Levé Dans Le Métro.

(fiction partielle écrite en 07.2003).

Le beau temps est revenu et avec le soleil qui chauffe, les tenues des femmes se sont allégées même si certaines ont conservé le pantalon pour les trajets notamment pour aller au boulot !
Je les regarde avec envie de vieux barbon sur le retour… Mais il y a bien longtemps que je ne cherche plus l’aventure au coin d’une rue.

Comme chaque soir dans le métro de Paris et ce, malgré les vacances, c’est la cohue. C’est à croire que tout le monde quitte le travail à la même heure… C’est vrai que dans ce domaine, les patrons français ne font pas tellement preuve d’initiatives : Il n’y a qu’à se rappeler le nombre de personnes faisant du télétravail par rapport à certains autres pays…
Bref, ce vendredi en fin de journée, je me suis faufilé tant bien que mal à l’opposé de la porte car j’allais pratiquement au terminus de la ligne. Nous étions serrés les uns contre les autres, sujets aux cahots du train et nous ne pouvions pas faire grand-chose pour échapper à certains contacts…
Mais ce contact, je ne l’ai pas recherché. Une femme, trente ans environ, avec des cheveux noirs ondulés et coiffés en queue de cheval s’est appesantie un peu trop longuement contre moi après avoir été bousculés dans une courbe de la ligne. J’ai senti contre mon bassin les douces rondeurs de ses fesses et, collé contre la paroi vitrée, je ne pouvais pas me dérober…

Cette coquine (car c’en était vraiment une) a ondulé de la croupe si bien que je me suis mis à bander dans mon boxer… et elle a continué son petit jeu sensuel. Elle ne pouvait pas ignorer ma bandaison car elle s’était arrangée pour que mon sexe roule entre ses fesses !
Et je bandais de plus en plus en apercevant son joli minois dans le reflet des vitres : de grands yeux noirs légèrement fardés, une bouche pulpeuse avec des lèvres bien dessinées, entrouvertes sur des dents étincelantes…
Lors d’un mouvement de voyageurs descendants et montants, elle s’est retournée face à moi avec un grand sourire, elle m’a dit :
• Alors vieux coquin, çà t’a plu ?
Que rétorquer ? Dire NON, ce serait passer pour être un malotru ! Bref, ne m’offusquant pas de me faire traiter de vieux, j’ai répondu :
• Oui, bien sûr ! C’était très agréable !
Là-dessus nous avons engagé la conversation et fait connaissance.

En fait, nous étions presque voisins dans une cité au nord de la capitale… Si bien que nous avons fini le chemin ensemble. Sonia me dit à l’entrée de son immeuble :
• Viens, je t’offre le pot de l’amitié !
Comme en ce moment je n’avais pas de copine, je ne voyais pas d’inconvénients à accepter cette invitation :
• OK ! Çà marche, personne ne m’attend !
Nous sommes entrés dans un petit immeuble résidentiel en bordure du périphérique et l’ascenseur nous a emmenés au 6ème et dernier étage. Dès que nous sommes entrés dans son appartement, elle s’est retournée vers moi et m’a tendu ses lèvres :
• Embrasse-moi ! Tu en meurs d’envie et moi, j’ai envie de baiser !
Allais-je refuser ?
Certainement pas !
Pourquoi refuser une telle bonne fortune qui s’offrait ainsi à moi qui vit seul et n’ai l’occasion de faire l’amour que lorsque je vais une fois par mois en club libertin ?
Bref, nous nous sommes embrassés, mêlant nos langues et commençant à nous déshabiller mutuellement. Bientôt, je ne portais plus que mon boxer et mes socquettes et Sonia m’apparaissait en soutien gorge et mini string de dentelle orange…
Une bien jolie femme !
Grande et mince mais avec de belles rondeurs, des seins en pomme et des fesses galbées, elle portait un piercing au nombril et son pubis est entièrement nu comme c’est désormais la mode pour les filles dans le vent !
Depuis le métro, mon érection était retombée mais Sonia se mit à genoux devant moi et elle a fait glisser mon boxer pour emboucher mon sexe qui a plongé directement au fond de sa bouche pour un début de gorge profonde… Waouh ! Quelle suceuse, en moins de cinq minutes, j’étais de nouveau raide comme du bois, enduite de salive…
Sonia s’est relevée pour aller chercher des préservatifs dans le tiroir d’un meuble situé près du canapé, et après avoir déchiré l’enveloppe d’une des capotes, elle l’a déroulée sur mon sceptre de chair !
Elle s’est allongée ensuite sur le canapé pour me dire en me tendant les bras :
• Je suis à toi ! Baise-moi ! J’en ai envie alors ne te prives pas !
Moi aussi, j’ai envie de la baiser !
A 50 ans, tomber ainsi sur une jolie jeune femme bien chaude qui a envie de se payer une partie de baise, cela ne se refuse pas !
J’étais libre et elle aussi certainement…
Nous nous sommes allongés sur le tapis du salon et je me suis agenouillé entre ses cuisses J’ai entamé un cunnilingus sur cette chatte imberbe dont les lèvres déjà suintantes de mouille se sont immédiatement ouvertes sous ma langue.

Pas besoin de plus de préparation : Elle n’attendait que çà !
Comme j’étais bien dur, je me suis placé et d’une seule et longue poussée, je me suis introduit dans cette chatte humide et chaude.
Dès que j’ai été en elle, Sonia a noué ses jambes sur mon dos et avant que je n’entreprenne les va-et-vient, elle a débuté un mouvement de balancier de son bassin, ce qui fait que c’était elle qui se baisait… utilisant ma bite comme si elle avait été un beau gode !
Vraiment une chaude qui devait être en manque ou alors, la chaleur de la journée, l’avait rendue accro au sexe !
Mais au bout de quelques minutes, elle a cessé et j’ai pu la baiser comme je voulais, alternant les copulations rapides ou plus lentes quand je sentais que j’allais jouir. Finalement, avant de prendre mon pied, c’est Sonia qui est partie deux fois de suite, clamant haut et fort son plaisir :
• Ooohh Ouuiiii ! C’est booonnn ! Je jouiiiis ! Baise-moi bien à fond ! Vas-y, défonce-moi la chatte !
Et moi, dans un grand râle de plaisir, je me suis affalé sur son buste où j’ai repris mon souffle !
Quelle baiseuse cette Sonia !
Mais qu’est ce que c’était bon ! J’étais vraiment tombé sur une chaude !



Quelques instants plus tard, nous nous sommes désunis et Sonia m’a fait basculer sur le dos. D’un geste preste, elle a ôté le préservatif et a commencé à lécher ma queue pour déguster les sécrétions qui la garnissaient…
Elle devait aimer sucer une bite car en moins de deux minutes, j’avais le sexe bandé comme un épieu de bois, prêt pour une nouvelle estocade… Mais ce n’est pas une estocade qui a eu lieu !
Et là, Sonia m’a enjambé en disant :
• Au diable le préservatif !
Et elle s’est empalée d’elle-même sur ma queue. Que sa chatte était chaude et humide ! Ainsi placée en amazone face à moi, je voyais ma partenaire monter et descendre lentement sur mon sexe qui disparaissait au plus profond de son vagin… alors que je triturais doucement les bourgeons de sa poitrine en les faisant rouler entre mes doigts.

Sonia était vraiment douée !
J’avais apprécié ses talents de suceuse et là, chaque fois que me bite arrivait tout au fond, je sentais ses muscles intimes masser le gland… Waouh ! Que c’était bon !
Elle savait vraiment y faire pour faire monter la sève. Et çà n’a pas tardé… Je me suis épanché au fond de son vagin en quelques belles giclées et Sonia s’est écriée :
• Oh oui ! C’est bon ! Je jouis ! Vas-y, mets m’en plein la chatte !
Et là, elle s’est allongée sur mon buste pour retrouver un peu de calme. Quelques instants plus tard, son téléphone portable a sonné : c’était une de ses amies.
Sonia ne s’est pas gênée devant moi car elle lui a dit qu’elle était en train de baiser et qu’elle était tombée sur un bon étalon… et elle a terminé la conversation en disant :
• D’accord ! Monte ! On t’attend ! Tu vas en profiter aussi !
Bref Sonia me proposait à sa copine et moi, je n’étais pas contre surtout si cette dernière montrait les mêmes dispositions de baiseuse accro au sexe !
Moins de cinq minutes plus tard, j’ai entendu la porte palière s’ouvrir et Sonia, qui était toujours empalée et allongée sur moi dire :
• Entre, Camille, nous sommes dans le salon.
Là, j’ai eu la surprise de découvrir une noire sculpturale, vêtue d’un mini short de couleur claire et d’un chemisier beige aux pans noués sur le devant.
Waouh quelle belle fille !
Elle avait tout aux bons endroits : une poitrine généreuse libre débordant du chemisier, des hanches galbées et des fesses cambrées. Ses cheveux crépus coupés très courts dégageaient un visage à l’ovale parfait dominant un cou gracile. Des grands yeux marron, un nez légèrement épaté encadré par des pommettes un peu marquées et des lèvres pulpeuses lui donnaient un air de reine de Saba…



Sonia s’est relevée et s’est dégagée de ma queue quelque peu débandée et m’a présenté :
• Regarde le beau mâle que j’ai levé dans le métro ! A son âge, c’est un sacré baiseur ! En moins d’une demi-heure il m’a fait reluire deux fois !
Camille qui ne portait que son short et son chemisier s’en est débarrassé et en quelques secondes elle était entièrement nue ! Elle s’est précipitée sur ma queue, gluante de foutre et l’a engloutie tout au fond de sa gorge pour la nettoyer et me faire bander à nouveau.

A moitié allongée à côté de moi, je pouvais caresser ses seins aux tétons turgescents et sensibles. Quelle poitrine elle avait !
Elle devait au moins porter des soutifs taille D… et elle savait s’en servir car en remontant, elle a mis ma bite entre ses globes pour me masser. Si elle continuait ainsi, je n’allais pas tarder à gicler…
Camille a du sentir que j’étais à point car elle a couvert mon sexe et en s’allongeant sur le dos à même le tapis, elle m’a dit avec un regard coquin :
• C’est à mon tour maintenant ! Prends-moi et fais-moi jouir !
Quelle aubaine ! Moi qui jusqu’à ce jour, j’avais toujours fantasmé sur une partie de jambes en l’air avec une noire ou une asiatique, je n’allais pas me priver !
Je me suis glissé entre les cuisses de Camille et d’une lente progression, je ne suis introduit dans sa chatte dont le rose tranchait sur la peau sombre…
Je ne l’avais pas préparée par des attouchements ou des caresses mais elle était humide et chaude… si bien que je me suis glissé tout au fond, collant mon pubis contre le sien !
Nous étions bien !
Nous avons savouré quelques temps cette sensation de plénitude avant de commencer réellement à baiser !
J’ai entamé les mouvements de va et vient, doucement d’abord puis de plus en plus vite. Je ne risquais pas de sortir de cette chatte accueillante car Camille avait noué ses longues jambes sur mes reins, comme pour bien me garder en elle.
De temps à autre, nous nous embrassions et c’était là le moment de faire redescendre quelque peu la pression pour retarder le moment de notre jouissance. Pendant ce temps, Sonia s’était installée près de nous sur son divan et elle faisait aller et venir dans sa chatte un gode de belle taille… Cette coquine n’en n’avait sans doute pas eu assez… Lorsqu’elle nous a entendus jouir, elle a accéléré les mouvements et le plaisir l’a emportée également.



Après quelques temps passé à récupérer un peu mais aussi à déguster un en-cas reconstituant, Sonia et Camille se sont de nouveau intéressées à moi !
Je me prélassais dans un fauteuil tout en fumant mais aussi pour laisser le cachet que j’avais pris discrètement faire son effet quand elles se sont agenouillées devant moi.
Ma bite à demi bandée était entre mes cuisses et pour me faire dresser, ces deux coquines se sont partagées dans une pipe à deux bouches d’enfer !
Quand l’une avait mon gland en bouche pour titiller le méat, l’autre léchait la hampe et triturait doucement les bourses… C’était chaud ! Et je me laissais faire, appréciant le talent de suceuses de ces deux femmes qui n’avait pas froid aux yeux (ni ailleurs bien sur !).
Lorsque Camille s’est relevée pour présenter ses beaux seins devant ma bouche, elle a glissé à mon oreille les mots suivants :
• J’ai envie de ta queue dans mon cul ! Çà fait plus de six mois qu’on ne m’a pas sodomisée et à voir ta belle bite, j’en ai envie…
Bien sur, je n’étais pas contre, bien au contraire d’autant que depuis que Camille était entrée dans l’appartement, je fantasmais sur son cul bombé et ses fesses fendues au point que j’avais envie de la baiser en levrette pour bien jouir du spectacle. Là ce serait encore mieux mais je l’ai prévenue :
• Tu as pu te rendre compte que je ne suis pas très long mais assez trapu… Tu vas la sentir passer !
• Pas de soucis… Je suis ouverte !
Les deux filles se sont allongées en 6 9 et Camille a relevé ses fesses pour que je sois à la bonne hauteur pour la pénétrer…
J’ai injecté une bonne dose de gel dans son petit trou et lentement, j’ai introduit ma queue couverte dans son sphincter qui s’est ouvert immédiatement.
Les mains placées autour de sa taille, j’avais une vision de rêve sur deux globes fessiers à la fois souples et fermes entre lesquels coulissait mon sexe !
De temps à autre, je sentais les mains de Sonia masser la base de ma queue ou je devinais qu’elles caressaient l’entrée de la chatte qui s’offrait à son regard.
Après quelques temps, alors que je prenais tout mon temps pour bien sodomiser Camille, Sonia s’est dégagée et elle s’est allongée pour que Camille puisse lui manger la chatte. Le spectacle était des plus excitant : Camille la noire dont j’appréciais la chute de reins étroite et cambrée, allant et venant au gré de mes coups de boutoir dans son antre interdit et au-delà de sa tête, le corps hâlé de Sonia qui s’offrait à la bouche de ma partenaire…
Comme je m’étais déjà vidé abondamment, mon plaisir était plus long à venir mais je bandais ferme et cette vision a achevé de m’exciter si bien qu’au moment où Camille jouissait, je me suis épanché une fois encore au fond de la capote… Sonia, elle s’est donné du plaisir avec un gode à double tête qu’elle a agité dans sa chatte !

Quelques instants plus tard, nous nous sommes retrouvés dans le grand lit de Sonia où nous nous sommes endormis tous les trois, bras et jambes mêlés, jusqu’au lendemain matin ! Heureusement, c’était un samedi et personne n’allait au boulot !

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