Passage À L Heure D Hivers ....

Changement d'heure
auteur : Laurencec

Cette année c‘est un samedi, enfin la nuit du samedi au dimanche du 30 octobre...

Une heure de plus au lit à récupérer ce n’est jamais négligeable ! C’est peut-être pour cela que je me sens en forme et disons-le, excitée en ce début de semaine. Mardi c’est la Toussaint, encore une bonne journée de repos supplémentaire.

Nous arrivons au mercredi 2 novembre.

Un réveil en super forme, bien reposée, je me suis levée tôt et je me prépare tranquillement pour aller travailler. Seule à la maison je n’ai que cela à faire et j’y trouve du plaisir. Tout commence par une bonne douche et un entretien de mon épiderme, toute fraîche, toute lisse, je passe de longues minutes devant le miroir à peaufiner des éléments de mon corps que seule je connais ; mais je suis ainsi, le souci du détail ! Se faire le maillot doit être parfait, Non ?

J’opte ensuite pour cette robe noire que j’adore porter. Bon, l‘été ordinairement, car elle n’est pas très épaisse, mais mon humeur coquine me pousse me rappelant de bons souvenirs.

Cette robe, je l’adore, son tissu noir est très moelleux, elle est d'une légèreté incomparable et tombe sur mes hanches à merveille. Nue dessous cet été, elle me procurait des sensations quelque peu coquines, comment expliquer cela ? Ce tissu en Lycra très fin est d’une douceur infinie, il ne se chiffonne jamais ! Je l’enfile et hop, elle tombe sur mes hanches comme de source, rien à corriger ou à repositionner. Pire, puisqu’en étant nue dessous, c’est comme une seconde peau, je ressens amplement la douceur de la matière qui me caresse le corps et me titille les pointes des seins qui s’agitent en marchant.

Bref, devant la glace de ma grande armoire il ne me fallut que quelques secondes avant de la prendre en main en me disant pourquoi pas ! C’est également une robe pour le moins classique qui me rend élégante et sexy à la fois mais sans exagérer.

Pour le bureau, j’y accorde une attention particulière, préférant toujours rester correcte.

Toujours dans le même état d’esprit, j’ai enfilé une superbe petite culotte de dentelle rouge qui m’a sauté aux yeux dans le tiroir à moitié ouvert, puis, une jolie paire de bas noirs à large jarretière, j’étais parfaite ! Seule ce soir, mon mari en déplacement, je dois avouer que l’idée d’une soirée en bonne compagnie a fait irruption dans un coin de ma tête. D’où peut-être cette attention particulière à ma tenue.

Ma journée s’est déroulée tout à fait normalement, avec à peine le temps de m’amuser un peu sur la route en relevant juste ce qu'il fallait de ma robe sous le nez des chauffeurs de poids lourds que je doublais. Rien que de faire glisser le tissu sur mes jambes gainées de soie me donnait cette sensation de légèreté, au point de contribuer au plaisir de m’exciter quelque peu. Hélas pour moi, en cours de journée mes espoirs de soirée coquine se sont envolés, mon ami habituel me faisait faux bond pour des raisons que je me garderais de divulguer ici.

Accaparée par un dossier épineux, je ne me suis pas rendu compte du temps qui passait, noyant ma solitude dans le travail pour ne pas penser à la chance qui me fuyait. Pourtant, en levant la tête, je me suis rendu compte que la nuit était tombée, je me suis alors inquiétée de l’heure : 18h30, pas si tard, mais oui, on a changé d’heure… Grrrr ! Je ramasse mes documents et range un peu mon bureau avant de quitter les lieux, résignée à passer la soirée seule comme depuis quelques jours.

Il devait approcher 19h00 lorsque je suis monté dans ma voiture. Inutile de songer à s’amuser un peu, vu la nuit tombée. Cependant, l’ambiance est tout autre une fois que l’obscurité nous a envahis. Il fait noir et pourtant la vie s’agite en ville, tout est animé, bouge, et en me stationnant près du débit de tabac, un frisson me transperce : l’air frais sur mes jambes peut-être. Je sors de la voiture et je traverse la route, tête baissée, regardant mes jambes éclairées par les phares des véhicules arrêtés pour me laisser passer.
Oups, la transparence de la robe sous cette lueur me donne des frissons. Je n’ose relever la tête pour voir si certains passants auraient remarqué, mais c’est stupéfiant. J’achète mon paquet de cigarettes et je retraverse la route encore plus attentive que dans l’autre sens. Aucun doute ! Surprenant mais réel, limite non ! Pas limite soyons clair ! Je voyais moi-même la jarretière de mes bas, amplement visible dans le faisceau des phares. Je m'engouffre dans la voiture sous l'œil attentif d’un type appuyé sur la façade d’une boutique, qui je pense, n’a rien loupé de cette offrande. Les joues bien chaudes, je m’empresse de démarrer pour quitter les lieux.

Pour ne rien cacher ce petit épisode n’a fait qu’ajouter à mon excitation grandissante, et je passe sous silence ma pilosité fraîchement éliminée, qui là aussi me donnait quelques petits frissons de par cette sensation de nudité. Je reprends donc la route pour le moins troublée, les hormones en fusion, me mordillant les lèvres, contractant le bas-ventre comme pour retenir les flots de plaisir qui poussent la porte. J’en suis même à penser : vivement que je sois rentrée pour me jeter sur le lit et lâcher cette tension !

Arrêtée au pied d’un feu rouge, dans la campagne quelque peu isolée sur la route que j’emprunte quotidiennement, dans cet état d’excitation, je dois dire que mes pensées sont très réactives. Parmi elles, ce parc à quelques pas de là, sur ma route : une friche aménagée en espace vert, clairsemée de bosquets où il fait bon se balader l’été. Un endroit réputé dans le secteur pour ses fréquentations de voyeurs et autres couples libertins et même, je pense d’homosexuels. Je m’y suis promené par curiosité à plusieurs reprises et j’ai eu plaisir à croiser des types pas trop nets qui me regardaient avec insistance. Peut-être se demandaient-ils ce qu’une femme seule faisait là, en jupe et talons hauts. Ils étaient en droit de se poser la question ! Ceci dit c’est par curiosité que je me promenais dans cet endroit pendant une pause boulot : prendre l’air entre deux rendez-vous n’est pas un péché !

M’y balader dans le noir donnerait ment un autre sentiment ! L’adrénaline que j’aime tant me donner !.
.. Je ne résiste pas au désir de m’offrir ce frisson avant de rentrer à la maison pour une longue soirée solitaire. Je m‘engage donc dans la rue donnant sur le petit parking de cailloux que je connais.

Dès l’arrêt du moteur l’ambiance lugubre du coin me donne des palpitations. Aucun éclairage public à moins de deux cents mètres, là où se trouvent les derniers pavillons. Le parking est désert, mis à part une vielle Polo garée dans un petit renfoncement en lisière du site. Je descends de voiture doucement scrutant vers cette voiture à priori vide. La nuit est profonde, il me faut un moment pour que mes yeux s’habituent à cette obscurité quasi complète. Heureusement que je connais les lieux, car il fait si noir que je n’aurais pas retrouvé le petit chemin entre les buissons qui s'engouffre dans la partie boisée ou je me baladais parfois.

Je respire à plein poumons et prenant mon courage à deux mains je m’engage dans ce chemin bien plus lugubre de nuit que ce que je connaissais. Il me faut quelques minutes encore pour me sentir un peu mieux, pour évacuer une partie de cette crainte que l’on peut avoir lorsque l’on se met dans de telles situations ! Je sais, certains diront que je devais être folle pour me rendre seule dans un pareil endroit, mais c’est justement le côté excitant de la chose, se balader sur un chemin de cailloux au milieu de la nature en pleine obscurité me procure de tels frissons ! Une force invisible m’a toujours poussée dans ce sens... Dans ma petite robe sexy laissant passer une certaine fraîcheur, la douceur du tissu effleurant mon corps, très vite je me suis franchement régalée, seule au milieu de nulle part dans la profondeur obscure d’un bois...

Une fois bien avancée et plus relaxée, je me prenais au jeu, m’amusant à remonter ma robe sur mes jambes. La fraîcheur de l air ,la douceur du tissu, mon plaisir était palpable ne serait-ce que par mes seins que je sentais douloureux et durcis. J’ai marché ainsi 20 minutes, m’arrêtant ci et là à l’affût du moindre craquement de branche ou de la moindre ombre que j’aurais pu entrevoir en mouvement.
Seule au monde, je ne pouvais m’empêcher de me presser le bas-ventre ou me palper un sein. J’oserais dire que si un bel homme avait été là, désireux de me soulager, je n’aurais pas refusé. Je rejoignis la voiture doucement, me souciant de moins en moins de ce qui m’entourait, plongée dans mon petit monde de douceur. Il était temps de rentrer et me soulager une bonne fois pour toute, afin d’évacuer toutes ces tensions accumulé depuis le début de journée.

En sortant du chemin sur le parking, celui-ci me paraissait moins sombre. Certainement le fait d’être depuis de longues minutes dans une obscurité totale ; la robe remontée haut sur mes hanches, je regardais mes jambes, me trouvant de beaux atouts malgré mes quarante-sept Printemps. J’ouvris ma voiture à la télécommande et déposais ma pochette sur le siège après avoir sorti une cigarette. La petite dernière de la journée avant de rentrer, histoire de profiter encore un peu de ce moment tellement agréable.

C’est là, après avoir allumé ma cigarette que j’ai vu ce type venir vers moi tout en disant à voix haute : « Isabelle ». Je me retournais, pensant qu’une autre personne était présente mais non, le type s’adressait bien à moi ! Un homme petit et plutôt rond, en jeans et chemise ; un type un peu quelconque en somme. Étonnée de le voir arrivé ainsi tout sourire dehors, je souriais moi aussi, attendant d’en savoir plus. À quelques mètres de moi, il affirmait le sourire ébahi que j’étais encore plus sexy qu’en photo ! Je n’ai pu m’empêcher de rire, ce drôle de type au crâne rasé m’accostait les yeux exorbités, comme s’il me connaissait. J’étais sur le point de lui dire qu’il faisait erreur, lorsque j’ai compris qu’il me prenait pour une callgirl ou un truc du genre. Visiblement pas méchant, mais plutôt subjugué par ma personne, je le laisse croire sans le contrarier, le remerciant même pour les compliments. Je me montre tout aussi souriante que lui et je suis pour le moins étonnée par sa façon de me regarder sous toutes les coutures. J’oserais dire que ce type ne ressemblait à pas grand-chose, mais son regard était d’une telle intensité ! Je ne voyais que ses gros yeux qui sans gêne me déshabillaient !

Pour tout dire, il n’en fallait guère plus pour me remettre une pression et même relever encore mon niveau d’excitation. Mon imagination reprenait de l’élan. Ce type que je ne connaissais pas se penchait pour me mater les fesses sans aucune gêne et débitait des phrases sans même me laisser le temps d’intervenir ! Visiblement il parlait d’une nana lui ayant envoyé des photos sexy et avec qui il avait rendez-vous : heureux d’avoir attendu, il n’y croyait plus ! J’étais enfin là depuis tout ce temps qu’il attendait.

Il se frottait les mains tout en me répétant que j’avais des jambes bien plus jolies que sur les photos. Comble de l’audace, il relevait délicatement ma robe, me demandant si j’avais mis de jolis bas comme promis ! Je me contentais de sourire sans même le repousser, puisqu'il ne me touchait pas pour autant, mais montrait une passion débordante envers son « Isabelle » que visiblement j’incarnais... En le laissant parler, j’apprenais même que selon lui, je lui avais envoyé de nombreuses photos et qu'il rêvait d’enfin pouvoir caresser mes jambes comme prévu. Mon imagination prenait le dessus : Isabelle ? Caresser ses jambes ? Après tout, pourquoi pas... !

« Bon on va dans ma voiture » me dit-il, tout en se retournant vers la Polo. Je n’ai pas réfléchi longtemps ! Certes le type n’était pas mon genre, pratiquement chauve, un ventre assez mis en avant, mais il me semblait tellement accro. Puis, excitée comme je l’étais, j’étais curieuse et envieuse de connaître la suite ! Cet homme bedonnant n’était pas un Apollon, mais vu son enthousiasme, il aurait peut-être des doigts, une langue de velours et qui sait ? Je le suivais donc jusqu’à sa voiture sous le regard de braise qui ne quittait pas mes jambes. J’étais visiblement le genre de femme dont il rêvait et il le disait du reste.

Très relax et sans gêne mon nouvel ami m’a ouvert la porte : un coupé Polo, je vous laisse imaginer, les sièges étaient déjà pliés et avancés au maximum, il était donc bien en attente de sa belle dont il me parlait. Je m’engouffrais dans la voiture avec une jolie main aux fesses au passage. Il ferma la porte et fit le tour pour me rejoindre.

Étrangement, je n'étais pas inquiète. Sympa, souriant et plus l’air bête qu’autre chose, je sentais, je savais que je n'avais rien à craindre de ce type. J’avais même l’impression d’avoir un homme très soucieux de mon bien-être et vu ma liberté du moment et mon état d’esprit, j’espérais qu'en passant pour cette « Isabelle », j’aurais l’occasion d’obtenir du plaisir... C’est au fond tout ce que j’attendais de lui !

Son regard me touchait beaucoup ! Il était en admiration et j’imaginais qu’un type comme lui n’avait pas souvent l’occasion de batifoler avec une femme qui à ses yeux était d’un autre monde (pourtant loin de moi cette idée). Il fixait mon corps comme peu d’hommes l’ont fait. Je lisais dans ses yeux toute l’envie qu’il avait de me manger. Très agréable de se sentir comme une confiserie, la plus belle et la dernière du paquet. L’espace était restreint dans la voiture, j’étais dans le fond du siège à droite, les jambes serrées et légèrement tournées vers lui.

L’œil rivé sur mes jambes, je le sentais aux anges. La situation bien qu’étrange m’amusait et c’est en souriant, lorsqu’il a posé la main sur mon genou que j’ai levé la jambe comme pour le laisser inspecter son cadeau. Avec une extrême douceur, il a accompagné ma jambe, la posant sur son genou tout en caressant de la cheville au mollet avec une admiration sans faille. Je tendais le pied, tournais la cheville sous ses yeux écarquillés et ses caresses fébriles.

Avachie dans le fond du siège, je me laissais ainsi caresser le bas des jambes espérant secrètement qu’il remonte vite ! Malgré sa corpulence, il a réussi à se recroqueviller par terre ne cessant de caresser mes pieds, mes mollets flirtant avec les genoux. Il posait parfois mes pieds sur ses épaules, ses yeux brillaient fixant entre mes cuisses mon petit bout de tissu rouge que je ne cachais plus le moins du monde. Je fondais sous ses caresses le laissant gagner du terrain à son rythme, mais ne manquant pas d’ouvrir les jambes à l’occasion !

Son regard, sa respiration, la situation m’excitait et lorsqu’il s’est mis à embrasser mes genoux, j’ai ouvert les cuisses espérant l’attirer plus haut. Le bougre tournait autour alors que je montais en pression au point de me mettre à me caresser, dessus, puis dans le string sous ses yeux exorbités. Le pauvre avait ouvert son pantalon et je le voyais se triturer la queue entre deux caresses ! Son haleine bouillante sur l’intérieur de ma cuisse me donnait une furieuse envie, ma robe soyeuse me permettait doucement de glisser les fesses sur le siège et ainsi amener le bas de mon ventre vers ses lèvres fiévreuses.

C’est près de vingt minutes plus tard, qu’enfin sa langue me brûlait la peau à la lisière de mes bas, je ronronnais de plaisir, cuisses bien ouvertes, un pied contre la vitre gauche, l’autre à hauteur de l’appui-tête du siège passager. Tout en me caressant, je me tortillais sous ses petits coups de langue, sursautant même parfois lorsqu’il me mordillait quasiment à hauteur de l’aine. Je ne comprenais pas trop cette retenue, malgré mes gestes, mes manières qui clairement l’invitait. J’étais sur mon nuage, les yeux au trois quarts clos, lorsque j’ai senti qu’il se redressait, tout en baissant son pantalon de toile, dans un long soupir il me dit qu'il n'en pouvait plus et que malgré ses promesses, il aimerait me goûter le minou...

Je n’ai pas compris ses propos ! Il avait certainement convenu avec cette Isabelle qu’il ne toucherait ou embrasserait que ses jambes, il se retenait donc de s’occuper de ma grotte d’amour qui ne demandait que cela. En guise de réponse, la main dans mon string, du bout des doigts je lui ai caressé la joue, alors qu’il revenait, visage en avant m’embrasser l’entrejambes...

Sa légère barbe, sa bouche venant me lécher les doigts, les choses se sont enfin précipitées. De ma main libre je l’attirais, lui caressant le crâne tout en cherchant à le pousser vers mon intimité trempée... Enfin, je sentais sa langue me fouiller, me mordiller les lèvres : un pur bonheur ! Je m’ouvrais le plus possible, tout en lui disant que c’était bon, aidée par ses mains qui m’écartaient la vulve, je criais mon plaisir. Ses doigts me pénétrant, ses râles et compliments, je fondais tout en me pinçant les seins. L’instant était magique et j’ose dire que je me suis sentie partir très loin. Il n’était peut-être pas un Apollon, mais Dieu qu’il était habile. Je lui ai pourtant écrasé la tête lorsque cet orgasme est arrivé ! J’ai serré les fesses tant que j’ai pu, accrochée à l’épaule de sa chemise. Lorsqu’il m’a enfin lâchée en se redressant, j’ai continué mes soupirs, quasiment allongée sur la banquette. J’ai ouvert les yeux quelques secondes plus tard, il était à genoux, la verge en main à se masturber, tout en me regardant, et quelle queue ! Un dard bien droit et épais, de taille moyenne, mais d’un calibre rarement vu !

Le pauvre, je ne pouvais ni ne voulais le laisser dans cet état, je lui ai alors souri tout en me redressant, lui demandant de s’asseoir sur la banquette. Le type s’est exécuté le pantalon sur les chevilles. Je me baissais non sans peine entre ses jambes, posant les fesses sur la console centrale tant bien que mal, vu le manque de place. Lui essayait de me faire le plus de place possible et visiblement m’attendait avec impatience.

Une fois à peu près installée, j’ai réussi à m’agenouiller pour lui saisir la queue. Quelques allers et retours dans ma main, observant son regard médusé, il ne m’en fallait pas plus pour reprendre ma place de princesse ! La queue m’emplissait la main, il aurait été dommage de ne pas en profiter, en r. Quelques petits coups de langue en la tenant bien à la base, ses grondements, ses mercis ont eu vite fait de me convaincre que je devais me lâcher. Une fellation comme rarement j’en ai faite ! Cette queue m’emplissait la bouche comme aucune jusque là ! Ses doigts mêlés à mes cheveux défaits, je me déchaînais sur cette verge qui bandait pour moi, au point même qu’après un passage entre mes seins et une excitation renaissante, dans mon esprit, j’étais décidée à le laisser se vider dans ma bouche. Il faut dire que ses mots, ses mains et ses compliments m’avaient donné envie et tout en m’appliquant à alterner ma façon d’entreprendre sa queue dans ma bouche, je tortillais des fesses tout en me frottant sur l’angle de la console centrale ! Je me concentrais sur sa hampe de chair qui me déformait la bouche. Par instant j’ouvrais les yeux, plongeant mon regard dans le sien. Il retenait mon attention complétement séduit par ma façon de faire j’imagine, les yeux exorbités il me fixait, grognant, respirant très fort comme à la limite de la rupture. Je lui passais la langue sur les parties génitales, remontant sur la tige fièrement dressée. Je me faisais salope et cela me rendait folle, me frottant davantage les fesses sur le coin de plastique !

Je ne savais que faire ! Poursuivre mon action au risque de le voir me décharger au visage ou lui proposer de me prendre ? L’un comme l’autre me faisaient envie pour des plaisirs différents. Je n’eu pas à choisir ! Mon gros vicieux n’y tenant plus et lorsqu’il m'a repoussé je me suis laissée aller me redressant droite sur mes genoux, arborant une poitrine arrogante. Il s’est alors immédiatement redressé comme perdant la tête, grognant que j’étais une sacrée coquine, les mains sous mes aisselles, il s’est alors rué sur mes seins, les léchant, les mordillant… Une fois de plus je me tortillais, m’inclinant volontiers au gré de ses caresses. Dans le chahut, je me suis retrouvée assise sur l’accoudoir central, cuisses grandes ouvertes, légèrement penchée en avant, lui offrant ma poitrine qu’il dégustait avec rage pendant que ses doigts me fouillaient l’entrecuisse. Inconsciemment, je bombais le torse me délectant de sa langue, de ses succions… Il me dévorait littéralement les seins sans retenue avec gourmandise. J’ondulais dans cet espace restreint, cherchant juste à suivre ses baisers fous, me perdant dans le plaisir inouï qu’il me donnait. Le peu de lumière dans l’habitacle me renvoyait mes seins dressés, luisants de salive, alors que la langue ne cessait de s’activer, accompagnée des grondements, témoins de son excitation folle.

Je me suis laissée guider par cette pression qu’il mettait sur ma poitrine et doucement je me suis laissée aller en arrière jusqu’à me retrouver pratiquement couchée sur la console centrale... Il m’avait accompagnée, les avant-bras en appui sur les deux sièges repliés, me sentant mal installée, il a saisi son blouson sur l'avant du siège passager et me l’a glissé sous les épaules, avant de redescendre sur mon corps dans une multitude de baisers.

J’étais bien, je ne bougeais pas à la recherche d’un énième souffle. Je devais avoir la position idéale à ses yeux. Il m’a alors saisi les cuisses me relevant les fesses. J’avais les coudes en appui sur les assises avant et d’un coup, alors qu'il cherchait la bonne position, le siège conducteur a reculé. Mon réflexe a été de baisser les jambes comme pour me rattr. Oh ! Miracle ! Mon mollet droit s’est posé sur le haut du siège, blotti contre l’appui-tête. Le bougre a vite compris, me demandant de reculer l’autre siège. Je me suis exécutée avec peine, vu ma position, mais une fois en place, j’étais bien calée, les mollets bien reposés sur le haut des sièges avant. À genoux face à mon intimité grande ouverte, il cherchait à se positionner au mieux tandis que je me sentais on ne peut plus offerte !

Comment décrire ce que j’ai ressenti lorsque j’ai senti sa grosse queue m’écarter les lèvres doucement et gagner centimètre par centimètre. Lorsqu’avant cela, ses mains puissantes m'ont saisi les hanches, je savais évidement qu’il allait me prendre et même, je n’attendais que cela ! Mais un tel sentiment de force, de puissance, cette queue qui avançait en moi, pendant que respiration bloquée, yeux clos, j’appréciais cette intrusion au plus haut point. Après quelques mouvements de mise en position, lorsque j’ai senti mon corps entier coulisser dans ma robe, le bas du dos sur l’accoudoir, aller et venir sur le tissu glissant. J’étais repoussée, rejetée vers l’avant par ses coups de reins, je gémissais de plaisir à chaque fois qu’il venait buter au plus profond de mes entrailles ! Le rythme s’est accéléré doucement, seins sortis, je me suis mise à me palper tout en me laissant coulisser sur sa bite qui me rendait folle. J’ai hurlé, crié sous les jouissances qui se sont succédées durant dix minutes sans relâche. Bien maintenue, il me plantait sur sa queue et me repoussait à grands coups de reins. Il accélérait le rythme, ralentissait, se faisait doux, puis violent, soufflait le chaud et le froid, m’entraînant dans un plaisir inouï !

Bouche ouverte, yeux mi-clos, j’avais les tempes bourdonnantes et le peu que j’ouvrais les yeux tout en me mordant la main, le plafond allait et venait, les vitres perlaient de condensation, une boule de chaleur se promenait dans mon ventre et je la sentais grossir et me brûler chaque minute un peu plus ! Bien calé au fond, le type me maintenait les fesses ouvertes, les mains m’écartant bien et maintenait ses allers retours gigantesques ! Par deux fois, j’ai crié « Oh mon Dieu ». Il m’a alors demandé si j’allais jouir, sans doute sans imaginer un instant que cet orgasme approchant était sans doute le clou de ma soirée, le feu d’artifice ou plutôt le bouquet final !

Je n’avais jamais connu pareille sensation ! Perdu entre deux mondes, mon corps subissait les vagues imposées par cette marée de plaisir. Ma robe soyeuse que j’adore se prêtait particulièrement bien à cet instant magique. Je passais alors les mains par-dessus la tête et prenais appui sur l’autoradio où je ne sais quoi dans le centre de la console. Bras quasiment tendus, je me cambrais le bas du dos en appui sur l’accoudoir et m’écartais de plus belle, accompagnant ses coups de boutoirs. Il me repoussait violemment, butant le fond de ma chatte à grands coups de queue. Je criais mon plaisir tout en me repoussant des mains en appui sur la console , sur sa tige tendu qui m’emplissait le con !

Lorsqu’il s’est mis à gémir accélérant à nouveau le mouvement, je me suis sentie emporter par une vague immense nommée orgasme... Je lui hurlais de me baiser fort, cambrée comme jamais, ouverte et offerte à ce pieu de béton qui me limait sans relâche ! Ses pouces enfoncés dans ma hanche, sa jambe que je sentais trembler très fort, son foutre m’inondant dans des râles couvrant les miens. Deux à trois minutes de folie complète avec l'impression de me vider sur lui, en lui, me dégonfler de ce plaisir trop longtemps enfermé et maintenu en moi, une explosion des sens, mon corps bondissait comme électrocuté par le plaisir... Lorsque mes jambes sont retombées amorphes, je les sentais bondir toutes seules sans que je ne puisse les contrôler ; mon bas-ventre brûlant se relâchait, tandis que je respirais à pleins poumons des étoiles plein la tête…

Il me fallut de longues minutes avant de reprendre mes esprits... Je me suis redressée avec peine souriant à mon complice, robe pratiquement sur les hanches, je remontais mes bas... Nous sommes sortis nous disant qu’il serait plus aisé de nous revêtir correctement. Pour ne rien cacher, j’étais toute courbaturée et engourdie en m’extirpant de la voiture. Je me suis de suite appuyée sur le montant tellement la tête me tournait. L’air frais m’a néanmoins fait le plus grand bien...

Nous nous faisions de petits sourires complices tout en remettant nos affaires respectives. J’ai récupéré mon string rouge dans le fond du siège avec au passage une petite tape sur les fesses en me penchant pour le reprendre. Repasser son string debout à côté de la voiture sous l’œil aiguisé du type qui vous l’a enlevé quelque temps avant est tout aussi troublant...

Nous avons plaisanté un peu tout en fumant une cigarette ! J’avais encore la tête dans les nuages, mon cavalier se nommait Denis et effectivement avait rendez-vous avec une Isabelle pour son fétichisme des jambes gainées. J’ai ri en lui disant qu’il avait fait erreur, que je me prénommais Laurence et que j’aimais juste prendre l’air parfois après le travail. Nous étions tous les deux morts de rire, mais ni l'un ni l'autre ne regrettait cette rencontre.

Nous avons échangés nos numéros de téléphone portable et nous nous sommes quittés tous les deux satisfaits de ce super moment !

J’avais encore les jambes chancelantes en descendant de voiture à la maison. Je me sentais dégouliner de nos plaisirs ! Face au miroir de la salle d’eau, je voyais l’image d’une blonde aux joues rouges, toute ébouriffée…

Une belle bouille de salope !

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