherché : faire l’amour avec une femme noire ! Cela manquait à mon tableau de chasse de libertin !

Après une première randonnée assez courte puisque nous partons en début d’après midi pour rentrer vers 21 heures, nous nous retrouvons tous les sept autour de la grande table pour le diner servi par notre hôtesse. Elle s’enquiert de notre installation et nous précise que son homme est dans la montagne avec son troupeau. Est-ce pour nous un signal ?

Et bien oui ! Environ une demi-heure après avoir regagné notre chambre, un léger grattement contre notre porte se fait entendre. C’est Virginie qui, un doigt barrant sa bouche, se glisse dans la chambre. Elle porte toujours la même tenue que le matin, un teeshirt sous lequel ses seins pyriformes se balancent au gré de sa démarche, un jeans qui lui colle littéralement à la peau, ne laissant cachée aucune de ses courbes…

A peine entrée, elle enlace Emmanuelle et lui plaque un baiser sur la bouche en la serrant contre elle, les mains sur les fesses de ma compagne qui glisse les siennes sous le teeshirt pour aller cueillir les beaux seins qu’il dissimule... Oh oui, ils sont beaux ! Emmanuelle fait passer le léger vêtement par-dessus la tête de Virginie et ensemble nous découvrons une belle paire de seins, généreux, avec des aréoles bistre très foncées mais aussi des tétons très proéminents. Cela ne m’étonne plus que nous distinguions cette belle paire de seins sous le tissu.

Pour moi qui depuis toujours, je suis fan des seins de femme, je suis gâté ! Emmanuelle et moi, dans un bel ensemble, nous allons cueillir entre nos lèvres chacun un de ces jolis tétons que nous suçons goulument pour les faire sortir encore plus et achever d’exciter notre hôtesse coquine.

Après quelques instants, nous nous dégageons et pendant que ma compagne dépouille Virginie de son jean, je me déshabille prestement et j’arbore un sexe déjà bien bandé sur lequel Virginie se précipite pour l’avaler d’un seul trait jusqu’au fond de sa gorge. Pendant qu’elle commence à me sucer de belle manière, entourant mon vit de ses lèvres charnues, Emmanuelle se met nue également et nous basculons sur le grand lit qui nous accueille tous trois, les deux femmes tête-bêche dans un 6 9 tout à fait excitant.

A genoux à côté des deux femmes qui se mangent la chatte, je flatte d’une main la croupe que notre hôtesse nous offre et de l’autre, je vais et je viens dans le vagin de mon amie. Bientôt je n’en peux plus d’entendre les gémissements amoureux des deux coquines, je me couvre et je viens derrière Virginie. Je prends sa taille entre mes mains, et, d’une lente poussée pour qu’elle sente bien progresser en elle ma bite courte mais quelque peu trapue. Je m’introduis dans sa chatte qui, aussitôt se referme sur ma queue et la masse de ses muscles intimes. Que c’est bon !

Pendant que je baise notre hôtesse en levrette, cette dernière continue de manger la chatte d’Emmanuelle si bien que nous jouissons tous les trois presque en même temps ! C’est totalement satisfaits de cette première partie de galipettes que nous nous couchons tous les trois dans le même lit, une femme de chaque côté de moi, chacune une main posée sur ma bite alors que j’ai une main d’un côté sur un pubis garni d’une fourrure courte et l’autre sur celui d’Emmanuelle rasé depuis peu. Et nous nous endormons ainsi.

Au petit matin Virginie s’éclipse de la chambre pour aller préparer les petits déjeuners de ses hôtes et la journée du gîte. Quant à nous nous paressons jusqu’à l’heure d’un petit déjeuner copieux avant de partir sac au dos pour toute la journée.

Pendant ces deux semaines, Virginie est venue nous retrouver dans notre chambre chaque fois que son homme était parti dans la montagne près de son troupeau de brebis. Ce furent six nuits merveilleuses. Chaque fois je baisais ou sodomisais l’une ou l’autre des mes partenaires qui ne manquaient jamais d’initiatives coquines pour faire redresser ma queue lorsque je commençais à donner des signe de faiblesse. Elles se donnaient également du plaisir mutuellement, dans des 6 9 saphiques du plus bel effet Les femmes et moi-même, nous avons eu trios tous plus sensuels les uns des autres, des étreintes amoureuses diversifiées mais quel plaisir et quelles jouissances nous en avons retiré.

Je n’imaginais pas que ces vacances qui, lorsque le projet en avait été fait, devaient être sages, seraient des vacances sensuelles et sexuelles au plus haut point. Ma liaison avec Emmanuelle a encore duré quelques mois puis peu à peu nous nous sommes perdus de vue. Nous ne nous étions rien promis !

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